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diététique

La commission des affaires sociales du Sénat a adopté un “amendement Nutella” au projet de budget de la sécu, visant à augmenter de 300% la taxe sur l’huile de palme qui entre notamment dans la composition de ce produit alimentaire culte.

Cette taxe doit constituer un signal, “non à destination des consommateurs, mais à destination des industries agroalimentaires pour qu’elles substituent à ces huiles de nouvelles compositions plus respectueuses de la santé humaine”, a souligné l’auteur de l’amendement, le rapporteur de la commission Yves Daudigny (PS).

L’huile de palme, qui ne constitue pas à proprement parler une huile, mais des graisses, est accusée d’avoir des effets nocifs sur la santé et sur l’environnement, en entraînant notamment une déforestation.

Cet amendement au projet de loi de financement 2013 de la Sécu (PFLSS) institue une contribution additionnelle de 300 euros par tonne à la taxe spéciale prévue sur les huiles de palme, de palmiste et de coprah destinées à l’alimentation humaine.

La taxe actuelle sur ces produits est de 98,74 euros par tonne d’huile de palme et de 107,8 euros par tonne d’huile de coprah et de palmiste. La France consomme 126 000 tonnes d’huile de palme à usage alimentaire par an, soit 2 kg par habitant et par an. Le rendement de la taxe additionnelle serait donc de l’ordre de 40 millions d’euros, estime M. Daudigny, dans l’exposé des motifs de l’amendement.

En raison de leur richesse en acides gras saturés, les huiles de coprah, de palme et de palmiste sont utilisées pour la fabrication de la margarine ou comme corps gras de friture, a souligné M. Daudigny. “Elles sont utilisées de manière excessive par la restauration collective et dans l’industrie agroalimentaire”, a-t-il poursuivi, ajoutant qu’elles “sont notamment incorporées dans les produits de biscuiterie et dans l’alimentation salée ou sucrée à destination des enfants”.

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La restriction lipidique n’est pas recommandée chez le jeune enfant, avant 2 ans, et risque même d’entraîner un surpoids à l’âge adulte. Un travail commun Uren*/Inserm/Inra publié dans la revue International Journal of Obesity par Marie-Françoise Rolland-Cachera vient, en effet, de montrer que les enfants qui ont de faibles apports en graisse pendant la petite enfance ont un risque accru de développer un surpoids à l’âge adulte.

Les chercheurs ont suivi une cohorte d’enfants nés entre 1984 et 1985 pour lesquels ils ont recensé les apports nutritionnels aux âges de 10 mois et de 2 ans, puis tous les deux jusqu’à 20 ans. A l’âge adulte, le poids, la graisse sous-cutanée, la composition corporelle par impédancemétrie et la concentration sanguine en leptine ont été mesurées.

Après avoir tenu compte de facteurs susceptibles de biaiser les résultats comme la catégorie socio-professionnelle, allaitement maternel, etc., les auteurs ont relevé des associations significatives entre l’alimentation des enfants au début de leur vie et les mesures à l’âge adulte. La masse grasse était plus importante au niveau abdominal chez les personnes ayant eu des apports lipidiques faibles au début de la vie.

Dans cette cohorte, 36 % des enfants âgés de 10 mois consommaient du lait de vache demi-écrémé, 67 % à 2 ans, et les apports lipidiques ne dépassaient pas 30 % des apports quotidiens chez un grand nombre de jeunes enfants, alors que selon les recommandations officielles, ils doivent être d’au moins 50 % jusqu’à 6 mois et décroître progressivement à 35 % à l’âge de 2 ans. Les taux de leptine étaient plus importants chez ceux ayant eu une restriction en lipides.

Une adaptation à chaque âge de la vie

« Ces résultats ne sont pas surprenants, a expliqué Marie-Françoise Rolland-Cachera. Au cours de cette période précoce, l’organisme s’adapte pour prévoir l’environnement à venir. En cas de régime pauvre en lipides, le métabolisme va se programmer pour faire face aux déficits et ne sera pas préparé à faire face à des apports élevés en lipides ultérieurement. »

Ces travaux incitent donc à revoir le mode de consommation actuel. « De fait, l’épidémie d’obésité qui a débuté depuis quelques années dans de nombreux pays est contemporaine d’une baisse de des apports en lipides chez l’enfant avec des niveaux particulièrement faibles chez les tout jeunes enfants. »

Il faut ne faut donc pas restreindre les lipides avant l’âge de 2 ans mais adapter la ration aux besoins de chaque âge de la vie, insistent les chercheurs, rappelant que le lait maternel contient environ 55 % de lipides.

* Unité de Recherche en épidémiologie nutritionnelle.

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Les minéraux sont des micronutriments indispensables à la vie. Ils sont apportés par l’alimentation.

Parmi eux, il y a ceux qui sont présents en grande quantité dans notre organisme : sodium, potassium, calcium, magnésium et phosphore

et ceux présents en très petites quantités, voire à l’état de traces, on les appelle oligo-éléments : le fer, le zinc, le fluor, le cuivre, l’iode, le manganèse, le cobalt, le sélénium, le vanadium , le molybdène, le chrome etc.

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On distingue plusieurs catégories de nutriments selon le rôle qu’ils tiennent dans notre organisme :

  • Les nutriments énergétiques qui apportent l’énergie indispensable à notre corps pour fonctionner : il s’agit des glucides et des lipides.
  • Les nutriments de structure également appelés nutriments plastiques, qui sont indispensables à la structure des tissus. Il s’agit notamment des protéines, des acides gras essentiels et de certains minéraux (calcium, phosphore magnésium).
  • Les nutriments qui participent à l’entretien et au fonctionnement de l’organisme qui sont les vitamines, les minéraux et les oligo-éléments. Présents en très petites quantités, ils facilitent les réactions qui s’y déroulent.

Les vitamines antioxydantes protègent quant à elle nos cellules contre le vieillissement.

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Pour manger sain, il faut choisir des aliments de bonne qualité, les conserver dans des conditions appropriées, les préparer et les cuire de façon à préserver leurs qualités nutritionnelles et santé et, pour cela, choisir le bon ustensile et le bon mode de cuisson.

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Nous cuisons nos aliments pour plusieurs raisons :

  • Pour les rendre comestibles ou plus digestes car, crus, certains aliments possèdent des facteurs anti nutritionnels que la cuisson permet de détruire. Par exemple, l’amidon des pâtes ou du riz devient digeste après cuisson à l’eau grâce à une modification de sa structure plus favorable à l’action de l’amylase qui découpe l’amidon en molécules de glucose.
  • La cuisson permet également aux protéines d’ouvrir leur structure en hélice et de faciliter ainsi l’action des enzymes digestives.
  • La cuisson permet de mieux conserver les aliments en détruisant les micro-organismes nuisibles.
  • La cuisson permet d’obtenir des saveurs et des arômes agréables qui proviennent des réactions chimiques regroupées sous le nom de réaction de Maillard. Cette réaction est à double tranchant : elle conduit à des saveurs très appréciées par le consommateur mais les molécules impliquées sont suspectées de favoriser le développement de certains cancers ou de réactions inflammatoires.

Enfin, la cuisson des aliments a rendu plus accessibles des nutriments importants pour la santé et aurait favorisé le développement du cerveau.

L’homme est le seul animal qui cuit ses aliments avant de les ingérer.

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ROSA fait son cinéma.

La branche bitérroise du réseau ROSA poursuit une série de projections-débats autour de films qui méritent attention.

Jeudi 29 novembre 2012 à 17h30 heures autour du film de Joel Santoni et Jean Charles DENIAU « ces fromages qu’on assassine ».

Visionnage en compagnie du Dr BUENOS du film de Joel Santoni et Jean Charles DENIAU « ces fromages qu’on assassine ».

Suivi d’une discussion – débat autour du film.

Participation gratuite pour les membres de la branche bitérroise du réseau ROSA, mais inscription préalable obligatoire auprès du Dr BUENOS au 06 78 51 89 41.

Nombre de participants limités.

pitch du film :

De l’Europe aux Etats-Unis, Joel Santoni et Jean-Charles Deniau ont mené l’enquête au coeur du conflit qui oppose les petits producteurs de fromages aux géants de l’agroalimentaire. Ils mettent ainsi en lumière ces deux mondes qui s’affrontent : d’un côté, lesdéfenseurs du goût et de la diversité, de l’autre, les firmes multinationales, les lobbies et la mondialisation.

Ces rencontres ont lieu au Ciné Rosa : 5 rue Paul Paget 34500 Béziers

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Jusqu’au dimanche 02 Décembre 2012, Thierry Collignon organise tous les jours des cueillettes de kiwis bio à la Plantation pour 1 euro le kg.

Les kiwis sont réputés pour leur qualité nutritionnelle, et ce sont des fruits de saison.

Pour en savoir plus, n’hésitez pas à contacter directement Thierry Collignon au 06 72 26 96 54, ou à vous rendre directement à la Plantation, Route de Serignan à la sortie de Villeneuve les Béziers.

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Connaître les risques sanitaires et environnementaux d’un produit en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire ? Ce sera bientôt possible pour ceux qui possèdent un smartphone grâce à une nouvelle application, gratuite, disponible le 29 novembre.

Noteo référencera ainsi quelque 40 000 produits alimentaires, ménagers ou cosmétiques. En en scannant le code-barres, le consommateur découvrira une note qualifiant les risques que présente le produit calculée à partir de près de 400 critères. Pour les produits obtenant une note particulièrement mauvaise, l’application proposera un produit alternatif plus sain.

Avec ce projet, initié en 2007 et qui prend exemple sur GoodGuide, un service similaire existant déjà aux Etats-Unis, Baptiste Marty entend « permettre aux consommateurs de prendre le pouvoir et changer le monde par la consommation ».

Le jeune homme a du pain sur la planche. Parmi les 10 000 produits de beauté et d’hygiène recensés, 50% contiennent au moins une des dix substances les plus préoccupantes, notamment les parabènes, perturbateurs endocriniens. En outre, tous les produits ne rendent pas accessible la liste de leurs composants. C’est le cas pour les produits d’entretiens. Sur les 3 000 passés en revue, 20% n’a pas publié la liste complète des molécules utilisées sur leur site Internet, comme les y oblige pourtant la loi

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« Potage »

A l’époque médiévale, ce dernier terme s’appliquait à tous les plats qui étaient cuits dans des pots.

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