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diététique

La fourchette qui vous empêche de manger trop vite est née ! Jacques Lépine, ingénieur des Ponts et Chaussées, vient d’inventer la fourchette « hapifork ». Dotée d’une carte électronique dans son manche et de capteurs, elle se met à vibrer si moins de dix secondes s’écoulent entre deux bouchées.

« Quand on ne mâche pas ses aliments, on a des problèmes de digestion et on fatigue ses organes. En plus, quand on mange vite, on mange trop, donc on grossit, ce qui déclenche d’autres maladies », indique Jacques Lépine, pour qui cette invention est un véritable outil de santé publique.

D’autant que la « hapifork » permet aussi d’enregistrer des informations sur les repas de l’utilisateur : l’heure, la régularité, la durée des repas sont ainsi consignées ainsi que le nombre de bouchée ou encore leur fréquence. Equipée d’un émetteur Bleutooth, la fourchette peut transmettre ces données à un smartphone. Son concepteur vante l’utilisation médicale qui peut être faite de ces statistiques.

Nominée pour le prix de l’innovation 2013, décerné par le Consumer Electronics Show de Las Vegas, cette fourchette devrait être commercialisée dans les prochains mois en France pour une centaine d’euros.

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Depuis le 1er janvier 2013, les mannequins hommes et femmes dont l’indice de masse corporelle est inférieur à 18,5 n’ont plus le droit de défiler en Israël ni d’apparaître dans les médias israéliens.

C’est la première loi de ce genre dans le monde. Ceux qui publieront des photos de filles anorexiques ou qui les feront défiler seront passibles d’une amende. La loi s’étend également aux photos retouchées sur Photoshop. “Il devra être clairement indiqué sur les images utilisées si un programme de retouche a été utilisé pour affiner l’apparence du mannequin. La législation s’appliquera aux images imprimées, aux panneaux publicitaires et aux publicités télévisées, y compris pour ceux ou celles fait(e)s à l’étranger avec des mannequins étrangers et importés en Israël”, indiquait l’Express en mars 2012, lors du vote de la loi au Parlement israélien.

Les mannequins devront produire un rapport médical de moins de trois mois pour chaque shooting afin de prouver que leur indice de masse corporelle n’est pas inférieur à 18,5.

D’après le Jerusalem Post, chaque année, en Israël, 1 500 jeunes adultes ou adolescents sont victimes de pathologies anorexiques ou boulimiques, et 5% d’entre eux en meurent.

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Le roquefort bon pour la santé, des scientifiques britanniques le prouvent.

Une étude anglaise démontre que le roquefort possède des propriétés anti-inflammatoires bonnes pour le coeur. Une explication du French paradox, la contradiction entre l’alimentation riche des Français et leur étonnante longévité.

Une étude menée par Lycotec, une firme britannique de biotechnologie montre que le roquefort, grâce à la pénicilline, possède des propriétés anti-inflammatoires bonnes pour le coeur. Le « Roi des fromages » serait même, avec le vin rouge, un des secrets de la longévité française que nous envient les Européens en général et les Britanniques en particulier. Nous vivons en effet 84.4 ans en moyenne soit 3 années de plus que nos voisins outre-manche.

« Les observations indiquent que la consommation de vin rouge ne peut à elle seule expliquer le paradoxe et peut-être que certains autres éléments de l’alimentation typiquement française pourraient être responsable de la mortalité cardiovasculaire réduite. Nous émettons l’hypothèse que la consommation de fromage, en particulier des variétés avec de la moisissure, peut contribuer au paradoxe français », explique l’équipe de recherche de Lycotec, dirigée par le Dr Ivan Petyaev et le Dr Yuriy Bashmakov.

Le fromage au lait cru sud-aveyronnais serait d’ailleurs d’autant plus bénéfique qu’il a mûri. Et que la propriété anti-inflammatoire serait encore plus efficace dans un milieu acide comme celui de l’estomac.

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Vous avez peut-être entendu parler de cette PME de Toulouse qui proposait pour Noël des chocolats fourrés aux grillons. Eh bien, c’est très sérieux.

Selon les Nations Unies, les insectes seraient une solution d’avenir pour nourrir la planète.

Actuellement, 2 milliards de personnes sur terre mangent déjà des insectes.

Les mangeurs d’insectes sont appelés entomophages.

Les insectes sont riches en protéines et pauvres en graisses.

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Pour réduire le problème croissant de l’obésité dans les pays d’Amérique latine, un retour à une nourriture traditionnelle basée sur des produits locaux comme le quinoa ou le maïs devient un enjeu essentiel dans la lutte contre la malnutrition et le surpoids.

L’obésité est devenu un problème majeur au Mexique. Le pays est le deuxième plus « gros » pays du monde après les États-Unis.

L’obésité, un problème de poids

« Le problème le plus difficile à résoudre, c’est le poids », déclare Gabriela Aro, qui dirige un programme scolaire révolutionnaire de repas basés sur des ingrédients traditionnels locaux dans la capitale bolivienne, La Paz. Le programme cible les problèmes nutritionnels chez les 153 000 jeunes défavorisés dans les 411 écoles et jardins d’enfants publics, dans l’un des pays les plus pauvres de l’hémisphère sud.

Mais, à côté des problèmes de santé établis de longue date comme la malnutrition et l’anémie, une nouvelle menace émerge : l’obésité. Bien qu’il y ait un manque de données fiables, la plupart des experts s’accordent à dire que les Latino-Américains ont, en moyenne, pris rapidement du poids.

Avec un coût annuel de 148 millions de bolivianos (soit 21 millions de dollars), le « programme La Paz » a eu un impact majeur sur certains problèmes de santé touchant les plus jeunes depuis son lancement en 2000.

Fast-food vs. nourriture traditionnelle

La malnutrition est tombée de 10,2 % à 5,9 % à partir du moment où des repas gratuits étaient servis. Pendant ce temps, l’anémie a chuté de 37 % à seulement 2 %. Cependant, la proportion d’enfants en surpoids a bondi de 17 à 25 %. « Le programme a de bons résultats, mais l’obésité est l’obstacle premier », explique Gabriela Aro à GlobalPost. « Et elle ne cesse d’augmenter. La consommation de fast-food, alimentation pleine de calories, continue à croître, et les enfants adorent ça. C’est très difficile à combattre ».

Avec le programme, les plus jeunes obtiennent un repas gratuit par jour, incluant des barres de céréales, du muesli ou du pain fabriqués à partir de graines complètes en provenance des Andes, comme l’amarante, le quinoa ou le cañihua. Ceux-ci sont complétés avec du lait, du yaourt et un fruit. Chargés de protéines, de fibres et d’une longue liste de vitamines, ces céréales combattent un problème nutritionnel grave, et aident à rassasier les enfants, avant qu’ils n’aient la « chance » de se jeter sur les stands de junk food qui se pressent à la sortie des écoles.

Les familles boliviennes abandonnent les produits locaux pour des aliments plus « modernes »

Pourtant, bien que ces produits de base traditionnels provenant des Andes occupent les premiers rayons des magasins alimentaires dans le monde développé, en Bolivie, l’urbanisation et la croissance économique poussent de plus en plus de familles à laisser derrière elles ces produits, et à adopter des régimes alimentaires « modernes », pleins de graisses saturées, de sucre et de sel. Ainsi, un nombre croissant d’enfants deviennent simultanément en surpoids et mal nourris.

« Nous adoptons une approche holistique, prenant en compte les trois questions [la malnutrition, l’anémie et l’obésité] dans le cadre d’un même problème », ajoute Gabriela Aro. « Nous voulons nous assurer que les enfants ont assez à manger, mais aussi qu’ils apprennent à faire leurs propres choix alimentaires sains. »

Néanmoins, les Boliviens peuvent se réjouir du fait que l’épidémie d’obésité est en réalité beaucoup plus forte dans d’autres parties du continent. Et parmi les pays plus touchés : l’Argentine, le Chili, les pays d’Amérique centrale et le Mexique.

L’Amérique latine subit une « transition nutritionnelle », accentuée par les importations d’aliments gras

À côté des avantages du développement économique et du libre-échange, se sont développés quelques-uns des maux de l’Occident. Il s’agit notamment de modes de vie plus sédentaires, ainsi que ce que les experts appellent la « transition nutritionnelle » : de plus en plus de gens sont exposés à des produits alimentaires transformés, peu chers, pauvres en éléments nutritifs, et riches en calories.

Selon une étude récente, alors que les tarifs d’importations ont chuté entre 1990 et 2005 en Amérique centrale, les exportations américaines de fromage transformé dans la région ont augmenté de plus de 3 000 %, tandis que les frites ont fini par occuper près d’un quart de toutes les importations de fruits et légumes.

Et utilisant un classique euphémisme académique, les chercheurs concluent : « Bien qu’il existe des arguments pour et contre la libéralisation du commerce, il est essentiel de tenir compte de ses effets sur les pauvres ».

« Nous devons changer la culture de la nourriture, qui est vraiment influencée par les grosses multinationales, et revenir à la nourriture mexicaine traditionnelle ». (Guillermo Melendez)

Le Mexique, deuxième pays le plus « gros » après les États-Unis

La mondialisation peut aussi aider à expliquer pourquoi, près de deux décennies après que l’Accord de libre-échange nord-américain [ALENA] est entré en vigueur, le Mexique est passé du statut de pays où l’obésité était pratiquement inconnue au deuxième pays le plus « gros », après les États-Unis.

Il est stupéfiant de voir que 69 % des hommes et 73 % des femmes sont en surpoids au Mexique, selon Guillermo Melendez, un médecin expert de la nutrition à la Fondation pour la santé du Mexique, un groupe à but non lucratif dans la ville de Mexico. Et le problème touche de plus en plus de très jeunes Mexicains. En 1999, 27% des enfants Mexicains étaient en surpoids ou obèses. Ils sont maintenant 31%.

Comme leurs revenus ont augmenté, les Mexicains se sont de plus en plus éloignés d’une nourriture traditionnelle à base de maïs, de haricots, de tomates et de piments, accompagnés de quelques œufs et de fromage, pour manger des quantités malsaines de viande frite.

« Nous devons changer la culture de la nourriture, qui est vraiment influencée par les grosses multinationales, et revenir à la nourriture mexicaine traditionnelle », explique Guillermo Melendez à GlobalPost. Le gouvernement passe maintenant à l’action, après avoir dressé une stratégie de prévention de l’obésité en 2010, avec quelques-unes des plus grosses compagnies alimentaires. Le plan inclut la suppression des sodas ainsi que des encas gras et sucrés dans les écoles.

L’exercice physique est un deuxième point essentiel dans la lutte contre l’obésité

Pendant ce temps, selon Guillermo Melendez, 97% des enfants mexicains ne font aucun sport à l’école. « Les enfants ont arrêté de jouer au foot dans les rues », ajoute-t-il. « Maintenant, ils n’en ont que pour la télévision et les jeux vidéo. Cela aussi doit changer ».

Alors que d’autres pays d’Amérique latine suivent le Mexique dans sa courbe montante d’obésité, le gros point d’interrogation maintenant est de savoir si les gouvernements décideront aussi qu’une intervention dans le marché alimentaire est nécessaire pour freiner la crise de la santé publique qui ne cesse de grossir.

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Coca cola se mèle de lutte contre l’obésité et le fait savoir par l’intermédiaire d’un spot TV que voici (attention, il est en anglais) :

http://www.youtube.com/watch?v=zybnaPqzJ6s

Vous pourrez ainsi juger par vous même

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Face à la multiplication des campagnes contre le surpoids et à la baisse de ses ventes, le leader du soda se rachète une conscience avec une publicité qui appelle à lutter contre l’obésité.

Coca Cola tente de reprendre la main sur les sujets de santé publique, alors que ses produits sont en partie responsable du problème d’obésité aux Etats-Unis (Reuters)

Aux Etats-Unis, Coca-Cola est au coeur d’une polémique après avoir lancé une campagne à la télévision, mi-janvier 2013, pour favoriser la lutte contre l’obésité. Le géant du Soda aux seize sucres par canette en chevalier blanc de la lutte contre le surpoids, cela a du mal à passer.

La publicité dure deux minutes et elle est redoutablement habile. Voilà 150 ans que Coca-Cola rassemble les Américains, il est temps que nous nous rassemblions autour d’une autre cause : la lutte contre l’obésité. C’est notre santé à tous qui est en jeu. Et Coca-Cola d’expliquer que le groupe multiplie les boissons à faibles calories ou sans calories en particulier pour servir les écoles.

Une campagne qui a provoqué une levée de bouclier de la part des organisations de consommateurs et des spécialistes de la lutte contre l’obésité : le journal USA Today a enquêté auprès des meilleurs nutritionnistes qui estiment tous que Coca-Cola est l’un des principaux responsables de l’obésité aux Etats-Unis et dans le monde. Le journal Chicago Tribune écrit « Coca-Cola nous prend pour des idiots ».

En fait, il s’agit pour Coca de reprendre la main. Les campagnes de santé publique ayant fait leur effet la consommation de boissons sucrées a baissé de près de 3% l’an passé. Il était urgent de tenter de corriger l’image.

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Une étude réalisée par Nutrinet révèle que les Français ne mangent pas assez de fibres. “Un homme sur cinq (22%) et une femme sur dix (12%) seulement atteignent le seuil de 25g/j, le minimum recommandé, ce qui est préoccupant sur le plan de la santé publique”, constate le professeur Serge Hercberg (Inserm-Inra-Cnam-université Paris13) qui a coordonné cette vaste enquête rendue publique aujourd’hui.

Parmi eux, seuls 10% des hommes et 4% des femmes atteignent le seuil recommandé de 30 g/j, ajoute-t-il. “Un niveau consommation qui est associé à moins de risque de maladies-cardiovasculaires, d’obésité, de diabète et de cancer colorectal”, pointe-t-il. Globalement, les apports en fibres (environ 20 g/j chez les hommes et 18 g/j chez les femmes) sont nettement en deçà des recommandations.

En dehors des différences entre hommes et femmes, les apports en fibres augmentent avec l’âge et le revenu. Ainsi les agriculteurs, les cadres et les titulaires d’un BAC+2 mangent plus de fibres que les employés, les ouvriers, les titulaires d’un BAC professionnel et les personnes sans diplôme.

“Cinq fruits et légumes (environ 400 g/j) apportent déjà en moyenne entre 16 et 20 g de fibres, le pain complet 5 à 6 g de fibres/100g ; ajouter des légumes secs, des pâtes ou du riz complet permet d’arriver au seuil des 30 grammes quotidiens de fibres”, selon le professeur Hercberg.

“On parle beaucoup de la consommation de sel qui ne baisse pas assez en France (ndlr : autorités sanitaires). Or le changement de farine pour fabriquer le pain blanc, le moins cher comme la baguette -avec un passage de la farine de type 55 raffinée à une farine 80 plus complète- permettrait une consommation accrue de fibres dans la population, tout en rendant plus acceptable une diminution du sel”, souligne-t-il.

“Cela fait des années qu’on en parle, mais rien ne bouge”, constate le Pr Hercberg, qui veut “remettre sur le tapis cette bataille du pain” et se dit désormais “partisan d’une réglementation ou d’une loi qui impose ce changement au nom de la santé publique”.

Trois ans après son lancement, NutriNet-Santé regroupe 235.016 internautes .

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Les jeunes femmes diabétiques auraient deux fois plus de risques de souffrir d’un trouble du comportement alimentaire que leurs homologues non diabétiques, en diminuant leurs injections d’insuline. Ce phénomène est appelé « diaboulimie », de la contraction de diabète et boulimie.

« Le manque d’insuline occasionne un déséquilibre glycémique, et donc une perte de calories et une destruction des graisses, explique le Dr Riveline diabétologue au centre hospitalier sud-francilien de Corbeil-Essonne. Mais il faut expliquer à ces jeunes filles que l’insuline ne fait pas grossir ».

Selon une organisation britannique, le NHS (National diabetic information service), de plus en plus de jeunes femmes entre 15 et 30 ans adopteraient cette attitude. Entre le 1er avril 2010 et le 31 mars 2011, 8 472 personnes ont été admises à l’hôpital en Grande-Bretagne pour acidocétose, une grave complication du manque d’insuline.

Devant l’ampleur du phénomène, une association de diabétiques réclame même que la « diaboulimie » soit officiellement reconnue comme une maladie mentale, passage obligé pour que ces jeunes femmes soient ensuite mieux prises en charge.

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Les briques de lait « Silhouette active® » de la marque Candia ne pourront plus porter la mention « santé ». Le tribunal d’instance de Paris a condamné la société Candia pour publicité trompeuse.

La justice a estimé, dans un jugement rendu le 13 novembre 2012, que la pratique commerciale de Candia consistant à « affirmer l’existence d’un effet certain de la consommation d’un produit sur le sentiment de satiété et la réduction de la prise d’aliments » est de « nature à induire en erreur le consommateur (…) et sont constitutives de pratiques commerciales trompeuses qu’il convient d’interdire ». Le tribunal a également condamné Candia à retirer toutes les allégations santé figurant sur les emballages de ses produits ainsi que sur ses publicités.

La CLCV, Association de défense des consommateurs et des usagers, était à l’origine de la plainte contre ce produit, mis sur le marché en 2008. Selon l’association, cette « briquette de lait enrichi en acides gras végétaux n’a jamais fait la preuve de son efficacité », alors même qu’elle était présentée par Candia comme un coupe-faim « et vendue deux fois plus cher que les produits de sa catégorie ».

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