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Dr Patrick BUENOS

Lorsque nous avons une plaie, nous devons attendre que la cicatrisation se fasse.

Ce mécanisme serait ralenti lorsqu’on manque de vitamine D.

Des chercheurs Brésiliens ont voulu examiner le lien entre le taux de vitamine D dans le sang et la vitesse de cicatrisation. Ils ont étudié 52 malades âgés en moyenne de 57 ans dont la moitié était touchés par des ulcères aux jambes. Leur taux de vitamine D a été mesuré au début, pendant et à la fin de l’étude. Au début de l’étude presque tous les participants avaient un déficit en vitamine D, les chercheurs ont donc administré de la vitamine D (50 000 UI par semaine) à la moitié des personnes touchées par un ulcère et un placebo aux autres.

Au bout de 2 mois la taille de l’ulcère est passée de 25 cm² à 18 cm² pour le groupe ayant pris de la vitamine D contre 27 cm² à 24,5 cm² pour le groupe ayant pris le placebo. Les chercheurs expliquent que le bénéfice apparaît encore plus marqué lorsqu’on tient compte des grandes variations des tailles des ulcères et concluent que la vitamine D semble accélérer la cicatrisation.

Les doses de vitamine D3 utilisées dans cette étude correspondent à un apport d’environ 7000 UI par jour, à comparer aux apports journaliers recommandés (AJR) fixés à 400 UI quotidiens.

Références

Burkiewicz CJ, Guadagnin FA, Skare TL, Nascimento MM, Servin SC, Souza GD. Vitamin D and skin repair: a prospective, double-blind and placebo controlled study in the healing of leg ulcers. Rev Col Bras Cir. 2012 Oct;39(5):401-407.

 

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Dans deux articles publiés dans la prestigieuse revue médicale British Medical Journal, des chercheurs expliquent que les sportifs ont beaucoup plus à craindre d’un excès d’hydratation que d’une déshydratation. Selon eux, l’importance excessive apportée à l’hydratation provient du constat que certains sportifs peuvent perdre connaissance à l’effort, à la suite d’une chute de tension. Ce phénomène est communément attribué à « un coup de chaud », autrement dit : une difficulté pour l’organisme à maintenir la température corporelle à cause d’un manque d’eau.

Mais les chercheurs de corriger : les études montrent bien que les sportifs qui ont de l’hypotension posturale ou qui perdent connaissance ne sont jamais déshydratés et leur température corporelle n’est pas plus élevée que celle des autres. C’est donc une idée reçue. Le traitement le plus efficace consiste simplement à s’allonger en plaçant les jambes plus hautes que la tête.

Données à l’appui, les chercheurs expliquent : les athlètes en bonne santé ont un risque « quasi-nul » de tomber en déshydratation pendant une compétition ou un effort d’endurance. Des risques importants pour la santé comme des troubles de la coordination ou de la paralysie ne peuvent se produire que lorsque la quantité totale d’eau du corps humain diminue d’au moins 15%. Pour bien comprendre l’importance de ce chiffre, il faut visualiser que cela correspond à la quantité d’eau qui serait perdue en restant en plein désert sans eau pendant 48 heures.

A l’inverse, une simple augmentation de 2% de notre volume total d’eau provoque un oedème généralisé, diminue la performance physique et mentale. Au delà de ce seuil se développe une encéphalopathie hyponatrémique, provoquant confusion, crise d’épilepsie, comas puis la mort.

Pour les chercheurs, la consigne de boire en abondance est une erreur vieille de plus de 40 ans qui doit être corrigée car rien n’est plus précis que la sensation de soif et un apport excessif même modéré peut être dangereux. Cette idée reçue serait entretenue par un lobbying de la part des sociétés qui vendent des boissons de l’effort, aussi bien dans leur communication auprès du public, leur communication auprès des chercheurs ou bien via des subventions financières.

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Tous les pédiatres sont unanimes. L’alimentation des tout-petits doit être la plus saine possible, dès le berceau. Et force est de constater qu’ils ont raison. Une nouvelle étude, menée sur des rongeurs et publiée dans la revue « Diabètes » de l’American Diabetes Association (ADA), montre que l’alimentation des bébés, pendant les mois qui suivent la naissance et durant la petite enfance, détermine à vie le risque d’obésité. Les chercheurs de l’institut John Hopkins ont ainsi constaté que les rats nés de mères nourries avec un régime riche en matières grasses pendant la gestation, mais qui ont reçu une alimentation équilibrée après la naissance, ne sont pas obèses adultes. Au contraire, les bébés rats exposés à des niveaux de lipides normaux in utero mais allaités par les mères suivant un régime alimentaire riche en graisse deviennent obèses au moment du sevrage.

Finalement, l’alimentation du bébé in utero est certes importante mais n’a pas une influence définitive sur le futur poids de l’enfant. En revanche, les périodes d’allaitement, de sevrage et de diversification alimentaire sont décisives. En surveillant l’alimentation de son bambin dès son plus jeune âge, on limite les risques d’obésité et toutes les complications qui en découlent.

Source : American Diabetes Association (ADA)

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ça y est !!!

Après une longue gestation, le conseil en image au sein de la branche biterroise du réseau ROSA se met en place.

Laurence BUENOS assurera son développement et a pour l’occasion créé un site qui y sera consacré www.conseilenimage34.fr

Entièrement tourné vers la prise en charge des patients de la branche biterroise du réseau ROSA, il apportera les conseils utiles vestimentaires, de maquillage, de colorimétrie globale ….etc qui permettront d’optimiser votre Renaissance.

 

 

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Un élément de réflexion d’une chercheuse canadienne sur la prise de poids pendant la grossesse et ses conséquences éventuelles sur l’obésité de l’enfant à naitre:

prise de poids pendant la grossesse

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Près du tiers de la population du Maroc, soit quelque 10,3 millions de personnes, connaît des problèmes de surpoids, une question de santé publique qui prend de l’ampleur depuis dix ans, souligne dans une étude le Haut commissariat au Plan (HCP).

Selon cette enquête, menée par le HCP auprès de 2.426 ménages, le Maroc a réalisé des progrès notables dans la lutte contre la sous-nutrition.

Chez les enfants de moins de cinq ans, « l’insuffisance pondérale » est ainsi passée de 9,3% en 2004 à 3,1% en 2011, ce qui met le royaume en très bonne position par rapport à la moyenne mondiale (16%). Pour les adultes de plus de 20 ans, ils ne sont plus que 3,3% à être concernés contre 3,9% en 2001.

En revanche, le Maroc voit apparaître de sérieux problèmes en matière d’obésité, selon le HCP.

Un tiers de la population menacé

Au total, ce sont 10,3 millions de marocains adultes,dont 63,1% de femmes, qui sont en situation d’obésité ou de pré-obésité, résume le rapport.

Parmi ces personnes, 3,6 millions, soit près d’un adulte marocain sur cinq, est concerné par l' »obésité sévère et morbide » . Les femmes sont les plus touchées (26,8%), en particulier en milieu urbain.

Sur 10 ans, « l’obésité sévère et morbide a augmenté de 7,3% par an » en moyenne, s’alarme le HCP, relevant que l’inactivité ainsi que les niveaux de vie et d’éducation influent sur ce phénomène.

« Nous allons vers d’importants problèmes et il est crucial de mettre en place des campagnes de sensibilisation sur la santé nutritionnelle », a déclaré à la presse le Haut commissaire au plan, Ahmed Lahlimi, appelant les autorités à encourager la pratique sportive ou encore le « contrôle des menus dans les cantines » scolaires et d’entreprises.

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Une expérience, publiée la semaine dernière dans la revue PLos One, a montré que des personnes croyant à tort, avoir beaucoup mangé se sentaient davantage rassasiées.

Jeffrey Brunstorm et ses collègues de l’université de Bristol ont offert à 100 volontaires soit une grande (500 ml), soit une petite (300 ml) portion de soupe, au moment du déjeuner. Par un système astucieux de pompage ou de remplissage du bol, les chercheurs ont modifié pendant le repas la quantité de soupe pour chacun des convives, sans qu’ils puissent s’en apercevoir. Les uns mangeant 300 ml en pensant qu’ils en absorbent 500 et vice versa. Deux heures après ce repas, les volontaires qui avaient cru consommer une grande portion de soupe avaient beaucoup moins faim que ceux qui pensaient n’en avoir eu qu’une petite quantité.

Immédiatement après le repas, la sensation de satiété était proportionnelle à la quantité de soupe consommée et non celle que les volontaires avaient vu. Mais 2 à 3 heures après, les volontaires qui avaient cru consommer une grande portion rapportaient une plus grande satiété que ceux qui pensaient avoir eu une petite portion.

La satiété intellectuelle ????? bien connue dans le réseau ROSA

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Introduction – Plusieurs études ont montré un taux élevé de somnolence dans la population générale aux États-Unis et en Europe, mais il existe peu de données, dans la population française, sur la somnolence, les facteurs socio-démographiques associés et ses conséquences.

Méthode – Une enquête en population générale a été réalisée, dans le cadre de la Journée nationale du sommeil, par l’Institut national du sommeil et de la vigilance (INSV) en 2011 auprès d’un échantillon représentatif de la population adulte, avec une caractérisation précise des horaires de travail, du temps de transport, de la structure familiale et des catégories socioprofessionnelles. Le questionnaire a été construit par des spécialistes du sommeil et comprend :

1) des items permettant d’estimer le temps de sommeil total (TST) et les pathologies du sommeil déclarées associées ;

2) une évaluation de la somnolence par l’échelle de somnolence d’Epworth (ESS) et des items portant sur la plainte de somnolence, les épisodes d’endormissement diurnes, les siestes ;

3) les caractéristiques de la somnolence au volant et les contre-mesures adoptées.

Résultats – 1 012 adultes (51% de femmes) de 18 à 60 ans ont été interrogés. Parmi les sujets interrogés, 21% ressentent de la somnolence dans la journée au moins 3 fois par semaine, y compris lorsqu’ils ont bien dormi, 11% se sentent somnolents tous les jours et 7% (15% des hommes) s’endorment régulièrement sans pouvoir résister à la somnolence au moins 3 fois par semaine. Pour 4%, ces endormissements ont lieu tous les jours. En considérant l’ESS : 19% du groupe peuvent être considérés comme somnolents (ESS>10) et 3% comme somnolents sévères (ESS≥16) ; 26% des sujets disent faire parfois la sieste, 9% font la sieste au moins 3 fois par semaine et 2% la font tous les jours ; 12% des conducteurs ont dû s’arrêter de conduire au moins 1 fois pour dormir au cours des 12 derniers mois ; 3% des conducteurs rapportent s’être endormis au volant au cours de ces 12 derniers mois. Les facteurs associés significativement à la somnolence sont le temps de transport quotidien, le travail de nuit et en horaires décalés, et certaines pathologies du sommeil déclarées (syndrome d’apnées, syndrome des jambes sans repos, hypersomnie).

Conclusion – La somnolence concerne un Français sur 5 et a des conséquences sévères sur le risque d’endormissement au volant.

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Le prochain groupe de parole aura lieu le vendredi 15 Février 2013 à 18 heures à l’Espace Renaissance (2° étage de la clinique Champeau).

Ce sera l’occasion de faire le point sur de nombreux sujets (seconde peau, activités physiques, massages, alimentation bio ..etc° ) et de vous parler du conseil en image qui se met en place au sein du réseau ROSA Béziers.

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Les smoothies sont plus sucrés et donc plus caloriques qu’on ne le pense. Selon une association anglaise de consommateurs, ce breuvage serait plus mauvais pour la ligne et les dents que le Coca-Cola.

Souvent choisis pour leur aspect sain et leur fraicheur estivale, les smoothies seraient bien loin d’être diététiques. Une étude anglaise, citée par le Daily Mail, révèle que ce breuvage, composé d’une forte concentration de fruits, contient en fait beaucoup de sucres et donc de calories.

Les chercheurs ont en effet testé une cinquantaine de smoothies parmi les marques que l’on trouve en supermarché et ont été étonnés de constater que quatre smoothies sur cinq contenaient plus de sucre et de calories qu’une bouteille de 250 ml de Coca-Cola.

Toutefois, les scientifiques à l’origine de cette étude nuancent en disant qu’il n’est pas nécessaire de bannir la consommation de cette boisson puisqu’elle est aussi source de vitamines et de minéraux, contrairement aux sodas qui ne contiennent que du sucre ajouté.

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