La prise en charge de l’obésité au Japon est différente dans la mesure où elle a été déclarée illégale, donc sanctionnable.
Un reportage intéressant de l’AFP :
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En chine, l’obésité progresse.
Le reportage de France 2 télévision nous permet de découvrir la progression de l’obésité et sa prise en charge par la médecine traditionnelle chinoise en image :
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Devant le succès de son dispositif « sport sur ordonnance » lancé en novembre 2012, la ville de Strasbourg a décidé d’élargir le dispositif aux personnes qui ont été traitées pour un cancer.
Plus de 300 patients traités pour obésité ou diabète ont déjà bénéficié du dispositif. « Plusieurs études le montrent : faire régulièrement du sport permet aux personnes ayant été traitées pour un cancer, et désormais en rémission, de diminuer le risque de récidive de 30 à 50 % », explique le Dr Alexandre Feltz, conseiller municipal délégué à la santé.
Une centaine de médecins participants
L’opération mise en place par la municipalité (PS) de Strasbourg, l’Agence régionale de santé et le régime local d’assurance-maladie vise à inciter les malades à faire du sport, en leur donnant accès gratuitement à certaines activités – marche en club, vélo, natation, gymnastique douce… Les participants sont encadrés par un éducateur sportif.
Plus de 120 médecins généralistes strasbourgeois participent au dispositif et prescrivent des heures de sports à leurs patients. Selon le Dr Feltz, l’opération a contribué à « faire sortir de chez lui » un public fragilisé, issu à 50 % de quartiers défavorisés et qui, parfois, « ne faisait plus grand chose » du fait des difficultés liées à la maladie. Quelque 70 % des patients ne savaient ni nager ni faire du vélo avant d’être pris en charge par un éducateur sportif, a-t-il souligné. Au vu de ce bilan, les promoteurs du projet ont décidé de le renforcer. Le budget annuel va ainsi passer de 160 000 à 200 000 euros, dont la moitié sera apportée par la municipalité, et un deuxième poste d’éducateur sportif sera créé.
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Deux études récentes expliquent pourquoi les personnes qui ne dorment pas assez ont tendance à prendre du poids.
Si la notion de dette est habituellement associée à celle de vache maigre, il en est pourtant une qui tend à engraisser ceux qui la contractent: la dette de sommeil. Dormir insuffisamment a tendance à faire grossir, et les mécanismes derrière cette réaction du corps s’éclaircissent peu à peu. Deux publications récentes ont ainsi mis en lumière une attirance accrue pour les aliments riches en calories chez les personnes en manque de sommeil.
Parus en mai dans la revue Nature Communications, les travaux des chercheurs de l’université de Berkeley (Californie) ont consisté à étudier à l’aide d’imagerie par résonance magnétique (IRM) les cerveaux de 23 personnes privées de sommeil. Ils ont constaté chez ces patients des perturbations dans les régions du cortex cérébral, qui évalue la satiété. D’après leurs observations, ne pas dormir assez diminuerait significativement l’activité des régions corticales du cerveau nécessaires à l’évaluation optimale des signaux alimentaires. À l’inverse, l’activité de l’amygdale cérébelleuse, une région du cerveau connue pour influencer l’appétit, serait plus réactive en situation de dette de sommeil.
«Le manque de sommeil altère la production d’hormones régulatrices de l’appétit en augmentant la production de ghréline, une hormone liée à la sensation de faim et en diminuant le taux de leptine, associée au sentiment de satiété», détaille Isabelle Mallet, nutritionniste à Paris.
Jusqu’à 900 calories consommées en plus
Une dette de sommeil modifierait par ailleurs nos goûts, en nous poussant à acheter des aliments gras et sucrés, les plus riches en calories. L’apport calorique désiré en cas de manque de sommeil représenterait ainsi de 300 à 900 calories de plus qu’en cas de repos optimal.
Un réflexe qui peut avoir des conséquences à long terme selon le moment où il s’exprime. Les travaux de l’équipe du professeur Colin Chapman de l’université d’Uppsala (Suède), parus en septembre dans la revue Obesity, montrent que la privation de sommeil a une influence négative non seulement sur notre désir de nourriture mais aussi, plus concrètement, sur nos achats alimentaires. «Les résultats de notre étude démontrent que les personnes achètent beaucoup plus de calories et de grammes de nourriture, avec le même budget, après une privation de sommeil, explique le Pr Chapman. Ce n’est pas négligeable dans la mesure où ces achats vont influencer nos choix alimentaires bien après la privation de sommeil». Il est en effet plus difficile de résister à la tentation de grignotage lorsque les placards de la cuisine sont remplis de tablettes de chocolat ou de chips…
Un probléme de santé publique
Faut-il y voir pour autant un risque d’obésité? «En tant que praticien, il est toujours difficile d’établir, au niveau individuel, une relation de cause à effet formelle entre l’obésité et un seul facteur, rappelle Jean-Michel Lecerf, chef du service de nutrition de l’institut Pasteur de Lille et auteur de l’ouvrage À chacun son vrai poids (Odile Jacob). Le manque de sommeil est avant tout un marqueur de la dégradation des rythmes de vie, associé à l’augmentation du temps passé devant les écrans, au grignotage…Autant de comportements suspectés d’avoir un impact sur le surpoids». Le problème du poids nécessite donc une approche globale. Toutefois, poursuit-il, «la question du manque de sommeil me paraît importante car il est démontré que cette privation altère notre capacité à faire des choix. Elle peut donc lever les inhibitions qui nous retiennent de manger quand ça n’est pas l’heure, quand nous n’avons pas faim, et expliquer que nous allions davantage vers un choix instinctif de produits gras et sucrés.»
Comprendre les mécanismes associant fatigue et gain de poids devient une problématique de santé publique à l’heure où l’obésité croit au même rythme que le manque de sommeil dans les pays industrialisés. Car si les Français restent mieux lotis que les Américains avec un temps de sommeil moyen de 6h45 par nuit, contre 6 heures outre-Atlantique, ce quota semble insuffisant au regard des besoins moyens qui se situent autour de 7 à 8 heures.
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La collation du matin est accusée de favoriser les mauvaises habitudes alimentaires et donc l’obésité chez les enfants. Faut-il l’interdire, mieux l’encadrer… ou ne pas y toucher?
Faut-il supprimer la collation de 10h dans les écoles?
« La collation matinale apprend aux enfants à manger sans faim et au-delà de leurs besoins nutritionnels », selon un spécialiste.
Haro sur la collation de 10h? Accusée de favoriser grignotage et obésité, la collation est dans le collimateur des professionnels de santé. C’est le cas notamment en Alsace, première région touchée par l’obésité infantile, où ils ont proposé de supprimer cette tradition encore très populaire héritée de l’après-guerre.
« Il convient d’éviter toute prise alimentaire entre les repas et donc de supprimer le ‘goûter’ de milieu de matinée » dans les écoles maternelles, indique l’académie de Strasbourg dans une circulaire distribuée aux établissements avant la rentrée de septembre. Cette décision s’appuie notamment sur les nouvelles recommandations de l’Agence régionale de santé (ARS) Alsace, selon laquelle l’en-cas de 10h « n’est pas une bonne pratique nutritionnelle » chez les plus jeunes.
« La collation matinale apprend aux enfants à manger sans faim et au-delà de leurs besoins nutritionnels: c’est le début du grignotage et de la déstructuration du rythme de prises des repas à un âge où se forgent les habitudes alimentaires », selon le médecin de l’ARS-Alsace, Patrice Ferré.
« Aucune prise alimentaire en milieu de matinée ne se justifie à l’école élémentaire », poursuit la circulaire, précisant que « la vente de viennoiseries organisée dans le but de financer des projets de voyages scolaires ou autre manifestation » ne doit pas être encouragée dans les collèges et les lycées. A l’échelle nationale, l’Alsace est la région la plus touchée par l’obésité infantile. Une étude de la Direction de la recherche des études, de l’évaluation et des statistique (Drees) de 2006 fait état de 15,3% d’enfants de 5 à 6 ans souffrant d’obésité ou de surpoids, contre une moyenne nationale de 12%.
« Une façon de dire à son enfant qu’on pense à lui »
« La collation du matin est une habitude qui s’est ancrée en France dans les années 1950, pour pallier aux carences caloriques et calciques des enfants dans l’après-guerre », rappelle Patrice Ferré. En 1954, Pierre Mendès-France avait lancé la distribution d’un verre de lait à 10h dans les écoles françaises.
« Mais aujourd’hui le niveau de santé général des enfants s’est nettement amélioré et les jeunes Français ne souffrent plus de carence », souligne-t-il. Selon les spécialistes, la collation de 10H00 représente aujourd’hui un excès d’environ 14% des apports journaliers recommandés (AJR). « Mais l’idée de supprimer le goûter du matin provoque de fortes réactions chez certains parents car ils se sentent dépossédés de l’éducation de leur enfant », reconnaît Fabienne Grappe, infirmière-conseillère technique à l’Éducation nationale. Selon elle, l’alimentation est un vecteur « affectif, voire intime ».
« En mettant un goûter dans la poche de son enfant, un parent transmet de l’affect: c’est une façon de dire à son enfant qu’il pensera à lui et d’être sûr qu’en retour, ce dernier pensera à ses parents lorsqu’il mangera son goûter », résume-t-elle. »On touche ici à la relation mère-enfant et cela provoque des réactions épidermiques », juge Mme Grappe, qui voit là une des raisons pour lesquelles il est difficile de modifier les comportements. En Europe, l’obésité touche entre 10% et 25% des enfants.
La France connaît une baisse du surpoids chez les moins de 6 ans, passant de 14,4% (dont 3,4% d’obésité) à 12,1% (dont 3,1% d’obésité) entre 1999-2000 et 2005-2006, selon la Drees.Toutefois, les disparités géographiques persistent, le surpoids étant nettement plus élevé dans les régions proches de la Méditerranée ainsi que dans les régions du nord et de l’est de la France, selon le ministère de la Santé.
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Le prochain groupe de parole est prévu le jeudi 03 octobre 2013 à 18h30.
Les sujets abordés seront, entre autres, :
– l’organisation et la finalisation des inscriptions pour la marche nordique du marathon de Montpellier le dimanche 13 Octobre 2013.
– les évolutions de la seconde peau et les projets en cours pour l’été 2014
– le nouveau dossier medical ROSA sur clé USB et les objectifs en nutrition-diététique
– les podologues dans le réseau ROSA
– les cours de gym ciblés de Nicolas sur DVD personnalisé.
– l’action et l’actualité de l’association de patients, « les amis de ROSA ».
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Pour lutter contre l’obésité, se focaliser sur la restriction alimentaire est une stratégie qui a ses limites. Une étude récente prouve que, pour les enfants, c’est tout le mode de vie qu’il faut revoir.
L’étude est parue le 9 septembre 2013 dans la revue Jama Pediatrics (en anglais). Les chercheurs ont suivi 121 familles qui avaient des enfants âgés de 2 à 5 ans présentant un surpoids important ou une obésité, et qui avaient tous une télévision dans leur chambre.
Ces familles ont été séparées en deux groupes. Dans l’un, aucun changement dans les habitudes n’était demandé. Dans l’autre, plutôt que de donner des consignes alimentaires strictes, c’est plutôt sur le mode de vie que les indications ont porté : pendant six mois, il s’agissait pour les enfants participants de prendre des repas en famille, de limiter le temps passé devant la télévision et de dormir davantage.
Les résultats de l’étude sont frappants : les enfants qui limitaient à une heure le temps passé devant la télévision, qui prenaient un repas en famille et qui dormaient une demi-heure de plus voyaient leur surpoids réduit de 20 %.
Même si l’étude n’apprend finalement rien d’inédit – on connaît depuis longtemps le lien entre le temps passé devant la télévision et le surpoids chez l’enfant – ces chiffres encouragent à travailler dans le sens d’une approche globale du surpoids.
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Entre la sortie en fanfare le 6 mai 2009 et l’annonce du retrait du médicament minceur aujourd’hui que s’est-il donc passé ?
En juin 2009, la pilule ALLI était un tout nouveau traitement de l’obésité qui avait déjà conquis plus de 150 000 personnes en un mois. Il faut dire que ce médicament en vente libre bénéficiait d’une publicité intensive dans toutes les pharmacies et n’était pas arrivé là par hasard. Son principe actif, l’Orlistat était déjà utilisé dans des médicaments vendus exclusivement sur ordonnance, mais plus fortement dosés, sous le nom de Xenical. C’était donc un supposé gage d’efficacité pour les nombreux candidats à la minceur.
Un succès de courte durée puisque dès août 2009, la FDA (Food and Drug Administration – agence sanitaire américaine) demandait des précisions sur la potentielle dangerosité de l’Orlistat sur le foie. L’histoire est sérieuse. Trente deux cas d’atteintes hépatiques auraient été rapportées dont 27 ayant nécessité une hospitalisation.
La possible dangerosité de la pilule anti obésité Alli se confirme.
C’est en octobre 2011 que l’AFFSAPS (Agence Française de Sécurité Sanitaire des produits de Santé) révèle plusieurs cas d’atteintes hépatiques graves dont certaines ont entrainé des transplantations hépatiques voire des décès !
Septembre 2013 : la fin de la commercialisation de la pilule anti obésité Alli !
Aujourd’hui, le laboratoire GlaxoSmithKline qui commercialise Alli annonce que c’est fini… Il n’y aura donc plus de médicament contenant de l’Orlistat en vente libre en France, puisqu’il retire le produit des rayonnages des pharmacies.
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Des stratégies simples à mettre en place au quotidien permettraient de lutter contre l’obésité des enfants comme le montre une étude parue en ligne, le 9 septembre, dans la revue JAMA Pediatrics.
Pour ces recherches, des chercheurs américains et canadiens sont intervenus au sein de foyers pour aider les enfants à perdre du poids, en réduisant leur temps passé devant la télévision, en augmentant leurs heures de sommeil et en encourageant les familles à dîner ensemble, selon un article de LiveScience.
Alors que l’obésité infantile se développe dans de nombreux pays du monde, les Américains sont les plus touchés avec 17% d’enfants obèses, surtout parmi les minorités et les familles les moins riches.
Une solution est mise en avant : un changement global de style de vie, comme l’a noté Aaron Carroll, un expert des questions d’obésité, qui a rédigé un éditorial à ce sujet pour LiveScience.
« Plutôt que de se concentrer sur un changement spécifique d’alimentation ou de rythme sportif, un foyer plus sain pourrait être une meilleure manière pour non seulement améliorer le poids, mais aussi la santé physique et mentale des sujets », a noté le chercheur dans son éditorial.
Pour leur étude, des chercheurs de la Harvard Medical School aux Etats-Unis et de l’Université de Guelph au Canada ont recruté 121 familles avec des enfants en surpoids. Ils les ont suivi durant six mois. Une moité des familles n’a pas subi d’intervention des chercheurs.
Avant l’étude, tous les enfants des familles étudiées avaient une télévision dans leur chambre.
Les chercheurs sont intervenus auprès de l’autre moitié des familles, les conseillant au sein du foyer sur leurs habitudes quotidiennes. Ils ont encouragé les enfants à dormir une demi-heure de plus par jour et à réduire leur temps passé devant la télévision à une heure par jour. Au terme des six mois, ces enfants ont perdu en moyenne 20% de leur indice de masse corporel (IMC) alors que les enfants du groupe témoin ont augmenté le leur de 20%.
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Des cultures de fraise traitées à l’aide d’insecticides non autorisés en France.
Une douche froide! Même si la saison de la fraise est terminée, ce joli petit fruit rouge sucré revient sur le devant de la scène juridique avec des aspects qui pourraient bien rebuter les consommateurs. Dans son rapport d’activité, la DGAL (branche du ministère de l’Agriculture chargé de veiller à la sécurité sanitaire des Français) montre que dans un cas sur quatre les maraîchers ne respectent pas les règles en vigueur sur les pesticides. «Sur 41 échantillons prélevés par les enquêteurs de la DGAL, 9 sont non conformes», révèle ainsi le rapport.
Un résultat peu rassurant qui peut s’expliquer de deux façons: soit la date limite d’épandage des pesticides par rapport à la récolte a été dépassée, soit des substances non autorisées ont été utilisées. Des produits – comme le carbosulfan qui a été retrouvé cet été dans des fraises produites en France mais aussi en provenance d’Espagne – qui provoquent des troubles de santé, notamment hormonaux. «Il s’agit d’un insecticide organochloré interdit en Europe et ayant une forte rémanence», décrypte-t-on au ministère de l’Agriculture.
Un marché de 90 millions
La DGAL ne veut toutefois pas révéler le nombre d’exploitations en cause ni le volume concerné par cette affaire. «L’instruction du dossier est en cours», se borne à répondre son directeur général, Patrick Dehaumont. «Nous voulons remonter la filière pour savoir comment ces producteurs se sont procuré ces produits interdits dans toute l’Europe depuis 2007, précise un contrôleur. Nous avons prévenu nos collègues espagnols pour qu’ils ouvrent à leur tour une enquête. Dans les produits phytosanitaires, les montants financiers en jeu sont souvent importants.»
La fraise fait partie des fruits préférés des Français qui en consomment, chacun, 3,7 kg par an. Les producteurs, pointés du doigt, déplorent une affaire qui peut impacter un marché de 90 millions d’euros, bon an mal an. «On ne peut que condamner l’usage de tels produits mais plusieurs pistes d’explication sont possibles, se défend Xavier Masse, le président de l’Association des organisations de producteurs nationale de fraises. Cela jette le discrédit sur la profession alors qu’il y a des éléments qui demandent à être vérifiés.» Pour lui, des résidus restés dans la terre peuvent avoir contaminé des plants de fraises. Rien de frauduleux, donc.
À cause de la mauvaise météo, la saison 2013 s’est soldée avec une baisse de 5 % des ventes. Si l’affaire des pesticides non autorisés se confirme, la chute en 2014 pourrait être bien plus importante…
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