Le marché de la cosméto-textile, qui génère un chiffre d’affaire d’environ 500 millions d’euros voit débarquer un nouvel arrivant : WRANGLER.
Un cosméto-textile est un article textile contenant une substance cosmétique active, enfermée dans des microcapsules et destinée à être libérée (par mouvements de friction ou pression entre le corps et le tissu) durablement sur les différentes parties superficielles du corps, notamment l’épiderme. Ces textiles revendiquent une (ou des) propriétés particulières : hydratantes ou amincissantes par exemple.
Le premier cosméto-textile à été lancé en 2000 sur le marché par DIM, avec ses collants amincissants. Mais le produit est passé inaperçu car à l’époque, les techniques de microencapsulations n’étaient pas assez efficaces et le principe actif s’estompait au premier lavage. Le prix de vente du produit était également un frein. 1 kg de microcapsules, oscillait entre 150 et 200 euros, contre 4 fois moins cher aujourd’hui.
Depuis, de nombreuses marques se sont lancées sur le secteur, à l’image de Lytess, leader sur le marché Français, qui voit son chiffre d’affaire bondir de 230 000 euros à 5 millions en 4 ans seulement.
A présent, depuis le 28 Janvier dernier, c’est au tour de WRANGLER d’envahir le marché avec ses 3 jeans aux vertus : hydratantes (Squalène d’olive), amincissantes (Algues Marine, Rétinol, Caféine) et apaisantes (Aloé Vera).
Mais pourquoi WRANGLER se lance t’il sur ce marché, très concurrencé, notamment par de nombreuses marques, fortes de 10 années d’expériences ?
En premier lieu, il faut savoir que d’après de récentes études du cabinet Xerfi, la cosméto-textile et la cosmétique instrumentale, sont classées parmi les segments les plus porteurs à l’horizon 2015. De nombreuses marques désirent donc leur part du gâteau.
De plus, les principaux reproches faits à ces cosméto-textiles concernent l’esthétique. Ainsi, WRANGLER par sa légitimité dans l’univers de la mode et du jeans possède un avantage important sur ce point.
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