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Informations générales

Une consommation élevée de primeurs serait liée à une plus grande sensation de bien-être et à un moindre risque de démence, selon une étude britannique.

Pour une sensation de bien-être et une bonne santé mentale, 7 à 8 portions quotidiennes de 80 grammes de fruits et légumes sont recommandées par une étude britannique, menée par des chercheurs de l’université de Warwick, portant sur près de 80 000 personnes choisies au hasard.

« L’effet statistique des fruits et légumes a été une surprise, raconte le Pr Sarah Steward Brown, l’une des auteurs de l’étude. Le régime alimentaire est très peu pris en compte par les recherches sur le bien-être. »

Pour Pascale Barberger-Gateau, de l’unité Inserm 897 Epidémiologie de la nutrition et des comportements alimentaires, « plusieurs études préalables avaient déjà montré que la consommation de doses importantes de fruits et légumes était associée à un risque moins élevé de développer des démences chez les personnes âgées. »

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Pouvoir soulager ses flatulences (c’est-à-dire « péter ») sans gêner son entourage.

Après plusieurs années de recherche la compagnie japonaise Seiren° est arrivée à commercialiser avec succès le slip sans odeur. Le secret réside dans l’inclusion de particules céramiques dans la fibre textile. Il s’agit d’une nouvelle application pratique d’un cosméto-textile. Seiren° a étendu le concept à la chaussette et au T-shirt.

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En France, plus d’une personne sur dix est obèse, et 40 % de la population est en surpoids. Face à cette situation, une donnée interpelle : 70 % des sucres simples que les Français consomment sont des sucres « cachés », c’est-à-dire ingérés à travers la consommation de produits industriels. Une forme de tromperie ! La responsabilité des industries agroalimentaires dans l’épidémie d’obésité est d’ailleurs pointée du doigt, et les multinationales de l’agroalimentaire commencent à être traînées devant les tribunaux, à l’image des industriels du tabac avant elles.

En effet, au cours de l’été 2012 en Californie, vingt-cinq plaintes ont été déposées à l’encontre d’entreprises comme PepsiCo, Heinz, ConAgra Foods, General Mills, par le groupe de juristes qui avait fait plier la puissante industrie du tabac.

Les juristes accusent les industries agroalimentaires de « tromper le consommateur » sur l’étiquetage des ingrédients, dissimulant ainsi des sucres et des graisses ajoutés aux produits. Et les multinationales commencent à perdre les procès, comme Ferrero USA, accusé de publicité mensongère, qui a été condamné à rembourser les pots de Nutella vendus entre 2009 et 2012 à tout consommateur qui en ferait la demande. Il est donc urgent de travailler sur le contenu nutritionnel des produits car notre pyramide alimentaire est déréglée.

De bons produits sains et naturels, c’est possible.

Les industriels du secteur sont les mieux placés pour inverser la tendance en élaborant des produits bons, appétissants, mais qui soient aussi en adéquation avec les besoins nutritionnels.

Cependant, attention à ne pas tomber dans l’excès inverse ! Être attentif au caractère nutritionnel d’un aliment ne veut pas dire généraliser la vente d’alicaments, comme c’est le cas dans certains pays d’Europe, où il devient compliqué d’acheter du lait qui ne soit pas enrichi en minéraux, vitamines ou oméga 3.

En plus de la nutrition, un autre domaine sur lequel l’industrie agroalimentaire peut progresser est celui de toutes les substances controversées (comme par exemple l’huile de palme, les OGM, les parabènes, l’aspartame…), dont la présence dans les aliments préoccupe de plus en plus les consommateurs.

Et si, jusqu’à présent, les consommateurs étaient peu attentifs à la composition des produits qu’ils achetaient, leur comportement change, car régulièrement, de nouvelles études scientifiques, de nouvelles campagnes d’ONG alertent quant à la possible toxicité de substances utilisées en agroalimentaire.

Afficher fièrement « sans parabène » ne suffit pas

Face à cette nouvelle donne, certains industriels adoptent la « stratégie du sans » qui fait vendre (sans parabène, sans aspartame,…). Mais très souvent, seule une substance controversée est retirée (par exemple l’huile de palme) sans qu’aucune démarche structurée et globale ne soit adoptée pour retirer l’ensemble de ces substances.

Plusieurs acteurs ont initié une démarche de retrait de ces substances controversées ; c’est le cas par exemple de Wal-Mart (distributeur aux USA), Système U ou encore de Findus. Si le sujet du contenu (nutrition et présence des substances controversées) doit être la priorité pour les industriels, une réflexion doit être menée en parallèle sur les emballages.

En agroalimentaire, l’emballage est un déterminant-clé pour la vente du produit, et ces dernières années ; il est devenu « surfonctionnel » (contrôle du taux d’oxygène présent dans l’emballage, produit que l’on peut directement chauffer au micro-ondes, emballage antiadhésif…). Quels sont les impacts pour la santé et l’environnement de ces emballages concentrés en technologies et pour quels bénéfices ?

Là encore, des initiatives existent, à l’exemple de Marks & Spencer (distributeur anglais), qui a supprimé le PVC (matériau qui contient des phtalates, substances suspectées toxiques pour la santé) de tous ses emballages depuis 2002.

Le produit agroalimentaire idéal n’existe pas encore, à la Recherche de le concevoir. En plus de l’enjeu sanitaire que cela représente, proposer des aliments réellement bons et sains peut devenir un enjeu économique important pour une entreprise agroalimentaire qui, en cas d’inaction, pourrait bien être la cible de prochaines campagnes d’ONG ou de poursuites judiciaires.

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Description par photos du panier familial de fruits et légumes bio à 20 euros proposé par Thierry COLLIGNON le 07 novembre 2012

 

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A l’instar des collants massants, des leggings anti-cellulite ou encore des tee-shirts rafraîchissants, la cosmétotextile élargit sa gamme avec l’arrivée des jeans amincissants.

Depuis peu, l’industrie de la beauté et de la mode se sont rassemblées pour créer les cosmétotextiles : des textiles intelligents qui reposent sur des technologies de pointe et de puissants agents actifs. Ces derniers sont libérés durablement sur les différentes parties de l’épiderme et dégagent des propriétés : amincissantes, drainantes, anti-cellulite ou encore massantes. Aujourd’hui, les maisons de couture n’hésitent pas à élaborer des jeans qui redessinent notre silhouette.

Le nouveau jean combat la cellulite et la peau d’orange, prévient l’apparition de la culotte de cheval et aide à perdre les kilos superflus. Comment est-il élaboré ? Le tissu est imprégné de microcapsules aux vertus drainantes, hydratantes et tonifiantes. Toute la journée, il délivre son contenu actif sur la peau.

Concernant les microcapsules, les différentes marques de mode utilisent des fibres qui renferment soit des actifs de thé vert, de vigne rouge, de pêche ou encore d’aloès vera mélangés à des acides aminés et des enzymes. Ces actifs agissent sur les hanches, le ventre, les fesses et les cuisses. Pour des résultats probants, il faut porter le jean 28 jours de suite afin d’obtenir en moyenne une perte de 1,4 cm de tour de cuisse.

Bien évidemment, il faut éviter de croire au produit miracle pour maigrir. Tout dépend de chaque morphologie. Selon les spécialistes, pour avoir de bons résultats ces vêtements amincissants doivent s’accompagner d’une alimentation saine et d’une pratique d’activité régulière.

Le petit plus : après le lavage on peut recharger les actifs grâce à un spray pour en profiter plus longtemps.

NB : nous disposons des recharges raffermissantes à l’Espace Renaissance – 2°étage de la clinique Champeau . s’adresser à Claire ou au Dr BUENOS pour plus d’informations ….

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ROSA fait son cinéma.

La branche bitérroise du réseau ROSA poursuit une série de projections-débats autour de films qui méritent attention.

Jeudi 22 Novembre 2012 à 17 heures 30 autour du film de Ananda et Dominique GUILLET « Le titanic apicole – tome1- la terreur pesticide ».

La projection-débat aura lieu à l’Espace Renaissance – Bureau du Dr BUENOS- 2° étage de la clinique CHAMPEAU à Béziers

Visionnage en compagnie du Dr BUENOS du film de Ananda et Dominique GUILLET:  » Le titanic apicole – tome1- la terreur pesticide « .

Suivi d’une discussion – débat autour du film.

Participation gratuite pour les membres de la branche bitérroise du réseau ROSA, mais inscription préalable obligatoire auprès du Dr BUENOS au 06 78 51 89 41.

Nombre de participants limité.

pitch du film :

« Un film-documentaire d’Ananda Guillet et de Dominique Guillet en 3 DVD sur la disparition des Abeilles, la terreur-pesticide, la désertification, les chimères génétiques, les nécro-carburants, l’apiculture productiviste…: en bref, l’empoisonnement des abeilles, de l’humanité et de toute la biosphère

Ce film documentaire en 3 DVD, réalisé par Ananda Guillet et Dominique Guillet, est un cri d’alarme. Que deviendrait l’humanité sans les Abeilles? Qu’adviendrait-il de son agriculture?

Dans le premier tome, “la Terreur Pesticide”, l’empoisonnement des abeilles, de l’humanité et de la biosphère est dénoncé par de très nombreux lanceurs d’alerte. C’est un réquisitoire implacable contre les empoisonneurs publics, les Monsanto, les Bayer, les Basf, les Syngenta, etc. Nous y exposons l’affaiblissement et l’effondrement des colonies d’abeilles suite à l’épandage massif de pesticides depuis des dizaines d’années, la corruption des hautes administrations et de l’INRA, la collusion entre ces administrations, les industriels des pesticides et les scientifiques “indépendants” (mais néanmoins à la solde de l’agro-chimie), la complicité des coopératives agricoles, les mensonges de l’UIPP (le lobby des pesticides), la lâcheté et la duplicité de l’Afssa, les fondements mortifères de l’agriculture moderne… Durée: 90 mn (cette version est quelque peu raccourcie par rapport à la première édition en 2008)

La prochaine projection-débat aura lieu le Dimanche 09 Décembre 2012 autour du film « Notre poison quotidien » de Marie Monique ROBIN ….. au Ciné Rosa : 5 rue Paul Paget 34500 Béziers

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Une étude menée par l’Université de Buffalo montre pour la première fois que, chez les adolescents âgés de 14 à 20 ans, l’obésité va entraîner une baisse de 50% des niveaux de testostérone, en comparaison de jeunes du même âge à IMC normal, augmentant ainsi considérablement chez les ados obèses, leur risque d’impuissance voire de stérilité à l’âge adulte.

Ces auteurs avaient déjà signalé, en 2004, de faibles niveaux de testostérone (ou hypogonadisme), liés à l’obésité, chez des adultes diabétiques et confirmé ce résultat en 2010 sur plus de 2.000 hommes atteints d’obésité, à la fois diabétiques et non diabétiques.

L’étude a porté sur 25 jeunes hommes obèses et 25 jeunes hommes minces, équivalents pour l’âge et le niveau de maturité sexuelle. Les concentrations de testostérone et d’oestradiol ont été mesurées à partir d’échantillons de sang, prélevés à jeun le matin. L’analyse montre un niveau de testostérone réduit de 50% chez les adolescents atteints d’obésité. Les résultats doivent maintenant être confirmés sur un plus grand nombre de sujets.

Seule bonne nouvelle, les niveaux de testostérone semblent revenir à la normale chez les hommes obèses qui subissent une chirurgie, explique le Dr. Dandona. «Il est possible que ce soit également le cas en cas de perte de poids?

Les chercheurs vont donc maintenant étudier les effets d’une perte de poids, soit par des changements de mode de vie et d’alimentation, soit par une intervention chirurgicale, sur les niveaux de testostérone chez les hommes obèses.

Source: Clinical Endocrinology, 2012; DOI: 10.1111/cen.12018 Testosterone Concentrations In Young Pubertal And Post-Pubertal Obese Males

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L’obésité est considérée comme une épidémie et ses conséquences (diabète, dyslipidémies et maladies cardiovasculaires) peuvent être potentiellement graves. Ce n’est pas seulement la quantité d’aliments qui est à prendre en compte mais aussi la manière dont ils sont répartis et utilisés. Dans ces processus, le cerveau a un rôle central.

Une équipe française du CNRS vient de mettre en évidence que certains types de neurones, les neurones AgRP (situés dans l’hypothalamus, dont on avait précédemment montré le rôle dans le contrôle de la prise alimentaire) avaient un lien avec l’apparition de l’obésité.

Lorsque ces neurones sont absents, un régime normal entraîne l’obésité. Cependant, celle-ci ne s’installe pas avec un régime très riche en lipides.

Les neurones AgRP agiraient donc comme des chefs d’orchestre qui réguleraient la répartition des aliments dans les organes tels le pancréas, le foie et les muscles. La perte de ces neurones change l’équilibre entre l’utilisation des sucres et des lipides, ce qui entraînerait l’apparition de symptômes métaboliques tels l’obésité.

Source : EMBO Journal 18 Septembre 2012

Hypothalamic AgRP-neurons control peripheral substrate utilization and nutrient partitioning.

Joly-Amado A, Denis RG, Castel J, Lacombe A, Cansell C, Rouch C, Kassis N, Dairou J, Cani PD, Ventura-Clapier R, Prola A, Flamment M, Foufelle F, Magnan C, Luquet S.

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S’il est facile d’être préoccupé par sa silhouette et son poids, il est tout aussi facile développer un excès de poids. Sur le plan individuel, plusieurs facteurs autres que l’alimentation et l’activité physique expliquent le gain de poids ou la difficulté à contrôler son poids. Par exemple :

  • Certaines maladies;
  • La prise de médicaments;
  • L’arrêt du tabac;
  • Des difficultés de nature psycho-sociale comme un manque d’affirmation de soi;
  • Ou encore des bénéfices secondaires à l’excès de poids comme la protection face à la séduction.

 

Certains de ces facteurs ne relèvent pas du contrôle de l’individu et ne peuvent être modifiés. Il importe donc de bien identifier les causes du gain de poids sur lesquelles il est possible d’agir. La même « recette » ne peut donc s’appliquer à tous!

De plus, l’environnement dans lequel nous vivons aujourd’hui peut contribuer au gain de poids de l’ensemble de la population. Les exigences et les normes de la société actuelle nous amènent à :

  • Adopter un mode de vie de plus en plus sédentaire;
  • Utiliser la restauration rapide;
  • Consommer des aliments préparés souvent riches en gras et en sucre.

 

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La balance ne suffit pas.

La balance ne suffit pas à dire si l’on est trop maigre ou trop gros.Peser 100 kilos n’a pas le même impact que l’on mesure 1,60 m ou 1,80 m.

C’est pour cette raison qu’au XIXe siècle, le scientifique belge Adolphe Quetelet, considéré comme le père de la statistique moderne, a proposé une formule de calcul qui tient compte à la fois du poids et de la taille. Cet indice de masse corporelle (IMC), comme on l’appelle aujourd’hui, est maintenant largement utilisé.

L’IMC ne s’applique qu’aux adultes de 20 à 65 ans.

Chez les enfants, les calculs doivent tenir compte de l’âge et, chez les seniors, son interprétation est différente car le poids n’a pas les mêmes conséquences sur la santé que chez les plus jeunes.

Autre limite de l’indice: il n’est évidemment pas valable pour les femmes enceintes ou qui allaitent. Ni même pour les sportifs et les gens très musclés, car il ne fait pas la différence entre la masse grasse et la masse maigre (celle des muscles, des os et des organes).

A la suite de la réponse de Michael ci dessous, je mets en ligne sur le blog l’outil qu’il nous propose pour calculer l’IMC :

 

 

(Un Widget offert par http://www.calculersonimc.fr)

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