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diététique

Neuf vins sur dix contiennent des pesticides. C’est le résultat alarmant d’une analyse faite par un laboratoire spécialisé portant sur 300 échantillons. Dans 90% des vins analysés, le laboratoire a trouvé au moins un pesticide. Certains échantillons contenaient même jusqu’à neuf produits. Toutes les doses détectées respectent toutefois les limites maximales autorisées.

Le laboratoire a ajouté que ces résultats n’ont rien de surprenant et correspondent à ce qu’ils observent régulièrement.

Selon le responsable du laboratoire, les vins analysés sont représentatifs du vignoble français et incluent 5% de vins bio, qui n’ont pas été analysés séparément. Or, une autre étude datant de 2008 réalisée par le Mouvement pour le droit et le respect des générations futures qui avait fait des analyses séparées concluait qu’aucun vin bio ne contenait de pesticides, contrairement à 100% des échantillons issus du vignoble traditionnel.

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Mauvaise nouvelle pour notre tour de taille. Nos habitudes alimentaires seraient intimement liées à la conjoncture économique. C’est le résultat d’une étude publiée dans la revue Psychological Science.

Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs universitaires de la Miami School of Business Administration ont proposé à deux groupes de volontaires de tester une nouvelle version des célèbres confiseries chocolatées qui fondent « dans la bouche, pas dans la main ». Il fut cependant expliqué au premier groupe que les nouveaux bonbons, tous identiques, étaient plus caloriques que la recette originale, et au second, qu’ils étaient allégés. Les chercheurs ont ensuite conditionné les participants en les exposant à des slogans et affiches plus ou moins alarmistes et anxiogènes.

Résultat, plus des deux tiers des confiseries auxquelles on avait prêté un apport calorique plus élevé ont été engloutis par les participants soumis aux images et slogans les plus agressifs et inquiétants. À l’inverse, les chercheurs n’ont pas observé de différence tangible entre la consommation des produits prétendument plus caloriques ou allégés de la part des sujets exposés aux images neutres.

Pour l’équipe des professeurs Juliano Laran et Anthony Salerno: il s’agit simplement de l’instinct de survie de l’être humain. Si les gens pressentent que les ressources alimentaires vont venir à manquer, ils font alors preuve d’un intérêt plus marqué pour les aliments à l’apport le plus calorique.

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La vitamine D ne jouerait aucun rôle significatif sur le poids.

Un déficit en vitamine D est fréquemment retrouvé chez les personnes en surpoids, suggérant dès lors qu’une supplémentation pourrait faire maigrir. Une nouvelle étude vient d’établir que ce n’est pas le cas.

C’est un groupe de plus de 60 chercheurs internationaux qui s’est penché sur la question. Leur travail a consisté à recueillir des informations sur la vitamine D et le poids corporel dans une vingtaine d’études. Puis ils ont effectué un long travail d’analyse statistique.

Leur analyse a permis de mettre en lumière que le poids corporel est en lien direct avec le taux de vitamine D dans le sang mais que le taux de vitamine D n’est pas en lien direct avec le poids. Autrement dit, un indice de masse corporelle (IMC) élevé engendre un faible taux de vitamine D mais un déficit en vitamine D ne fait pas grossir.

Comment expliquer ces résultats ?

La vitamine D est une vitamine soluble dans les graisses et qui se stocke dans tout l’organisme : plus le poids corporel est élevé plus la vitamine D est stockée dans les réserves et donc moins elle se retrouve dans le sang. A l’inverse lors d’un régime, les réserves de graisse libèrent de la vitamine D et le taux sanguin remonte mais ce n’est pas la vitamine D qui fait maigrir.

Les chercheurs estiment que leur découverte a des conséquences importantes en matière de santé publique : si l’IMC moyen diminuait on diminuerait du même coup la prévalence du déficit en vitamine D dans la population, qui ne cesse d’augmenter actuellement avec d’importantes conséquences.

Référence

Vimaleswaran KS, Berry DJ, Lu C, Tikkanen E, Pilz S, et al. (2013) Causal Relationship between Obesity and Vitamin D Status: Bi-Directional Mendelian Randomization Analysis of Multiple Cohorts. PLoS Med 10(2): e1001383. doi:10.1371/journal.pmed.1001383

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Une étude française démontre que l’obésité modérée chez les femmes, est dans sa large majorité provoquée par un régime minceur. Un contre-effet fatidique dans 95% des cas…

Le Dr Rakotovao, médecin généraliste et nutritionniste lyonnais, a réalisé une étude statistique sur les conséquences d’un régime amaigrissant sur le poids des femmes. Son équipe, composée de médecins, de diététiciens et de psychologues, a mis en place des soirées dont le thème était « Les problèmes de poids », à la fréquence d’un rendez-vous par semaine pendant deux ans.

Les scientifiques en ont profité pour réaliser une enquête quantitative. Le panel interrogé comprenait des femmes et des hommes de tous horizons, âgés entre 16 et 75 ans. Il devait répondre aux trois questions suivantes :

– Âge, sexe, poids et taille ou IMC (Indice de masse corporelle) ?

– Avez-vous déjà effectué un ou plusieurs régimes d’amaigrissement ?

– Quel était votre poids avant le premier régime d’amaigrissement ?

Les résultats sont sans appel. Les kilos représentent une véritable obsession pour les Français, même lorsqu’ils n’ont à priori aucun poids à perdre. Lors de cette étude, 655 personnes interrogées souhaitaient maigrir (626 femmes et 29 hommes). Cependant, 203 d’entre elles, soit 31%, affichaient un poids normal (IMC inférieur à 25). Par ailleurs, sur la totalité des femmes, 75,4% avaient déjà effectué un régime amaigrissant. Et la majorité (71%) était plus mince avant de commencer leur premier régime, que pendant l’étude. Parmi les 626 femmes, 157 présentaient au moment de l’enquête une obésité dite modérée (IMC entre 30 et 35). 99,36% des femmes souffrant de ce symptôme, avaient déjà effectué un ou plusieurs régimes amincissants et 95,45% n’étaient pas obèses avant leur premier régime. Ainsi, si vous souhaitez maigrir, faites attention aux régimes improvisés. Pour une perte de poids équilibrée et de longue durée, l’avis d’un spécialiste n’est pas seulement recommandé, il est indispensable…

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On le sait, le grignotage est responsable de nombreuses prises de poids. Difficile de remédier à cette vilaine habitude même avec beaucoup de volonté, sauf si l’on trouve une petite aide en forme de chewing-gum. Et avec Slim Gum, on risque bien d’avoir trouvé le meilleur allié !

Un chewing-gum qui nous aide à oublier nos petites fringales, voilà qui pourrait bien devenir le parfait coup de pouce minceur dont on avait besoin. SLIM Gum by TIME Nutrition est un régulateur d’appétit qui contrôle nos pulsions alimentaires sucrées. Mais comment ça marche ? Le fameux chewing-gum, 100% physiologique, contient un ingrédient innovant, le tryptophane. Le tryptophane est un acide aminé habituellement apporté par des aliments riches en protéines mais il y est peu abondant. Pourtant le tryptophane est essentiel à la régulation de l’appétit.

C’est là que le SLIM Gum devient un essentiel pour celles qui ont du mal à gérer leurs fringales. Ses vrais plus ? Il est efficace au bout de seulement 10 minutes, il est sans sucre, cela va de soi, il aide à garder une haleine sooo fresh et son format permet de l’emporter partout avec vous ! Pour le moment, le chewing-gum miracle est disponible sur le télé-achat M6 Boutique et d’ici quelques semaines en grande distribution, parfumeries, magasins de sport…

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Les boissons sucrées « light » pourraient être associées à un risque accru de développer un diabète, selon une étude rendue de l’Inserm publiée dans la revue American Journal of Clinical Nutrition.

Menée par des chercheurs français de l’Inserm auprès de 66.188 femmes suivies depuis 1993, l’étude a confirmé l’existence d’une relation entre boissons sucrées et diabète de type 2. Mais alors qu’on pensait généralement que les boissons allégées en sucres réduisaient le risque de diabète, les chercheurs de l’Inserm ont montré que le risque de diabète était plus élevé pour les boissons « light » que pour les boissons sucrées.

Les résultats ont notamment montré que les femmes consommant des boissons « light » avaient une consommation plus grande que celles consommant des boissons sucrées normales (2,8 verres/semaine contre 1,6 verre/semaine en moyenne respectivement). Mais même à quantité consommée égale, les boissons allégées en sucres étaient associées à un risque plus élevé de développer un diabète: il était supérieur de 15% pour une consommation de 0,5 litre/semaine et de 59% pour 1,5 litre/semaine.

Des études supplémentaires sur les effets des boissons « light » sont toutefois encore nécessaires pour confirmer ce résultat et établir un lien de cause à effet, précisent les chercheurs. Parmi les mécanismes pouvant expliquer le phénomène, ils notent que les sucres contenus dans les boissons sucrées entrainent un pic d’insuline et que la répétition peut engendrer une insulino-résistance, une anomalie à l’origine du diabète. Quant à l’aspartame, l’un des principaux édulcorants utilisés aujourd’hui, il pourrait induire une augmentation de la glycémie et de ce fait une hausse du taux d’insuline.

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La précarité s’accompagne d’un risque accru de diabète de type 2, mais jusqu’ici peu d’études avaient évalué les conséquences de la précarité sur le diabète. C’est pourquoi l’Académie de médecine et la Mutualité française ont décidé de mener une enquête sur ce lien, baptisée «Diabète et précarité», en Languedoc-Roussillon, l’une des régions les plus frappées par la pauvreté en France avec le Nord-Pas-de-Calais. Résultat, avant l’âge de 65 ans, on observe plus de cas de diabète chez les personnes précaires (6,9 %) que dans les populations peu ou pas du tout précaires (4,4 %).

Au total 1 648 personnes ont été interrogées dans le cadre de l’enquête. La majorité d’entre elles (70 %) étaient en situation de grande précarité, fréquentant essentiellement les services administratifs du conseil général (RMI, RSA) et des structures d’accueil spécialisées dans le secours aux désocialisés: Médecin du Monde, Croix-Rouge française, Secours catholique… Confirmation que le diplôme n’est plus un sésame contre la pauvreté, dans cette enquête, 26 % des sujets très précaires sortaient du collège et 15 % avaient suivi un cursus universitaire.

Les personnes les plus précaires apparaissent plus jeunes, plus souvent de sexe masculin, plus souvent fumeurs, avec un tour de taille et un indice de masse corporelle plus importants. «L’étude montre aussi que cette population “précaire”, mais avec un niveau d’étude supérieur à la moyenne, est en demande de prise en charge, notamment d’éducation thérapeutique», souligne Étienne Caniard. Ainsi, parmi eux, plus de la moitié seraient intéressés par des séances d’éducation sur le diabète. Or, il s’agit d’une population qui nécessite une attention particulière. Pour le Pr Claude Jaffiol, membre de l’Académie de médecine et responsable de l’enquête conduite en Languedoc-Roussillon, «la prise en charge médicale des populations défavorisées nécessite temps, expérience et tact, en particulier dans le domaine des maladies chroniques et plus particulièrement du diabète».

L’étude montre aussi qu’un diabétique en situation précaire se trouve confronté à de nombreux obstacles pour prétendre à une alimentation, ce qui se ressent dans les questionnaires: «Ils consomment moins de légumes verts, de fruits frais, de viande, de volaille, de poisson, de laitages et fromages, plus de pâtes, de riz, de soda sucrés, de thé ou café et de bière.»

Les auteurs constatent aussi l’intérêt des réseaux pour le suivi des personnes précaires, ce réseau permet de réduire le tabagisme, moins de fumeurs, de mieux équilibrer le diabète, avec moins d’hypoglycémies, de complications et d’hospitalisations.

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Les légumes verts et les plantes à feuilles provoquent chaque année des intoxications alimentaires pour plus de 2 millions d’Américains.

D’après les statistiques établies par les centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) à Atlanta, les salades sont responsables du plus grand nombre d’intoxications alimentaires aux États-Unis, loin devant toutes les autres formes d’aliments.

Près de 2,1 millions d‘Américains sont contaminés chaque année après avoir mangé des salades, épinards et autres légumes à feuilles, soit deux fois plus que le deuxième aliment de la liste, les produits laitiers.

Au total, les légumes, les fruits et les noix provoquent près de la moitié des pathologies liées à l’alimentation. Un résultat qui a surpris les chercheurs, car les cas d’empoisonnements les plus médiatisés ces dernières années étaient presque tous provoqués par de la viande rouge et des volailles contaminées.

En France, les chiffres de l’Institut de veille sanitaire (InVS) rapportent entre 1 et 10 décès par an par « toxi-infection alimentaire », principalement à cause de toxines produites par des staphylocoques et des salmonelles.

Dr BUENOS : serait ce en rapport avec l’utilisation des pesticides dont on peut difficilement débarrasser les salades et les légumes à feuilles ?

Le réseau ROSA insiste sur la qualité des fruits et légumes consommés. Il est important qu’ils soient de saison, issus de l’agriculture biologique et cultivés à proximité.

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Les végétariens ont moins de maladies cardio-vasculaires, révèle une vaste étude britannique publiée mercredi dans l’American Journal of Clinical Nutrition, qui semble confirmer les conclusions de récents travaux américains liant la consommation de viande rouge à un risque accru de mortalité.

Dans cette étude publiée aux Etats-Unis, des chercheurs de l’Université d’Oxford en Grande-Bretagne ont déterminé que les personnes qui suivent un régime végétarien réduiraient de 32% le risque d’hospitalisation et de décès résultant de maladies cardiovasculaires par rapport à celles consommant de la viande et du poisson. « Une grande partie de la différence s’explique probablement par les effets du cholestérol et de la tension artérielle », plus élevés généralement chez les consommateurs de viande et de poisson, et « montre le rôle important de l’alimentation dans la prévention des maladies cardiaques », explique le Dr Francesca Crowe, de l’Université d’Oxford, principal auteur des travaux.

L’analyse a porté sur près de 45.000 volontaires âgés de 50 à 70 ans en Angleterre et en Ecosse.

Dans ce groupe, 34% étaient végétariens. Les chercheurs ont pris en compte plusieurs facteurs pour calculer les risques de maladies cardiovasculaires: l’âge, la consommation de tabac et d’alcool, l’activité physique, le niveau de formation et le milieu socio-économique. Recrutés tout au long des années 1990, les participants ont répondu à des questionnaires détaillés sur leur état de santé et leur mode de vie. Pendant la période de suivi, qui a duré près de 12 ans en moyenne, les auteurs de l’étude ont identifié 1.235 cas de maladies cardio-vasculaires dans les registres hospitaliers dont 169 décès.

Ils ont déterminé que les végétariens avaient généralement une tension artérielle et des taux de cholestérol plus bas que les non-végétariens. Les végétariens ont aussi le plus souvent un indice de masse corporelle (IMC), moins élevé et comptent moins de cas de diabète, ce qui résulte aussi de leur régime alimentaire.

Cette recherche conforte les conclusions d’une étude américaine sur plus de 121.000 hommes et femmes publiée en mars 2012 dans les Archives of Internal Medicine qui montrait un lien très fort entre le fait de manger quotidiennement de la viande rouge et un risque plus grand de mortalité de toutes causes (+12%), de maladies cardio-vasculaires (+16%) et de cancer (+10%).

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La vitamine D diminuerait le risque de développer de nombreux cancers.

Le bénéfice dans la prévention du cancer du sein serait particulièrement important.

C’est une nouvelle étude pilotée par un des pionniers de la vitamine D, le Pr Cédric Garland, chercheur en médecine préventive (université de San Diego, Etats-Unis) qui pointe du doigt les dangereux effets du déficit en vitamine D sur le risque de cancer du sein. Cette fois son équipe s’est emparée de prélèvements sanguins de l’entrepôt médical de la défense Américaine. Ils ont ainsi eu accès à plus de 9 millions d’échantillons sanguins congelés. Ils ont ensuite sélectionné des prises de sang effectuées à la même période sur 1200 femmes. La moitié d’entre elles a développé un cancer du sein dans les 3 mois suivants le moment de la prise de sang alors que l’autre moitié est restée en bonne santé.

En analysant les taux de vitamine D dans le sang les chercheurs ont pu constater que les femmes qui avaient eu un déficit en vitamine D voyaient leur risque de cancer multiplié par 3 ! Ces résultats sont très impressionnants et différent de ceux obtenus avec des prises de sang effectuées plus précocement. Pour les chercheurs cela s’explique par le fait que les 3 mois précédents le développement d’un cancer sont particulièrement importants : c’est la période pendant laquelle la tumeur recrute des vaisseaux sanguins pour se développer. Il est donc probable que la vitamine D joue un rôle protecteur en empêchant ces aberrations cellulaires.

En 2011 cette équipe avait montré qu’avoir un taux de vitamine D dans le sang de 50 ng/mL diminue le risque de cancer du sein de l’ordre de 50%. Pour parvenir à de tels taux une prise moyenne de 4000 UI de vitamine D3 par jour (soit 10 fois plus que les apports journaliers recommandés en France) est nécessaire. Rappelons qu’il n’est pas possible d’obtenir de la vitamine D via l’exposition au soleil en France entre les mois de novembre et d’avril environ pour une question de longueurs d’onde.

Référence

Mohr SB, Gorham ED, Alcaraz JE, Kane CI, Macera CA, Parsons JK, Wingard DL, Horst R, Garland CF. Serum 25-hydroxyvitamin D and breast cancer in the military: a case-control study utilizing pre-diagnostic serum. Cancer Causes Control. 2013 Jan 8.

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