Les poux qui se logent dans les poils pubiens (Phthirus pubis) et se transmettent par contact sexuel sont sur le déclin. Une éradication de l’espèce due au fait que de plus en plus de femmes s’épilent le maillot.
En 2011, 80% des étudiants Américains confiaient épiler une partie ou l’intégralité de leurs poils pubiens.
En 2012, le marché de l’épilation s’élevait ainsi à près de 3,5 milliards d’euros, selon Eurominotor International Ltd.
Côté santé, un médecin américain a récemment mis en garde contre l’épilation pubienne, source d’infections. « Si les poils pubiens sont là, c’est pour une bonne raison, expliquait Emily Gibson, directrice du centre de recherche sur la santé à la Western University dans l’état de Washington. Ils protègent contre le frottement qui peut causer écorchures et blessures, ils sont un rempart naturel contre les bactéries. »
Reste que sans poils, les phthirus pubis ne peuvent plus se reproduire dans leur habitat naturel et se font plus rares. En Australie, la principale clinique spécialisée dans les maladies vénériennes à Sidney n’a pas vu de cas de poux pubiens chez une femme depuis 2008, et les cas masculins ont diminué de 80% en 10 ans.
En 2003, une étude australienne sur les Maladies Sexuellement Transmissibles (M.S.T.) affirmait pourtant que les poux pubiens étaient la maladie vénérienne la plus répandue. Un Australien sur trois était alors concerné par ces parasites au cours de sa vie.
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Une étude parue dans la revue « Pediatrics » souligne que les enfants en surcharge pondérale sont victimes des quolibets de leurs camarades mais aussi d’adultes et notamment de leurs parents. Comment transformer cette inquiétude parentale en soutien moral ? Réponse avec Patrick Tounian, chef du service de nutrition pédiatrique de l’hôpital Armand Trousseau.
Une étude souligne que les enfants en surcharge pondérale sont victimes des quolibets de leurs camarades et de leurs parents (SIPA).
Les personnes obèses sont de plus en plus victimes de remarques désobligeantes. Plus l’obésité est médiatisée, plus il semble que la stigmatisation s’accroît. Ainsi, les enfants obèses sont, en raison de leur poids, mis à l’écart dans les écoles mais aussi dans leurs propres familles. Et, à cause de ces remarques verbales, leur souffrance ne fait que s’amplifier.
La surcharge pondérale vécue négativement
Certains parents, persuadés que leur enfant est gros parce qu’il mange mal, ne supportent pas que leur progéniture véhicule cette image de mollesse, de malbouffe et de mauvaise prise en charge parentale. Car l’idée commune qui circule dans notre société est qu’un enfant est gros parce que ses parents s’occupent mal de lui.
Le surpoids de l’enfant provoque donc chez les parents à la fois culpabilité et énervement. J’ai ainsi entendu plusieurs fois en consultation des parents s’exclamer, en présence de leur enfant, « il mange n’importe quoi », « il ne bouge pas », « je t’avais dit qu’il ne fallait pas te resservir » ou « il faut que tu arrêtes de regarder autant la télé ».
Suivant la corpulence du parent, les remarques n’ont pas la même origine. Un parent mince ne comprend pas pourquoi son enfant est gros. Il croit rester mince parce qu’il fait attention à ce qu’il mange et va donc critiquer franchement son enfant. En revanche, un parent plus gros aura tendance à blâmer son enfant pour tout écart de régime parce qu’il craint qu’il subisse le préjudice qu’il a lui-même subi plus jeune, à savoir le mépris de ses condisciples.
Le problème, c’est que cette incompréhension ou inquiétude des parents ne fait qu’amplifier la souffrance de l’enfant. Le regard est autres, camarades de classe, professeurs de sport ou même parents, lui rappelle sans cesse qu’il est en surpoids, et ce de manière négative.
Dédramatiser l’obésité, diminuer la souffrance
C’est pour cela que lorsque j’accueille une famille, je demande aux parents pourquoi, selon eux, leur enfant est obèse. Souvent, j’entends la rengaine obésité-mauvaise hygiène de vie : ils me répondent que c’est parce qu’il mange trop, qu’il n’aime pas le sport. Ils déversent ainsi ce qu’ils ont sur le cœur.
Et moi je les informe, je leur explique que l’obésité est une maladie, à priori en grande partie génétique. Avant de faire maigrir un enfant, il faut expliquer d’où vient cette tendance au surpoids pour déculpabiliser et dédramatiser.
Ce n’est que comme ça que les « ne te ressers pas » à table ne signifieront pas « arrête de manger, tu es gros » mais « tu ferais mieux de ne pas te resservir car du fait de ta constitution tu auras tendance à grossir ». Si la phrase reste la même, le ressenti de l’enfant sera différent.
Ainsi, en modifiant l’image de l’obésité, déjà au sein des familles mais également dans l’ensemble de la société, on permettra aux enfants obèses d’être moins la cible de quolibets. Les enfants qui ont du diabète insulino-dépendant par exemple sont moins stigmatisés que les obèses par leurs camarades, car n’est pas associée à cette maladie une image de fainéantise et gourmandise excessive. En faisant comprendre que l’obésité est une maladie, on peut diminuer la souffrance des obèses. Et commencer sur des bases sereines le traitement.
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Depuis le 1er janvier 2013, les mannequins hommes et femmes dont l’indice de masse corporelle est inférieur à 18,5 n’ont plus le droit de défiler en Israël ni d’apparaître dans les médias israéliens.
C’est la première loi de ce genre dans le monde. Ceux qui publieront des photos de filles anorexiques ou qui les feront défiler seront passibles d’une amende. La loi s’étend également aux photos retouchées sur Photoshop. “Il devra être clairement indiqué sur les images utilisées si un programme de retouche a été utilisé pour affiner l’apparence du mannequin. La législation s’appliquera aux images imprimées, aux panneaux publicitaires et aux publicités télévisées, y compris pour ceux ou celles fait(e)s à l’étranger avec des mannequins étrangers et importés en Israël”, indiquait l’Express en mars 2012, lors du vote de la loi au Parlement israélien.
Les mannequins devront produire un rapport médical de moins de trois mois pour chaque shooting afin de prouver que leur indice de masse corporelle n’est pas inférieur à 18,5.
D’après le Jerusalem Post, chaque année, en Israël, 1 500 jeunes adultes ou adolescents sont victimes de pathologies anorexiques ou boulimiques, et 5% d’entre eux en meurent.
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Une équipe de chercheurs a mis au point un calculateur automatique qui permettrait, avec quelques données de base, d’évaluer les possibilités de surpoids futur chez l’enfant, et ce, dès sa venue au monde.
Votre enfant sera-t-il obèse ? Faites le calcul à sa naissance ! Une équipe de chercheurs internationale a mis au point un calculateur automatique qui permettrait d’évaluer de façon simple les risques de surpoids, et ce, sans examen sanguin.
Les travaux de l’équipe coordonnée par le britannique Pr Philippe Froguel sont parus mercredi dans la revue américaine PLos One. Pour mettre au point cet outil de calcul, les scientifiques ont d’abord analysé des données recueillies à la naissance d’enfants finlandais, italiens et américains. Il s’agissait d’informations telles que l’indice de masse corporelle des parents, la prise de poids de la mère, poids du bébé à la naissance, tabagisme de la mère, nombre d’enfants dans la famille…
En se basant sur ces informations, ils ont créé une équation qu’ils ont converti en calculateur automatique sur Excel. Les résultats obtenus fournissent une valeur de risque d’obésité ultérieure, en quelques secondes. Vous pouvez faire le calcul sur : http://files-good.ibl.fr/childhood-obesity .
Chacune de ces données avait déjà été reconnue comme facteur de risque potentiel d’obésité mais c’est la première fois qu’une équipe les combine. Le calculateur a été validé à partir de 4.000 enfants finlandais nés en 1986 et suivis jusqu’à l’adolescence, puis sur d’autres populations infantiles
(1.500 enfants italiens nés dans les années 1980 et 1.000 enfants américains).
L’utilisation de ce calculateur permettrait une prévention précoce, en concentrant les efforts sur les 25% de familles d’enfants à risque élevé, qui a eux seuls comprennent 80% des futurs enfants obèses, estime le professeur.
En Europe, l’obésité touche entre 10% et 25% des enfants. En France, 12% des enfants de 5 ans sont en surpoids, dont 3,1% sont obèses. Une fois installée, elle est difficile à combattre. D’où l’intérêt d’intervenir tôt en éduquant les parents des nourrissons, notamment pour éviter la suralimentation et les erreurs nutritionnelles.
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Le roquefort bon pour la santé, des scientifiques britanniques le prouvent.
Une étude anglaise démontre que le roquefort possède des propriétés anti-inflammatoires bonnes pour le coeur. Une explication du French paradox, la contradiction entre l’alimentation riche des Français et leur étonnante longévité.
Une étude menée par Lycotec, une firme britannique de biotechnologie montre que le roquefort, grâce à la pénicilline, possède des propriétés anti-inflammatoires bonnes pour le coeur. Le « Roi des fromages » serait même, avec le vin rouge, un des secrets de la longévité française que nous envient les Européens en général et les Britanniques en particulier. Nous vivons en effet 84.4 ans en moyenne soit 3 années de plus que nos voisins outre-manche.
« Les observations indiquent que la consommation de vin rouge ne peut à elle seule expliquer le paradoxe et peut-être que certains autres éléments de l’alimentation typiquement française pourraient être responsable de la mortalité cardiovasculaire réduite. Nous émettons l’hypothèse que la consommation de fromage, en particulier des variétés avec de la moisissure, peut contribuer au paradoxe français », explique l’équipe de recherche de Lycotec, dirigée par le Dr Ivan Petyaev et le Dr Yuriy Bashmakov.
Le fromage au lait cru sud-aveyronnais serait d’ailleurs d’autant plus bénéfique qu’il a mûri. Et que la propriété anti-inflammatoire serait encore plus efficace dans un milieu acide comme celui de l’estomac.
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Vous avez peut-être entendu parler de cette PME de Toulouse qui proposait pour Noël des chocolats fourrés aux grillons. Eh bien, c’est très sérieux.
Selon les Nations Unies, les insectes seraient une solution d’avenir pour nourrir la planète.
Actuellement, 2 milliards de personnes sur terre mangent déjà des insectes.
Les mangeurs d’insectes sont appelés entomophages.
Les insectes sont riches en protéines et pauvres en graisses.
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Pour réduire le problème croissant de l’obésité dans les pays d’Amérique latine, un retour à une nourriture traditionnelle basée sur des produits locaux comme le quinoa ou le maïs devient un enjeu essentiel dans la lutte contre la malnutrition et le surpoids.
L’obésité est devenu un problème majeur au Mexique. Le pays est le deuxième plus « gros » pays du monde après les États-Unis.
L’obésité, un problème de poids
« Le problème le plus difficile à résoudre, c’est le poids », déclare Gabriela Aro, qui dirige un programme scolaire révolutionnaire de repas basés sur des ingrédients traditionnels locaux dans la capitale bolivienne, La Paz. Le programme cible les problèmes nutritionnels chez les 153 000 jeunes défavorisés dans les 411 écoles et jardins d’enfants publics, dans l’un des pays les plus pauvres de l’hémisphère sud.
Mais, à côté des problèmes de santé établis de longue date comme la malnutrition et l’anémie, une nouvelle menace émerge : l’obésité. Bien qu’il y ait un manque de données fiables, la plupart des experts s’accordent à dire que les Latino-Américains ont, en moyenne, pris rapidement du poids.
Avec un coût annuel de 148 millions de bolivianos (soit 21 millions de dollars), le « programme La Paz » a eu un impact majeur sur certains problèmes de santé touchant les plus jeunes depuis son lancement en 2000.
Fast-food vs. nourriture traditionnelle
La malnutrition est tombée de 10,2 % à 5,9 % à partir du moment où des repas gratuits étaient servis. Pendant ce temps, l’anémie a chuté de 37 % à seulement 2 %. Cependant, la proportion d’enfants en surpoids a bondi de 17 à 25 %. « Le programme a de bons résultats, mais l’obésité est l’obstacle premier », explique Gabriela Aro à GlobalPost. « Et elle ne cesse d’augmenter. La consommation de fast-food, alimentation pleine de calories, continue à croître, et les enfants adorent ça. C’est très difficile à combattre ».
Avec le programme, les plus jeunes obtiennent un repas gratuit par jour, incluant des barres de céréales, du muesli ou du pain fabriqués à partir de graines complètes en provenance des Andes, comme l’amarante, le quinoa ou le cañihua. Ceux-ci sont complétés avec du lait, du yaourt et un fruit. Chargés de protéines, de fibres et d’une longue liste de vitamines, ces céréales combattent un problème nutritionnel grave, et aident à rassasier les enfants, avant qu’ils n’aient la « chance » de se jeter sur les stands de junk food qui se pressent à la sortie des écoles.
Les familles boliviennes abandonnent les produits locaux pour des aliments plus « modernes »
Pourtant, bien que ces produits de base traditionnels provenant des Andes occupent les premiers rayons des magasins alimentaires dans le monde développé, en Bolivie, l’urbanisation et la croissance économique poussent de plus en plus de familles à laisser derrière elles ces produits, et à adopter des régimes alimentaires « modernes », pleins de graisses saturées, de sucre et de sel. Ainsi, un nombre croissant d’enfants deviennent simultanément en surpoids et mal nourris.
« Nous adoptons une approche holistique, prenant en compte les trois questions [la malnutrition, l’anémie et l’obésité] dans le cadre d’un même problème », ajoute Gabriela Aro. « Nous voulons nous assurer que les enfants ont assez à manger, mais aussi qu’ils apprennent à faire leurs propres choix alimentaires sains. »
Néanmoins, les Boliviens peuvent se réjouir du fait que l’épidémie d’obésité est en réalité beaucoup plus forte dans d’autres parties du continent. Et parmi les pays plus touchés : l’Argentine, le Chili, les pays d’Amérique centrale et le Mexique.
L’Amérique latine subit une « transition nutritionnelle », accentuée par les importations d’aliments gras
À côté des avantages du développement économique et du libre-échange, se sont développés quelques-uns des maux de l’Occident. Il s’agit notamment de modes de vie plus sédentaires, ainsi que ce que les experts appellent la « transition nutritionnelle » : de plus en plus de gens sont exposés à des produits alimentaires transformés, peu chers, pauvres en éléments nutritifs, et riches en calories.
Selon une étude récente, alors que les tarifs d’importations ont chuté entre 1990 et 2005 en Amérique centrale, les exportations américaines de fromage transformé dans la région ont augmenté de plus de 3 000 %, tandis que les frites ont fini par occuper près d’un quart de toutes les importations de fruits et légumes.
Et utilisant un classique euphémisme académique, les chercheurs concluent : « Bien qu’il existe des arguments pour et contre la libéralisation du commerce, il est essentiel de tenir compte de ses effets sur les pauvres ».
« Nous devons changer la culture de la nourriture, qui est vraiment influencée par les grosses multinationales, et revenir à la nourriture mexicaine traditionnelle ». (Guillermo Melendez)
Le Mexique, deuxième pays le plus « gros » après les États-Unis
La mondialisation peut aussi aider à expliquer pourquoi, près de deux décennies après que l’Accord de libre-échange nord-américain [ALENA] est entré en vigueur, le Mexique est passé du statut de pays où l’obésité était pratiquement inconnue au deuxième pays le plus « gros », après les États-Unis.
Il est stupéfiant de voir que 69 % des hommes et 73 % des femmes sont en surpoids au Mexique, selon Guillermo Melendez, un médecin expert de la nutrition à la Fondation pour la santé du Mexique, un groupe à but non lucratif dans la ville de Mexico. Et le problème touche de plus en plus de très jeunes Mexicains. En 1999, 27% des enfants Mexicains étaient en surpoids ou obèses. Ils sont maintenant 31%.
Comme leurs revenus ont augmenté, les Mexicains se sont de plus en plus éloignés d’une nourriture traditionnelle à base de maïs, de haricots, de tomates et de piments, accompagnés de quelques œufs et de fromage, pour manger des quantités malsaines de viande frite.
« Nous devons changer la culture de la nourriture, qui est vraiment influencée par les grosses multinationales, et revenir à la nourriture mexicaine traditionnelle », explique Guillermo Melendez à GlobalPost. Le gouvernement passe maintenant à l’action, après avoir dressé une stratégie de prévention de l’obésité en 2010, avec quelques-unes des plus grosses compagnies alimentaires. Le plan inclut la suppression des sodas ainsi que des encas gras et sucrés dans les écoles.
L’exercice physique est un deuxième point essentiel dans la lutte contre l’obésité
Pendant ce temps, selon Guillermo Melendez, 97% des enfants mexicains ne font aucun sport à l’école. « Les enfants ont arrêté de jouer au foot dans les rues », ajoute-t-il. « Maintenant, ils n’en ont que pour la télévision et les jeux vidéo. Cela aussi doit changer ».
Alors que d’autres pays d’Amérique latine suivent le Mexique dans sa courbe montante d’obésité, le gros point d’interrogation maintenant est de savoir si les gouvernements décideront aussi qu’une intervention dans le marché alimentaire est nécessaire pour freiner la crise de la santé publique qui ne cesse de grossir.
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Selon un sondage Ipsos rendu public le lundi 31 décembre 2012, la première résolution des Français pour 2013 est de « faire du sport ».
82% des personnes interrogées pour ce sondage reconnaissent ne pas s’occuper suffisamment de leur forme physique. Un sentiment qui s’avère encore plus fort chez les femmes.
Invités à évaluer leur forme physique et mentale, les Français considèrent ainsi que celle-ci est plutôt médiocre, ne lui accordant qu’une note de 5.8/10.
Reste que s’ils semblent déterminés à démarrer 2013 d’un pied sportif, les Français ne comptent pas pour autant changer certaines habitudes. Moins d’un Français sur quatre est ainsi prêt à se priver d’alcool, de cigarettes, à faire un régime ou à passer moins de temps devant un écran.
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