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Informations générales

Beaucoup de nos patients habitent assez loin de Béziers. De ce fait, ils ne peuvent pas facilement venir autant de fois qu’ils le souhaiteraient à notre rencontre.

Nous avons donc mis en place une éducation thérapeutique à distance.

Celle-ci sera accessible à partir du 15 mai 2014.

Les différents modules ont été conçus par le Dr BUENOS (coordinateur et chirurgien du réseau ROSA), Marie Laure MABILAT (diététicienne référente du réseau ROSA) et Nicolas PABA CAMPI (coach sportif du réseau ROSA).

Ces modules ont été créés pour vous faire connaître et acquérir les bases de la prise en charge pratiquée au sein du réseau ROSA.

Comment faire pour accéder à ces modules d’e-learning (fomation à distance) :

Vous devez vous rendre dans un premier temps sur le site www.boutiquerosa.fr pour pouvoir acheter un module d’éducation thérapeutique à distance.

L’achat de ce module vous permettra de recevoir par email un identifiant et un mot de passe qui vous donneront accès à la plateforme moodle http://rosattitude.fr/educationtherapeutique .

Vous pourrez progresser à votre rythme, communiquer avec les autres apprenants et avec vos formateurs grâce aux outils mis en place dans cette plateforme.

L’argent récolté grâce à ces modules de formation à distance sera reversé intégralement à l’association PECOS 34 (prise en Charge de l’Obésité et du Surpoids dans le 34) pour la réalisation des projets du réseau ROSA.

Une précommande avant le 15 mai 2014 vous permet de bénéficier de tarifs réduits. Mais attention, l’accès aux formations à distance ne se fera qu’à partir du jeudi 15 mai 2014 à 19 heures.

 

Par ailleurs, afin de répondre aux nombreuses interrogations et questions suscitées par  » la seconde peau » que nous utilisons dans le réseau ROSA afin de minimiser les séquelles esthétiques d’un amaigrissement massif. Un dvd a été conçu pour en expliquer le principe, les differentes actions et résultats qu’on peut en attendre si on la porte régulièrement.Ce DVD contient un chapitre pratique sur la façon de prendre les mesures et la possibilité de prise en charge éventuelle par la Sécurité Sociale.

Ce DVD sera en vente sur le site de la boutique ROSA www.boutiquerosa.fr et commencera à être expédié à partir du 15 mai 2014. 

Une précommande à tarif préférentiel est possible dès à présent sur le site www.boutiquerosa.fr

 

 

 

 

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Les personnes obèses ou en surpoids auraient un risque augmenté de décès, même en l’absence de problème de santé apparent. La polémique continue.

Les kilos en trop ont toujours un impact sur la santé, même quand on ne souffe ni d’hypertension, ni de diabète ou ni d’autre problème métabolique. D’après des chercheurs canadiens qui publient leurs résultats dans Annals of Internal Medicine, l’idée que l’on puisse être obèse et en bonne santé relèverait bien du mythe. Une étude qui va alimenter la polémique parmi les chercheurs.

Certaines personnes obèses ne souffrent ni d’hypertension, ni d’hyperglycémie, ni de maladie chronique. Elles pourraient paraître en bonne santé.

Une polémique à ce sujet oppose depuis l’hiver dernier le Pr Walter Willett, de l’Ecole de santé publique de Harvard, à Katherine Flegal, une épidémiologiste au Centre national de statistiques de santé à Hyattsville, (Maryland). Flegal a publié le 2 janvier 2013 une méta-analyse de 97 études portant sur 2,88 millions de personnes, dans le Journal de l’American Medical Association. Selon cette méta-analyse, les personnes en surpoids seraient moins susceptibles de mourir (-6%) que celles ayant un poids «normal».

Réplique inhabituellement cinglante de Willett le 20 février dans l’auditorium de Harvard : «Cette étude est vraiment un tas d’ordures, et personne ne devrait perdre son temps à la lire. » Malgré tout, de nombreux chercheurs ont pris le parti de Flegal, qu’ils considèrent comme une illustration fidèle du « paradoxe de l’obésité ».

Etre en surpoids augmente le risque de diabète, de maladies cardiaques, de cancer et d’autres maladies chroniques. Mais selon ces chercheurs, certaines personnes – en particulier celles qui sont d’âge mûrs, ou déjà malades – peuvent bénéficier d’un peu de poids supplémentaire. De son côté, Willett estime que les données sont faussées par la présence dans ces cohortes de personnes ayant perdu du poids du fait de leur maladie, et qui sont donc plus susceptibles de mourir. Dans une étude, les chercheurs de Harvard ont en effet montré que lorsqu’on exclut les femmes fumeuses et celles qui sont mortes au cours des quatre premières années de l’étude il existe une relation linéaire directe entre l’indice de masse corporelle et le risque de décès.

Pour approfondir cette question très controversée, les chercheurs ont passé en revue 8 études qui ont comparé la santé de personnes obèses ou en surpoids et de personnes plus minces. Ces études ont inclus plus de 61 000 personnes en tout, suivies pendant 10 ans ou plus. Même sans hypertension, diabète ou autres problèmes métaboliques, les personnes obèses et en surpoids avaient des taux plus élevés de décès, de crises cardiaques et d’AVC par rapport à des personnes de poids normal : leur risque augmentait de 24 %.

Ceci va à l’encontre de l’idée que l’on puisse être obèse ou en surpoids et en bonne santé. En effet, au cours du temps, les facteurs de risque peuvent s’aggraver et des problèmes peuvent apparaître à long terme : on ne peut donc pas être en bonne santé avec un surpoids.

Un des problèmes liés à l’obésité est que les graisses qui touchent le foie sont particulièrement nocives ; elles interfèrent avec la fonction du foie et la sensibilité à l’insuline, ce qui contraint le pancréas à augmenter sa production d’insuline. Or des niveaux élevés d’insuline affectent d’autres hormones en cascade, ce qui cause l’inflammation. La solution : perdre du poids pour améliorer son état de santé général à long terme.

Source:

Caroline K. Kramer, Bernard Zinman, Ravi Retnakaran. Are Metabolically Healthy Overweight and Obesity Benign Conditions?A Systematic Review and Meta-analysis. Annals of Internal Medicine. 2013 Dec;159(11):758-769.

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D’après certaines études,  les personnes en léger surpoids vivraient plus longtemps que les autres.

Une idée reçue, battue en brêche par le Pr Walter Willett, président du département de nutrition de l’école de santé publique de Harvard.

Début 2013, des chercheurs Américains publiaient une large analyse sur le lien entre l’indice de masse corporelle (IMC) et la longévité dans le prestigieux journal médical Journal of the American Medical Association (JAMA). Les chercheurs concluaient que les personnes en surpoids et légèrement obèses vivent plus longtemps que celles d’un poids normal. L’information a immédiatement été reprise par l’ensemble des médias français qui y ont probablement vu une bonne occasion pour faire de l’audience avec un titre accrocheur puisque cela faisait maintenant plus de 10 ans que l’on conseillait, au contraire, de maintenir un poids normal pour vivre plus longtemps.

Nous avions nous même sur le site obesite-en-reseau, relayer cette information.

Face aux nombreuses réactions du public, l’école de santé publique de Harvard a décidé de constituer un panel d’experts dans le but de revoir l’ensemble des données existantes sur ce lien entre la mortalité et le poids corporel. Pour faire les choses avec la plus grande rigueur les chercheurs de Harvard ont invité Katherine Flegal, l’auteur de cette étude médiatique, à participer aux débats mais celle-ci a décliné l’invitation.

Le Pr Walter Willett, président du département de nutrition de l’école de santé publique de Harvard nous explique ici pourquoi les résultats de l’étude du Dr Flegal sont faux et extrêmement trompeurs.

Pourquoi est-ce que l’étude du Dr Flegal indique que les personnes en surpoids auraient moins de risques de mourir prématurément ?

Walter Willett : Le problème le plus sérieux dans le papier du Dr Flegal c’est que le groupe dont le poids était « normal » était représenté par un mélange de personnes sveltes et sportives, de fumeurs, de malades du cancer, de maladies qui provoquent une perte de poids ou de personnes âgées fragiles qui ont perdu du poids. Comme le groupe des personnes en surpoids ou obèses a été comparé à ce mélange de personnes malades et en bonne santé, cela a donné lieu à la conclusion erronée qu’être en surpoids est bénéfique et qu’une légère obésité ne présente pas de danger. De plus, comme l’étude du Dr Flegal n’a pas utilisé les données originelles des recherches, il n’y a pas eu de distinction entre les différents groupes d’âge et nous savons que le lien entre la mortalité et le surpoids est plus fort après 65 ans.

Pensez-vous que les statistiques sont précises ? Si non, pourquoi ?

Ces nouvelles statistiques sont complètement trompeuses pour quiconque souhaite connaître leur poids optimal. Comme expliqué plus haut, la raison fondamentale tient au fait que les auteurs n’ont pas fait de distinction entre les personnes minces en raison d’une maladie ou parce qu’elles sont actives et en bonne santé. Ceci va inévitablement amener à une conclusion fausse entre le surpoids et l’espérance de vie. Dit poliment, cette étude est un tas de déchets.

Devons-nous reconsidérer la définition du surpoids ? Est-ce que la classification des IMC est assez précise ?

L’étude du JAMA ne fournit aucune raison de redéfinir la notion de surpoids. Néanmoins, en plus de regarder l’IMC nous devons aussi regarder les variations de poids et de tour de taille dans le temps. Certains d’entre nous, en particulier les hommes, perdent du muscle et gagnent simultanément de la masse grasse au niveau abdominal en vieillissant. Cela peut se produire sans variation du poids corporel total mais c’est aussi un signe qu’il faut être plus actif et améliorer son alimentation.

Certaines personnes ont suggéré que le problème de cette étude provenait de l’IMC lui-même qui ne serait pas un bon indicateur de notre teneur en graisses. Que pensez-vous du calcul de l’IMC ?

Bien que l’IMC ne soit pas parfait, il est remarquablement fiable. Nous avons comparé la fiabilité de la mesure de l’IMC à d’autres mesures ultra précises du surpoids comme le scanner corporel DEXA et elles ne sont pas plus efficaces que l’IMC pour prédire les problèmes liés à l’obésité. Le problème dans l’étude du JAMA provient de la manière dont les données ont été traitées, pas de l’IMC lui-même.

Quelles différences y a-t-il entre cette étude et les autres qui se sont penchées sur la même question ?

Ces dernières années, deux autres analyses majeures ont été publiées, l’une dans le New England Journal of Medicine, et l’autre dans The Lancet, sur le lien entre le poids corporel et la mortalité. Ces études ont impliqué plus de 150 chercheurs et étaient largement plus fiables que celle du JAMA car ils ont combiné les données de plus de 70 études. Après avoir éliminé l’effet trompeur de certaines maladies sur le poids, ces deux études ont montré très clairement qu’être obèse ou en simple surpoids est associé à une mortalité plus élevée.

Donc, si on a 15 kilos en trop par rapport à son IMC idéal, faut-il essayer de les perdre ?

La majeure partie des personnes en surpoids ont gagné ces kilos progressivement à l’âge adulte et presque toutes souffrent d’anomalies métaboliques à cause de cela. Par conséquent, la majeure partie des personnes en surpoids vont bénéficier d’une perte de poids, même de 5% seulement. Encore plus important, pour ceux qui ont un poids normal, un gain de 3 kilos après l’âge de 20 ans est un signal qu’il faut faire plus attention à son activité physique et à son alimentation pour prévenir le surpoids.

Quel est votre conseil pour les personnes qui ont 25 kilos ou plus de trop ?

L’importance de ce surpoids est un danger majeur pour la santé et augmente grandement le risque de diabète de type 2, de maladies cardiovasculaires, de cancer, d’arthrose et d’autres maladies. Il est important de consulter un médecin pour voir quelle sera la meilleure approche mais dans la plupart des cas il s’agit de combiner une meilleure alimentation à une activité physique plus importante. Le travail en groupe est souvent bénéfique et dans quelques cas, l’ajout d’un traitement médicamenteux ou d’une opération chirurgicale peut être approprié.

Ce qu’il faut retenir c’est que l’étude du Dr Flegal est trompeuse et doit être ignorée par les professionnels de santé et le grand public. Les preuves qui relient l’obésité aux maladies métaboliques sont soutenues par des dizaines d’années de recherches. Maintenir un poids normal ou perdre du poids est clairement devenu quelque chose de compliqué dans notre environnement actuel mais suivre les conseils précédents pour garder la ligne peut vous aider à avancer en direction d’une meilleure santé.

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Aux Etats-Unis, les adultes obèses meurent 3,7 années plus tôt que ceux qui ont un poids normal.

L’obésité aurait bel et bien un impact sur la mortalité. C’est le principal résultat d’une étude parue dans l’American Journal of Public Health ayant analysé les statistiques nationales américaines.

L’obésité représente un facteur de risque de nombreuses maladies chroniques, comme le diabète, les cancers ou les maladies cardiovasculaires. Pourtant, certains ont prétendu qu’un surpoids pouvait être un gage de longévité.

Des chercheurs de l’université de New York ont passé en revue les données collectées aux Etats-Unis lors d’enquêtes entre 1988 et 1994, ainsi que des statistiques nationales portant sur l’année 2006. Selon ces données, l’obésité était associée avec au moins 20 % d’augmentation du risque de décès toutes causes confondues ou des décès par maladie cardiaque. Dans l’ensemble, les adultes obèses mouraient 3,7 années plus tôt que les personnes de poids normal, et 1,7 année plus tôt à cause d’une maladie cardiaque.

L’étude a également trouvé que le risque était le plus élevé chez les adultes obèses âgés de 45 à 64 ans : ils décédaient 7,1 années plus tôt, toutes causes confondues, et jusqu’à 12,8 années plus tôt à cause d’une maladie cardiaque.

Si ces résultats ne sont ni une surprise, ni une réelle découverte, les auteurs estiment en revanche que les recherches précédentes avaient sous-estimé l’impact de l’obésité sur la mortalité américaine.

 Source:

Ryan K. Masters, Eric N. Reither, Daniel A. Powers, Y. Claire Yang, Andrew E. Burger, and Bruce G. Link. The Impact of Obesity on US Mortality Levels: The Importance of Age and Cohort Factors in Population Estimates. American Journal of Public Health 2013 103:10, 1895-1901

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Dans les 6 mois qui suivent leur mariage, les jeunes mariées prendraient en moyenne 2 kg.

On dit souvent que le mariage fait grossir ces messieurs. Mais se marier n’arrangerait pas les problèmes de poids des femmes… D’après une étude parue dans la revue Body Image, les jeunes épouses prendraient environ 2 kg dans les six premiers mois de leur mariage.

Le mariage, et le bonheur conjugal en général, peuvent avoir une influence sur la santé. Ainsi, il a été montré récemment que les personnes mariées avaient une meilleure santé cardiaque.

Ici, des chercheurs de l’université de Flinders à Adelaide (Australie) ont étudié les variations de poids avant et après le mariage de 343 femmes recrutées sur un salon spécialisé. Les chercheurs les ont interrogées sur leur poids à trois moments : au moment du recrutement (343 femmes), un mois avant le mariage (130 femmes), et 6 mois après le mariage (112 femmes).

Résultats : Près de 50 % des jeunes mariées ont dit vouloir perdre du poids avant leur mariage. Pourtant, leur poids moyen n’a globalement pas évolué avant le grand jour.

Environ une femme sur 3 disait que son fiancé ou un membre de sa famille lui avait conseillé de perdre du poids avant le mariage.

Six mois après leur mariage, les participantes avaient pris en moyenne 2,1 kg ; celles qui avaient fait un régime pour perdre du poids avant leur mariage ont même pris significativement plus de poids une fois mariées : en moyenne 3,2 kg. Celles qui ont eu le plus de pression pour perdre du poids ont pris jusqu’à  4,5 kg ensuite.

Les chercheurs n’ont pas été étonnés de ces résultats : « En général, la prise de poids après le mariage n’est pas surprenante et peut être le résultat d’un relâchement dans les habitudes alimentaires et l’activité physique, lorsque les jeunes mariés n’ont plus un événement spécial – et des photographes du mariage – pour les motiver. Il est également possible que cette plus faible motivation pour maintenir son poids soit due au sentiment qu’auraient les participantes d’avoir « attrapé » leur moitié et donc de ne plus avoir à se préoccuper de leur apparence ».

Les auteurs signalent que les médecins devraient avoir conscience de ces problèmes de poids qui peuvent suivre un mariage. L’étude ne dit pas s’il en va de même pour les hommes mariés …

Source

Prichard I, Tiggemann M. Wedding-related weight change: The ups and downs of love. Body Image. 2014 Jan 15. pii: S1740-1445(13)00149-6. doi: 10.1016/j.bodyim.2013.12.005.

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Un rapport complet du ministère de la Santé pour 2013 parle de « l’épidémie en surpoids » dont souffre Israël.

50%  de la population adulte dans le pays est en surpoids ou obèse .

Le taux d’embonpoint est 50% plus élevé chez les hommes .

 

Chez les hommes juifs , les taux d’obésité et de surpoids sont les plus élevés dans le groupe des 45-64 ans , où ils atteignent 70 % de la population . 64%  des femmes juives âgées de 65 ans et plus sont en surpoids ou obèses .

L’ obésité et le surpoids diminuent en fonction du niveau d’éducation. Le taux d’obésité chez les Israéliens qui ont suivi un enseignement supérieur est de 24% inférieur à celui des Israéliens d’un niveau d’éducation moyen et 51 % plus faible que chez les Israéliens d’un faible niveau d’éducation.

L’obésité est un sujet sensible chez les enfants aussi, avec une augmentation progressive de l’ampleur du phénomène chez les enfants de 5 à 11 ans. D’autre part , une baisse modérée a été enregistrée chez les 9-12 ans . Le plus haut taux de surpoids et d’obésité a été trouvé chez les 13-15 ans , qui atteint 30,7 %.

Les résultats ont démontré, que les enfants issus de famille ultra-orthodoxes et bédouines seraient en sous poids et présenteraient de réels problèmes de croissance. Les chercheurs trouvent une explication à cela et rappellent que ces deux populations sont les plus pauvres d’Israël. Ce sont aussi celles où l’on trouve le plus grand nombre d’enfants par famille. Ils soulignent par ailleurs que  »le nombre élevé d’enfants dans la famille et les écarts d’âge entre frères et sœurs peuvent affecter la croissance des enfants ».

Outre les différences de mode de nutrition, les chercheurs évoquent les conditions de vie des enfants bédouins et haredi. Moins sédentaires, ils passent moins de temps devant leurs écrans de télévisions et d’ordinateurs et privilégient les déplacements à pieds plutôt que d’utiliser les transports.

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Une étude américaine fait le lien entre le surpoids des enfants et la présence d’une télévision dans leur chambre. Même s’ils la regardent peu, elle aurait un impact direct sur leur Indice de masse corporelle (IMC).

Les enfants ayant une télé dans leur chambre seraient plus susceptibles de développer des troubles du comportement alimentaire.

Regarder la télévision peut être nocif pour la santé, c’est un fait connu des scientifiques depuis plusieurs années. Alors quand elle squatte la chambre de vos enfants, il y a péril en la demeure, et pas seulement pour la violence qui y est diffusée. En cause, le surpoids qu’elle engendrerait chez les plus jeunes. Une étude américaine publiée dans le journal médical Jama Pediatrics révèle en effet que les enfants qui ont une télé dans leur chambre seraient en moyenne plus gros que les autres.

Les chercheurs de l’Université de Dartmouth, aux Etats-Unis, ont analysé les données récoltées lors d’un sondage téléphonique sur près de 3 055 enfants âgés entre 10 et 14 ans et de leurs parents pour parvenir à cette conclusion. 60 % d’entre eux étaient équipés d’une télé dans leur chambre. Résultats : ces derniers pèsent en moyenne 400 grammes de plus que ceux qui n’en ont pas. Autre fait : ceux qui ont installé un écran dans leur chambre ont vu leur IMC (Indice de masse corporelle) augmenter d’un demi point en deux ans et de 0,75 point en quatre ans par rapport à ceux qui en étaient épargnés.

Les troubles du sommeil engendrent un surpoids

Les chercheurs notent toutefois que le temps passé devant l’écran n’influerait pas sur cette prise de poids. En cause : le sommeil, perturbé par la télé, mais aussi par l’utilisation des tablettes et des smartphones, de plus en plus accessibles aux plus jeunes. Or, on sait que le sommeil a un impact direct sur la prise de poids, quel que soit l’âge. Autre élément déclencheur, les publicités alimentaires dont ils sont les cibles privilégiées, qui vantent bien souvent la consommation de produits riches en calories.

En 2007, des chercheurs américains avaient publié les 7 règles d’or pour lutter contre l’obésité infantile. Dans ce pays où l’obésité est un problème sanitaire porté par la Première dame Michelle Obama, 8 % des enfants âgés de 2 à 5 ans sont obèses (chiffre en diminution). En France, en 2012, l’obésité et le surpoids concernaient respectivement 3,5 % et 4,5 % des enfants, selon l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes). Un enjeu de taille, alors que chaque année, l’obésité tuerait dans le monde plus de 3 millions de personnes victimes de diabète, hypertension artérielle et autres pathologies liées au surpoids. La malnutrition, elle, ne ferait « que », un million de morts.

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De 1985 à 2011, le taux d’obésité est passé de 6 à 18% au pays.

Le taux d’obésité a triplé au Canada en l’espace de 25 ans, selon une étude réalisée par des chercheurs de l’Université Memorial de Terre-Neuve.

De 1985 à 2011, le taux d’obésité est passé de 6 à 18 % au pays. La recherche indique aussi que 21 % des Canadiens seront obèses en 2019.

Certaines provinces sont plus touchées que d’autres, notamment Terre-Neuve et Labrador, le Nouveau-Brunswick et la Nouvelle-Écosse. En revanche, la Colombie-Britannique et le Québec affichent les taux les plus bas.

Les résultats de ces travaux ont été publiés dans la revue scientifique Canadian Medical Association Journal.

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Du fait du long pont du premier week end du mois de juin, la 2° édition de la ROSA de Béziers aura lieu le dimanche 15 juin 2014 à 14h.

Le concept sera identique à celui de la première édition: à savoir, parcourir la distance maximale en 1 heure de marche rapide.

Réservez votre date  !!!

Dr BUENOS

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La première réunion des « amis de rosa » aura lieu le jeudi 27/02/2014 à 19h à la maison de la vie associative de Béziers (rue général Margueritte 34500 Béziers).

Les patients du réseau ROSA sont invités à y assister.

Lors de cette réunion nous établirons les premières adhésions (et leurs encaissements …) et le programme des actions de l’association sera exposé (et enrichi de vos suggestions)

Le bureau des « amis de rosa ».

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