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Informations générales

Le taux d’obésité chez les adultes américains n’a diminué dans aucun État en 2013, alerte le rapport annuel de l’organisation « Trust for America’s Health » (TFAH), rédigé en collaboration avec le Robert Wood Johnson Foundation. Il a augmenté dans 6 États : Alaska, Delaware, Idaho, New Jersey, Tennessee, et Wyoming.

L’épidémie d’obésité tend à ralentir (en 2005, les taux avaient augmenté dans tous les États sauf un), mais elle reste très préoccupante.

Les taux d’obésité dépassent pour la première fois 35 % dans 2 États, Mississippi et West Virginia, ils avoisinent 30 % dans 20 États, et ne sont nulle part sous la barre des 21 % – Le Colorado ayant le plus faible taux à 21,3 %. En France, il est de 12,5 % selon un rapport de l’OCDE (2014).

 Quelque 6 % des adultes souffrent d’obésité sévère ; un chiffre qui a quadruplé au cours des 30 dernières années.

L’Américain moyen pèse 11 kg de plus qu’en 1960.

Quelques progrès chez les enfants

Entre 2008 et 2011, 18 États ont observé une diminution des taux d’obésité chez les enfants issues de familles à bas revenu. Néanmoins, près d’un enfant sur trois entre 2 et 19 ans est en surpoids ou obèse, une proportion qui reste stable depuis 10 ans. Plus d’un enfant sur 10 devient obèse entre 2 et 5 ans et 5 % de la tranche des 6-11 ans pâtit d’obésité sévère.

Le rapport met en lumière de grandes disparités géographiques, financières, ethniques et sociales. Ainsi, les taux d’obésité sont plus élevés dans le Sud qui regroupe 9 des 10 premiers États du classement.

L’obésité touche plus les Afro-Américains (taux moyen de 47,8 %), les Hispaniques (42,5 %), que les Blancs (32,6 %) .

Plus de 33 % des adultes qui gagnent moins de 15 000 dollars par an sont obèses, contre 25,4 % de ceux qui gagnent plus de 50 000 dollars.

Ces inégalités se retrouvent chez les enfants : les taux d’obésité sont de 22,4 % chez les Hispaniques, de 20,2 % chez les Afro-Américains, et de 14,1 % chez les Blancs.

 

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Une étude américaine révèle que les adolescents en manque de sommeil ont plus de risques de devenir obèses. On recense une hausse des problèmes cardiaques, de dépression et d’obésité chez les jeunes qui ne dorment pas assez.

Le sommeil des jeunes est primordial.

Le sommeil est utile pour le corps humain et permet la régénérescence des cellules. Malheureusement, les insomnies touchent plus de 20% de la population adulte de cette planète.

Les scientifiques de l’Université de Columbia ont décrypté le mode de vie de 10 000 jeunes de 16 à 21 ans. Les résultats sont sans appel : ceux dormant moins de 6 heures par nuit augmentent de 20% leur risque de devenir obèse à l’âge adulte. Un résultat qui fait froid dans le dos. « Nous voulons adresser un message aux parents. Ils doivent s’assurer que leurs ados dorment plus de huit heures par nuit« , explique le professeur Suglia. « Car, une bonne nuit de sommeil est non seulement bénéfique pour leur concentration à l’école, mais elle leur permet aussi de devenir des adultes bien-portants ».

 

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Préparez votre rentrée , soyez en pleine forme..…..

une sortie vélo est programmée le dimanche 24 aout 2014
Rendez vous au parking de la CAMERON à 10h

au plaisir de vous y retrouver ….

 

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Une molécule vient d’être identifiée comme permettant de réduire les maladies métaboliques chez des obèses lorsqu’elle est inhibée. Une découverte prometteuse qui pourrait aboutir à de nouveaux traitements.

Un fort taux d’hème oxygénase HO-1 serait relié à un risque accru de maladie métabolique (diabète, cholestérol) chez les obèses, d’après une nouvelle étude de l’Université de Vienne (Autriche).

L’hème oxygénase est une enzyme qui permet la dégradation de l’hème, molécule fixant l’oxygène, dans les globules rouges du sang notamment.

Des chercheurs se sont intéressés aux inflammations métaboliques, vecteurs de maladies métaboliques chez les obèses. Ils ont alors constaté que certaines personnes obèses étaient en meilleur santé au niveau de leur métabolisme que d’autres.

Cette inégalité s’expliquerait par des taux différents de molécule HO-1 : les obèses avec des problèmes métaboliques en auraient davantage que les autres.

Les chercheurs ont en effet constaté que le foie et les biopsies de patients obèses présentant une résistance à l’insuline (trouble métabolique menant au diabète de type 2) contenaient des taux plus élevés de HO-1 que la normale.

Afin d’appuyer cette découverte, les scientifiques ont supprimé le gène HO-1 dans des cellules immunitaires du foie de souris. Ils ont alors observé que les signes d’inflammation diminuaient, appuyant l’hypothèse selon laquelle HO-1 favorise l’inflammation et par là-même les problèmes métaboliques.

Ces résultats pourraient donc, s’ils sont confirmés par d’autres études, permettre de mettre au point un traitement, basé sur l’inhibition de HO-1.

La molécule HO-1 pourrait également servir de marqueur afin d’évaluer l’obésité et de déterminer si celle-ci est métaboliquement saine ou à risque.

Source:

Heme Oxygenase-1 Drives Metaflammation and Insulin Resistance in Mouse and Man, publié le 3 juillet 2014 dans la revue scientifique Cell

 

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Infographie des pays qui consomment le plus de calories

Apport calorique journalier

Le site Irlandais Evoke a publié l’infographie des calories quotidiennes ingérées dans les différents pays. Pas de suspense concernant les gagnants, ce sont les États-Unis qui figurent en pôle position avec plus de 3770 calories par jour par personne. Une chiffre considérable mais qui ne surprend pas quand on sait que plus de deux américains sur cinq sont touchés par le diabète. Le Congo arrive à la fin du classement. Touchés de plein fouet par la pauvreté, les Congolais ne consomment que 1590 calories par jour. La France, elle, ne figure pas dans le Top 12 mais nos voisins Italiens et Anglais ne sont pas des exemples à suivre car ils figurent en troisième et sixième position. On rappelle qu‘en moyenne, une femme doit consommer par jour 2000 calories et 2400 pour les hommes.

 

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Sept millions d’obèses en France et 5% de plus par an.

Aux États-Unis, 33% des adultes sont en surpoids.

Au total dans le monde on compte 1 milliard et demi de personnes en surpoids alors que les mal-nourris sont 1 milliard. Une inversion historique.

Aujourd’hui, le gros c’est le pauvre, le mince c’est le riche.

L’obésité c’est la faute de l’obèse, bien sûr, incapable de se contrôler. En vérité l’obésité est liée à des facteurs comme la surconsommation imposée par tous les moyens. Un enfant américain est en moyenne exposé à 25 000 spots télés chaque année, dont plus de 5 000 consacrés à l’alimentation. Du coup, l’industrie de la minceur est un business florissant surtout en direction des femmes. La grosse rapporte gros ! Sommes-nous bien sûrs de vouloir ce monde-là ?

Emission diffusée sur France Inter, dans « La-bas si j’y suis » de Daniel Mermet.

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L’obésité touche de plus en plus d’adultes au Luxembourg.

Selon les nouvelles statistiques de l’OCDE sur la santé 2014 parue le 30 juin 2014, les dépenses de santé ont recommencé à augmenter dans de nombreux pays de l’OCDE après avoir stagné, voire reculé, pendant la crise. Mais le taux des dépenses reste inférieur à celui avant la crise, notamment en Europe.

Le Luxembourg s’en sort bien puisque l’ensemble des dépenses liées à la santé y représentaient 7,1% du PIB en 2012. C’est bien moins que la moyenne de 9,3% des pays de l’OCDE.

C’est aux États-Unis (16,9%), aux Pays-Bas, en France et en Suisse que les dépenses de santé par rapport au PIB sont les plus élevées.

A noter qu’au Luxembourg, 84% des dépenses de santé étaient financées par des fonds publics en 2012. C’est largement plus que la moyenne de 72% des pays de l’OCDE.

Comme dans plusieurs pays européens, les dépenses de santé au Luxembourg ont diminué en termes réels (c’est-à-dire hors inflation) en 2010, 2011 et 2012, soit d’environ 2% par an. Un phénomène qui s’explique notamment par une réduction des dépenses de médicaments d’environ 5% par an en termes réels en 2010, 2011 et 2012.

Le phénomène de l’obésité

L’espérance de vie au Luxembourg était de 81,5 ans en 2012. Soit plus d’un an de plus que la moyenne des pays de l’OCDE (80,2 ans). C’est au Japon qu’elle reste la plus élevée (83,2 ans). A noter qu’elle est de 82,8 ans en Suisse.

En revanche, les problèmes d’obésité ont considérablement augmenté au cours des dernières décennies dans la plupart des pays. Et le Luxembourg n’a pas été épargné par ce phénomène. Le taux d’obésité parmi la population adulte a progressé de 16,3% en 2000 à 23% en 2012.

Bien que ce taux reste moins élevé qu’aux États-Unis (35,3% en 2012) et au Royaume-Uni (24,7%), cette forte augmentation de la population obèse devrait entraîner un accroissement des maladies chroniques qui y sont liées comme le diabète et les maladies cardiovasculaires. Mais aussi un accroissement des dépenses de santé dans les années à venir.

La proportion d’adultes qui fument régulièrement a diminué dans la plupart des pays de l’OCDE au cours de la dernière décennie. En 2012, 17% des adultes au Luxembourg déclaraient fumer quotidiennement, une forte diminution par rapport à 26% en 2001. Ce pourcentage est maintenant inférieur à la moyenne des pays de l’OCDE (21%).

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Surpoids et obésité n’épargnent pas les rangs de l’armée royale britannique. 11 % des troupes en service depuis 2011 ont échoué aux tests physiques semestriels, selon le Sunday Times.

« Trop gros pour combattre », titre le Sunday Times. Selon des chiffres obtenus par le journal britannique, plus de 32 000 membres de l’armée royale sont en surpoids ou à risque de maladies liées au mode de vie (diabète de type 2, hypertension artérielle, maladie cardiaque). Une mauvaise forme métabolique qui impacte directement les capacités physiques de ces personnes censées être irréprochables.

 13 licenciements pour obésité.

L’armée britannique se montre pourtant très stricte : deux fois par an, chaque soldat se soumet à un bilan personnel. Les moins de 30 ans doivent effectuer 44 pompes en deux minutes, 50 abdominaux en deux minutes, et courir 2,5 km en 10 minutes 30. Les exigences sont revues à la baisse à mesure que l’âge augmente. Réussir ce test est impératif, et ceux qui échouent doivent le repasser dans les 7 jours sous peine de sanctions ou de licenciement. Mais depuis 3 ans, ils sont 29 600 hommes et 2 819 femmes à avoir échoué au test semestriel, soit 11 % des troupes en service sur cette période selon le ministère de la Défense. Pire : ils sont même 13 à avoir dû quitter l’armée en 2011 en raison de leur obésité.

Des repas trop riches

Les aliments proposés au mess sont le premier problème, selon un officier. « Une partie du problème réside dans le régime effroyable adopté par de nombreux soldats », confie-t-il au Sunday Times. « Ils peuvent manger des salades et des plats pauvres en calories, mais ils peuvent aussi choisir un petit-déjeuner complet, des frites au déjeuner, des frites au dîner, et un pudding indigeste ensuite. » Sans compter que les membres de l’armée peuvent, s’ils le souhaitent, manger tôt et retourner chercher un en-cas au mess.

Ces révélations choquent le Pr David Haslam, du National Obesity Forum, interrogé par le Sunday Times : « J’aurais cru que c’était le travail de l’armée de les garder en forme quelles que soient les circonstances et, s’ils ne le sont pas, de les rendre en forme. »

Des emplois « pépères »

Mais l’alimentation n’est pas la seule coupable. Un ancien instructeur physique au sein des Coldstream Guards souligne que l’armée n’est pas composée que de combattants : « Un grand nombre de soldats ont un emploi pépère dans l’armée, et laissent de côté l’entraînement physique, ce qui pourrait expliquer pourquoi ils échouent au test », souligne Matthew White. Et le phénomène n’est pas isolé : 10 % de l’armée sud-africaine serait en surpoids ou obèse. En France, une thèse présentée en 2012 signalait qu’au sein des gendarmes et de la garde républicaine en Île-de-France, le surpoids atteignait 38 % et l’obésité 8 %. L’armée américaine, elle, combat avec fermeté obésité et surpoids.

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Nous avons mis en place un numéro de téléphone unique pour toutes les demandes de renseignement et pour les demandes de rdv par sms :

ce numéro est le 06 52 40 29 79.

Pour pouvoir poser aux intervenants du réseau ROSA toutes vos questions, et si pour une quelconque raison, vous ne souhaitez pas poser votre question sur le blog, nous mettons à votre disposition une adresse mail :

reseaurosa34@gmail.com

Nous  espérons ainsi centraliser toutes vos demandes de renseignements plus efficacement. Et nous pourrons donc y répondre plus facilement

Cordialement

Dr BUENOS

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Tous les patients et les patientes qui sont intéressées par la seconde peau peuvent nous laisser un mail à l’adresse suivante  : buenos37@gmail.com en précisant leur poids, leur taille, leur situation par rapport à une chirurgie bariatrique (déja opérée, opération programmée, ne souhaitant pas d’opération ou ne remplissant pas les conditions pour être opérés).

Merci de préciser dans ce mail un numéro de téléphone et vos disponibiltés pour être joints.

Nous entrerons en contact avec vous.

Le DVD sur la seconde peau doit arriver comme prévu.

Il commencera à être expédié aux personnes qui l’ont commandé à partir du 15 mai 2014, comme prévu.

 

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