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Informations générales

Vous pensiez que les problèmes de prise de poids et de kilos en trop touchaient essentiellement les États-Unis ? Détrompez-vous. C’est au Japon, au pays des sushis basses calories, qu’une loi contre l’obésité a été promulguée en 2008 : la loi « métabo ». Être en surpoids au Japon est donc devenu illégal…

Avec l’instauration de la loi anti obésité appelée « métabo », depuis 2008 être en surpoids au Japon est devenu totalement illégal.

Ainsi les mots « gros » ou encore « obèse » ont été rayés du vocabulaire japonais au profit du mot « métabo », visant les personnes en surpoids. C’est donc désormais une réelle chasse aux kilos en trop qui est effectuée au quotidien dans les villes du Japon !

La  loi « métabo » se traduit par un contrôle régulier effectué par l’administration japonaise sur des employés à leur travail. Ainsi, lors de la visite médicale annuelle, le tour de taille des employés est mesuré et observé à la loupe et ne doit strictement pas dépasser 85 centimètres pour les hommes et 90 centimètres pour les femmes.

Suite à cette fameuse visite médicale, les « hors-la-loi » reçoivent d’abord un mail d’avertissement accompagné de conseils multiples en alimentation équilibrée et en sports à pratiquer afin de perdre et de maintenir son poids.

Une forte pression sur les poignées d’amour et autres petits bourrelets

Toutes les entreprises sont dans l’obligation de mesurer le tour de taille de leurs employés lors de la visite médicale annuelle sous peine de sanctions. Cependant, rassurez-vous car les employés dits « hors-la-loi » n’iront tout de même pas jusqu’à la case prison.

La pression se situe surtout au niveau des entreprises qui se doivent d’atteindre l’objectif fixé par les autorités japonaises, qui est de réduire leur nombre d’employés en surpoids de 25% en 2015, sous peine d’amendes.

Certes on observe une hausse de la prise de poids des japonais, surtout chez les jeunes, mais il convient cependant de souligner que, selon l’Organisation mondiale de la santé, le Japon reste l’un des pays les moins touchés par l’obésité  au monde.

Nul besoin d’en venir à de telles mesures extrêmes donc…

C’est à se demander si le monde ne tourne plus rond…

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A l’approche de la semaine pour les alternatives aux pesticides, du 20 au 30 mars, 85 médecins du Limousin ont signé un texte appelant à réduire l’emploi des produits chimiques dans les pratiques agricoles.

Le texte, qui a commencé à circuler dans les cabinets médicaux de la région il y a quelques semaines, compte désormais plus de 80 signatures de professionnels, en Haute-Vienne, Creuse et Corrèze. C’est la première fois qu’un collectif de médecins « de terrain » en France prend position contre les pesticides.

Selon les soignants, “des liens sont établis entre l’utilisation de pesticides et certaines pathologies”. Ils citent notamment des cancers, des troubles neurologiques comme la maladie de Parkinson, des leucémies et tumeurs cérébrales chez l’enfant. Ils rappellent également que “de nombreux pesticides sont des perturbateurs endocriniens, substances chimiques soupçonnées d’être l’une des  causes de la recrudescence de certains troubles (infertilité, cancers hormonodépendants, obésité, etc.)”.

Ils appellent ainsi à interdire les épandages aériens et à réduire l’exposition des populations voisines des cultures utilisant des pesticides. D’autre part, ils se déclarent solidaires des initiatives permettant “une transition vers des filières agricoles n’utilisant pas de pesticides” et demandent à la région Limousin de “s’engager résolument vers l’objectif d’une réduction de 50% des pesticides à l’horizon 2020”, comme prévu par le plan national Ecophyto.

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En plein scandale de la viande chevaline, Bruxelles vient d’annoncer que les farines animales étaient à nouveau autorisées pour nourrir les poissons à partir du mois de juin prochain.

Alors que le grand public est encore sous le choc de la tromperie à la viande de cheval, la Commission européenne rappelle le retour prochain des farines animales. Les poissons d’élevage pourront à nouveau être nourris avec des farines de porc et de volailles à compter du 1er juin. Un mode d’alimentation qui était interdit dans l’Union européenne depuis la crise de la “vache folle”.

L’épidémie d’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) avait été provoquée par l’utilisation de ces farines dans l’alimentation des bovins, qui sont des herbivores. L’interdiction des farines avait été étendue en 2001 à l’alimentation de tous les animaux destinés à la consommation humaine.

Approuvée par les experts des États membres en juillet 2012, la mesure autorise le recours aux protéines animales transformées (PAT) dans l’alimentation des poissons d’élevage et des autres animaux de l’aquaculture. “Elle améliorera la durabilité à long terme du secteur de l’aquaculture, car ces PAT pourraient être un substitut précieux aux farines de poisson, qui sont une ressource rare”, a indiqué la Commission dans un communiqué.

“La situation épidémiologique actuelle de l’ESB montre que l’UE est désormais dans la phase finale de l’éradication de l’ESB au sein de son cheptel bovin”, a souligné la Commission.  Ainsi, après l’autorisation des farines pour poissons, la Commission “entend proposer une autre mesure pour réintroduire l’utilisation des PAT de porc et de volailles pour les volailles et les porcs”. Le cannibalisme à l’intérieur de mêmes espèces étant interdit, les volailles ne pourront pas être nourries avec de la farine de volailles, mais en l’occurrence, de porc, et inversement.

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Le nombre de cadavres de porcs repêchés dans le fleuve Huangpu passant à Shanghai a doublé en deux jours, atteignant désormais presque 6 000 animaux dans un contexte de polémique sur leur origine.

Au total, 5 916 porcelets et cochons adultes, certains pesant des centaines de livres, ont été collectés flottant dans le cours d’eau, a rapporté mardi soir le gouvernement de Shanghai dans un communiqué.

Le Huangpu, fleuve emblématique de Shanghai, compte pour 22% de la consommation d’eau des 23 millions d’habitants. Après avoir analysé des échantillons, le gouvernement de Shanghai a affirmé ces derniers jours que les résultats obtenus étaient « normaux ».

La municipalité de Shanghai, selon la presse locale, pense que les porcs ont été jetés dans la rivière par des éleveurs de la préfecture de Jiaxing (province du Zhejiang), voisine de Shanghai, après être morts d’une maladie non précisée.

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D’après des travaux américains, les conducteurs obèses auraient plus de risques de mourir dans un accident de voiture que les autres. Une information dont les constructeurs automobiles devront tenir compte à l’avenir.

Les chercheurs ont ainsi analysé les données  répertoriées par la Fatality Analysis Reporting System, qui recense les accidents de la route et qui est gérée par la National Highway Traffic Safety Administration. Leur étude est parue dans le Emergency Medicine Journal. Sur plus de 40 000 collisions, ils ont ensuite sélectionné celles où les voitures avaient la même taille.

A partir de là, les scientifiques ont établi des statistiques par rapport à la corpulence physique des conducteurs accidentés, en les classant en quatre groupes, déterminés par leur I.M.C. (Indice de Masse Corporelle). D’autres détails ont par ailleurs été relevés comme l’utilisation de la ceinture de sécurité, le moment de la journée où a lieu l’accident, si le conducteur était un homme ou une femme, le taux d’alcoolémie, la présence d’airbag etc.

Des voitures inadaptées ?

Sur les 3400 accidents mortels ainsi étudiés, les chercheurs se sont intéressés aux conducteurs dont ils connaissaient toutes les informations nécessaires, à savoir un échantillon d’étude de 5200 personnes au total. Il en est ressorti que 3 % d’entre eux étaient considérés comme maigre (avec un IMC de moins de 18,5), 46 % présentaient un poids normal (18,5 à 24,9), 33% étaient en situation de surpoids (25 à 29,9) et 18% étaient obèses (plus de 30).

Les auteurs de l’étude ont alors constaté que les individus trop maigres ou en surpoids avaient le même taux de mortalité que ceux à la corpulence normale. En revanche, chez les conducteurs obèses, plus l’IMC était élevé, plus grands étaient les risques d’avoir un accident mortel. Ainsi, avec un IMC de 30 à 34,9, le risque augmentait de 21%, de 35 à 39,9 ce taux passait à 51%. Enfin, pour ceux qui présentaient un indice de masse corporelle de plus de 40, le risque atteignait 81%.

Une des principales raisons serait la mauvaise utilisation de la ceinture de sécurité en cas de collision. En effet, en raison de la masse graisseuse, la ceinture a du mal à fixer au siège le passager en cas de choc. C’est pourquoi les scientifiques recommandent aux constructeurs automobiles d’utiliser des mannequins de plus grande corpulence lors des crash-tests afin de prévenir les accidents sur les personnes obèses.

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La vitamine D ne jouerait aucun rôle significatif sur le poids.

Un déficit en vitamine D est fréquemment retrouvé chez les personnes en surpoids, suggérant dès lors qu’une supplémentation pourrait faire maigrir. Une nouvelle étude vient d’établir que ce n’est pas le cas.

C’est un groupe de plus de 60 chercheurs internationaux qui s’est penché sur la question. Leur travail a consisté à recueillir des informations sur la vitamine D et le poids corporel dans une vingtaine d’études. Puis ils ont effectué un long travail d’analyse statistique.

Leur analyse a permis de mettre en lumière que le poids corporel est en lien direct avec le taux de vitamine D dans le sang mais que le taux de vitamine D n’est pas en lien direct avec le poids. Autrement dit, un indice de masse corporelle (IMC) élevé engendre un faible taux de vitamine D mais un déficit en vitamine D ne fait pas grossir.

Comment expliquer ces résultats ?

La vitamine D est une vitamine soluble dans les graisses et qui se stocke dans tout l’organisme : plus le poids corporel est élevé plus la vitamine D est stockée dans les réserves et donc moins elle se retrouve dans le sang. A l’inverse lors d’un régime, les réserves de graisse libèrent de la vitamine D et le taux sanguin remonte mais ce n’est pas la vitamine D qui fait maigrir.

Les chercheurs estiment que leur découverte a des conséquences importantes en matière de santé publique : si l’IMC moyen diminuait on diminuerait du même coup la prévalence du déficit en vitamine D dans la population, qui ne cesse d’augmenter actuellement avec d’importantes conséquences.

Référence

Vimaleswaran KS, Berry DJ, Lu C, Tikkanen E, Pilz S, et al. (2013) Causal Relationship between Obesity and Vitamin D Status: Bi-Directional Mendelian Randomization Analysis of Multiple Cohorts. PLoS Med 10(2): e1001383. doi:10.1371/journal.pmed.1001383

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On le sait, le grignotage est responsable de nombreuses prises de poids. Difficile de remédier à cette vilaine habitude même avec beaucoup de volonté, sauf si l’on trouve une petite aide en forme de chewing-gum. Et avec Slim Gum, on risque bien d’avoir trouvé le meilleur allié !

Un chewing-gum qui nous aide à oublier nos petites fringales, voilà qui pourrait bien devenir le parfait coup de pouce minceur dont on avait besoin. SLIM Gum by TIME Nutrition est un régulateur d’appétit qui contrôle nos pulsions alimentaires sucrées. Mais comment ça marche ? Le fameux chewing-gum, 100% physiologique, contient un ingrédient innovant, le tryptophane. Le tryptophane est un acide aminé habituellement apporté par des aliments riches en protéines mais il y est peu abondant. Pourtant le tryptophane est essentiel à la régulation de l’appétit.

C’est là que le SLIM Gum devient un essentiel pour celles qui ont du mal à gérer leurs fringales. Ses vrais plus ? Il est efficace au bout de seulement 10 minutes, il est sans sucre, cela va de soi, il aide à garder une haleine sooo fresh et son format permet de l’emporter partout avec vous ! Pour le moment, le chewing-gum miracle est disponible sur le télé-achat M6 Boutique et d’ici quelques semaines en grande distribution, parfumeries, magasins de sport…

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La précarité s’accompagne d’un risque accru de diabète de type 2, mais jusqu’ici peu d’études avaient évalué les conséquences de la précarité sur le diabète. C’est pourquoi l’Académie de médecine et la Mutualité française ont décidé de mener une enquête sur ce lien, baptisée «Diabète et précarité», en Languedoc-Roussillon, l’une des régions les plus frappées par la pauvreté en France avec le Nord-Pas-de-Calais. Résultat, avant l’âge de 65 ans, on observe plus de cas de diabète chez les personnes précaires (6,9 %) que dans les populations peu ou pas du tout précaires (4,4 %).

Au total 1 648 personnes ont été interrogées dans le cadre de l’enquête. La majorité d’entre elles (70 %) étaient en situation de grande précarité, fréquentant essentiellement les services administratifs du conseil général (RMI, RSA) et des structures d’accueil spécialisées dans le secours aux désocialisés: Médecin du Monde, Croix-Rouge française, Secours catholique… Confirmation que le diplôme n’est plus un sésame contre la pauvreté, dans cette enquête, 26 % des sujets très précaires sortaient du collège et 15 % avaient suivi un cursus universitaire.

Les personnes les plus précaires apparaissent plus jeunes, plus souvent de sexe masculin, plus souvent fumeurs, avec un tour de taille et un indice de masse corporelle plus importants. «L’étude montre aussi que cette population “précaire”, mais avec un niveau d’étude supérieur à la moyenne, est en demande de prise en charge, notamment d’éducation thérapeutique», souligne Étienne Caniard. Ainsi, parmi eux, plus de la moitié seraient intéressés par des séances d’éducation sur le diabète. Or, il s’agit d’une population qui nécessite une attention particulière. Pour le Pr Claude Jaffiol, membre de l’Académie de médecine et responsable de l’enquête conduite en Languedoc-Roussillon, «la prise en charge médicale des populations défavorisées nécessite temps, expérience et tact, en particulier dans le domaine des maladies chroniques et plus particulièrement du diabète».

L’étude montre aussi qu’un diabétique en situation précaire se trouve confronté à de nombreux obstacles pour prétendre à une alimentation, ce qui se ressent dans les questionnaires: «Ils consomment moins de légumes verts, de fruits frais, de viande, de volaille, de poisson, de laitages et fromages, plus de pâtes, de riz, de soda sucrés, de thé ou café et de bière.»

Les auteurs constatent aussi l’intérêt des réseaux pour le suivi des personnes précaires, ce réseau permet de réduire le tabagisme, moins de fumeurs, de mieux équilibrer le diabète, avec moins d’hypoglycémies, de complications et d’hospitalisations.

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Les médecins anglais pourront bientôt prescrire à leurs patients souffrant de troubles mentaux modérés des abonnements à la bibliothèque plutôt que des médicaments. Une liste de 30 livres est à leur disposition.

La Reading Agency, un organisme caritatif anglais,  vient de lancer une campagne pour que soient mis à disposition, dès le mois de mai et dans toutes les bibliothèques du pays, une trentaine de livres à destination des six millions d’anglais souffrant d’anxiété et de dépression, révèle The Guardian qui précise que le Danemark et la Nouvelle-Zélande ont récemment mis en place des programmes similaires.

“Il devient de plus en plus évident que l’auto-assistance par la lecture peut aider les personnes atteintes de certains troubles de santé mentale à aller mieux”, assure la directrice de la Reading Agency, Miranda McKearney. Une liste de trente livres a été approuvée par les autorités de santé publique et envoyée au médecins généralistes. Elle inclut aussi bien des livres de développement personnel (dont le best-seller de David Burns The Feeling Good Handbook) que des romans ou même de la poésie…  Ces ouvrages pourront être prescrits de façon très officielle par les médecins à leurs patients.

Voici la liste des ouvrages :

Colère :

Overcoming Anger and Irritability (« Vaincre la colère et l’irritabilité »), Davies William

Anxiété :

Overcoming Anxiety (« Vaincre l’anxiété »), Kennerley Helen

Overcoming Anxiety, Stress and Panic: A Five Areas Approach(« Vaincre l’anxiété, le stress et la panique : cinq zones d’approche), Chris Willams

Feel the Fear and Do It Anyway(« Sentir la peur, mais le faire quand même »), Chris Williams

Boulimie :

Overcoming Binge Eating (« Vaincre la boulimie »), Christopher Fairburn

Getting better Bit(e) by Bit(e): A survival kit for sufferers of bulimia nervosa and binge eating disorders(« Allez mieux bouchée par bouchée : un kit de survie pour ceux qui souffrent de boulimie », Peter J. Cooper

Overcoming Bulimia Nervosa and Binge Eating(« Vaincre la boulimie »), de Peter J. Cooper

Fatigue chronique :

Chronic Fatigue Syndrome (« Le syndrome de la fatigue chronique »), Frankie Campling et Michael Sharpe

Overcoming Chronic Fatigue (« Battre la fatigue chronique »), Mary Burgess

Douleur chronique :

Overcoming Chronic Pain (« Vaincre la douleur chronique »),

Dépression :

Overcoming Depression and Low Mood: A Five Area Approach (« Vaincre la dépression et la déprime : cinq zones d’approche »), Chris Williams

Mind Over Mood: Change How You Feel by Changing the Way You Think (« L’esprit au-dessus de l’humeur : Changer votre humeur en changeant ce que vous pensez »), Greenberger Dennis

Overcoming Depression: A Guide to Recovery with a Complete Self-help Programme (« Vaincre la dépression : Un guide pour aller mieux avec un programme d’aide pour soi-même »), Gilbert Paul

L’hypocondrie :

Overcoming Health Anxiety(« Vaincre l’hypocondrie »), David Veale

Introduction to Coping with Health Anxiety(« Faire face à l’hypocondrie »), Branda Hogan

Obsession et Compulsions :

Overcoming Obsessive Compulsive Disorder (« Vaincre le trouble obsessionnel compulsif »), Veale David

Understanding Obsessions and Compulsions (« Comprendre les obsessions et les compulsions »), Frank Tallis

Break Free from OCD: Overcoming Obsessive Compulsive Disorder with CBT (« Se libérer du trouble obsessionnel compulsif »), Fiona Challacombe

Panique :

Overcoming Panic and Agoraphobia (« Vaincre la panique et l’agoraphobie »), Derrick Silove

Panicks Attacks : What They Are, Why They Happen, and What You Can Do About Them (« Les attaques de panique : ce qu’elles sont, pourquoi elles surviennent et que pouvez-vous faire avec elles ? »), Christine Ingham

Phobies :

An Introduction to Coping with Phobia (« Pour faire face à la phobie »), Brenda Hogan

Relations avec les autres :

Overcoming Relationship Problems (« Vaincre les problèmes de la relation avec les autres »), Michael Crowe

Estime de soi :

Overcoming Low Self-Esteem (« Vaincre le manque de confiance en soi »), Melanie Fennell

Agoraphobie :

Overcoming Social Anxiety and Shyness (« Vaincre l’agoraphobie et la peur des autres »), Gillian Butler

Insomnie :

Overcomming Insomnia and Sleep Problems(« Vaincre l’insomnie et les problèmes de sommeil »), Colin A. Espie

Stress :

The Relaxation and Stress Reduction Workbook(« Le cahier d’exercices pour se relaxer et réduire le stress »), Martha Davis

Manage Your Stress for a Healthier Life (« Organiser le stress pour une vie plus saine »), Terry Looker

Peur :

The Worry Cure: Stop Worrying and Start Living (« Le remède à la peur : arrêter d’avoir peur et commencer à vivre »), Robert L. Leahy

How to Stop Worrying (« Comment faire pour cesser d’avoir peur »), Frank Tallis

 

Dr BUENOS : le réseau ROSA met également à disposition des patients du réseau des livres qui nous ont paru intéressants et accessibles dans la prise en charge globale de l’obésité.

Pour les consulter à domicile, il suffit de les réserver.

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Boomerang 90′- Le côté obscur de la barre chocolatée est un documentaire qui propose une plongée dans les coulisses de l’industrie agro-alimentaire qui alimente nos supermarchés, à travers trois ingrédients incontournables de nos barres chocolatées : cacao, huile de palme et soja.
http://www.canalplus.fr/c-infos-documentaires/pid4304-c-boomerang.html

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