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L’obésité est considérée comme le principal facteur de risque du cancer de l’endomètre (= du corps de l’utérus) qui affecte la muqueuse interne de l’utérus.

Les chercheurs américains de la San Diego School of Medicine (Californie) ont découvert que la chirurgie bariatrique était capable de réduire de 71 % les risques de cancer de l’endomètre chez les femmes en situation d’obésité sévère. « Une femme qui a un IMC de 40 présente 8 fois plus de risques d’avoir un cancer de l’endomètre qu’une personne dont l’IMC est de 25« , justifie Kristy Ward, auteure de l’étude.

« L’obésité est la seconde cause de mortalité évitable. Cette étude confirme que la réduction de l’obésité réduit le cancer. Nous avons besoin de trouver des solutions pour aider les femmes à maigrir et la chirurgie bariatrique fait partie des options ».

Les résultats ont porté sur une cohorte de plus de 7 millions de patients. Ils ont été publiés dans la revue Gynecologic Oncology.

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Pourtant efficace et sûre, la chirurgie bariatrique ou chirurgie de l’estomac a concerné jusqu’ici moins de 5% des patients sévèrement obèses.

Le Lancet Diabetes & Endorcinology publie une série d’articles sur la chirurgie bariatrique ou chirurgie de l’estomac, présentée par le journal médical comme « le traitement le plus efficace de l’obésité ». Un traitement sûr et efficace, mais encore peu répandu.

L’obésité est à l’origine de nombreux problèmes de santé dont le diabète, les maladies cardiovasculaires, certains cancers, l’arthrose, l’apnée du sommeil et les troubles respiratoires. Selon le Lancet, 44% des diabètes de l’adulte et 23% des maladies cardiovasculaires sont liées à l’obésité.

La chirurgie bariatrique permet de perdre du poids mais elle améliore aussi le statut métabolique : les diabétiques peuvent espérer une rémission de la maladie et les organes endommagés peuvent même retrouver un état normal.

Selon l’enquête OBepi de 2012, près de 7 millions de Français seraient obèses (IMC supérieur ou égal à 30 kg/m2). En France, la chirurgie bariatrique est généralement réservée aux personnes sévèrement obèses (IMC supérieur ou égal à 40), qui sont plus de 550000 dans notre pays. Pourtant, moins de 5% de cette population a bénéficié d’une opération même si le nombre d’actes a été multiplié par 7 entre 1997 et 2006.

L’enquête OBepi 2012

Selon le Lancet, la chirurgie bariatrique devrait être proposée plus systématiquement et plus largement ne serait-ce que parce qu’elle entraînerait une réduction de 30% des coûts de santé chez un obèse.

Deux diététiciennes-nutritionnistes, Elodie Sentenac et Magali Walkowicz, auteur du Guide de la chirurgie de l’obésité répondent aux questions sur cette procédure.

LaNutrition.fr : Il faut attendre 3 à 6 mois avant de subir une chirurgie bariatrique. Pourquoi ?

Magali Walkowicz : Le bilan médical avant l’intervention doit être très précis afin de prévenir les complications médicales. En gros, il s’agit de « mettre sur une balance » les indications et les contre-indications. Du point de vue purement diététique, on va chercher à savoir s’il y a bien une hyperphagie, s’assurer que le comportement alimentaire ne souffre d’aucun trouble majeur et commencer à rééquilibrer l’alimentation pour apprivoiser le futur alimentaire. Si ce laps de temps est nécessaire à la réflexion du patient c’est parce que cela est avant tout une chirurgie et qu’elle est irréversible pour certaines procédures. La culture alimentaire du patient, qui est profondément ancrée en lui, va être inexorablement ébranlée et il doit être sûr de l’accepter.

La chirurgie peut-elle échouer ?

Elodie Sentenac : Il peut y avoir une ou des complications liées à la chirurgie elle-même (reflux, dilatation) mais le plus souvent il s’agit d’une reprise partielle ou totale du poids à cause de problèmes alimentaires qui ressurgissent (grignotages, compulsions, difficultés à gérer les émotions).

M. W. : D’où l’intérêt de bien se préparer à l’intervention et de déceler et régler les troubles du comportement alimentaire avant de se faire opérer. Même sans grignoter, simplement ne pas consommer de repas équilibrés est aussi un problème. Les règles diététiques doivent être suivies au quotidien. L’opération agit sur la quantité, pas sur la qualité.

Quelle aide apportez-vous dans le cas d’un échec ?

M. W. : Lors de consultation, on diagnostique le problème. Si le problème touche à l’équilibre alimentaire, on rééduque le patient sur ce point. On repart à zéro, on souligne et on explique les erreurs. Si on sent qu’il a besoin d’être vraiment encadré, on peut au départ lui établir des menus, lui faire sa liste de courses et on le rencontre plusieurs fois, jusqu’à ce qu’il soit autonome. Si on décèle un trouble compulsif alimentaire, on apporte certes une réponse diététique mais on incite fortement le patient à consulter également un psychologue, voire un psychiatre. Il y a alors urgence car il y a un risque de décompensation psychique en plus.

Existe-t-il des carences suite à une chirurgie bariatrique ?

E. S. : Oui, cela arrive lorsque les patients ne se font pas suivre correctement. En pré-opératoire, lorsqu’on les prépare à de nouvelles habitudes alimentaires, ils ne sont pas toujours suffisamment attentifs. Ils écoutent mais n’entendent pas car ils ne sont pas encore dans la réalité post-opératoire. Une fois opérés, ils ne suivent pas les recommandations et n’éprouvent en plus pas le besoin de revenir en consultation. Il y a alors des anémies sévères, des dénutritions protéino-énergétiques, des asthénies… Il est très important d’avoir un suivi diététique régulier en post-opératoire.

Sur quels critères avez-vous élaboré vos recettes ?

E. S. : Les personnes opérées peuvent manger les mêmes plats qu’avant l’opération. À condition, bien sûr, que ce soit des recettes bien équilibrées. Nous avons donc misé sur des recettes originales. Le but étant de leur donner de nouvelles idées de menus. Nous avons aussi tenu compte de la facilité d’élaboration. Elles sont bien entendu très diététiques tout en étant savoureuses.

M. W. : Nous avons sélectionné des aliments de base ayant une forte densité nutritionnelle. Les associations ont été faites de manière à garantir un certain équilibre alimentaire, un faible apport calorique, un index glycémique le plus bas possible y compris pour les desserts et un rapport oméga 3/6 intéressant. Ainsi elles sont intéressantes à la fois pour participer à la perte de poids, pour répondre aux besoins de l’organisme, pour s’assurer une bonne santé cardiovasculaire et éviter les pics glycémiques d’après repas. Et toute la famille peut en profiter.

Pour en savoir plus : Le guide de la chirurgie de l’obésité par Elodie Sentenac et Magali Walkowicz

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Un rapport complet du ministère de la Santé pour 2013 parle de « l’épidémie en surpoids » dont souffre Israël.

50%  de la population adulte dans le pays est en surpoids ou obèse .

Le taux d’embonpoint est 50% plus élevé chez les hommes .

 

Chez les hommes juifs , les taux d’obésité et de surpoids sont les plus élevés dans le groupe des 45-64 ans , où ils atteignent 70 % de la population . 64%  des femmes juives âgées de 65 ans et plus sont en surpoids ou obèses .

L’ obésité et le surpoids diminuent en fonction du niveau d’éducation. Le taux d’obésité chez les Israéliens qui ont suivi un enseignement supérieur est de 24% inférieur à celui des Israéliens d’un niveau d’éducation moyen et 51 % plus faible que chez les Israéliens d’un faible niveau d’éducation.

L’obésité est un sujet sensible chez les enfants aussi, avec une augmentation progressive de l’ampleur du phénomène chez les enfants de 5 à 11 ans. D’autre part , une baisse modérée a été enregistrée chez les 9-12 ans . Le plus haut taux de surpoids et d’obésité a été trouvé chez les 13-15 ans , qui atteint 30,7 %.

Les résultats ont démontré, que les enfants issus de famille ultra-orthodoxes et bédouines seraient en sous poids et présenteraient de réels problèmes de croissance. Les chercheurs trouvent une explication à cela et rappellent que ces deux populations sont les plus pauvres d’Israël. Ce sont aussi celles où l’on trouve le plus grand nombre d’enfants par famille. Ils soulignent par ailleurs que  »le nombre élevé d’enfants dans la famille et les écarts d’âge entre frères et sœurs peuvent affecter la croissance des enfants ».

Outre les différences de mode de nutrition, les chercheurs évoquent les conditions de vie des enfants bédouins et haredi. Moins sédentaires, ils passent moins de temps devant leurs écrans de télévisions et d’ordinateurs et privilégient les déplacements à pieds plutôt que d’utiliser les transports.

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Aux Samoa américaines, la prévalence de l’obésité et du surpoids atteint des niveaux records. Les travaux du chercheur Stephen McGarvey tentent d’expliquer les raisons de ce phénomène.

Îles Samoa américaines, dans le Pacifique Sud, quelque part entre la Nouvelle-Zélande et Hawaï. Décor idyllique, mer turquoise, plages de sable blanc… et population en danger pour cause d’excès alimentaires. Presque 95 % des adultes de ce petit archipel de 55 000 habitants sont en surpoids, les trois quarts sont obèses. Des chiffres parmi les plus élevés au monde : par comparaison, en 2010, le taux d’obésité chez les hommes était selon l’OMS de 9 % en France et de 44 % aux États-Unis.

Même les enfants sont touchés par le phénomène : d’après une étude de la Brown University, environ 20 % des bébés samoans pèsent plus de 4 kg à la naissance (contre environ 7 % en France).

À 15 mois, 23 % des garçons et 17 % des filles sont obèses. L’omniprésence du surpoids et de l’obésité aux Samoa américaines entraîne une forte prévalence des maladies chroniques : une personne sur cinq y souffre de diabète de type 2, par exemple.

Un phénomène aux explications multiples

Depuis des années, l’anthropologue et biologiste américain Stephen McGarvey cherche à comprendre les raisons de l’ampleur prise par l’épidémie d’obésité dans ce petit archipel du Pacifique. Il a présenté ses recherches le 16 février à Chicago lors de la rencontre annuelle de l’American Association for the Advancement of Science.

Pour lui, plusieurs facteurs peuvent expliquer la situation particulière des Samoa américaines. Le premier d’entre eux pourrait être une prédisposition génétique à l’obésité chez les habitants de ces îles. Mais il faut manier ce genre d’explication avec précautions, avertit l’anthropologue : si la génétique peut avoir joué un rôle, elle n’a pu seule générer le phénomène.

Des facteurs environnementaux, et notamment culturels, ont également leur importance. Les Samoans ont en effet connu de brusques changements dans leurs conditions d’existence durant la seconde moitié du XXe siècle : entre 1961 et 2007, l’occidentalisation des modes de vie a fait croître leur ration alimentaire moyenne de 900 calories par jour et par personne.

La géographie a aussi pu avoir une influence sur l’expansion de l’épidémie : dans une petite population et sur un petit territoire, les modifications des habitudes nutritionnelles se sont diffusées extrêmement rapidement.

Les Samoa, avant-garde de l’épidémie mondiale d’obésité ?

C’est d’ailleurs la vitesse de l’expansion de l’épidémie d’obésité qui fait des Samoa américaines un cas intéressant, d’après Stephen McGarvey. Pour lui, la situation dans ce petit archipel pourrait bien préfigurer ce qui se passera bientôt dans le reste du monde.

Et si les Français, abrités derrière leurs traditions culinaires, croient que les Samoa américaines ne doivent leur triste situation qu’à leur proximité culturelle avec le pays de McDonalds, ils se trompent : en Polynésie française, 4 adultes sur 10 sont déjà obèses…

 

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Marseille n’ignore plus l’obésité.

Selon une étude de l’AP-HM (Assistance publique-hôpitaux de Marseille), 28 % des bénéficiaires de l’aide alimentaire en ville sont obèses.

Et l’obésité sévère (quand l’indice de masse corporelle ou IMC* est compris entre 35 et 40) a augmenté de 200 % ces dernières années. «Ce sont des chiffres aussi importants que dans le nord de la France, explique Anne Dutour, nutritionniste à l’hôpital Nord. Jusqu’à présent, on disait que la cuisine méditerranéenne protégeait de l’obésité. Ce n’est plus le cas.

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L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) tire la sonnette d’alarme : le surpoids et l’obésité deviennent si répandus chez les jeunes Européens que notre définition de la normalité risque de s’en trouver affectée. Zsuzsanna Jakab, directrice régionale de l’OMS pour l’Europe, avertit : « Le surpoids est désormais plus fréquent qu’inhabituel. Nous ne devons pas laisser une autre génération grandir avec l’obésité comme nouvelle norme. »

Le bureau de l’OMS pour l’Europe vient de dévoiler une série de fiches-pays faisant le point sur la nutrition, l’obésité et l’activité physique dans chacun des 53 pays qu’il couvre. Ces fiches dressent un tableau d’autant plus sombre qu’elles concentrent l’analyse sur les enfants et les adolescents.

Alors que les Américains retrouvent le sourire avec la récente annonce par le CDC d’une baisse spectaculaire de l’obésité chez les 2-5 ans, le diagnostic de l’OMS est sévère pour les jeunes générations du vieux continent. Dans quatre pays de la zone, la prévalence du surpoids chez les enfants de 11 ans dépasse les 30 % : Grèce (33 %), Portugal (32 %), Irlande (30 %) et Espagne (30 %). Et dans onze pays, plus de 20 % des enfants de 13 ans sont en surpoids.

Les causes du phénomène sont bien connues : « La sédentarité, conjuguée à une culture qui favorise la consommation d’aliments peu chers, pratiques et riches en matières grasses, en sel et en sucre, constituent un cocktail mortel », explique Zsuzsanna Jakab. Dans 23 des 36 pays pour lesquels l’OMS dispose de données concernant l’activité physique, cette dernière est insuffisante chez au moins 30 % des garçons et des filles âgés de 15 ans et plus.

La France plutôt épargnée

Les comparaisons effectuées par l’OMS montrent que le surpoids est plutôt moins répandu en France que dans les autres pays européens. Avec certains États scandinaves, notre pays est même cité par l’organisation internationale comme faisant partie de ceux qui ont stabilisé la prévalence de ce phénomène.

Tout n’est pas rose pour autant au royaume autoproclamé de la gastronomie. Environ 19 % des garçons et 11 % des filles de 11 ans y sont en surpoids. Chez les 13 ans, les chiffres sont de 18 % pour les garçons et 13 % pour les filles, et chez les 15 ans, ils sont respectivement de 16 % et de 8 %.

Pour lutter contre ce qu’elle considère comme une épidémie, l’OMS recommande d’encourager la consommation de légumes et de fruits, d’augmenter la fiscalité sur les aliments peu sains, de mieux contrôler la publicité, promouvoir l’activité physique : sur les bords du lac Léman, on n’a pas encore trouvé de recette miracle contre le surpoids…

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Une étude américaine fait le lien entre le surpoids des enfants et la présence d’une télévision dans leur chambre. Même s’ils la regardent peu, elle aurait un impact direct sur leur Indice de masse corporelle (IMC).

Les enfants ayant une télé dans leur chambre seraient plus susceptibles de développer des troubles du comportement alimentaire.

Regarder la télévision peut être nocif pour la santé, c’est un fait connu des scientifiques depuis plusieurs années. Alors quand elle squatte la chambre de vos enfants, il y a péril en la demeure, et pas seulement pour la violence qui y est diffusée. En cause, le surpoids qu’elle engendrerait chez les plus jeunes. Une étude américaine publiée dans le journal médical Jama Pediatrics révèle en effet que les enfants qui ont une télé dans leur chambre seraient en moyenne plus gros que les autres.

Les chercheurs de l’Université de Dartmouth, aux Etats-Unis, ont analysé les données récoltées lors d’un sondage téléphonique sur près de 3 055 enfants âgés entre 10 et 14 ans et de leurs parents pour parvenir à cette conclusion. 60 % d’entre eux étaient équipés d’une télé dans leur chambre. Résultats : ces derniers pèsent en moyenne 400 grammes de plus que ceux qui n’en ont pas. Autre fait : ceux qui ont installé un écran dans leur chambre ont vu leur IMC (Indice de masse corporelle) augmenter d’un demi point en deux ans et de 0,75 point en quatre ans par rapport à ceux qui en étaient épargnés.

Les troubles du sommeil engendrent un surpoids

Les chercheurs notent toutefois que le temps passé devant l’écran n’influerait pas sur cette prise de poids. En cause : le sommeil, perturbé par la télé, mais aussi par l’utilisation des tablettes et des smartphones, de plus en plus accessibles aux plus jeunes. Or, on sait que le sommeil a un impact direct sur la prise de poids, quel que soit l’âge. Autre élément déclencheur, les publicités alimentaires dont ils sont les cibles privilégiées, qui vantent bien souvent la consommation de produits riches en calories.

En 2007, des chercheurs américains avaient publié les 7 règles d’or pour lutter contre l’obésité infantile. Dans ce pays où l’obésité est un problème sanitaire porté par la Première dame Michelle Obama, 8 % des enfants âgés de 2 à 5 ans sont obèses (chiffre en diminution). En France, en 2012, l’obésité et le surpoids concernaient respectivement 3,5 % et 4,5 % des enfants, selon l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes). Un enjeu de taille, alors que chaque année, l’obésité tuerait dans le monde plus de 3 millions de personnes victimes de diabète, hypertension artérielle et autres pathologies liées au surpoids. La malnutrition, elle, ne ferait « que », un million de morts.

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De 1985 à 2011, le taux d’obésité est passé de 6 à 18% au pays.

Le taux d’obésité a triplé au Canada en l’espace de 25 ans, selon une étude réalisée par des chercheurs de l’Université Memorial de Terre-Neuve.

De 1985 à 2011, le taux d’obésité est passé de 6 à 18 % au pays. La recherche indique aussi que 21 % des Canadiens seront obèses en 2019.

Certaines provinces sont plus touchées que d’autres, notamment Terre-Neuve et Labrador, le Nouveau-Brunswick et la Nouvelle-Écosse. En revanche, la Colombie-Britannique et le Québec affichent les taux les plus bas.

Les résultats de ces travaux ont été publiés dans la revue scientifique Canadian Medical Association Journal.

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Pour prendre soin de sa santé, le sport est une des clés. Découvrez « Dans la foulée », une marche contre le surpoids pour partager ensemble ce moment d’effort et voir l’obésité sous un nouveau jour.

Marche sportive :

Jean-Luc Loiseau a pesé plus de 200 kilos et veut prouver qu’un retour à la normale est possible. C’est la marche qui l’a sauvé, aujourd’hui il souhaite partager son expérience en invitant tous ceux qui le souhaitent à avancer ensemble dans un tour à travers la France. Baptisé « Dans la foulée », ce projet compte 50 étapes de 20 kilomètres environ qui s’effectueront pas à pas. Rassurez-vous, vous pouvez aussi choisir de ne faire que quelques kilomètres. Plus qu’un défi personnel et sportif, Jean-Luc Loiseau veut créer une « communauté, une organisation générative ». Pour vous inscrire, rendez-vous sur dans danslafoulée.com. Le départ est lancé le dimanche 5 mai près de Lille.

le vendredi 13 juin 2014 à 10 heures, ce « tour de France  » passe par Montpellier pour un parcours de 16 km. Ce parcours est ouvert à 200 participants.

Les patients du réseau ROSA pourraient y participer collectivement.

200 places sont encore disponibles à ce jour (04 mars 2014 à 11h15).

Parlons en entre nous.

Il est précisé qu’il n’est pas obligatoire de parcourir toute la distance.

Ce sera un très bon entrainement pour la ROSA de Béziers qui aura lieu 48 h plus tard, le dimanche 15 juin 2014 à 14 h.

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Du fait du long pont du premier week end du mois de juin, la 2° édition de la ROSA de Béziers aura lieu le dimanche 15 juin 2014 à 14h.

Le concept sera identique à celui de la première édition: à savoir, parcourir la distance maximale en 1 heure de marche rapide.

Réservez votre date  !!!

Dr BUENOS

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