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Une expérience, publiée la semaine dernière dans la revue PLos One, a montré que des personnes croyant à tort, avoir beaucoup mangé se sentaient davantage rassasiées.

Jeffrey Brunstorm et ses collègues de l’université de Bristol ont offert à 100 volontaires soit une grande (500 ml), soit une petite (300 ml) portion de soupe, au moment du déjeuner. Par un système astucieux de pompage ou de remplissage du bol, les chercheurs ont modifié pendant le repas la quantité de soupe pour chacun des convives, sans qu’ils puissent s’en apercevoir. Les uns mangeant 300 ml en pensant qu’ils en absorbent 500 et vice versa. Deux heures après ce repas, les volontaires qui avaient cru consommer une grande portion de soupe avaient beaucoup moins faim que ceux qui pensaient n’en avoir eu qu’une petite quantité.

Immédiatement après le repas, la sensation de satiété était proportionnelle à la quantité de soupe consommée et non celle que les volontaires avaient vu. Mais 2 à 3 heures après, les volontaires qui avaient cru consommer une grande portion rapportaient une plus grande satiété que ceux qui pensaient avoir eu une petite portion.

La satiété intellectuelle ????? bien connue dans le réseau ROSA

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Introduction – Plusieurs études ont montré un taux élevé de somnolence dans la population générale aux États-Unis et en Europe, mais il existe peu de données, dans la population française, sur la somnolence, les facteurs socio-démographiques associés et ses conséquences.

Méthode – Une enquête en population générale a été réalisée, dans le cadre de la Journée nationale du sommeil, par l’Institut national du sommeil et de la vigilance (INSV) en 2011 auprès d’un échantillon représentatif de la population adulte, avec une caractérisation précise des horaires de travail, du temps de transport, de la structure familiale et des catégories socioprofessionnelles. Le questionnaire a été construit par des spécialistes du sommeil et comprend :

1) des items permettant d’estimer le temps de sommeil total (TST) et les pathologies du sommeil déclarées associées ;

2) une évaluation de la somnolence par l’échelle de somnolence d’Epworth (ESS) et des items portant sur la plainte de somnolence, les épisodes d’endormissement diurnes, les siestes ;

3) les caractéristiques de la somnolence au volant et les contre-mesures adoptées.

Résultats – 1 012 adultes (51% de femmes) de 18 à 60 ans ont été interrogés. Parmi les sujets interrogés, 21% ressentent de la somnolence dans la journée au moins 3 fois par semaine, y compris lorsqu’ils ont bien dormi, 11% se sentent somnolents tous les jours et 7% (15% des hommes) s’endorment régulièrement sans pouvoir résister à la somnolence au moins 3 fois par semaine. Pour 4%, ces endormissements ont lieu tous les jours. En considérant l’ESS : 19% du groupe peuvent être considérés comme somnolents (ESS>10) et 3% comme somnolents sévères (ESS≥16) ; 26% des sujets disent faire parfois la sieste, 9% font la sieste au moins 3 fois par semaine et 2% la font tous les jours ; 12% des conducteurs ont dû s’arrêter de conduire au moins 1 fois pour dormir au cours des 12 derniers mois ; 3% des conducteurs rapportent s’être endormis au volant au cours de ces 12 derniers mois. Les facteurs associés significativement à la somnolence sont le temps de transport quotidien, le travail de nuit et en horaires décalés, et certaines pathologies du sommeil déclarées (syndrome d’apnées, syndrome des jambes sans repos, hypersomnie).

Conclusion – La somnolence concerne un Français sur 5 et a des conséquences sévères sur le risque d’endormissement au volant.

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Le prochain groupe de parole aura lieu le vendredi 15 Février 2013 à 18 heures à l’Espace Renaissance (2° étage de la clinique Champeau).

Ce sera l’occasion de faire le point sur de nombreux sujets (seconde peau, activités physiques, massages, alimentation bio ..etc° ) et de vous parler du conseil en image qui se met en place au sein du réseau ROSA Béziers.

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http://www.france3.fr/

20h45
LE COMBAT CONTRE L’OBÉSITÉ
Société
Durée : 1h50min
Selon les derniers chiffres publiés, près de la moitié des Français sont en surpoids. Plus grave, 15% sont obèses, soit 7 millions de personnes, qui peuvent développer des maladies graves. Aujourd’hui, le système de santé français a mis en place des équipes pluridisciplinaires pour combattre ce fléau. Au CHU d’Angers, un service spécialisé…

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Les smoothies sont plus sucrés et donc plus caloriques qu’on ne le pense. Selon une association anglaise de consommateurs, ce breuvage serait plus mauvais pour la ligne et les dents que le Coca-Cola.

Souvent choisis pour leur aspect sain et leur fraicheur estivale, les smoothies seraient bien loin d’être diététiques. Une étude anglaise, citée par le Daily Mail, révèle que ce breuvage, composé d’une forte concentration de fruits, contient en fait beaucoup de sucres et donc de calories.

Les chercheurs ont en effet testé une cinquantaine de smoothies parmi les marques que l’on trouve en supermarché et ont été étonnés de constater que quatre smoothies sur cinq contenaient plus de sucre et de calories qu’une bouteille de 250 ml de Coca-Cola.

Toutefois, les scientifiques à l’origine de cette étude nuancent en disant qu’il n’est pas nécessaire de bannir la consommation de cette boisson puisqu’elle est aussi source de vitamines et de minéraux, contrairement aux sodas qui ne contiennent que du sucre ajouté.

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À l’échelle mondiale, l’obésité tue trois fois plus que la malnutrition. C’est ce que démontre une étude menée dans 187 pays, qui révèle que l’on meurt plus du manger trop que de ne pas assez manger.

L’obésité tue plus que la faim à l’échelle du monde. En effet, d’après une étude internationale menée dans 187 pays sur l’état de santé mondial, publiée le samedi 15 décembre 2012 dans la revue scientifique médicale britannique « The Lancet », l’obésité ferait désormais davantage de victimes que la malnutrition. « En 20 ans, on est passé d’un monde où les gens souffraient de malnutrition à un monde où les gens souffrent de maladies liées à une alimentation trop grasse et trop riche », rapporte au Daily Telegraph l’un des auteurs de l’étude, le Docteur Majid Ezzati, président de la Global environment health de l’Imperial College London.

9 millions de décès dus à l’hypertension artérielle.

En 2010, l’obésité a été responsable de la mort de 3,4 millions de personnes dans l’ensemble des pays du nord, alors que, la même année, la malnutrition a tué moins d’un million d’individus. Outre les maladies cardiovasculaires et le diabète de type II, liés à l’obésité, les experts montrent du doigt les mauvais chiffres de l’hypertension artérielle, qui serait à l’origine de près de 9 millions de décès par an.

 

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Le chirurgien Patrick Noël souhaite développer la technique « spider sleeve » à la clinique de La Casamance à Aubagne.

Il s’agit de faire une sleeve gastrectomy par une seule incision ombilicale au lieu des 5 trous de trocarts habituels (2 de 5 mm et 3 de 1.2 cm).

Une première en France, réalisée le 20 novembre dernier à la clinique de La Casamance, par le Dr Patrick Noël, sous l’égide du Pr Michel Gagner.

Déjà reconnue comme un centre expérimenté en matière de prise en charge de l’obésité, c’est à la clinique de La Casamance qu’a eu lieu, le 20 novembre 2012, la première intervention de type « spider sleeve », en France.

Le chirurgien Patrick Noël, internationalement connu pour ses compétences en la matière, officiait sous l’égide du professeur Michel Gagner, venu du Canada pour l’occasion, et aux côtés du professeur Jean-Marc Chevallier, président de la société française et francophone de chirurgie de l’obésité et des maladies métaboliques (Soffcomm), ainsi que du professeur David Nocca, directeur scientifique de la Soffcomm.

Cette nouvelle technique, encore peu pratiquée en Europe, présente une évolution par rapport à la « sleeve gastrectomy », qui déjà a quasiment supplanté la pose de l’anneau gastrique.

« Les douleurs post-opératoires seraient moins importantes », explique Patrick Noël, qui ne voit qu’un seul inconvénient à cette nouvelle avancée dans la chirurgie de l’obésité : son coût. Le dispositif à usage unique fabriqué par la société américiane TransEnterix, – dont la forme ferait penser à une araignée, d’où son nom de spider -, représenterait un surcoût de 1 000 € selon le praticien, par rapport à une sleeve « classique », de l’ordre de 6 000 €, et entièrement prise en charge par la Sécurité sociale. « Il est hors de question, pour nous, de faire prendre en charge ce surcoût au patient », indique Patrick Noël, qui réfléchit à une solution pour développer cette innovation à Aubagne.

La technique, qui se fait comme les autres par coelioscopie, pourrait en tout cas avoir de beaux jours devant elle, puisqu’aujourd’hui, sur 400 patients opérés chaque année, le Dr Noël indique ne poser que 5 ou 6 anneaux gastriques. Et le Pr Gagner, « inventeur » de la « spider sleeve », après une centaine de personnes opérées, connaîtrait de bons résultats.

Dr BUENOS : le principe de la Sleeve gastrectomy par un seul trocart était déjà connu mais n’avait pas été suivi à cause des risques majorés d’éventration par l’incision ombilicale qui était plus grande que les orifices de trocart habituels, mais également du fait d’une exposition opératoire de moins bonne qualité.

Peut être que l’instrumentation du Pr GAGNER permettra d’améliorer ces 2 points.

A suivre ……

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Objectif : Estimer la prévalence des symptômes évocateurs de syndrome d’apnées-hypopnées du sommeil (SE-SAHOS) et l’importance du sous-diagnostic du SAHOS chez les adultes en France. Estimer l’évolution, entre 2006 et 2011, du nombre de personnes traitées pour SAHOS en France.

Méthodes – Les données de deux enquêtes déclaratives (Enquête santé et protection sociale (ESPS) 2008 en population générale et Entred 2007 (Échantillon national témoin représentatif des personnes diabétiques) chez les diabétiques ont été utilisées. Les SE-SAHOS ont été définis par des ronflements fréquents associés à une somnolence diurne excessive ou à des apnées constatées par l’entourage. Les taux annuels bruts et les taux standardisés sur l’âge de personnes traitées par pression positive continue (PPC) ont été calculés de 2006 à 2011 à partir des données de l’échantillon généraliste des bénéficiaires (EGB) de l’assurance maladie.

Résultats – En population générale, 4,9% des personnes ont déclaré avoir des SE-SAHOS et 2,4% un SAHOS diagnostiqué. Parmi les personnes avec SE-SAHOS, 15% avaient déjà bénéficié d’un enregistrement du sommeil. Chez les diabétiques de type 2, la prévalence des SE-SAHOS était de 16%, et 28% des personnes symptomatiques avaient déjà eu un enregistrement du sommeil. Le taux annuel standardisé de personnes traitées par PPC a augmenté entre 2006 et 2011 (+15% par an). En 2011, 0,9% des adultes bénéficiaires du régime général de l’assurance maladie étaient traités par PPC.

Conclusion – Les SE-SAHOS sont fréquents et sous-explorés en France. Le nombre de personnes traitées par PPC est en augmentation.

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Le ministère de la santé vient de labelliser le centre intégré de prise en charge de l’obésité (CIO) de Toulouse. Il devient l’un des cinq centres référents français. Soins et recherche y sont associés.

«Le parcours de soin du patient obèse n’est pas bien organisé. Sans référentiel connu, sans recommandation comme il peut en exister pour le diabète, le médecin ne sait pas quoi proposer à son patient. Il faut une prise en charge équivalente sur toute la région Midi-Pyrénées» explique le professeur Patrick Ritz, du service d’endocrinologie – unité de nutrition de l’hôpital Larrey.

Le CIO (centre intégré de prise en charge de l’obésité de Toulouse) doit répondre à cette problématique. Il s’appuiera sur un centre clinique spécialisé de l’obésité (TOSCA- Toulouse, Obésité, Surpoids, Conduites Alimentaires) et sur l’expérience toulousaine dans la recherche sur l’obésité, dans la continuité de l’unité créée par le docteur Max Lafontan dans les années 1980, aujourd’hui I2MC (Institut des maladies métaboliques et cardiovasculaires). «Nous bénéficions de la compétence du sociologue Jean-Pierre Poulain, de l’expertise pour l’obésité chez les plus jeunes du professeur Maïté Tauber, et chez les personnes âgées du professeur Bruno Vellas. L’idée est de créer des ponts entre la biologie, la sociologie, la pédiatrie et la gérontologie, pour couvrir tous les âges de la population et les relier aussi aux modes de vie, à l’environnement» poursuit le professeur Ritz selon qui le CIO de Toulouse doit relever deux défis : prévenir l’obésité et proposer le meilleur traitement possible aux personnes qui en souffrent.

Les outils utilisés sont les essais cliniques pour le volet traitement, la création d’un mastère obésité pour la formation et la mise en place d’un site internet pour la communication.

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France 3 programme une soirée en deux parties sur l’obésité lundi 14 janvier 2013

Lundi 14 janvier 2013 à 20 heures45, France 3 proposera une grande soirée en deux parties sur l’obésité.

La chaîne diffusera en première partie le documentaire “Le combat contre l’obésité” puis en seconde partie “Le parcours de l’espoir”. |

Aujourd’hui, le système de santé français a décidé de réagir en mettant en place dans chaque région des équipes pluridisciplinaires pour combattre ce fléau : médecins, chirurgiens, psychiatres, diététiciennes, éducateurs sportifs, travaillent ensemble pour proposer des solutions adaptées à chaque patient.

L’équipe du film s’est installée pendant plusieurs mois à Angers, l’une des premières villes à s’être organisée en réseau pour lutter contre l’obésité.

Avec le chirurgien Guillaume Bécouarn, les réalisateurs accompagnent le destin de plusieurs patientes dans leur combat contre l’obésité. Il doit faire face aux difficultés et aux douleurs que rencontrent des patientes opérées pour leur obésité. Dans certains cas, il doit réopérer en urgence.

Avec le service pédiatrique du CHU d’Angers, ils accompagnent Johanna pendant son opération et plusieurs mois après. La jeune fille de 17 ans va-t-elle enfin stopper la prise de poids dramatique qui commence déjà à lui poser des problèmes physiques ?

A quelques pas du CHU d’Angers, les caméras se sont installées au centre de réadaptation des Capucins. L’équipe de pédiatrie a mis au point une prise en charge pour sortir des jeunes de l’obésité avant qu’il ne soit trop tard. Mais les mauvaises habitudes sont difficiles à combattre.

Rappelons que le Dr BECOUARN et son équipe chirurgicale assurent la prise en charge chirurgicale des patients suivis par le réseau OSER de Chinon.

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