traduction du site en :

Evénements

Décembre  2024
Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
   
  1
2 3 4 5 6 7 8
9 10 11 12 13 14 15
16 17 18 19 20 21 22
23 24 25 26 27 28 29
30 31  

Dr Patrick BUENOS

Page 1 sur 8212345102030Dernière page »

 

Au delà de la préparation et du suivi classique, Bariateam propose

 

—————— Séminaire Digital ——————

—————    du 12 au 14 février 2021   ——————

 

 

12h d’ateliers, d’échanges autour de la chirurgie, avec Agathe patiente-experte et Anne Gaelle COUROUBLE (psychologue spécialisée dans la chirurgie bariatrique).

 

L’objectif :

  • avoir un temps d’introspection, une parenthèse pour soi
  • profiter de la dynamique d’un petit groupe (12 max)
  • ancrer la motivation
  • se donner les clés de la réussite

 

 

Tous les renseignements sur le site de Bariateam (bariateam.com)

 

 

Articles en rapport

  • Pas d'article en relation

Après 7 ans et 1/2 à la clinique Champeau à Béziers, le Dr BUENOS a migré vers le nord, vers le centre hospitalier Nord Deux Sèvres de Faye l’Abbesse.

Félicitations, aux très nombreux patients et patientes suivis par le réseau Rosa et opérés par le Dr BUENOS de Sleeve gastrectomy, pour les efforts accomplis au quotidien pour arriver à garder (voire améliorer) leurs excellents résultats tant sur l’amaigrissement que sur la retente cutanée.

La lutte contre l’obésité est un long et difficile combat, mais beaucoup d’entre vous, ont montré que la victoire au bout est possible.

Ne lâchez rien.

Le Dr BUENOS reste à votre écoute si besoin…..

Articles en rapport

  • Pas d'article en relation

Avec nos voeux pour une bonne année 2018, l’équipe du réseau ROSA vous joint une ordonnance de longue vie.

Dr BUENOS

Sous le terme de « noix », on désigne souvent un ensemble de fruits secs comprenant les noix de Grenoble, noisettes, amandes, pistaches, noix de pécan, noix de cajou… Les noix du Brésil et arachides qui sont des fruits de légumineuses peuvent aussi être classées dans le grand groupe des noix.

Les noix représentent des sources de vitamines, minéraux, magnésium, phosphore, fibres alimentaires et antioxydants. Elles sont une source d’acides linoléique et alpha-linoléique (ALA), deux acides gras essentiels. L’ALA (oméga-3) semble bénéfique à la santé du cœur et du cerveau.

Les bénéfices des noix sur la santé ont été prouvés à de nombreuses reprises. En voici quelques preuves récentes.

Moins de risque de maladies cardiaques et de cancers notamment

Des chercheurs de l’Imperial College de Londres et de l’université de science et de technologie de Norvège ont réalisé une méta-analyse d’études pour voir le lien entre la consommation de noix et le risque de maladies cardiovasculaires, de cancer et de mortalité. Ils ont analysé 29 études publiées dans le monde impliquant 819.000 personnes. L’étude a inclus tous les types de noix, y compris les noisettes et les arachides.

L’augmentation de 28 g / jour des apports de noix était associée à une baisse du risque de maladie coronarienne de 29 %, d’AVC de 7 %, de maladie cardiovasculaire de 21 %, de cancer de 15 %, et de mortalité de 22 %. La mortalité pour cause de maladie respiratoire était même réduite de moitié. Les résultats étaient similaires pour les cacahuètes et les noix. D’après les auteurs, si ces associations décrivent une relation de cause à effet, 4,4 millions de morts prématurées en Amérique, Europe, Asie du sud-est et Pacifique Ouest pourraient être attribuées à une consommation de noix inférieure à 20 g par jour.

D’après Dagfinn Aune, principal auteur, « Les noix et les arachides sont riches en fibres, en magnésium et en graisses polyinsaturées – nutriments qui sont bénéfiques pour la réduction des risques de maladies cardiovasculaires et qui peuvent réduire les niveaux de cholestérol. Certaines, notamment les noix et noix de pécan sont également riches en antioxydants, qui peuvent combattre le stress oxydatif et peut-être réduire le risque de cancer. Même si les noix sont très riches en matières grasses, elles sont également riches en fibres et en protéines, et il existe des preuves qui suggèrent que les noix pourraient effectivement réduire votre risque d’obésité au fil du temps. »

 

Les noix permettraient de vivre plus longtemps

En 2015, des chercheurs néerlandais ont montré que ceux qui consomment environ 10 grammes de noix et/ou d’arachides par jour ont un risque de mortalité globale ou due à des maladies spécifiques (cancer, maladies neurodégénératives, diabète…) diminué par rapport aux personnes qui n’en consomment pas.

Les chercheurs ont recueilli des informations concernant le mode de vie et les habitudes alimentaires de 120.852 hommes et femmes âgés de 55 à 69 ans. Ils ont examiné la relation entre la consommation de noix, d’arachides et beurre d’arachide chez les participants et la mortalité globale et spécifique à certaines maladies pendant les 10 ans de suivi. Les apports moyens en noix (y compris arachides) étaient de 8,1 g/jour chez les hommes et de 4,4 g/jour chez les femmes. Pour le beurre d’arachide, les apports moyens sont de 1,4 g et 1,2 g pour les hommes et les femmes respectivement.

Les résultats montrent que la consommation totale de noix (y compris les arachides) est inversement associée à la mortalité globale. Les chercheurs ont trouvé que ceux qui consommaient au moins 10 grammes de noix et d’arachides par jour avaient un risque de décès toutes maladies confondues plus faible de 23 % au cours des 10 années de suivi. Particulièrement, chez les mangeurs de noix le risque de décès par maladies neurodégénératives, maladies respiratoires et diabète est diminué de 47 %, 39 % et 30 % respectivement, par rapport à ceux qui n’en mangent pas. L’analyse séparée de la consommation de noix et arachides montre qu’elles ont chacune un effet bénéfique sur le risque de mortalité.

 

La Nutrition.fr dans La Meilleure Façon de Manger (MFM) conseille de manger 1 à 2 portions de noix et graines oléagineuses par jour, soit par exemple 8 à 16 noix. Mieux vaut les choisir non grillées, non salées.

Les noix seraient bénéfiques aussi contre Alzheimer

Des chercheurs américains expliquent dans un article paru dans Journal of Alzheimer’s Disease qu’un régime riche en noix réduirait le risque de développer les symptômes de la maladie d’Alzheimer. Dans cette étude, les chercheurs ont analysé l’effet d’une complémentation en noix de Grenoble sur un modèle de souris transgéniques qui développent la maladie d’Alzheimer. A 4 mois, les souris ont commencé à suivre un régime particulier. Certaines ont été complémentées avec 6 % ou 9 % de noix, ce qui correspondrait chez l’homme à 28 g ou 48 g par jour respectivement. Les souris ont été examinées à l’âge de 13 à 14 mois pour connaître leurs capacités d’apprentissage, leur mémoire, leur anxiété et leur activité locomotrice.

Résultats : Les souris Alzheimer qui avaient un régime sans noix montraient un déficit de la mémoire, un comportement anxieux, des problèmes d’apprentissage spatial et de coordination motrice. Les souris Alzheimer complémentées en noix avaient de meilleures capacités de mémoire, d’apprentissage, moins d’anxiété et un meilleur développement moteur que les souris Alzheimer sans noix. Les performances de comportement des souris Alzheimer qui mangeaient des noix étaient même comparables aux souris normales !

Sources

Aune D, Keum N, Giovannucci E, Fadnes LT, Boffetta P, Greenwood DC, Tonstad S, Vatten LJ, Riboli E, Norat T. Nut consumption and risk of cardiovascular disease, total cancer, all-cause and cause-specific mortality: a systematic review and dose-response meta-analysis of prospective studies. BMC Med. 2016 Dec 5;14(1):207.

van den Brandt PA, Schouten LJ. Relationship of tree nut, peanut and peanut butter intake with total and cause-specific mortality: a cohort study and meta-analysis. Int J Epidemiol. 2015 Jun 11. pii: dyv039.

Abha Chauhan, PhD et al. Dietary Supplementation of Walnuts Improves Memory Deficits and Learning Skills in Transgenic Mouse Model of Alzheimer’s Disease. Journal of Alzheimer’s Disease, Volume 42, Number 4 / 2014 DOI: 10.3233/JAD-140675

Articles en rapport

  • Pas d'article en relation

On gagne 600 grammes entre Noël et le Jour de l’An (qu’on a du mal à perdre)

Chaque année, les fêtes de fin d’année s’accompagnent de leurs lots de repas et buffets avec la famille, les amis, voire les collègues de travail. Les excès alimentaires réalisés pendant ces quelques semaines conduisent à une prise de poids qu’il faudra éliminer ensuite. Mais combien de temps faudra-t-il pour perdre les kilos pris à cette occasion ?

Au cours d’une recherche parue dans New England Journal of Medicine, Brian Wansink de l’Université Cornell et son équipe ont enregistré les changements de poids de près de 3.000 personnes aux Etats-Unis, en Allemagne et au Japon.

Dans les trois pays, le poids des participants dans les dix jours suivant Noël a augmenté par rapport aux dix jours précédant Noël. Pour Brian Wansink, tout ce qui se passe dans les 10 semaines autour de fêtes de fin d’année prend environ cinq mois à être éliminé ensuite.

Dans chaque pays, la période où le gain de poids était le plus élevé était entre Noël et le Jour de l’An : les américains prenaient 0,6 kg, les allemands 0,8 kg et les japonais 0,5 kg.

Dans la plupart des cas, seule la moitié du poids pris au moment des fêtes avait été perdu 6 mois plus tard.

Brian Wansink en conclut dans le New York Times qu’au lieu de prendre, au Nouvel An, la résolution de perdre du poids, il serait peut-être beaucoup mieux de prendre la résolution le 1er octobre, ou plus tard, de ne pas trop grossir.

Helander EE, Wansink B, Chieh A. Weight Gain over the Holidays in Three Countries. N Engl J Med. 2016 Sep 22;375(12):1200-2.

Articles en rapport

  • Pas d'article en relation

Les personnes qui dorment moins de six heures par nuit ont plus de risque de surpoids que celles qui en dorment neuf.

« Qui dort dîne » confirme une étude récente de l’université de Leeds selon laquelle le manque de sommeil favorise la prise de poids.

Dans cette étude, 1615 adultes âgés de 19 à 65 ans, dont 57 % de femmes, ont décrit leurs habitudes de sommeil et répondu à des questionnaires alimentaires sur trois à quatre jours. L’objectif était d’analyser les associations entre la durée du sommeil, l’alimentation et des marqueurs du métabolisme chez les adultes.

Les résultats ont montré que les personnes qui dorment moins de six heures par nuit ont plus de risque de prendre du poids : elles avaient en moyenne 3 cm de tour de taille en plus que celles qui en dormaient neuf. A l’inverse, un sommeil plus long était associé à un indice de masse corporelle (IMC) plus bas et un meilleur profil métabolique.

Pourquoi un sommeil court est-il associé à l’obésité ? Une des explications avancées est que le manque de sommeil influence les choix alimentaires et pousse à préférer des aliments riches en énergie. Pourtant, cette étude n’a pas mis en évidence de lien entre un sommeil insuffisant et de mauvais choix alimentaires. Elle semble plutôt suggérer que c’est le manque de sommeil en lui-même qui favorise la prise de poids.

D’autres travaux ont montré que la durée du sommeil les jours où les gens travaillent a diminué de 37 min environ entre 2002 et 2010. Ce facteur pourrait donc jouer un rôle important dans l’épidémie de surpoids et d’obésité.

Le consensus actuel est que sept à neuf heures est ce qu’il y a de mieux pour la plupart des adultes.

Articles en rapport

  • Pas d'article en relation

Nous avons calculé la perte de poids moyenne à 9 mois par rapport au poids de début de prise en charge au sein du réseau ROSA chez 92 patients opérés de sleeve gastrectomy sous coelioscopie.

La perte de poids moyenne à 9 mois de la Sleeve gastrectomy des 92 patients revus en consultation par rapport à leur poids de début de prise en charge, est de 37.9 kg.

La perte de poids la plus importante à 9 mois de la Sleeve gastrectomy des 92 patients revus en consultation par rapport à leur poids de début de prise en charge, est de 91.9 kg.

Le moins bon résultat à 9 mois de la Sleeve par rapport au poids de début de prise en charge est une perte de poids de 13.9 kg par rapport au poids de début de prise en charge au sein du réseau ROSA.

Articles en rapport

  • Pas d'article en relation

Nous avons calculé la perte de poids moyenne à 6 mois par rapport au poids de début de prise en charge au sein du réseau ROSA chez 118 patients opérés de sleeve gastrectomy sous coelioscopie.

La perte de poids moyenne à 6 mois de la Sleeve gastrectomy des 118 patients revus en consultation par rapport à leur poids de début de prise en charge, est de 34.1 kg.

La perte de poids la plus importante à 6 mois de la Sleeve gastrectomy des 118 patients revus en consultation par rapport à leur poids de début de prise en charge, est de 83.1 kg.

Le moins bon résultat à 6 mois de la Sleeve par rapport au poids de début de prise en charge est une perte de poids de 9.2 kg par rapport au poids de début de prise en charge au sein du réseau ROSA.

Articles en rapport

  • Pas d'article en relation

Nous avons calculé la perte de poids moyenne à 3 mois par rapport au poids de début de prise en charge au sein du réseau ROSA chez 135 patients opérés de sleeve gastrectomy sous coelioscopie.

La perte de poids moyenne à 3 mois de la Sleeve gastrectomy des 135 patients revus en consultation, est de 25.9 kg.

La perte de poids la plus importante à 3 mois de la Sleeve gastrectomy des 135 patients revus en consultation, est de 66.4 kg.

Le moins bon résultat à 3 mois de la Sleeve est une prise de poids de 3.2 kg par rapport au poids de début de prise en charge au sein du réseau ROSA. Il s’agit de la patiente qui avait repris 24.5 kg après l’ablation de son anneau gastrique.

Articles en rapport

  • Pas d'article en relation

Nous avons étudié séparément l’évolution du poids lors de la préparation pré-opératoire avant Sleeve gastrectomy, des patients qui n’ont pas eu d’anneau gastrique auparavant.

La perte de poids moyenne par rapport au poids pré-opératoire, à 1 mois de la Sleeve gastrectomy chez les 123 patients revus en consultation est de 19.3 kg.

La plus importante perte de poids par rapport au poids de début de prise en charge, à 1 mois de la Sleeve gastrectomy chez les 123 patients revus en consultation , est de 52.8 kg.

La plus faible perte de poids par rapport au poids de début de prise en charge, à 1 mois de la Sleeve gastrectomy chez les 123 patients revus en consultation , est de 4.4 kg.

 

On constate donc que les patients qui n’ont pas eu d’anneau gastrique avant d’être opérés de la Sleeve gastrectomy  perdent en moyenne 1.4 kg de plus que ceux qui ont eu un anneau. La différence est encore plus importante si l’anneau gastrique a été retiré moins de 2 ans avant la Sleeve gastrectomy.

Articles en rapport

  • Pas d'article en relation

Nous avons calculé la perte de poids moyenne à 1 mois chez 162 patients consécutifs opérés de sleeve gastrectomy sous coelioscopie, ce qui représente 89.5% des patients opérés dans le réseau ROSA avec un recul d’au moins 1 mois.

La perte de poids moyenne au cours du premier mois post-opératoire après Sleeve gastrectomy des 162 patients revus en consultation, est de 11.8 kg.

La perte de poids la plus importante au cours du premier mois post-opératoire après Sleeve gastrectomy  des 162 patients revus en consultation, est de 29.1 kg.

La perte de poids la plus faible au cours du premier mois post-opératoire après Sleeve gastrectomy  des 162 patients revus en consultation, est de 2.7 kg.

Mais, il nous a paru intéressant de calculer la perte de poids à 1 mois non pas à partir du poids pré-opératoire, mais à partir du poids de début de prise en charge au sein du réseau ROSA.

La perte de poids moyenne à 1 mois après Sleeve gastrectomy des 162 patients revus en consultation par rapport à leur poids de début de prise en charge, est de 17.9 kg.

La perte de poids la plus importante à 1 mois après Sleeve gastrectomy des 162 patients revus en consultation par rapport à leur poids de début de prise en charge, est de 52.8 kg.

Certains patients qui ont eu un retrait d’anneau avant la Sleeve gastrectomy avaient repris du poids avant la Sleeve. La plus importante reprise de poids avant la Sleeve avait été de 24.5 kg.

La prise de poids la plus importante à 1 mois de la Sleeve gastrectomy  par rapport au poids de début de prise en charge, est de 12.5 kg.

 

Articles en rapport

  • Pas d'article en relation
Page 1 sur 8212345102030Dernière page »