ROSA fait son cinéma.
La branche bitérroise du réseau ROSA poursuit une série de projections-débats autour de films qui méritent attention.
Dimanche 09 Décembre 2012 à 14 heures autour du film de Marie Monique ROBIN « Notre poison quotidien ».
Visionnage en compagnie du Dr BUENOS du film de Marie Monique ROBIN : « Notre poison quotidien ».
Suivi d’une discussion – débat autour du film.
Participation gratuite pour les membres de la branche bitérroise du réseau ROSA, mais inscription préalable obligatoire auprès du Dr BUENOS au 06 78 51 89 41.
Nombre de participants limités.
pitch du film :
Cette enquête explore la manière dont sont évalués et réglementés les produits chimiques, qui entrent en contact avec notre alimentation (pesticides, additifs et plastiques alimentaires) et le lien potentiel entre l’exposition à ces substances et certaines maladies chroniques, comme les cancers, les maladies neurodégénératives, comme le syndrome parkinsonien, les troubles de la reproduction (stérilité), le diabète et l’obésité…
La prochaine projection-débat aura lieu le Dimanche 16 Décembre 2012 2012 autour du film « les moissons du futur » …..
Ces rencontres ont lieu au Ciné Rosa : 5 rue Paul Paget 34500 Béziers
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Alors que le gouvernement a récemment annoncé la mise en œuvre prochaine d’une politique publique « Sport – Santé – Bien-être », l’Académie nationale de médecine appelle notamment à adopter « de nouvelles dispositions réglementaires » pour organiser la prise en charge du « sport santé » par l’assurance-maladie « dans le cadre de sa politique de prévention », « en association avec les mutuelles et les assurances privées ».
De nombreuses publications viennent aujourd’hui confirmer que pratiquer des activités physiques et sportives (APS) à tout âge « augmente l’espérance de vie en bonne santé », « retarde la dépendance », « constitue un complément thérapeutique efficace » pour de nombreuses affections, et améliore la prise en charge des handicaps, rappellent les auteurs*. En dépit des efforts déployés par certaines mairies, associations et de nombreux bénévoles, le bilan de la France dans le domaine de la pratique des activités physiques et sportives reste décevant, constatent-ils.
Sport sur ordonnance
Une « révolution culturelle » orchestrée par les pouvoirs publics est nécessaire pour enraciner le « sport santé » dans notre société. « Dès le jeune âge, puis tout au long de la vie, les activités physiques et sportives doivent s’imposer dans les habitudes de chacun ». Pour insuffler et soutenir cette dynamique, il convient de « sensibiliser les médecins et enseignants » aux bénéfices du « sport santé », le corps médical devant pour sa part « définir les bonnes pratiques de la prescription des APS dans des conférences de consensus », souligne l’Académie.
« Les APS peuvent être proposées au sujet sain dans le cadre de la prévention primaire ou être l’objet d’une prescription médicale venant ou non compléter un traitement médical ». La prescription d’un sport sur ordonnance devra être rédigée « selon les règles de toute prescription médicamenteuse et être expliquée au patient avec la même rigueur » (nature et contexte de la pratique, intensité, durée et fréquence des séances, mesures associées, suivi et contrôles médicaux à observer).
Règle des « 3R »
Le volume d’activité nécessaire et suffisant pour chacun peut se résumer au respect de la règle des « 3R », à savoir : une activité « régulière » (au moins hebdomadaire), « raisonnée » (correspondant à 50 % de l’activité physique maximale déterminée pour chaque sujet) et « raisonnable » (mettant à l’abri d’incident ou d’accident). « La surveillance médicale du sujet adoptant un programme d’activités physiques et sportives de base, peut se limiter à une consultation médicale annuelle programmée auprès du médecin traitant », avec des comptes rendus médicaux à faire figurer dans le dossier médical personnalisé (DMP), indiquent les auteurs.
* Jacques Bazex, Pierre Pène, Danièle Rivière et Michel Salvador co-signent un texte intitulé « Les activités physiques et sportives : la santé, la société »
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Nouveau réseau social, Supermarmite est le premier site géolocalisé qui vous dit où trouver les plats maison qui mijotent à 2 pas de chez vous.
D’un côté, une communauté de gourmets qui propose ses plats (lasagne maison, tagines, sablés …etc), indique l’heure à laquelle ils seront prêts, le nombre de parts, le tout généralement au prix de 3 à 10 euros la part.
De l’autre côté, des gourmands qui rechignent à cuisiner, du genre étudiants qui n’en peuvent plus des plats préparés, urbains pressés ou amoureux de la bonne cuisine, qui passent chercher le plat proposé par les gourmets.
Une formule qui commence à se développer partout en France.
La branche biterroise du réseau ROSA serait intéressée par l’utilisation de ce réseau social Supermarmite. En effet, en privilégiant l’usage de fruits et légumes bio, des patientes pourraient proposer par ce biais à la dégustation collective leurs recettes (potages, plats …etc). Eventuellement, à partir des éléments des paniers de Thierry Collignon …….
Cette piste va être réfléchie et éventuellement retenue et promue par notre diététicienne Marie Laure MABILAT.
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Une semaine après la publication des avis l’Agence nationale de sécurité sanitaire des aliments (ANSES) et du Haut conseil des biotechnologies (HCB) réfutant les conclusions de l’étude du Pr Gilles-Éric Séralini sur le maïs OGM NK603 et le pesticide Round up, quatre anciennes ministres de l’Environnement demandent la publication des études qui ont permis l’autorisation de mise sur le marché de ces produits.
Dans une tribune co-signée lundi dans le quotidien gratuit « 20 minutes », Ségolène Royal, Dominique Voynet et Corinne Lepage jugent « indispensable que soient rendues publiques toutes les études existantes sur l’impact des OGM sur la santé, ainsi que les données brutes pour qu’un véritable débat scientifique puisse s’ouvrir au sein de la communauté scientifique dans son ensemble ».
Le même jour, sur son blog, Nathalie Kosciusko-Morizet, autre ex-ministre de l’Écologie demande que cet appel qui fait suite à la « dérangeante » étude du Pr Séralini soit « entendu ».
La semaine dernière, tandis que le gouvernement appelait à une « remise à plat du dispositif européen d’évaluation, d’autorisation et de contrôle des OGM et des pesticides », une mission d’information du Sénat réclamait également davantage de transparence de la part des industriels.
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Deux Australiens sur trois présentent une surcharge pondérale ou sont obèses, révèle une étude de l’agence australienne des statistiques (ABS) montrant par ailleurs une meilleure hygiène de vie de la population adulte du pays.
L’étude nationale sur la santé des Australiens 2011/2012, réalisée auprès de 33.500 personnes, a établi que 63,4% des Australiens de plus de 18 ans souffraient d’un excès de poids. Une augmentation de 2% depuis 2010 et de 7% depuis 1995. « Cela signifie que près des deux tiers de la population sont maintenant classés parmi les personnes en surcharge pondérale ou obèses », constate le statisticien Paul Jelfs.
L’Australie est au 5e rang des pays développés pour la prévalence de l’obésité, derrière les Etats-Unis, le Mexique, la Nouvelle-Zélande et le Chili, selon l’OCDE.
L’enquête a paradoxalement révélé une meilleure hygiène de vie générale avec une baisse du nombre de fumeurs et de la consommation d’alcool.
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Le stress ressenti par les parents réduirait le temps passé à cuisiner et augmenterait le recours au fast-food, avec comme conséquence des enfants en surpoids, avance une étude américaine publiée dans la revue Pediatrics.
Pour éviter que votre enfant ne grossisse, détendez-vous !
Cette étude a été menée auprès de 2 119 parents et encadrants d’enfants âgés de 3 à 17 ans. Les scientifiques ont mesuré le stress des personnes selon les réponses des sondés.
« Le stress parental pourrait être un important facteur de risque pour l’obésité infantile et les comportements apparentés », a expliqué le Dr. Elizabeth Prout-Parks, spécialiste de la nutrition au Children’s Hospital of Philadelphia, qui a dirigé l’étude.
Parmi les causes de stress les plus lourdes pour les parents, les chercheurs ont noté la mauvaise santé physique et mentale, les problèmes d’argent et le fait d’être parent isolé.
Même si de précédentes études avaient déjà démontré un lien entre stress parental et obésité infantile, les chercheurs expliquent que leur étude s’est intéressée à une tranche plus large de la population que les recherches précédentes « du côté ethnique et socio-économique ».
Le Dr. Eleanor Mackey, pédopsychologue au Children’s National Medical Center de Washington, a confié au site WebMD que le fait d’acheter du fast-food était un tort répandu chez les parents sur les nerfs. « Vous sortez d’une journée difficile au travail, et vouloir proposer un repas équilibré peut s’avérer accablant et cher ». Et d’ajouter, « il peut être difficile d’élever sainement des enfants lorsqu’on ne dispose pas de ressources adéquates. »
Comme les produits frais peuvent être onéreux, les chercheurs recommandent l’alternative plus abordable de légumes en boîte et surtout que les parents prennent le temps de se détendre.
Source : Influence of Stress in Parents on Child Obesity and Related Behaviors – Elizabeth P.Parks et al. -Pediatrics – Published online October 22, 2012 (abstract accessible en ligne)
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La réglementation impose un étiquetage des produits contenant plus de 0,9% d’OGM. Les autres entrent alors dans notre alimentation à notre insu, dénonce Greenpeace, qui demande la suspension des autorisations du maïs transgénique.
Le «sans-OGM» a la côte ces jours-ci. L’étude choc sur la toxicité des organismes génétiquement modifiés, publiée mi-septembre, a semé le trouble chez les consommateurs dans les rayons des supermarchés. Selon un sondage Ifop, réalisé après la publication de cette étude, 79% des Français étaient inquiets de la présence d’OGM dans leur alimentation. «Ce climat d’inquiétude ne peut continuer», réagit l’association de consommateurs CLCV. Se voulant rassurante, l’UFC-Que choisir avance que «le risque immédiat est quasi inexistant pour le consommateur français, car, mis à part quelques rares aliments d’importation, les végétaux transgéniques sont absents de nos assiettes ou presque». Un doute que près de 130 organisations, dont le Fonds mondial pour la nature (WWF), Greenpeace et Attac, ne supportent plus. Elles ont demandé mercredi au gouvernement de suspendre les autorisations du maïs transgénique NK603, mis en cause par l’étude.
Comment repérer les OGM dans nos produits? En tout, l’Union européenne autorise la consommation de 46 OGM, dont 26 variétés de maïs et, en moindre mesure, de soja, coton, colza, pomme de terre et betterave. Ces produits sont majoritairement importés, puisque la culture est très limitée en Europe, et même interdite en France. Ils sont utilisés pour nourrir les animaux ou comme ingrédients ou additifs qui peuvent potentiellement se retrouver dans les céréales, biscuits, sauces ou plats cuisinés consommés par l’homme. «Dans la mesure où les consommateurs rejettent les produits transgéniques, les professionnels se débrouillent pour ne pas en utiliser», assure l’UFC. Et ce d’autant plus que la réglementation européenne impose un étiquetage des aliments contenant plus de 0,9% d’OGM.
Le «sans-OGM», outil marketing pour la grande distribution
«Cependant, encore beaucoup de produits sont issus d’animaux nourris avec des OGM. Ils entrent alors dans notre alimentation à notre insu», déplore Greenpeace qui a publié un Guide des produits avec ou sans OGM afin de «pallier les insuffisances de l’étiquetage». C’est le cas, par exemple, du soja importé d’Amérique du Nord et d’Amérique du Sud, majoritairement transgénique, qui se retrouve dans les mangeoires de dizaines de millions d’animaux élevés en France. Or «il n’y a pas d’obligation d’étiquetage pour les produits issus d’animaux», que ce soit de la viande, du lait ou des œufs, souligne l’organisation. Dans son inventaire, Greenpeace adresse un carton rouge aux marques de distributeurs (MDD) qui, selon l’organisation non gouvernementale, mettent souvent en rayon des produits provenant d’animaux nourris aux OGM et souligne que les labels rouges et appellations d’origine contrôlée (AOC) ne garantissent pas une non-utilisation d’ingrédients transgéniques. En revanche, selon Greenpeace, tous les produits «bio» sont garantis «sans OGM».
Comment les OGM entrent dans la chaîne alimentaire par le biais de l’alimentation animale. Source: Greenpeace.
Face à cette fronde anti-OGM, le gouvernement calme le jeu. En attendant le verdict des autorités sanitaires française et européenne sur l’étude choc, le ministre délégué à la Consommation, Benoît Hamon, a rappelé qu’il existait depuis le 1er juillet dernier un étiquetage «sans OGM» pour aider les consommateurs à faire leur choix. Les nouvelles mentions «nourri sans OGM» ou «issu d’animaux nourris sans OGM» permettent désormais d’identifier les produits d’origine animale sans trace de composants transgéniques. «La filière “sans OGM” obtient ainsi une visibilité salutaire», applaudit l’UFC. S’il est facultatif, cet étiquetage peut s’avérer un bon outil marketing pour les distributeurs à l’heure où le grand public cherche à se rassurer. Pionnier dans ces nouvelles indications, Carrefour s’est ainsi empressé de rappeler qu’il avait mis en place un étiquetage «sans OGM» sur plus de 300 produits dès octobre 2010.
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Pour répondre à la demande d’un soja sans OGM , les producteurs canadiens ont dû investir dans du matériel et des infrastructures souvent coûteuses.
Les producteurs de l’Ontario répondent à la demande européenne et japonaise.
«OGM ou non-OGM, ce n’est pas un problème: il y a place pour les deux!» Comme tout Anglo-Saxon qui se respecte, James Gowland voit les choses de manière pragmatique. Les Européens et les Japonais ne veulent pas acheter de soja transgénique? Qu’à cela ne tienne, cet agriculteur de l’Ontario, aux commandes avec sa femme, Judy, d’un domaine de 900 hectares à Holyrood, à une centaine de kilomètres à l’ouest de Toronto, s’est mis en quatre pour répondre à cette demande. Non seulement, le client est roi, mais le prix, fixé contractuellement, est majoré de 10 à 15%…
Pour y parvenir, ce sexagénaire affable a mis en place une organisation drastique qu’il résume en deux mots: «propreté» et «traçabilité». Pas question en effet de livrer à des clients pointilleux une marchandise contenant ne serait-ce qu’une infime fraction d’OGM. En Europe, le taux de présence fortuite est limité à 0,9% quand il s’agit de transgènes (ou «événements» de transformation génétique) autorisés à la commercialisation au sein de l’Union européenne. Dans le cas contraire, le seuil de tolérance n’est que de 0,1% à condition que l’OGM soit strictement destiné à l’alimentation animale et qu’il soit déjà homologué par les autorités sanitaires d’au moins un pays tiers. Une cargaison ne respectant pas ces normes draconiennes court le risque d’être refoulée aux portes de l’Europe.
James Gowland, qui produit également du soja transgénique résistant au glyphosate, un herbicide total permettant un meilleur contrôle des mauvaises herbes, a donc tout mis en œuvre pour éviter les «contaminations». Son matériel est tout d’abord extrêmement bien entretenu. Tracteurs, moissonneuse-batteuse, semoirs ainsi que les bâtiments d’exploitation (hangars, ateliers, séchoirs à grain), sont rutilants. Entre chaque utilisation, le matériel, utilisé aussi bien pour les cultures OGM que non-OGM, est consciencieusement démonté et nettoyé avec un compresseur à air comprimé pour ôter tout reste de graine. Rien que pour la moissonneuse-batteuse, l’opération dure à chaque fois entre six et huit heures!
Sur le plan agronomique, la rotation blé, maïs, soja permet d’éliminer tout risque de repousses de graines OGM dans les parcelles de soja censées en être dépourvues. Chaque livraison auprès de l’organisme collecteur fait l’objet d’un test génétique PCR (Polymerase Chain Reaction) pour détecter une éventuelle présence d’OGM. Ces grains estampillés «non transgéniques», tout comme ceux de 200 producteurs de la région, sont ensuite stockés dans un silo dédié.
Au Canada, où 65% de la production de soja est transgénique, l’Ontario fait figure d’exception. Sur le terminal portuaire de Goderich au bord du lac Huron, la proportion est inverse. «Environ 60% du soja qui transite chez nous est non transgénique», confirme Joey Groot, le directeur de l’installation.
À toutes les étapes de cette chaîne qui relie agriculteurs, organismes collecteurs et terminal portuaire, chaque acteur a investi dans du matériel et des infrastructures souvent coûteuses et mis en place des procédures rigoureuses, seul moyen de garantir sur du long terme la qualité requise.
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Une consommation élevée de primeurs serait liée à une plus grande sensation de bien-être et à un moindre risque de démence, selon une étude britannique.
Pour une sensation de bien-être et une bonne santé mentale, 7 à 8 portions quotidiennes de 80 grammes de fruits et légumes sont recommandées par une étude britannique, menée par des chercheurs de l’université de Warwick, portant sur près de 80 000 personnes choisies au hasard.
« L’effet statistique des fruits et légumes a été une surprise, raconte le Pr Sarah Steward Brown, l’une des auteurs de l’étude. Le régime alimentaire est très peu pris en compte par les recherches sur le bien-être. »
Pour Pascale Barberger-Gateau, de l’unité Inserm 897 Epidémiologie de la nutrition et des comportements alimentaires, « plusieurs études préalables avaient déjà montré que la consommation de doses importantes de fruits et légumes était associée à un risque moins élevé de développer des démences chez les personnes âgées. »
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Une belle reconnaissance pour la Fromagerie, avenue Pierre Verdier et pour Jackie et Christian, chez Selvo° dans les Halles.
Jo et Max Santa ainsi que Jackie et Christian Briera se sont lancés dans le métier d’artisan affineur fromager et aujourd’hui ils viennent d’être récompensés.
En effet, la Fromagerie de l’avenue Pierre Verdier et Selvo°, des Halles municipales, viennent d’être sélectionnés parmi les 92 meilleurs fromagers de France sur les 3200 recensés par le Gault et Millau. Une vraie reconnaissance pour le travail et les compétences de ces professionnels.
Une performance, lorsque l’on sait que sur la grande région de sélection (Rhône-Alpes, Provence Alpes Côte d’Azur, Languedoc-Roussillon), les plus proches de Béziers sont à Nîmes. Rien sur Montpellier, Perpignan, Carcassonne ou Narbonne.
Jo et Max. Santa ont ouvert leur boutique il y a trois ans sur l’avenue Pierre Verdier. Petit à petit, grâce à leur travail, ils sont arrivés à fidéliser les amateurs et à alimenter des restaurateurs.
Chez Selvo°, installé aux Halles depuis plus de 20 ans, les habitués ne sont pas les mêmes. Jackie et Christian fournissent également des grands noms de la gastronomie, mais ils ont su adapter leur étal aux fidèles du marché couvert.
Le couple Santa propose quelque 120 fromages à la coupe. Il se sert chez les producteurs.
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