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Les exercices d’endurance (vélo, jogging) et le renforcement musculaire seraient deux armes efficaces pour perdre du poids, et à utiliser dans la lutte contre l’obésité, c’est ce que révèlent les auteurs d’une étude britannique.

Quels sports à privilégier pour combattre l’obésité des jeunes ?

« En plus d’un régime alimentaire, le cocktail endurance – résistance favoriserait la perte de poids des enfants et adolescents obèses », expliquent les auteurs d’une étude britannique, publiée dans le Journal of the American Medical Association (JAMA)

Vélo, course et musculation.

Pour prouver les bénéfices de l’activité physique sur la courbe pondérale, l’équipe du Dr Ron Signal (Université de Calgary, Alberta) a suivi 304 adolescents obèses, âgés de 14 à 18 ans.

Quatre groupes ont été formés. En parallèle d’un régime alimentaire, les 3 premiers ont suivi un programme sportif pendant un mois, à raison de 4 séances par semaine : musculation sur machines pour le groupe 1, aérobie (vélo, jogging) pour le groupe 2, et une alternance des deux disciplines pour le 3e groupe. Les volontaires du groupe 4 ont pour leur part été « contraints » à la sédentarité.

Résultat : aucun des membres de ce dernier groupe n’a perdu de poids, contrairement aux volontaires assidus des groupes 1, 2 et 3. Les jeunes alliant endurance et musculation ont vu leur tour de taille diminuer de 7 centimètres en 4 semaines. Contre 4 centimètres pour les sportifs soumis à seulement l’une de ces deux disciplines.

La perte de masse graisseuse a été constatée par IRM

Source : Institute for Public Health, Institute of Alberta, septembre 2014

 

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Une étude à grande échelle rapporte qu’en rejoignant un groupe de marche dans la nature, on diminue dépression et stress perçu et on améliore le bien-être mental.
Faire partie d’un groupe de marche en plein air facilite l’interaction avec la nature et l’interaction sociale. Cela permet également de pratiquer une activité physique.

Une nouvelle étude parue dans la revue Ecopsychology rapporte que marcher dans la nature diminue également le risque de dépression et le stress perçu et permet d’améliorer la santé mentale et le bien-être.
Le stress chronique a des conséquences sur la santé physique et mentale. C’est un facteur de risque de la dépression et des maladies cardiovasculaires. Il est important de le traiter mais pas forcément avec des médicaments –généralement les anxiolytiques- qui provoquent accoutumance et effets secondaires. Il existe de nombreuses méthodes alternatives : magnésium, phytothérapie, méditation, cohérence cardiaque, sport…
Dans cette étude, les chercheurs ont étudié l’effet de la participation à des groupes de marche dans la nature sur plusieurs aspects du bien-être. Les 1991 participants appartiennent au programme Walking for Health en Angleterre, qui organise 3000 marches hebdomadaires et attire plus de 70 000 marcheurs réguliers par an. Les chercheurs ont évalué le bien-être mental et émotionnel des marcheurs qui appartiennent à un groupe qui organise des marches dans la nature (nature group walkers) et ceux qui n’appartiennent pas à un groupe. Des données ont été recueillies au début de l’étude – par exemple les évènements stressants passés – puis 13 semaines après (environnement de marche, évènements stressants récents, stress perçu, dépression, bien-être…).
Les personnes qui avaient récemment vécu des évènements stressants comme la maladie, la mort d’un proche, une séparation ou un divorce, une perte d’emploi, ont particulièrement ressenti les bienfaits de la marche en extérieur et en groupe. Ainsi, en moyenne, les personnes qui appartiennent au groupe de marche dans la nature ont moins d’épisodes de dépression, perçoivent moins de stress et d’affect négatif et ressentent un meilleur bien-être mental.
« Nous entendons les gens dire qu’ils se sentent mieux après une promenade ou une sortie en extérieur mais il n’y a pas eu beaucoup d’études de cette taille pour soutenir l’idée que ces activités peuvent réellement améliorer la santé mentale et le bien-être » dit Sara Warber, auteur de l’étude.
« Marcher est une activité physique peu coûteuse, à faible risque et accessible qui, combinée aux effets de la nature et du groupe, peut être un moyen très puissant pur lutter contre le stress. Nos résultats suggèrent qu’une activité aussi simple que se joindre à un groupe de marche dans la nature, peut non seulement améliorer les émotions positives quotidiennes d’une personne mais peut aussi constituer une approche non-pharmacologique pour lutter contre la dépression » ajoute-t-elle.
Pour les auteurs, les résultats de cette étude montrent que les programmes de marche dans la nature peuvent être considérés comme une intervention de santé publique. Les professionnels de santé devraient considérer cette approche naturelle pour aider leurs patients qui subissent stress et dépression.

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Nous remettons en ligne sur le site le début de l’émission de TF1, 7 à 8, diffusée le 13 Avril 2014.

Cela commence par le témoignage de Sandrine :

 

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« Quand je te demande de m’écouter et que tu commences à me donner des conseils, je ne me sens pas entendu.
Quand je te demande de m’écouter et que tu me poses des questions, quand tu argumentes, quand tu tentes de m’expliquer ce que je ressens ou ne devrais pas ressentir, je me sens agressé.
Quand je te demande de m’écouter et que tu t’empares de ce que je dis pour tenter de résoudre ce que tu crois être mon problème, aussi étrange que cela puisse paraître, je me sens encore plus en perdition.
Quand je te demande ton écoute, je te demande d’être là, au présent, dans cet instant fragile où je me cherche dans une parole parfois maladroite, inquiétante, injuste ou chaotique. J’ai besoin de ton oreille, de ta tolérance, de ta patience pour me dire au plus difficile comme au plus léger.
Oui, simplement m’écouter…, sans [excuse] ou accusation, sans dépossession de ma parole. Ecoute, écoute-moi. Tout ce que je te demande, c’est de m’écouter. Au plus proche de moi. Simplement accueillir ce que je tente de te dire, ce que j’essaie de me dire. Ne m’interromps pas dans mon murmure, n’aie pas peur de mes tâtonnements ou de mes imprécations. Mes contradictions, comme mes accusations, aussi injustes soient-elles, sont importantes pour moi. Par ton écoute, je tente de dire ma différence, j’essaie de me faire entendre surtout de moi-même. J’accède ainsi à une parole propre, celle dont j’ai été longtemps dépossédé.
Oh non, je n’ai pas besoin de conseils. Je peux agir par moi-même et aussi me tromper. Je ne suis pas impuissant, parfois démuni, découragé, hésitant, pas toujours impotent. Si tu veux faire pour moi, tu contribues à ma peur, tu accentues mon inadéquation et peut-être, renforce ma dépendance.
Quand je me sens écouté, Je peux enfin m’entendre. Quand je me sens écouté, je peux entrer en reliance. Etablir des ponts, des passerelles incertaines entre mon histoire et mes histoires. Relier des événements, des situations, des rencontres ou des émotions pour en faire la trame de mes interrogations. Pour tisser ainsi l’écoute de ma vie.
Oui, ton écoute est passionnante. S’il te plaît, écoute, et entends-moi. Et si tu veux parler à ton tour, attends juste un instant que je puisse terminer et je t’écouterai à mon tour, mieux, surtout si je me suis senti entendu. « 
Poème de Jacques Salomé

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Silver Spring, Etats-Unis — La Food & Drug Administration (FDA) a donné son feu vert à la commercialisation de l’association Bupropion/Naltrexone ( Contrave®, Orexigen Therapeutics/Takeda ) dans le traitement de l’obésité [1].

Alors que la FDA avait d’abord rejeté l’autorisation de mise sur le marché (AMM) en février 2011 en raison de doutes sur une éventuelle toxicité cardiovasculaires à long terme chez les patients en surpoids ou obèses, les résultats intermédiaires rassurants de l’essai de sécurité cardiovasculaire Light Study sur 8900 patients ont changé la donne.

L’agence a donc approuvé le traitement chez les adultes d’indice de masse corporelle (IMC) d’au moins 30 et chez les adultes avec un IMC ≥ 27 et au moins condition associé au poids (hypertension, diabètes de type 2 ou un cholestérol élevé).

L’autorisation de mise sur le marché s’accompagne, toutefois, d’une obligation de réaliser plusieurs études post-marketing, dont une sur les risques cardiovasculaires.

Risque cardiovasculaire

L’association bupropion naltrexone peut augmenter la pression artérielle et le rythme cardiaque. Les patients victimes d’un infarctus du myocarde ou d’un AVC dans les 6 mois précédents avaient d’ailleurs été exclus des essais, ainsi que les patients présentant des arythmies dangereuses ou une insuffisance cardiaque.

En outre, un avertissement (« black box ») figurera sur la notice du médicament pour alerter les professionnels de santé et les patients du risque accru de pensées suicidaires associé à l’utilisation du bupropion et sur les événements neuropsychiatriques graves rapportés avec le bupropion (Zyban®) dans le sevrage tabagique.

Obésité et addiction aux drogues : des médicaments communs

Contrave® n’est pas le premier médicament de sevrage à être utilisé contre l’obésité. Ainsi, aux Etats-Unis (mais non en Europe), Qsymia® (Vivus), association de phentermine, un dérivé d’amphétamine utilisée pour réduire l’appétit, et du topiramate, un anti-épileptique est utilisé contre l’obésité, alors que des combinaisons très proches sont évaluées dans le sevrage de la cocaïne.

De même, Belviq® (Arena Pharmaceuticals), agoniste 5-hydroxytryptamine-2c, qui a montré une certaine efficacité dans l’addiction à la nicotine ou à la cocaïne.

Ces molécules, qui a priori, concernent davantage la neurologie que la lutte contre l’obésité, n’ont été autorisées dans cette indication qu’à la condition d’études post-marketing très poussées.

Quatre traitements de l’obésité désormais disponibles aux Etats-Unis…bientôt 5 ?

L’AMM obtenue par le buproprion/naltrexone porte à 4 le nombre de traitements de l’obésité désormais disponibles aux Etats-Unis.

Elle survient alors que les discussions s’engagent sur un autre traitement potentiel de l’obésité : l’agoniste du GLP-1 liraglutide (Victoza®, Novo Nordisk), déjà autorisé comme traitement du diabète de type 2.

Les médicaments anti-obésité déjà commercialisés aux Etats-Unis sont l’orlistat (Alli®, GlaxoSmithKline),la lorcasérine (Belviq, Eisai) et la phentermine/topiramate, un dérivé d’amphétamine, (Qsymia®, Vivus). Les deux derniers, ont toutefois, fait l’objet de controverses un peu plus tôt cette année. Dans un éditorial publié dans le JAMA Internal Medicine , les Drs Steven Woloshin et Lisa Schwartz (Dartmouth Institute for Health Policy and Clinical Practice, Lebanon, Etats-Unis) ont qualifié les deux médicaments de « maigres avancées » dans le traitement de l’obésité [2].

Et en Europe ?

Parmi les critiques des deux médecins, l’une d’elles porte sur le fait que l’Agence Européenne du Médicament (EMA) n’a pas accordé d’AMM à la lorcasérine et à la phentermine/topiramate en raison de profils de sécurité jugés défavorables.

L’association Bupropion/naltrexone est, elle, encore en cours d’évaluation en Europe. Reste à savoir ce que l’EMA décidera, cette fois, dans un contexte d’épidémie d’obésité croissante et de pressions diverses.

En février dernier, lors de l’European Congress of Obesity 2014, l’European Association for the Study of Obesity (EASO) avaitdéploré l’absence de médicaments contre l’obésité sur le vieux continent.

« Nous ne pouvons résoudre le problème de l’obésité par la chirurgie et la réalité clinique est que les modifications de style de vie échouent chez 80 à 90% de nos patients », avait alors commenté le président de l’EASO, le Dr Hermann Toplak (Université médicale de Graz, Autriche).

En Europe, la seule option médicamenteuse disponible est aujourd’hui l’orlistat à faible dose (Alli®, GSK) ou à plus fortes doses (Xenical®, Genentech).

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La fréquence de l’obésité abdominale, et par conséquent le tour de taille, a augmenté chez les adultes aux Etats-Unis entre 1999 et 2012, selon une recherche publiée dans le Journal of the American Medical Association (JAMA).

Les chercheurs ont analysé des données portant sur 32.816 hommes et femmes, à l’exclusion de celles qui étaient enceintes, tous âgés de vingt ans et plus.

Ils ont déterminé que le tour de taille moyen avait progressivement augmenté et de façon importante au cours de la dernière décennie, passant de 95 centimètres en 1999 à 98,5 cm en 2012. L’accroissement a atteint 2,03 cm chez les hommes et 3,81 cm chez les femmes.

Par groupe ethnique, les Blancs non Hispaniques ont vu leur tour de taille augmenter de 3,04 cm, les Noirs non Hispaniques de 4,06 cm et les Américano-Mexicains de 4,5 cm.

La prévalence de l’obésité abdominale pour l’ensemble du groupe est passée de 46,4% en 1999-2000 à 54,2% en 2011-2012.

Ce taux est monté de 37,1% à 43,5% chez les hommes, de 55,4% à 64,7% chez les femmes, de 45,8% à 53,8% chez les Blancs non Hispaniques, de 52,4% à 60,9% chez les Noirs non Hispaniques et de 48,1% à 57,4% chez les Américano-Mexicains, précisent les auteurs de cette étude, dont Earl Ford, des Centres fédéraux de contrôle et de prévention des maladies (CDC).

Bien que la prévalence de l’obésité abdominale ait augmenté aux Etats-Unis jusqu’en 2008, l’évolution ces dernières années n’était pas connue, expliquent les chercheurs.

L’obésité abdominale est définie comme un tour de taille supérieure à 102 cm chez les hommes et à 88 cm chez les femmes.

« Nos analyses de ces données provenant de la même enquête indiquent en fait que la prévalence de l’obésité abdominale continue à augmenter », écrivent les chercheurs, en soulignant que cette évolution n’a pas été mise en évidence par les statistiques de l’indice de masse corporelle.

Selon les chercheurs, plusieurs facteurs pourraient l’expliquer dont potentiellement le manque de sommeil, des dérèglements hormonaux et certains médicaments.

 

 

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Ouverture des réservations pour la pièce de théâtre Dame Obésité à Saint-Yrieix  le mardi 16 septembre au matin ! (15 euros tarif plein) au numéro du Centre Culturel Jean-Pierre Fabrègue, 05.55.08.88.77

Cette pièce faite par des patients avec la collaboration de Maxime Sodji (chirurgien bariatrique) sera jouée à Saint Yrieix (près de Limoges) le 21 novembre 2014 à 20h30.

Je trouve l’affiche de cette pièce particulièrement réussie.

dame obesite

 

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Le taux d’obésité chez les adultes américains n’a diminué dans aucun État en 2013, alerte le rapport annuel de l’organisation « Trust for America’s Health » (TFAH), rédigé en collaboration avec le Robert Wood Johnson Foundation. Il a augmenté dans 6 États : Alaska, Delaware, Idaho, New Jersey, Tennessee, et Wyoming.

L’épidémie d’obésité tend à ralentir (en 2005, les taux avaient augmenté dans tous les États sauf un), mais elle reste très préoccupante.

Les taux d’obésité dépassent pour la première fois 35 % dans 2 États, Mississippi et West Virginia, ils avoisinent 30 % dans 20 États, et ne sont nulle part sous la barre des 21 % – Le Colorado ayant le plus faible taux à 21,3 %. En France, il est de 12,5 % selon un rapport de l’OCDE (2014).

 Quelque 6 % des adultes souffrent d’obésité sévère ; un chiffre qui a quadruplé au cours des 30 dernières années.

L’Américain moyen pèse 11 kg de plus qu’en 1960.

Quelques progrès chez les enfants

Entre 2008 et 2011, 18 États ont observé une diminution des taux d’obésité chez les enfants issues de familles à bas revenu. Néanmoins, près d’un enfant sur trois entre 2 et 19 ans est en surpoids ou obèse, une proportion qui reste stable depuis 10 ans. Plus d’un enfant sur 10 devient obèse entre 2 et 5 ans et 5 % de la tranche des 6-11 ans pâtit d’obésité sévère.

Le rapport met en lumière de grandes disparités géographiques, financières, ethniques et sociales. Ainsi, les taux d’obésité sont plus élevés dans le Sud qui regroupe 9 des 10 premiers États du classement.

L’obésité touche plus les Afro-Américains (taux moyen de 47,8 %), les Hispaniques (42,5 %), que les Blancs (32,6 %) .

Plus de 33 % des adultes qui gagnent moins de 15 000 dollars par an sont obèses, contre 25,4 % de ceux qui gagnent plus de 50 000 dollars.

Ces inégalités se retrouvent chez les enfants : les taux d’obésité sont de 22,4 % chez les Hispaniques, de 20,2 % chez les Afro-Américains, et de 14,1 % chez les Blancs.

 

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Sur les 43 732 adultes opérées dans 39 cliniques du Michigan entre 2006 et 2013, on remarque que la Sleeve gastrectomy qui représentait 6 % de l’ensemble des procédures en 2008, représente 67,3 % en 2013.

Durant la même période, le by-pass qui représentait 58 % de l’ensemble des procédures en 2008, ne représente plus que 27,4 % en 2013.

Les anneaux gastriques ajustables qui représentaient 34,5 % des procédures au début, ne représentent plus que 4,6 % des procédures en 2013.

On note les mêmes tendances en France.

 

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Une étude américaine révèle que les adolescents en manque de sommeil ont plus de risques de devenir obèses. On recense une hausse des problèmes cardiaques, de dépression et d’obésité chez les jeunes qui ne dorment pas assez.

Le sommeil des jeunes est primordial.

Le sommeil est utile pour le corps humain et permet la régénérescence des cellules. Malheureusement, les insomnies touchent plus de 20% de la population adulte de cette planète.

Les scientifiques de l’Université de Columbia ont décrypté le mode de vie de 10 000 jeunes de 16 à 21 ans. Les résultats sont sans appel : ceux dormant moins de 6 heures par nuit augmentent de 20% leur risque de devenir obèse à l’âge adulte. Un résultat qui fait froid dans le dos. « Nous voulons adresser un message aux parents. Ils doivent s’assurer que leurs ados dorment plus de huit heures par nuit« , explique le professeur Suglia. « Car, une bonne nuit de sommeil est non seulement bénéfique pour leur concentration à l’école, mais elle leur permet aussi de devenir des adultes bien-portants ».

 

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