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Vous vous réveillez au milieu de la nuit et n’arrivez pas à vous rendormir aussitôt. Avez-vous intérêt à vous lever ou rester au lit ?

Tourner dans son lit quand le sommeil ne vient pas, est-ce la bonne stratégie pour se rendormir ?

Voici quelques éléments de réponse puisés aux meilleures sources.

Se lever ou pas ?

Les spécialistes conseillent d’attendre 15 à 30 minutes au plus avant de se lever, sans garder le regard rivé sur le réveil, car c’est le meilleur moyen de prolonger l’état de veille. Donc, il est préférable de ne pas consulter sa montre ou son réveil, et d’estimer « à la louche » le temps passé au lit. Si après 30 minutes environ vous êtes toujours éveillé(e), médecins du sommeil et chercheurs conseillent de se lever.

Que faire une fois debout ?

Selon le Dr Clete Kushida (université de Stanford), neurologue et principal investigateur de nombreuses études sur le sommeil pour les Instituts nationaux de la santé des Etats-Unis (NIH), « la chambre est faite pour dormir ». Il recommande donc de la quitter et de passer dans une autre pièce pour une activité modérément divertissante mais calme. Les études conduites aux NIH montrent que les activités suivantes permettent souvent de retrouver le sommeil :

  • Lire
  • Ecouter de la musique
  • Méditer
  • Se relaxer

 

A l’inverse, les activités qui suivent sont susceptibles de torpiller pour de bon l’envie de dormir :

  • Allumer la télé
  • Consulter son smartphone ou son ordinateur
  • Sortir pour marcher

Ces activités, dit le Dr Kushida, sollicitent les centres de la vigilance et de l’éveil et s’opposent donc au retour du sommeil.

En plus, ajoute le Dr Richard Wurtman (MIT, Cambridge), la lumière que génèrent les écrans de la télé, de l’ordinateur ou du téléphone fait chuter la mélatonine, une hormone sécrétée la nuit qui favorise le sommeil. D’une manière générale, il recommande d’éviter toute lumière vive et directe lorsqu’on se lève la nuit.

Manger ou pas ?

S’il est déconseillé de vider le frigo quand on s’est levé, un petit en-cas est possible. La mélatonine est synthétisée par les cellules nerveuses à partir de la sérotonine, un messager chimique du cerveau associé au relâchement. La sérotonine est elle-même fabriquée à partir de tryptophane, un acide aminé (constituant des protéines alimentaires). On peut donner un petit coup de pouce à cette synthèse en avalant un biscuit, estime Richard Wurtman. Les glucides que renferment les biscuits favorisent le passage du tryptophane dans le cerveau et la synthèse de sérotonine. Le surcroît de sérotonine et de mélatonine peut favoriser le retour du sommeil.

Kushida CA. Countermeasures for sleep loss and deprivation. Curr Treat Options Neurol. 2006 Sep;8(5):361-6. PubMed PMID: 16901375.

Wurtman RJ, Wurtman JJ, Regan MM, McDermott JM, Tasay RH, Breu JJ. Effect of normal meals rich in carbohydrates or proteins on plasma tryptophan and tyrosine ratios. Am J Clin Nutr 2003;77:128–32.

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Une campagne visant à lutter contre l’obésité a déclenché une polémique aux États-Unis.

Aux États-Unis, une campagne visant à lutter contre l’obésité fait actuellement polémique. Elle est composée de deux spots de prévention à l’attention des habitants de l’état du Minnesota, un état particulièrement touché par le problème de l’obésité puisque les 2/3 des habitants y sont en surpoids.

Dans le premier clip, on peut voir une mère faire les courses dans un supermarché et remplir son caddie d’une grosse quantité de nourriture trop grasse, trop salée ou trop sucrée, voire tout ça à la fois. Derrière elle, sa fille âgée de 7 ou 8 ans l’imite. Quand sa génitrice s’en rend compte et que son regard s’assombrit alors qu’elle prend conscience de ce que fait son enfant, un slogan apparaît à l’écran :

« Aujourd’hui est le jour où nous devons donner le bon exemple à nos enfants. »

Cliquez sur le lien ci-dessous pour voir la vidéo :

Spot sur la responsabilité maternelle

Dans le second, deux pré-adolescents discutent dans un fast-food en attendant leur commande. Ils vantent chacun la capacité de contenance de l’estomac de leurs pères et se battent verbalement pour savoir lequel des deux mangent le plus. Le paternel de l’un des deux enfants arrive juste à temps, avec son plateau plein à craquer, pour entendre son fils dire, tout fier : « Quand je serai grand, je mangerai deux fois plus ! »

Ce genre de discours vise à faire prendre conscience aux parents qu’ils ne devraient pas montrer le mauvais exemple à leur progéniture. Dans ces cas-là, les personnes à l’initiative de cette campagne tirent sur une corde facile : la culpabilité.

Si ce type de procédé passe plutôt bien en France, la réalité est toute autre aux États-Unis.

Les Américains insistent énormément sur leur liberté. Ça fait partie d’eux, c’est dans leur culture : ils n’aiment pas qu’on leur impose les choses, qu’on leur donne l’impression de s’incruster dans leur vie pour faire changer leurs habitudes.

Cette campagne s’immisce dans la vie de l’Américain moyen pour lui faire la leçon et le culpabiliser sur le mode de :

« Eh ? C’est pas parce que t’es gros que ton enfant doit l’être, fais gaffe, un peu. »

Une campagne blessante et culpabilisante ?

la critique la plus récurrente en ce qui concerne cette campagne vient du fait qu’elle pointe les parents et leur potentielle irresponsabilité du doigt au lieu de dénoncer le fait que les aliments les moins chers sont surtout les moins sains et qu’il faut régler ce problème avant de rejeter la faute sur les parents.

Cependant, pour le Dr Marc Manley, vice-président de Blue Cross et directeur exécutif de la branche prévention de l’organisme, l’aspect culpabilisant de cette campagne était une nécessité :« Ce qui m’a convaincu, c’est une étude qui a démontré que la génération actuelle d’enfants [dans le Minnesota] aura une espérance de vie plus courte que celle de leurs parents. C’est la première fois qu’on prévoit un tel phénomène aux États-Unis, et l’obésité en est la principale cause« , explique-t-il à The Atlantic.

 

Le surpoids et l’obésité sont des sujets importants aux États-Unis : le souci, c’est que certaines des personnes ciblées par cette campagne ont eu l’impression qu’on leur fait de plus en plus comprendre que le problème, c’est eux. Avec la prise de conscience du gouvernement et la campagne Let’s Move lancée par Michelle Obama, ce genre d’initiatives risque d’être de plus en plus fréquent au pays de Nicki Minaj. Mais un juste milieu doit être trouvé entre la volonté de faire opérer une prise de conscience sans pour autant blesser et faire culpabiliser les personnes concernées.

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Selon un rapport alarmant de la Trust for America’s Health et de la Fondation Robert Wood Johnson, publié par l’édition américaine du Huffington Post, près de la moitié des Américains seront obèses d’ici à 2030.

Treize Etats américains pourraient même voir leur taux d’obèses atteindre 60 % !

En 1990, l’obésité touchait 12 % des Américains, pour atteindre 23 % en 2005 et 35,7 % entre 2009 et 2010.

Le Mississippi pourrait avoir le taux le plus élevé avec 66,7 % d’obèses, le Colorado n’atteindrait que 44,8 %.

« Avec 6 millions de nouveaux cas de diabète, 5 millions de problèmes cardiaques, et plus de 400 000 cas de cancers dans les vingt prochaines années, nous sommes dans une course tragique qui aura un impact horrible sur la qualité de vie de millions d’Américains, et qui pourrait noyer un système de santé déjà au bord de l’implosion », a estimé Jeff Levi, directeur exécutif de la Trust for America’s Health.

Ce rapport préconise un rôle accru des Etats dans la politique de prévention et de soin de l’obésité.

Le coût pour le système de santé américain, notamment des programmes de prévention contre l’obésité, pourrait passer de 48 milliards à 66 milliards de dollars sur les deux prochaines décennies.

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Un homme de 48 ans pesant plus de 300 kg a dû être évacué de son logement par la fenêtre, à Cazères, pour être hospitalisé. La façade de l’immeuble a dû être cassée.

«Je ne suis pas sorti de cette pièce depuis plus de deux ans». Une vingtaine de sapeurs-pompiers ont dû intervenir, pour évacuer, par la fenêtre, Jérôme*, 48 ans, un homme pesant 320 kg, de son petit appartement du centre ville de Cazères-sur-Garonne. Cet ancien chef d’entreprise souffre d’«obésité morbide». «J’ai besoin d’une hospitalisation ce soir», a-t-il expliqué depuis le lit médicalisé qu’il ne quitte plus. Il n’avait jamais envisagé de quitter le logement qu’il occupe avec Gauthier, son fils de 18 ans. «Mais mon état de santé s’est dégradé avec les grosses chaleurs de l’été.»

Dans le petit T2, un maçon a démoli littéralement la façade du 2e étage de l’immeuble sous les yeux des riverains, car ne passant pas par les escaliers, la fenêtre a dû être élargie pour permettre son évacuation.

Plus qu’un handicap, son surpoids est une souffrance quotidienne.

Après l’intervention des pompiers et du SAMU, Jérôme a été conduit à l’hôpital Larrey de Toulouse afin de soigner son problème d’obésité et son insuffisance respiratoire.

*Prénom d’emprunt

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Titre: Séance de sophrologie en groupe
Lieu: Espace >Renaissance – 2°étage – Clinique CHAMPEAU
Description: Séance de sophrologie en groupe avec Clarisse SIMON le lundi 01 Octobre 2012 de 19 h à 20 h
S’inscrire directement auprès de Clarisse SIMON au 06 98 28 61 70
tarif : 12 euros la séance
Heure début: 19:00
Date: 2012-10-01
Heure fin: 20:00

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Nous organisons le premier groupe de parole de la branche biterroise du réseau ROSA le lundi 24 Septembre 2012 à 19h à l’Espace Renaissance (RDV bureau du Dr BUENOS, 2° étage de la clinique CHAMPEAU).

Cette rencontre, gratuite, à laquelle vous êtes conviés, permettra d’aborder les sujets de votre choix, et sera également l’occasion de rencontrer et mieux connaitre les membres du réseau.

Clarisse SIMON, la sophrologue, vous parlera des séances de sophrologie de groupe qu’elle met en place.

Marie Laure Mabilat vous parlera de se nouveaux ateliers.

Le Dr BUENOS vous expliquera le parcours chirurgical pour ceux et celles qui sont intéressés et éligibles à une prise en charge chirurgicale.

 

On compte sur votre présence

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Une étude menée par une équipe de Français révèle l’hypertoxicité des OGM, qu’ils ont étudié en secret pendant deux ans sur des rats nourris au maïs transgénique. Les 200 rongeurs ont été progressivement décimés par des tumeurs et des pathologies lourdes.

« C’est une véritable bombe que lance, ce 19 septembre à 15 heures, la très sérieuse revue américaine « Food and Chemical Toxicology » – une référence en matière de toxicologie alimentaire – en publiant les résultats de l’expérimentation menée par l’équipe du français Gilles-Eric Séralini, professeur de biologie moléculaire à l’université de Caen. Elle pulvérise en effet une vérité officielle : l’innocuité du maïs génétiquement modifié”, affirme Le Nouvel observateur.com, qui révèle les résultats d’une étude menée secrètement pendant deux ans sur 200 rats nourris au maïs transgénique. Tumeurs, pathologies lourdes, une véritable hécatombe. .

Cette étude, explique le site, révèle que même à faible dose, l’OGM étudié est lourdement toxique et même souvent mortel pour les rats. La toxicité est telle que s’il s’agissait d’un médicament, il devrait être suspendu “séance tenante” pour de nouvelles investigations.

La recherche commence en 2006 sous la houlette de Gilles-Eric Séralini, dans des conditions de quasi clandestinité pour se prémunir contre les attaques des multinationales de semence. Aujourd’hui, le maître d’œuvre divulgue lui-même les conclusions dans un ouvrage à paraître la semaine prochaine (« Tous cobayes ! », Flammarion, en librairie le 26 septembre). Nom de code de l’opération : “in vivo”.

Elle commence par la récupération délicate de semences de maïs OGM NK 603, propriété de Monsanto, par le truchement d’un lycée agricole canadien. Suit, la sélection de 200 rats de laboratoires dits “Sprague Dawley”. Bilan : « Après moins d’un an de menus différenciés au maïs OGM, confie le professeur Séralini, c’était une hécatombe parmi nos rats, dont je n’avais pas imaginé l’ampleur ». Selon le site de l’hebdomadaire, “tous les groupes de rats, qu’ils soient nourris avec le maïs OGM traité ou non au Roundup ( l’herbicide de Monsanto) ou encore alimentés avec une eau contenant de faibles doses d’herbicide présent dans les champs OGM, sont frappés par une multitude de pathologies lourdes au 13e mois de l’expérience”.

Chez les femelles, cela se manifeste par des explosions en chaine de tumeurs mammaires qui atteignent parfois jusqu’à 25% de leur poids. Chez les mâles, ce sont les organes dépurateurs, le foie et les reins, qui sont atteints d’anomalies marquées ou sévères. Avec une fréquence deux à cinq fois plus importante que pour les rongeurs nourris au maïs sans OGM. Au début du 24° mois, c’est-à-dire à la fin de leur vie, de 50% à 80% des femelles OGM sont touchées contre seulement 30% chez les non-OGM. La précocité de l’apparition des tumeurs chez les rongeurs correspondrait, à titre de comparaison (un an pour un rongeur), à environ l’équivalent d’une quarantaine d’années pour un homme.

Dans un livre à paraître le vendredi 21 septembre (La vérité sur les OGM, c’est notre affaire, Editions Charles Léopold Mayer), c’est forte de ces conclusions que Corinne Lepage, ex-ministre de l’Ecologie et première vice-présidente de la commission Environnement, Santé publique et Sécurité alimentaire à Strasbourg, entend exiger des comptes auprès des politiques et des experts, français et européens, des agences sanitaires et de la Commission de Bruxelles. Ils se sont en effet longtemps opposés et par tous les moyens au principe d’une étude de longue durée sur l’impact physiologique des OGM. Corine Lepage mène cette recherche depuis quinze ans au sein du Criigen (Comité de recherche et d’information indépendantes sur le génie génétique), avec le Dr. Joël Spiroux, un généraliste normand et Gilles-Eric Séralini. Une “simple association 1901”qui a pourtant été capable de réunir de bout en bout les fonds de cette recherche (3,2 millions d’euros) que ni l’Inra, ni le CNRS, ni aucun organisme public n’avait jugé judicieux d’entreprendre, salue le journal. En sollicitant notamment, ce qui n’est pas le moindre des paradoxes, les patrons de la grande distribution (Carrefour, Auchan) qui cherchent à se prémunir d’une nouvelle affaire de la vache folle.

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C’est la passionnante question soulevée par une revue d’études internationales (cf lien ci dessous).
On en est pas encore au vaccin, loin de là, mais c’est une piste intéressante aussi pour l’approche psy dans la notion d’acceptation de soi: Mon problème a peut être tout simplement une origine biologique, je n’ai pas à m’en culpabiliser mais à chercher les solutions avec l’aide de la communauté de ceux qui en souffrent et des soignants.

http://chronimed.over-blog.com/article-l-obesite-est-elle-une-maladie-infectieuse-108787919.html

Dhurandhar NV et coll. : Is obesity caused by an adenovirus? Expert Rev Anti Infect Ther., 2012 ; 10 : 521-524.

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Il arrive fréquemment que l’on souhaite avoir l’avis ou les conseils d’autres membres du réseau, ou que l’on souhaite s’exprimer sur un sujet particulier, sans trouver l’endroit sur le site pour le faire.

Cet article permettra aux patientes et patients du réseau de le faire.

Exprimez vous.

Echangez vos impressions, idées ou suggestions …..

 

 

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En cas d’obésité, le risque de développer un second cancer du sein est majoré de 37 à 40 %.

Une étude franco-britannique publiée dans la revue Breast Cancer Research and Treatment, vient de démontrer que le surpoids et l’obésité, présent lors du diagnostic d’un premier cancer du sein, augmente le risque d’en développer un second (qui n’est pas une récidive du premier), localisé dans l’autre sein ou le même, mais aussi dans l’endomètre (muqueuse de l’utérus) ou le colon-rectum.

L’obésité, lors du diagnostic d’un cancer du sein, est associée à une augmentation très significative du risque de développer un second cancer :

le risque de développer un second cancer du sein est augmenté de 37 à 40 %.

Le risque de développer un cancer de l’utérus est augmenté de 96 %.

Le risque de développer un cancer colo-rectal est augmenté de 89 %.

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