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diététique

Selon une étude réalisée en Aquitaine, les enfants qui mangent à la cantine présenteraient un risque d’obésité moins élevé que les autres.

Petits pois et carottes flottant dans une sauce pâlotte, saucisses reluisantes et riz au lait trop gluant. Les souvenirs d’enfance des cantines scolaires ne donnent pas vraiment envie. Pourtant, y manger le midi permettrait aux enfants de voir leurs risques d’obésité diminuer. C’est ce que révèle une étude réalisée en Aquitaine sur 4 000 enfants de moins de 8 ans.

À la cantine, les enfants mangent équilibré et en quantité raisonnable

« On accuse facilement la restauration scolaire mais la qualité nutritionnelle des repas servis s’est beaucoup améliorée », assure Hélène Thibaut, coordinatrice du programme nutrition et prévention santé des enfants en Aquitaine. Ainsi, ceux qui vont à la cantine sont assurés de manger des portions adaptées à leur âge et à leurs besoins nutritionnels.

De plus, si ceux qui déjeunent à la maison sont contraints de manger plus ou moins la même chose que leurs parents – et en quantité plus ou moins similaires -, ceux qui restent à l’école ont davantage de choix. Ils peuvent ainsi découvrir de nouvelles saveurs et donc développer leurs goûts. « Un enfant commence à manger des betteraves et les autres suivent », remarque Hélène Thibaut.

Autre constat : les élèves qui restent à l’école le midi ont droit à une pause « récré » après le déjeuner. Ce moment leur permet de se dépenser davantage qu’en restant sur le canapé familial ou devant un écran. « L’étude révèle que, quel que soit le milieu social, le rôle protecteur de la cantine persiste », précise la coordination.

Comme le répètent les instances de santé, pour être en bonne santé il faut manger un peu de tout, en quantité raisonnable, et se dépenser. Les cantines scolaires font figurent de bons maîtres en la matière.

 

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Lorsque nous avons une plaie, nous devons attendre que la cicatrisation se fasse.

Ce mécanisme serait ralenti lorsqu’on manque de vitamine D.

Des chercheurs Brésiliens ont voulu examiner le lien entre le taux de vitamine D dans le sang et la vitesse de cicatrisation. Ils ont étudié 52 malades âgés en moyenne de 57 ans dont la moitié était touchés par des ulcères aux jambes. Leur taux de vitamine D a été mesuré au début, pendant et à la fin de l’étude. Au début de l’étude presque tous les participants avaient un déficit en vitamine D, les chercheurs ont donc administré de la vitamine D (50 000 UI par semaine) à la moitié des personnes touchées par un ulcère et un placebo aux autres.

Au bout de 2 mois la taille de l’ulcère est passée de 25 cm² à 18 cm² pour le groupe ayant pris de la vitamine D contre 27 cm² à 24,5 cm² pour le groupe ayant pris le placebo. Les chercheurs expliquent que le bénéfice apparaît encore plus marqué lorsqu’on tient compte des grandes variations des tailles des ulcères et concluent que la vitamine D semble accélérer la cicatrisation.

Les doses de vitamine D3 utilisées dans cette étude correspondent à un apport d’environ 7000 UI par jour, à comparer aux apports journaliers recommandés (AJR) fixés à 400 UI quotidiens.

Références

Burkiewicz CJ, Guadagnin FA, Skare TL, Nascimento MM, Servin SC, Souza GD. Vitamin D and skin repair: a prospective, double-blind and placebo controlled study in the healing of leg ulcers. Rev Col Bras Cir. 2012 Oct;39(5):401-407.

 

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Tous les pédiatres sont unanimes. L’alimentation des tout-petits doit être la plus saine possible, dès le berceau. Et force est de constater qu’ils ont raison. Une nouvelle étude, menée sur des rongeurs et publiée dans la revue « Diabètes » de l’American Diabetes Association (ADA), montre que l’alimentation des bébés, pendant les mois qui suivent la naissance et durant la petite enfance, détermine à vie le risque d’obésité. Les chercheurs de l’institut John Hopkins ont ainsi constaté que les rats nés de mères nourries avec un régime riche en matières grasses pendant la gestation, mais qui ont reçu une alimentation équilibrée après la naissance, ne sont pas obèses adultes. Au contraire, les bébés rats exposés à des niveaux de lipides normaux in utero mais allaités par les mères suivant un régime alimentaire riche en graisse deviennent obèses au moment du sevrage.

Finalement, l’alimentation du bébé in utero est certes importante mais n’a pas une influence définitive sur le futur poids de l’enfant. En revanche, les périodes d’allaitement, de sevrage et de diversification alimentaire sont décisives. En surveillant l’alimentation de son bambin dès son plus jeune âge, on limite les risques d’obésité et toutes les complications qui en découlent.

Source : American Diabetes Association (ADA)

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Une expérience, publiée la semaine dernière dans la revue PLos One, a montré que des personnes croyant à tort, avoir beaucoup mangé se sentaient davantage rassasiées.

Jeffrey Brunstorm et ses collègues de l’université de Bristol ont offert à 100 volontaires soit une grande (500 ml), soit une petite (300 ml) portion de soupe, au moment du déjeuner. Par un système astucieux de pompage ou de remplissage du bol, les chercheurs ont modifié pendant le repas la quantité de soupe pour chacun des convives, sans qu’ils puissent s’en apercevoir. Les uns mangeant 300 ml en pensant qu’ils en absorbent 500 et vice versa. Deux heures après ce repas, les volontaires qui avaient cru consommer une grande portion de soupe avaient beaucoup moins faim que ceux qui pensaient n’en avoir eu qu’une petite quantité.

Immédiatement après le repas, la sensation de satiété était proportionnelle à la quantité de soupe consommée et non celle que les volontaires avaient vu. Mais 2 à 3 heures après, les volontaires qui avaient cru consommer une grande portion rapportaient une plus grande satiété que ceux qui pensaient avoir eu une petite portion.

La satiété intellectuelle ????? bien connue dans le réseau ROSA

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Les smoothies sont plus sucrés et donc plus caloriques qu’on ne le pense. Selon une association anglaise de consommateurs, ce breuvage serait plus mauvais pour la ligne et les dents que le Coca-Cola.

Souvent choisis pour leur aspect sain et leur fraicheur estivale, les smoothies seraient bien loin d’être diététiques. Une étude anglaise, citée par le Daily Mail, révèle que ce breuvage, composé d’une forte concentration de fruits, contient en fait beaucoup de sucres et donc de calories.

Les chercheurs ont en effet testé une cinquantaine de smoothies parmi les marques que l’on trouve en supermarché et ont été étonnés de constater que quatre smoothies sur cinq contenaient plus de sucre et de calories qu’une bouteille de 250 ml de Coca-Cola.

Toutefois, les scientifiques à l’origine de cette étude nuancent en disant qu’il n’est pas nécessaire de bannir la consommation de cette boisson puisqu’elle est aussi source de vitamines et de minéraux, contrairement aux sodas qui ne contiennent que du sucre ajouté.

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Des chercheurs de l’université de New Castle aux Etats-Unis se sont penchés sur l’épigénétique du cancer du côlon. L’épigénétique est un domaine qui étudie l’interaction entre l’environnement et l’expression de certains gênes. Dans le cas du cancer du côlon, il semble que des réactions de méthylation au niveau de l’ADN jouent un rôle fondamental dans le développement de la maladie. Ils ont donc effectué 185 biopsies rectales et autant de prises de sang sur 84 hommes et 101 femmes en bonne santé venues à l’hôpital pour effectuer une coloscopie de routine. Les changements épigénétiques ont ensuite été évalués en fonction du mode de vie et des caractéristiques de chaque personne.

Les chercheurs ont ainsi pu mettre en évidence que le facteur le plus important dans la méthylation de l’ADN est l’âge, expliquant ainsi pourquoi le cancer du côlon est plus fréquent en vieillissant, en particulier après 50 ans. Ces mutations sont également plus fréquentes chez les hommes que chez les femmes,ce qui est compatible avec l’observation que ce cancer touche plus souvent les personnes de sexe masculin. Par ailleurs plus les taux de vitamine D et de sélénium dans le sang sont élevés moins il y a de mutations, ce qui confirmerait un rôle anti-cancer de la vitamine D et du sélénium.

Du côté des points négatifs, c’est le surpoids qui a été associé à plus de changements épigénétiques et donc à un risque de cancer plus élevé. Mais plus surprenant, les chercheurs constatent aussi que les personnes qui ont des taux de vitamine B9 élevés dans le sang ont plus de risques de subir des changements épigénétiques et donc théoriquement d’avoir plus de risque de développer un cancer du côlon.

Comment expliquer ces résultats ?

Bien que cela puisse paraître surprenant, cette équipe de chercheurs avait déjà mis en évidence en laboratoire que la vitamine B9 à fortes doses altérait l’ADN (1). Dans cette étude les participants n’utilisaient pas de compléments alimentaires : leurs apports en vitamine B9 sont donc issus des aliments naturels et des aliments enrichis, une pratique courante aux Etats-Unis, en particulier dans les produits céréaliers. La forme de vitamine B9 utilisée en fortification (y compris en France) ou dans la plupart des compléments alimentaires est de l’acide folique, une forme synthétique de vitamine B9.

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Les asperges deviennent votre meilleure amie après le jour de l’An puisque c’est un remède anti gueule de bois.

Selon les sondages, près de 9 Français sur 10 ont l’intention de boire sans modération le 31 décembre. Les asperges seront donc au menu de mardi midi.

Le réveil ce mardi 1er janvier devrait être difficile pour certains Français. Ils vont être nombreux à abuser du champagne et alcool en tout genre. Certes, le jour de l’An n’est pas le seul moment où les personnes boivent, les asperges se révèlent être un très bon remède contre la gueule de bois selon une étude. Le journal Food Science indique que ce légume a de nombreuses vertus notamment pour le foie. Ce dernier est protégé contre les toxines grâce à l’extrait d’asperges. Pour obtenir un certain bénéfice mardi matin au déjeuner, il faut tout de même en consommer sans modération. Pour constater cette propriété bénéfique, les chercheurs en Corée du sud ont porté leurs études sur les jeunes pousses et les composants des feuilles.

Exit la gueule de bois

Réalisés sur le rat et l’humain, les tests montrent que l’Asparagus officinalis est utile contre la gueule de bois. L’étude date de plusieurs années, mais le journal estime qu’il était nécessaire de faire part à nouveau des résultats, car la fin de l’année est propice à la consommation d’alcool. Il y a tout de même un petit problème, car les asperges ne sont absolument pas au programme des centres commerciaux. C’est en effet un légume qui est ramassé pendant l’été. Vous pourrez tout de même trouver dans les commerces des asperges dans des bocaux, n’hésitez pas sur la quantité, l’étude indique qu’il faut en consommer beaucoup pour que les effets positifs se produisent.

La seule méthode pour lutter efficacement contre la gueule de bois reste la modération. Certaines boissons ont également tendance à favoriser le phénomène. Il est donc préférable de boire en petite quantité ou pas du tout. Et surtout, il est recommandé pour la santé d’autrui de renoncer au volant.

 

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Le Danemark renonce à une taxe sur les graisses, qu’il a pourtant été le premier au monde à mettre en place il y a un peu plus d’un an, déclarant samedi dernier que la mesure était coûteuse et avait échoué à modifier les habitudes alimentaires des Danois.

« La taxe sur les graisses et l’extension de la taxe sur le chocolat -appelée taxe sucre- a été critiquée pour la hausse des prix pour les consommateurs, l’augmentation des coûts administratifs pour les entreprises et la mise en danger d’emplois »,a déclaré le ministre de la Fiscalité dans un communiqué. »En même temps, on pense que, dans une moindre mesure, cette taxe a contribué à ce que les Danois traversent la frontière pour leurs achats ».

« Face à cette situation, le gouvernement et le Parti rouge vert (extrême gauche) se sont mis d’accord pour supprimer la taxe sur les graisses et annuler la taxe sucre prévue »,a poursuivi le ministre.

La semaine dernière en France, contre l’avis du gouvernement qui considère que cette mesure intervient trop précocement, la commission des affaires sociales du Sénat a adopté un “amendement Nutella” au projet de budget de la sécu, visant à augmenter de 300% la taxe sur l’huile de palme qui entre notamment dans la composition de ce produit alimentaire culte.

 

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Par Gabon review

Accusée de détruire l’environnement et de favoriser l’obésité, l’huile de palme est aujourd’hui sur le point d’être très fortement surtaxée en France. Sous le sobriquet d’amendement «Nutella», ce qui semble n’être qu’une anecdote amusante s’avère soulever des questions de fonds à l’heure où les industriels investissent lourdement dans la production d’huile de palme, en Afrique en particulier.

Difficile au Gabon de ne pas connaître l’huile de palme. D’abord parce que «l’huile rouge» est un composant de base de la cuisine locale, ensuite parce que l’essentiel des investissements agricoles les moins polémiques portent justement sur les plantations de palmier à huile de Siat Gabon et Olam.

Dans l’industrie, l’huile de palme s’est rapidement imposée comme le produit miracle. Elle renforce le craquant et croustillant des biscottes, elle apporte une texture fondante à la pâte à tartiner et elle prolonge les émulsions, le tout sans polluer le goût des aliments qu’elle compose. Dans les cosmétiques, on la trouve aussi partout. Elle permet au savon ou au shampooing de mousser plus longtemps et fait mieux pénétrer le rouge à lèvre ou les crèmes hydratantes dans la peau. Ses vertus anti-oxydantes, idéales pour la longue conservation, sont aussi appréciées. La WWF a estimé qu’il y avait environ un produit sur deux dans le monde qui contiendrait de l’huile de palme. Bref, c’est le corps gras efficace et très bon marché : le beurre est six fois plus cher. L’huile d’olive est deux fois plus chère. Même les huiles de tournesol et de colza ne peuvent rivaliser.

La proposition d’un sénateur socialiste, Yves Daudigny, jusqu’alors totalement inconnu, a fait l’effet d’une bombe dans les milieux concernés. Des milieux beaucoup plus larges et puissants que les parlementaires français pouvaient l’imaginer.

Dans un premier temps, la proposition du sénateur s’appuyait sur une récente étude scientifique accusant l’huile de palme de favoriser l’obésité et les maladies cardio-vasculaires, deux fléaux des pays industrialisés. A cette étude, s’ajoute les critiques formulées depuis des années par les divers mouvements écologistes accusant les plantations de palmier à huile d’accélérer la déforestation, et les exemples de l’Indonésie et de la Malaisie leurs donnent tout à fait raison. D’ailleurs, au niveau mondial, ces deux pays dominent très largement le marché, avec 85 % de la production planétaire. Avec près d’un million de tonnes produites par an, le géant démographique africain fait pâle figure par rapport à l’Indonésie, premier producteur mondial avec plus de 20 millions de tonnes par an.

L’indignation des producteurs africains

Rapidement, l’Initiative for Public Policy Initiative (IPPA), un groupe de réflexion du Nigeria, a écrit à plusieurs responsables de grandes surfaces françaises pour protester contre la «campagne menée par des détaillants français contre les petits exploitants africains d’huile de palme. (…) Vous avez fait chuter leur revenu, critiqué leur moyen de subsistance et injustement nui à la réputation du produit qu’ils cultivent». 50 ans après les indépendances africaines, «on voit resurgir le spectre d’un comportement colonialiste, que l’on croyait révolu, dans votre campagne contre l’huile de palme». Ils rappellent qu’elle est l’huile alimentaire «la plus abordable et la plus largement commercialisée au monde» et constitue l’huile au meilleur rendement mondial par surface cultivée. En clair, ils affirment que l’huile de palme, produite dans les pays tropicaux, menace moins les forêts que le tournesol et le colza, notamment cultivés en France…

L’IPPA conteste aussi la nocivité de l’huile de palme. Riche en nutriments, avec des taux très élevés en vitamines A et E, elle est d’un apport essentiel aux populations pauvres, notamment en Afrique. D’autre part, il faut reconnaître que si la France, et plus généralement l’Europe, entend lutter contre les aliments néfastes à la santé, l’huile de palme n’est pas, et de loin, une priorité. L’industrie agroalimentaire produit en quantité des «acides gras trans» que l’on retrouve dans la quasi totalité des plats préparés et dans la pâtisserie ou la boulangerie industrielle en particulier, dangereusement cancérigènes et suffisamment étudiés pour être considérés comme réellement nocifs. Quid de l’huile de Tournesol, largement produite en Europe et vantée à longueur de publicité, qui poserait les mêmes problèmes sanitaires que l’huile de palme ? En fait, ce sont les usages industriels, et en particulier les produits transformés des huiles végétales qui, consommés en grande quantité, poseraient problème. Sans parler des récentes polémiques sur l’Aspartam, les sels d’aluminium ou les pesticides omniprésents dans la nourriture occidentale.

Alors pourquoi tout ce remue ménage sur l’huile de palme ?

Sur le fond, les Verts ont raison, en particulier lorsqu’ils pointent du doigt le Cameroun et les massacres sylvicoles qu’ont perpétré certaines entreprises, en particulier la société américaine Herakles. Si dans les années 60, le Nigeria était le premier producteur mondial, et si l’huile de palme est un produit typiquement africain, lorsque la culture est devenue vraiment rentable, tirée par les formidables croissances économiques et démographiques de la Chine et de l’Inde, l’Asie a rapidement supplanté l’Afrique. Or, les exploitations géantes déployées à la hâte en Indonésie et en Malaisie ont réellement saccagé les forêts primaires de ces pays, les détruisant à jamais.

Dans ce contexte, la vigilance reste de mise face à des multinationales qui pratiquent la course au profit immédiat et la politique de la terre brûlée. La biodiversité n’est pas seulement un hobby pour désœuvrés fortunés, et il est important de préserver l’habitat des gorilles, des pangolins et des abeilles. L’avenir de notre planète est indissociable la défense de l’environnement. Mais comme l’affirme Adrien Hart, journaliste spécialiste de l’Afrique, notre continent «ne doit pas être la “réserve naturelle” des Occidentaux, hyperindustrialisés, dévorés par un immense sentiment de culpabilité post-colonialiste et brusquement passionnés par l’écologie dans les pays du sud. Le continent africain doit rapidement se développer pour tirer de la pauvreté des centaines de millions d’habitants. Oui, l’Afrique devra couper des arbres. Comme l’ont fait avant elle l’Europe, les États-Unis et la Chine lors de leurs révolutions industrielles».

Reste que si la France adopte définitivement ce texte de loi et qu’elle est suivie, comme c’est probable, par les autres pays occidentaux, c’est l’ensemble de la filière de l’huile de palme qui sera menacée, en Afrique en particulier puisque les pays asiatiques continueront d’importer l’essentiel de leurs besoins des pays de leur zone. Lors de sa campagne pour les primaires du PS, Arnaud Montebourg avait assuré : «L’Union européenne s’orientera rapidement vers une interdiction de l’huile de palme.» Dans l’hypothèse d’une taxation généralisée de l’huile de palme, les industriels chercheront activement un produit de substitution et les petits producteurs africains ayant lourdement investi dans leurs plantations en seront pour leurs frais. On s’étonne juste du silence du Gabon sur une affaire qui devrait pourtant l’intéresser au plus haut point.

Article original : http://gabonreview.com/blog/la-taxe-nutella-un-amendement-neocolonial-contre-lhuile-de-palme

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Pour un rôti de bœuf bien réussi, il est conseillé de préchauffer le four à thermostat 7/8 – 220°.

Ensuite, 5 minutes après avoir enfourné votre rôti, ramenez la température à Thermostat 6/7 – 200°.

Pour un rôti saignant, la cuisson est d’environ 15 minutes pour 500 g de viande. Prolongez le temps de cuisson pour une viande cuite à point (20 minutes pour 500 g).

Pensez à laisser reposer le rôti avant de le déguster, et à ne le saler qu’après cuisson, la chair n’en sera que plus fondante…..

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