A l’instar des collants massants, des leggings anti-cellulite ou encore des tee-shirts rafraîchissants, la cosmétotextile élargit sa gamme avec l’arrivée des jeans amincissants.
Depuis peu, l’industrie de la beauté et de la mode se sont rassemblées pour créer les cosmétotextiles : des textiles intelligents qui reposent sur des technologies de pointe et de puissants agents actifs. Ces derniers sont libérés durablement sur les différentes parties de l’épiderme et dégagent des propriétés : amincissantes, drainantes, anti-cellulite ou encore massantes. Aujourd’hui, les maisons de couture n’hésitent pas à élaborer des jeans qui redessinent notre silhouette.
Le nouveau jean combat la cellulite et la peau d’orange, prévient l’apparition de la culotte de cheval et aide à perdre les kilos superflus. Comment est-il élaboré ? Le tissu est imprégné de microcapsules aux vertus drainantes, hydratantes et tonifiantes. Toute la journée, il délivre son contenu actif sur la peau.
Concernant les microcapsules, les différentes marques de mode utilisent des fibres qui renferment soit des actifs de thé vert, de vigne rouge, de pêche ou encore d’aloès vera mélangés à des acides aminés et des enzymes. Ces actifs agissent sur les hanches, le ventre, les fesses et les cuisses. Pour des résultats probants, il faut porter le jean 28 jours de suite afin d’obtenir en moyenne une perte de 1,4 cm de tour de cuisse.
Bien évidemment, il faut éviter de croire au produit miracle pour maigrir. Tout dépend de chaque morphologie. Selon les spécialistes, pour avoir de bons résultats ces vêtements amincissants doivent s’accompagner d’une alimentation saine et d’une pratique d’activité régulière.
Le petit plus : après le lavage on peut recharger les actifs grâce à un spray pour en profiter plus longtemps.
NB : nous disposons des recharges raffermissantes à l’Espace Renaissance – 2°étage de la clinique Champeau . s’adresser à Claire ou au Dr BUENOS pour plus d’informations ….
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ROSA fait son cinéma.
La branche bitérroise du réseau ROSA poursuit une série de projections-débats autour de films qui méritent attention.
Jeudi 22 Novembre 2012 à 17 heures 30 autour du film de Ananda et Dominique GUILLET « Le titanic apicole – tome1- la terreur pesticide ».
La projection-débat aura lieu à l’Espace Renaissance – Bureau du Dr BUENOS- 2° étage de la clinique CHAMPEAU à Béziers
Visionnage en compagnie du Dr BUENOS du film de Ananda et Dominique GUILLET: » Le titanic apicole – tome1- la terreur pesticide « .
Suivi d’une discussion – débat autour du film.
Participation gratuite pour les membres de la branche bitérroise du réseau ROSA, mais inscription préalable obligatoire auprès du Dr BUENOS au 06 78 51 89 41.
Nombre de participants limité.
pitch du film :
« Un film-documentaire d’Ananda Guillet et de Dominique Guillet en 3 DVD sur la disparition des Abeilles, la terreur-pesticide, la désertification, les chimères génétiques, les nécro-carburants, l’apiculture productiviste…: en bref, l’empoisonnement des abeilles, de l’humanité et de toute la biosphère
Ce film documentaire en 3 DVD, réalisé par Ananda Guillet et Dominique Guillet, est un cri d’alarme. Que deviendrait l’humanité sans les Abeilles? Qu’adviendrait-il de son agriculture?
Dans le premier tome, “la Terreur Pesticide”, l’empoisonnement des abeilles, de l’humanité et de la biosphère est dénoncé par de très nombreux lanceurs d’alerte. C’est un réquisitoire implacable contre les empoisonneurs publics, les Monsanto, les Bayer, les Basf, les Syngenta, etc. Nous y exposons l’affaiblissement et l’effondrement des colonies d’abeilles suite à l’épandage massif de pesticides depuis des dizaines d’années, la corruption des hautes administrations et de l’INRA, la collusion entre ces administrations, les industriels des pesticides et les scientifiques “indépendants” (mais néanmoins à la solde de l’agro-chimie), la complicité des coopératives agricoles, les mensonges de l’UIPP (le lobby des pesticides), la lâcheté et la duplicité de l’Afssa, les fondements mortifères de l’agriculture moderne… Durée: 90 mn (cette version est quelque peu raccourcie par rapport à la première édition en 2008)
La prochaine projection-débat aura lieu le Dimanche 09 Décembre 2012 autour du film « Notre poison quotidien » de Marie Monique ROBIN ….. au Ciné Rosa : 5 rue Paul Paget 34500 Béziers
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Une étude menée par l’Université de Buffalo montre pour la première fois que, chez les adolescents âgés de 14 à 20 ans, l’obésité va entraîner une baisse de 50% des niveaux de testostérone, en comparaison de jeunes du même âge à IMC normal, augmentant ainsi considérablement chez les ados obèses, leur risque d’impuissance voire de stérilité à l’âge adulte.
Ces auteurs avaient déjà signalé, en 2004, de faibles niveaux de testostérone (ou hypogonadisme), liés à l’obésité, chez des adultes diabétiques et confirmé ce résultat en 2010 sur plus de 2.000 hommes atteints d’obésité, à la fois diabétiques et non diabétiques.
L’étude a porté sur 25 jeunes hommes obèses et 25 jeunes hommes minces, équivalents pour l’âge et le niveau de maturité sexuelle. Les concentrations de testostérone et d’oestradiol ont été mesurées à partir d’échantillons de sang, prélevés à jeun le matin. L’analyse montre un niveau de testostérone réduit de 50% chez les adolescents atteints d’obésité. Les résultats doivent maintenant être confirmés sur un plus grand nombre de sujets.
Seule bonne nouvelle, les niveaux de testostérone semblent revenir à la normale chez les hommes obèses qui subissent une chirurgie, explique le Dr. Dandona. «Il est possible que ce soit également le cas en cas de perte de poids?
Les chercheurs vont donc maintenant étudier les effets d’une perte de poids, soit par des changements de mode de vie et d’alimentation, soit par une intervention chirurgicale, sur les niveaux de testostérone chez les hommes obèses.
Source: Clinical Endocrinology, 2012; DOI: 10.1111/cen.12018 Testosterone Concentrations In Young Pubertal And Post-Pubertal Obese Males
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Le lien entre la consommation de boissons sucrées artificiellement et l’obésité est définitivement établi. Des décisions fortes s’imposent.
L’épidémie d’obésité est multifactorielle, mais le rôle du sucre ajouté aux boissons est démontré.
L’obésité est l’une des « épidémies » les plus catastrophiques dans le monde. Elle a d’abord atteint les pays développés et touche maintenant les pays émergents. L’obésité est multifactorielle, il existe ainsi des facteurs génétiques, d’autres liés à l’environnement (dont les microbes intestinaux qui sont en grande partie acquis par la nourriture) et d’autres encore sociaux, on parle même de « réseaux » d’obésité. Toutefois, le facteur qui éveille aujourd’hui le plus d’attention dans la littérature scientifique internationale est le sucre ajouté aux boissons.
Il existe un lien clairement établi chez les adultes, chez les enfants et chez les adolescents entre la consommation de boissons sucrées artificiellement et l’obésité, qui est valable pour tout le monde, et quel que soit le terrain génétique. Quatre articles majeurs viennent de le confirmer dans une éminente revue médicale : le New England Journal of Medicine (1-4). Le verdict est sans appel, les sucres ajoutés aux boissons sont une source majeure de surpoids chez les enfants, les adolescents et les adultes. Ces études, irréprochables du point de vue de la méthode et réalisées dans différents pays, pourront difficilement être mises en cause.
Articles de référence
(1) Ebbeling CB, Feldman HA, Chomitz VR, Antonelli TA, Gortmaker SL, Osganian SK, et al. A randomized trial of sugar-sweetened beverages and adolescent body weight. N Engl J Med 2012 Oct 11;367(15):1407-16.
(2) Qi Q, Chu AY, Kang JH, Jensen MK, Curhan GC, Pasquale LR, et al. Sugar-sweetened beverages and genetic risk of obesity. N Engl J Med 2012 Oct 11;367(15):1387-96.
(3) Farley T, Just DR, Wansink B. Clinical decisions. Regulation of sugar-sweetened beverages. N Engl J Med 2012 Oct 11;367(15):1464-6.
(4) de Ruyter JC, Olthof MR, Seidell JC, Katan MB. A trial of sugar-free or sugar-sweetened beverages and body weight in children. N Engl J Med 2012 Oct 11;367(15):1397-406.
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L’obésité est considérée comme une épidémie et ses conséquences (diabète, dyslipidémies et maladies cardiovasculaires) peuvent être potentiellement graves. Ce n’est pas seulement la quantité d’aliments qui est à prendre en compte mais aussi la manière dont ils sont répartis et utilisés. Dans ces processus, le cerveau a un rôle central.
Une équipe française du CNRS vient de mettre en évidence que certains types de neurones, les neurones AgRP (situés dans l’hypothalamus, dont on avait précédemment montré le rôle dans le contrôle de la prise alimentaire) avaient un lien avec l’apparition de l’obésité.
Lorsque ces neurones sont absents, un régime normal entraîne l’obésité. Cependant, celle-ci ne s’installe pas avec un régime très riche en lipides.
Les neurones AgRP agiraient donc comme des chefs d’orchestre qui réguleraient la répartition des aliments dans les organes tels le pancréas, le foie et les muscles. La perte de ces neurones change l’équilibre entre l’utilisation des sucres et des lipides, ce qui entraînerait l’apparition de symptômes métaboliques tels l’obésité.
Source : EMBO Journal 18 Septembre 2012
Hypothalamic AgRP-neurons control peripheral substrate utilization and nutrient partitioning.
Joly-Amado A, Denis RG, Castel J, Lacombe A, Cansell C, Rouch C, Kassis N, Dairou J, Cani PD, Ventura-Clapier R, Prola A, Flamment M, Foufelle F, Magnan C, Luquet S.
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Pour 92 % des Français l’industrie agroalimentaire joue un rôle important dans l’augmentation de l’obésité dans le monde.
Le problème de l’obésité est-il la conséquence de choix individuels mal adaptés ou de produits déséquilibrés vendus par l’industrie alimentaire? Pour 92 % des Français, la réponse est très claire: «l’industrie agroalimentaire joue un rôle important» dans l’augmentation de l’obésité dans le monde, d’après un sondage réalisé par OpinionWay pour l’agence de communication LJ Corporate. Un constat de défiance qui s’exprime très nettement même si plus de la moitié des consommateurs (51 %) reconnaissent que les industriels ont déjà fait des efforts pour améliorer l’équilibre nutritionnel de leurs produits.
Pour Florent Chapel, directeur associé chez LJ Corporate, les résultats très nets de ce sondage devraient être un signal d’alerte pour les industriels. «Les plans nutrition et santé lancés en France depuis quelques années sont positifs, avec des campagnes en faveur des fruits et légumes, mais ils ne sont pas contraignants pour l’industrie et les publicités ne suffisent pas à faire changer les comportements», estime-t-il.
«Bientôt, les hommes politiques n’hésiteront plus à légiférer pour interdire les produits les plus gras et les plus sucrés qui ont le plus d’impact sur la santé, prévoit Florent Chapel. Pour caricaturer, un jour le Nutella sera interdit et les chips et les sodas devront être exposés sur le haut des rayonnages, hors de portée des enfants.»
Des législations plus contraignantes pour lutter contre l’obésité arrivent déjà aux États-Unis, le pays de loin le plus touché par ce fléau. La ville de New York est en pointe et a déjà interdit les acides gras trans dans tous les restaurants et veut mettre fin aux gobelets de soda les plus gros dans les fast-foods.
En Europe, certains pays, comme le Danemark et la Hongrie, ont déjà instauré des taxes sur les produits les plus gras comme les chips.
Les Français semblent également persuadés qu’une législation plus sévère viendra limiter la vente des produits les moins équilibrés, puisque 44 % des sondés pensent qu’il faut interdire en priorité certains additifs alimentaires, comme les colorants, les exhausteurs de goût et les émulsifiants, et 42 % soutiennent l’interdiction de certains «produits trop gras, trop sucrés ou trop salés». En revanche, la piste de limiter les publicités à destination des enfants ne semble pas beaucoup convaincre (que 13 % des sondés). Avant l’été, la chaîne américaine Disney Channel a pourtant pris l’engagement de ne diffuser aucune publicité pour les produits de «junk food», une initiative qui a reçu le soutien de Michelle Obama dans sa campagne contre l’obésité infantile.
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S’il est facile d’être préoccupé par sa silhouette et son poids, il est tout aussi facile développer un excès de poids. Sur le plan individuel, plusieurs facteurs autres que l’alimentation et l’activité physique expliquent le gain de poids ou la difficulté à contrôler son poids. Par exemple :
- Certaines maladies;
- La prise de médicaments;
- L’arrêt du tabac;
- Des difficultés de nature psycho-sociale comme un manque d’affirmation de soi;
- Ou encore des bénéfices secondaires à l’excès de poids comme la protection face à la séduction.
Certains de ces facteurs ne relèvent pas du contrôle de l’individu et ne peuvent être modifiés. Il importe donc de bien identifier les causes du gain de poids sur lesquelles il est possible d’agir. La même « recette » ne peut donc s’appliquer à tous!
De plus, l’environnement dans lequel nous vivons aujourd’hui peut contribuer au gain de poids de l’ensemble de la population. Les exigences et les normes de la société actuelle nous amènent à :
- Adopter un mode de vie de plus en plus sédentaire;
- Utiliser la restauration rapide;
- Consommer des aliments préparés souvent riches en gras et en sucre.
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L’obésité abdominale n’est pas une fatalité. La pratique de certains sports d’endurance permet d’obtenir de bons résultats.
Bidon, brioche, durillon de comptoir, bouée ou bedaine… Autant d’appellations pour une même réalité qui en complexe plus d’un. Outre son aspect inesthétique, l’obésité abdominale augmente les risques cardiovasculaires et même celui… de développer un asthme. Autant de bonnes raisons pour vous en affranchir. Surtout qu’elle n’a rien d’une fatalité.
Voici quelques conseils pour vous en débarrasser.
« La bedaine est la combinaison de deux réalités » nous explique le Dr Marc Bouvard, directeur du Centre de biologie et médecine du sport de Pau. « D’un côté, le relâchement des muscles abdominaux et de l’autre, une accumulation localisée de graisses. Ces dernières sont en fait le résultat d’un seul et même comportement : la sédentarité. »
Heureusement précise le spécialiste, « cela n’a rien d’une fatalité. La pratique d’exercices physiques permet de dégonfler la bouée ! » Misez alors sur le cardio ! En courant, en pédalant ou en nageant, surtout de façon prolongée, vous puiserez dans vos réserves de graisses. Selon le Dr Bouvard, « pas moins de trois séances hebdomadaires sont essentielles pour obtenir des résultats ».
Alors, quelle activité privilégier pour perdre du ventre ? Tout dépendra en fait de vos goûts. Marche rapide, course à pied, natation ou vélo, c’est à vous de choisir.
Bon à savoir, pour un résultat équivalent, le temps d’activité ne sera pas le même selon l’activité. La marche rapide ou le jogging par exemple se révélera efficace au bout de 45 minutes.
A vélo, vous devrez pédaler 1 heure 30 pour obtenir le même résultat. Et si vous choisissez la piscine, des séances d’une vingtaine de minutes suffiront.
C’est une des raisons pour lesquelles, nous demandons aux patients du réseau de marcher 30 à 45 minutes tous les jours en une seule fois (chacun à son rythme).
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La balance ne suffit pas.
La balance ne suffit pas à dire si l’on est trop maigre ou trop gros.Peser 100 kilos n’a pas le même impact que l’on mesure 1,60 m ou 1,80 m.
C’est pour cette raison qu’au XIXe siècle, le scientifique belge Adolphe Quetelet, considéré comme le père de la statistique moderne, a proposé une formule de calcul qui tient compte à la fois du poids et de la taille. Cet indice de masse corporelle (IMC), comme on l’appelle aujourd’hui, est maintenant largement utilisé.
L’IMC ne s’applique qu’aux adultes de 20 à 65 ans.
Chez les enfants, les calculs doivent tenir compte de l’âge et, chez les seniors, son interprétation est différente car le poids n’a pas les mêmes conséquences sur la santé que chez les plus jeunes.
Autre limite de l’indice: il n’est évidemment pas valable pour les femmes enceintes ou qui allaitent. Ni même pour les sportifs et les gens très musclés, car il ne fait pas la différence entre la masse grasse et la masse maigre (celle des muscles, des os et des organes).
A la suite de la réponse de Michael ci dessous, je mets en ligne sur le blog l’outil qu’il nous propose pour calculer l’IMC :
(Un Widget offert par http://www.calculersonimc.fr)
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Natasha Harris buvait huit à dix litres par jour.
Une consommation excessive du soda ne serait pas étrangère à la mort d’une jeune Australienne. Elle en buvait huit à dix litres par jour. Natasha Harris, une Australienne de 30 ans vivant en Nouvelle-Zélande, a-t-elle payé de sa vie cette « addiction » au célèbre soda ? La jeune femme, mère de huit enfants, a succombé chez elle à une crise cardiaque en février 2010.
La caféine présente dans la boisson gazeuse en cause.
Ce décès prématuré a conduit à l’ouverture d’une enquête : en Nouvelle-Zélande, en effet, tous les décès anormaux font l’objet d’un examen par une instance juridique dans le but d’une éventuelle modification de la politique en matière de santé.
Les premières conclusions sont tombées jeudi, rapporte The Guardian : d’après le docteur Dan Mornin, Natasha a été victime d’hypokaliémie – sa concentration plasmatique de potassium était beaucoup trop faible.
Et d’après le médecin, la surconsommation de coca par la jeune mère de famille serait bien en cause : la caféine présente dans la boisson gazeuse aurait contribué à sa mort prématurée.
Accro au coca du matin au soir
« La première chose qu’elle faisait en se levant, c’était de boire un verre de coca dans son lit dans son lit et la dernière chose qu’elle faisait avant de se coucher, c’était d’en boire un », a confié Chris, le compagnon de la jeune femme au Guardian.
Ce dernier précise que la mauvaise hygiène de vie de sa compagne ne s’arrêtait pas là : elle mangeait, par ailleurs, très peu et fumait beaucoup. Toujours d’après lui, elle était extrêmement fatiguée dans les mois qui ont précédé sa mort et souffrait d’hypertension artérielle.
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