De la gélatine de porc présente dans la plupart des bonbons, sauf dans certains bonbons.
En effet, les bonbons « cacher » préconisés par les rabbins (religion juive), contiennent de la gélatine fabriquée à base de poisson.
Explication du processus de fabrication détaillé dans la 2° partie de la vidéo :
La société Candy Planet fabrique indifféremment des bonbons hallal (sous marque Naima) et des bonbons cacher (sous marque schneiders) à base de gélatine de poisson.
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Qui a dit que la crise avait eu raison, à cause de leur prix plus élevé, des produits estampillés 100 % naturel ? Certainement pas l’enseigne de grande distribution Carrefour, dont les poulets sans antibiotiques, vendus dans ses 1 200 magasins 3 à 5 % plus cher qu’un Label rouge traditionnel, ont le vent en poupe. «Les ventes sont quatre fois supérieures à nos objectifs», révèle au Figaro Hervé Gomichon, directeur qualité et développement durable de Carrefour.
Un exploit réalisé sans aucune publicité! «Lorsque nous avons lancé l’opération en 2012, nous tablions sur 4 000 poulets par semaine, se rappelle-t-il. Nous en vendons en moyenne entre 15.000 et 16.000 par semaine.» Une démarche qui s’inscrit dans un partenariat noué avec 20.000 agriculteurs qui correspond à la volonté de l’enseigne de mettre en rayons des produits alimentaires de qualité accessibles au plus grand nombre.
Les poulets sans antibiotiques coûtent autour de 6 euros le kilo. Élevés en plein air et sans OGM, ils proviennent de 150 poulaillers d’Auvergne regroupés au sein du Syndicat des volailles fermières d’Auvergne (Syvofa). «Si nos volailles tombent malades, nous devons utiliser de l’ail ou de l’armoise contre les parasites, des huiles essentielles issues du thym, de l’origan ou de la cannelle pour lutter contre les colibacilles», décrypte un éleveur.
Pour compenser le surcoût engendré pour le fermier – les antibiotiques sont moins chers que les plantes -, Carrefour paye le poulet soigné aux plantes en moyenne 7 % de plus qu’un Label rouge traditionnel. Victime de ce succès, le Syvofa doit construire «un nouveau poulailler par semaine pour répondre» à la demande de l’enseigne.
Dr BUENOS : Le réseau ROSA est favorable à la consommation de poulets sans antibiotiques et sans OGM, élevés en plein air.
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A travers ce reportage de 1h30, les enquêteurs ont abordé plusieurs questions :
- celle des oeufs pour rappeler qu’il faut choisir les oeufs dont le chiffre écrit sur la coquille est 1 ou 0. Ils parviennent à montrer de façon claire que les oeufs vendus au marché sont souvent issus de poules élevées en batterie. Par contre, ils oublient de préciser que l’alimentation des poules élevées bio est plus « saine » et contient souvent moins d’OGM que les autres.
- celle des poissons d’élevage et des poissons sauvages, où on découvre avec éffarement que la pêche intensive a vidé la mer de ses poissons …
- celle de la viande où est abordée le problème des intoxications alimentaires à E.coli. On découvre que l’origine est une contamination de la carcasse par l’ouverture accidentelle de la panse des vaches lors de la découpe. Et là, depuis qu’on a lu Toxic de William Reymond, on sait très bien que pour prévenir la sélection des E.coli résistants, il faudrait arrêter d’administrer systématiquement des antibiotiques aux vaches et leur fournir une alimentation differente (en particulier du fourrage avant l’abattage) . On découvre stupéfaits, que la réponse des industriels est de porter une blouse et des masques ??????????????? Allo, quoi, la contamination par E.coli n’a jamais été dûe aux gouttelettes de salive.
- la mode des sushi et son développement. Peut être que Marie Laure va nous concocter bientôt un cours de cuisine sur les sushis.
- Comment les OGM entrent dans notre alimentation quotidienne par la petite porte, puisqu’il est rappelé que la production de céréales à base d’OGM est interdite en France, mais pas l’importation …. et que 80 % des animaux issus de l’élevage industriel sont nourris aux OGM et arrivent donc dans nos assiettes…..
Au total, il s’agit d’un documentaire très interessant, que je vous recommande de voir.
Pour cela, vous pouvez cliquer sur le lien ci dessous :
D8 : ce que cachent les produits que vous mangez
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La gélatine (E441) est un produit utilisé pour épaissir les produits allégés (= produits light).
Mais savez vous comment elle est fabriquée ? Elle est fabriquée à partir de la peau de porc et cela ne figure pas sur l’étiquetage qui indique la composition des produits.
La preuve en vidéo :
Cela pose le problème de l’information des consommateurs qui pour certains (juifs et musulmans) ne sont pas autorisés par leur religion à manger du porc …
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Depuis la taxe que Nutella a failli payer, une campagne de communication a été faite pour montrer que la composition de Nutella était saine.
C’est faux.
La preuve en image :
l’huile de palme dans le Nutella
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Beaucoup connaissent la réaction étonnante entre le coca light et les bonbons Mentos.
Un petit rappel à ceux qui ne la connaissent pas :
reaction entre coca light et bonbons Mentos
Cette expérience pour rappeler la nocivité directe du Coca light, mais surtout sa nocivité indirecte quand il est en association avec d’autres susbstances ….
Imaginez l’effet au niveau du tube digestif……………
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Manger des fruits frais comme des myrtilles, du raisin et des pommes permettrait de réduire le risque de développer un diabète de type 2 alors que les remplacer par des jus de fruits industriels pourrait au contraire augmenter ce risque, selon une étude publiée vendredi dans le British Medical Journal.
Des chercheurs américains, britanniques et singapouriens ont compilé les données fournies par trois études américaines portant au total sur 187 383 personnes (151 209 femmes et 16 173 hommes). Après avoir éliminé toutes les personnes atteintes de diabète, de maladies cardiovasculaires et de cancers au début de ces études, ils ont étudié la consommation de fruits et de jus de fruits à partir des questionnaires remplis par les participants tous les quatre ans pendant une durée totale allant de 19 à 24 ans.
Plus de 12 000 personnes (6,5% de l’ensemble des participants) ont développé un diabète de type 2 pendant les différentes études. En pondérant avec de nombreux autres critères (âge, activité physique, ration énergétique totale, etc.) les chercheurs ont trouvé une association significative entre la consommation de certains fruits et une diminution du risque de développer le diabète. Les myrtilles arrivent en tête, suivies dans l’ordre par le raisin, les pommes, les poires, les bananes et le pamplemousse. Une consommation de ces fruits au moins deux fois par semaine réduirait le risque de diabète de 23% par rapport à ceux en consommant moins d’une fois par mois. Un bémol toutefois pour le melon et les fraises dont la consommation pourrait légèrement accroître le risque de diabète.
Celui-ci est également augmenté de 21% chez les gros buveurs de jus de fruit industriels (plus d’un grand verre par jour) par comparaison à ceux qui en boivent moins d’un verre par semaine. Les jus de fruit, relèvent les chercheurs, ont généralement un index glycémique élevé et moins de nutriments bénéfiques que les fruits frais.
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Des chercheurs américains ont comparé les pratiques alimentaires des supporters de football d’une douzaine de villes américaines. Selon leur étude publiée par la revue Psychological Science, « la défaite augmente la consommation de gras et de sucre chez les supporters déçus ».
Les chercheurs ont comparé, chaque lundi, les résultats des matchs de la ligue de football américain (NFL) avec la consommation alimentaire de la population dans une douzaine de grandes villes.
Au final, les gens vivant dans une ville dont l’équipe a perdu pendant le week-end mangeraient environ 16 % d’aliments saturés en graisse de plus qu’à leur habitude.
Une tendance qui, selon ses auteurs, aurait tendance à s’accentuer « si elles ont perdu de façon inattendue, par une marge étroite, ou face à une équipe de force égale ». Selon les scientifiques, les personnes dont l’équipe favorite perd pourraient sentir leur identité menacée, ce qui les pousserait à manger mécaniquement. Voir son équipe gagner, pousserait en revanche les gens à la maîtrise de soi.
Les supporters des équipes gagnantes, eux, mangeraient 9 % en moins de gras saturés, comparé à leur consommation habituelle.
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Voici un aperçu d’animaux obèses.
Cliquez ci dessous pour voir la video :
On est surpris de voir que le visage (ou plutôt la gueule) et les membres sont plutôt épargnés, et ce dans la plupart des espèces.
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Les pesticides sont néfastes pour la santé et notamment celle des enfants. Cette fois ce n’est pas Que Choisir ou des écologistes qui l’affirment, c’est officiel. L’expertise menée par l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) à la demande du ministère de la Santé ne laisse pas place au doute.
« Pesticides et santé », c’est le thème de l’expertise collective réalisée par l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), pour le compte du ministère de la Santé, très précisément la Direction générale de la santé.
Si le propos est empreint d’une prudence toute scientifique, il est néanmoins très clair et justifie pleinement le combat mené depuis de longues années contre l’usage massif des pesticides.
Les conclusions de l’Inserm ont de quoi inquiéter : « Il semble exister une association positive entre exposition professionnelle à des pesticides et certaines pathologies chez l’adulte : la maladie de Parkinson, le cancer de la prostate et certains cancers hématopoïétiques (lymphome non Hodgkinien, myélomes multiples). » Par ailleurs, précise l’Inserm, « les expositions aux pesticides intervenant au cours de la période prénatale et périnatale ainsi que la petite enfance semblent être des périodes d’exposition particulièrement à risque pour le développement de l’enfant ».
Pesticides omniprésents
Malgré cette nocivité avérée des pesticides, il est bien difficile de s’en protéger. L’Inserm confirme en effet ce que démontre régulièrement Que Choisir à travers ses analyses, « les pesticides sont présents partout dans l’environnement. On peut les trouver dans l’air (air extérieur et intérieur, poussières), l’eau (souterraines, de surface, littoral…), le sol et les denrées alimentaires (y compris certaines eaux de consommation) ». Pour la population générale, la principale voie d’exposition reste néanmoins l’alimentation.
Rien de rassurant dans cette étude, d’autant que, précisent les experts, « si certaines substances sont mises en cause, c’est qu’elles ont été plus souvent étudiées que d’autres, en particulier dans le contexte des États-Unis. De nombreuses substances actives n’ont pas fait l’objet d’études épidémiologiques. »
L’usage des produits phytosanitaires demeure à ce jour toujours aussi massif en agriculture. Les multiples mesures déjà prises pour réduire leur utilisation, dont le plan Ecophyto adopté dans la foulée du Grenelle de l’environnement, n’ont donné aucun résultat jusqu’à présent. Mais les pouvoirs publics disposent désormais d’une expertise scientifique officielle attestant de la toxicité des pesticides pour la santé humaine et notamment celle des jeunes enfants. Agir devient urgent.
Ça bouge… un peu côté grand public
C’est l’enseigne des jardineries Botanic qui a montré l’exemple en supprimant les pesticides chimiques de ses rayons dès 2007 pour se concentrer sur les techniques alternatives de jardinage écologique et les produits bio. Que Choisir qui avait applaudi l’initiative déplore que la concurrence n’ait pas suivi. Mais ça pourrait évoluer avec cette initiative en cours en Bretagne : les 42 hypermarchés Leclerc implantés dans le Finistère, les Côtes d’Armor et le Morbihan annoncent qu’ils supprimeront les pesticides de leurs rayons à compter de l’automne prochain. Un exemple à suivre.
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