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diététique

ROSA fait son cinéma.

La branche bitérroise du réseau ROSA poursuit une série de projections-débats autour de films qui méritent attention.

Dimanche 16 Décembre 2012 à 14 heures autour du film de Marie Monique Robin « Les moissons du futur ».

Visionnage en compagnie du Dr BUENOS du film de Marie Monique ROBIN : « Les moissons du futur ».

Suivi d’une discussion – débat autour du film.

Participation gratuite pour les membres de la branche bitérroise du réseau ROSA, mais inscription préalable obligatoire auprès du Dr BUENOS au 06 78 51 89 41.

Nombre de participants limités.

pitch du film :

Ce documentaire tente de montrer qu’il existe des alternatives viables d’un point de vue agronomique et économique au modèle agro-chimique, basées sur l’agro-écologie et l’agriculture familiale, qui permettront à tous les habitants de la planète de se nourrir (ce que n’est pas parvenue à faire l’agriculture chimique)…

La prochaine projection-débat aura lieu le Dimanche 06 Janvier 2013 autour du film « We feed the world » de Erwin WAGENHOFER …..

Ces rencontres ont lieu au Ciné Rosa : 5 rue Paul Paget 34500 Béziers

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Un peu plus d’une semaine après la publication de l’avis de l’ANSES réfutant l’étude du Pr Gilles-Eric Séralini sur le maïs transgénique NK603, le directeur général de l’agence Marc Mortureux était entendu par les commissions des affaires économiques et du développement durable du Sénat. L’ANSES a notamment appelé à engager des études d’envergure sur les effets à long terme de la consommation d’OGM. Son directeur général affirme pourtant : « Aujourd’hui, on n’a pas les moyens par rapport à ça. » D’après le directeur adjoint scientifique de l’ANSES, Gérard Lasfargue, au moins 80 rats seraient par exemple nécessaires pour parvenir à une meilleure « puissance statistique » que l’étude menée par le Pr Séralini sur 10 rats. Ce type de travaux coûterait au moins « 10 millions d’euros », contre 3 millions pour l’étude décriée sur l’OGM NK603. Si le financement d’études par les industriels ne doit pas être remis en cause, estime Marc Mortureux, des études indépendantes devraient pouvoir être réalisées dans des cas bien spécifiques. « Une fois de temps en temps, quand on prend les études des industriels et ce qui existe dans la littérature scientifique, on a des questionnements », confie-t-il.

Nouveaux soutiens à Séralini

40 structures associatives réunies au sein du Pôle MOST (médecine à orientations spécifiques thérapeutiques) ont apporté officiellement leur soutien à la « démarche » du Pr Séralini. « Les objectifs recherchés de ces travaux, tendant à défendre notre sécurité alimentaire, font partie intégrante de la veille environnementale et sanitaire que Pôle MOST ne peut qu’encourager », indique la fédération dans un communiqué. Pour aller plus loin, « des fonds indépendants devront être débloqués afin de permettre la réalisation d’études objectives excluant tout conflit d’intérêt sur des sujets de santé publique aussi sensibles », ajoutent les associations.

La branche biterroise du réseau ROSA soutient la démarche du Pr seralini, indépendante des smenciers, en particulier MONSANTO ; Nous invitons grandement nos patients à voir le film de Marie Monique ROBIN, « le monde selon MONSANTO »

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Une équipe INSERM/INRA suggère que des probiotiques de consommation courante puissent être utilisés à des fins thérapeutiques dans les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI). Une fois modifiées afin de produire une protéine protectrice anti-inflammatoire appelée élafine, ces bactéries pourraient être administrées sous forme de gélules ou de produits laitiers. « Alors que l’élafine possède de multiples propriétés protectrices, anti-inflammatoires et anti-bactériennes, elle n’est plus exprimée par la muqueuse intestinale au cours dans la maladie de Crohn ou la recto-colite hémorragique », explique Nathalie Vergnolle, chercheur INSERM au centre de physiopathologie de Toulouse Purpan et auteur principal de l’étude en collaboration avec Philippe Langella de l’INRA.

Toute l’astuce des chercheurs a été de se servir de bactéries non pathogènes et présentes à l’état naturel dans l’intestin et dans les produits laitiers, type Lactococcus lactis et Lactobacillus casei. Comme « ces probiotiques séjournent quelques heures à quelques jours au niveau intestinal », une simple modification génétique destinée à leur faire produire de l’élafine permet que la précieuse protéine protectrice soit délivrée directement sur site.

Des essais cliniques prévus

Les chercheurs ont ainsi observé dans un modèle murin de MICI que l’administration de ces bactéries recombinantes protégeait l’intestin et diminuait la sévérité des lésions existantes. De plus, ils ont observé in vitro sur des monocouches de cellules épithéliales humaines que l’élafine exerçait un effet protecteur encore non décrit, celui de restaurer « l’effet barrière » très dégradé au cours des MICI.

Que manque-t-il pour passer à l’homme ? « Pas grand-chose, annonce la chercheuse. On sait que ces bactéries ne sont pas disséminantes chez l’homme. Reste à s’assurer que ces bactéries génétiquement modifiées ne polluent pas l’environnement, c’est-à-dire qu’elles ne sont plus viables une fois à l’extérieur de l’organisme. Pour cela, une piste qui consiste à cloner le gène à un endroit bien spécifique de l’ADN est bien avancée ». Un essai clinique est d’ores et déjà en préparation par la société américaine Vithera, qui vient de racheter la licence, avec un lancement prévu d’ici quelques mois. Les traitements actuels sont en échec dans 20 à 40 % des cas et l’incidence des MICI ne cesse de croître, avec 8 000 nouveaux cas/an.

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Comment la proportion d’enfants d’âge préscolaire touchés par l’obésité a-t-elle pu passer de 2,5 % dans les années 1980 à près de 10 % aujourd’hui ? Les spécialistes signalent le caractère multifactoriel du phénomène et insistent sur l’importance du travail de prévention post-natal.

« En Argentine, nous avions entre 2,5 et 3 % d’enfants préscolaires obèses dans les années 80 et nous sommes passés à 10 % aujourd’hui. Nous occupons la première place dans la région », se désole Esteban Carmuega, du Centre d’études sur la nutrition infantile (CESNI).

Ces mauvais résultats placent le pays loin devant le reste du continent, puisque la moyenne pour l’Amérique latine est estimée à 6,8 %.

Toutefois, les voisins immédiats de l’Argentine ne font guère mieux, l’Uruguay et le Chili signalant des taux à peine inférieurs.

« C’est difficile de trouver une explication. Je ne crois pas qu’il y ait un seul coupable, mais plutôt une convergence de facteurs », estime le médecin.

Miriam Tonietti, secrétaire du Comité de nutrition de la Société argentine de pédiatrie, constate une augmentation importante de maladies liées à l’obésité chez les plus jeunes, comme l’hypertension artérielle, l’altération des lipides sanguins ou les changements de métabolisme du glucose.

« Avant, on ne voyait pas ce genre de symptômes à cet âge-là », affirme la pédiatre. Selon elle, au-delà des prédispositions au diabète ou à certaines maladies cardiovasculaires, l’obésité peut également avoir de graves conséquences aux niveaux traumatologique et psychologique.

L’arrivée à la ville bouleverse les habitudes alimentaires

En Amérique latine, la « transition nutritionnelle » qui accompagne l’exode rural explique en partie la prévalence de l’obésité chez les plus pauvres, qui partent chercher du travail dans les villes.

« Les gens sont déracinés, ils perdent leur culture, leurs habitudes nutritionnelles, et se tournent vers des aliments riches en graisse et en sucre », explique Miriam Tonietti.

De plus, le prix parfois prohibitif des aliments sains, riches en éléments nutritifs, représente souvent un obstacle pour les classes défavorisées.

Les spécialistes rappellent également que l’obésité n’est pas le « contraire » de la malnutrition, mais une autre facette d’un même déséquilibre, et que les deux phénomènes auront des séquelles importantes sur le développement de l’enfant.

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Le programme d’intervention en question, nommé HEROES, pour Healthy, Energetic, Ready, Outstanding, Enthusiastic Schools program confirme, avec cette étude de l’Université d’Indiana qui en a mesuré l’impact, l’efficacité d’initiatives simples qui reposent sur la réduction de facteurs évitables bien connus pour lutter dès l’école contre l’obésité. Les conclusions, présentées lors de la réunion annuelle de l’American Public Health Association, montrent, une nouvelle fois, que lorsque les écoles et les familles aussi mettent l’accent sur ces facteurs de risque modifiables, cela diminue efficacement l’obésité infantile.

Renforcer une certaine culture scolaire du bien-être : HEROES, développé sur la base des recommandations des Centers for Disease Control and Prévention pour les « scolaires », a été mis en œuvre par les établissements de l’Indiana, du Kentucky et de l’Illinois et coordonné par le Pr Dong-Chul Seo, de l’École de santé publique de Bloomington (UI). Le programme est destiné à renforcer une certaine culture scolaire du bien-être grâce à des modifications concernant l’éducation physique, la nutrition, l’activité physique avec les sports en équipe, et des initiatives de promotion de la santé à destination, aussi, des personnels des établissements comme des familles et des communautés.

Un programme scolaire simple mais efficace : Les chercheurs ont évalué ce programme sur ces 4 dernières années, sous l’angle des facteurs prédictifs de surpoids, de gain et de perte de poids et livrent ces résultats portant sur une période de 18 mois et une cohorte longitudinale de 5.309 élèves de 11 écoles différentes. Sont confirmés, par les chercheurs,

· le lien entre des niveaux élevés de consommation de boissons gazeuses et la persistance du statut pondéral, la surcharge pondérale et le gain de poids,

· le lien entre la prise de repas équilibrés et réguliers dans la journée, avec 3 repas par jour, la stabilité à un poids de santé,

· le lien entre la pratique de sports collectifs, partie intégrante du programme et le contrôle d’un poids de santé.

· le lien entre le statut économique et le poids, les élèves fréquentant les écoles de moindre statut socio-économique étant plus susceptibles d’être en surpoids ou de prendre du poids au cours de la période d’étude. D’où l’importance de pouvoir donner accès à tous à des aliments sains, comme les fruits et les légumes.

Bien évidemment, ces résultats ne sont pas nouveaux. Mais ils confirment que la mise en place de programmes de lutte contre l’obésité à l’intérieur des écoles et établissements scolaires, qui, aux Etats-Unis, font partie intégrante du Plan contre l’obésité, ont leur rôle à jouer pour prévenir l’obésité chez les plus jeunes.

A noter, dans ce programme, personnels scolaires et parents bénéficient également d’une formation.

Sources: American Public Health Association annual meeting et Indiana University Soda consumption, screen time, team sports at school influence students’ weight et Heroes

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  • de récolter les légumes racines : navets, carottes, betteraves ….
  • d’arracher les pieds de tomate
  • de planter les bulbes d’oignon de couleur
  • de mettre en terre poiriers, pommiers et néfliers
  • de récolter la menthe, la ciboulette et le persil

 

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ROSA fait son cinéma.

La branche bitérroise du réseau ROSA poursuit une série de projections-débats autour de films qui méritent attention.

Dimanche 09 Décembre 2012 à 14 heures autour du film de Marie Monique ROBIN « Notre poison quotidien ».

Visionnage en compagnie du Dr BUENOS du film de Marie Monique ROBIN : « Notre poison quotidien ».

Suivi d’une discussion – débat autour du film.

Participation gratuite pour les membres de la branche bitérroise du réseau ROSA, mais inscription préalable obligatoire auprès du Dr BUENOS au 06 78 51 89 41.

Nombre de participants limités.

pitch du film :

Cette enquête explore la manière dont sont évalués et réglementés les produits chimiques, qui entrent en contact avec notre alimentation (pesticides, additifs et plastiques alimentaires) et le lien potentiel entre l’exposition à ces substances et certaines maladies chroniques, comme les cancers, les maladies neurodégénératives, comme le syndrome parkinsonien, les troubles de la reproduction (stérilité), le diabète et l’obésité…

La prochaine projection-débat aura lieu le Dimanche 16 Décembre 2012 2012 autour du film « les moissons du futur » …..

Ces rencontres ont lieu au Ciné Rosa : 5 rue Paul Paget 34500 Béziers

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Nouveau réseau social, Supermarmite est le premier site géolocalisé qui vous dit où trouver les plats maison qui mijotent à 2 pas de chez vous.

D’un côté, une communauté de gourmets qui propose ses plats (lasagne maison, tagines, sablés …etc), indique l’heure à laquelle ils seront prêts, le nombre de parts, le tout généralement au prix de 3 à 10 euros la part.

De l’autre côté, des gourmands qui rechignent à cuisiner, du genre étudiants qui n’en peuvent plus des plats préparés, urbains pressés ou amoureux de la bonne cuisine, qui passent chercher le plat proposé par les gourmets.

Une formule qui commence à se développer partout en France.

La branche biterroise du réseau ROSA serait intéressée par l’utilisation de ce réseau social Supermarmite. En effet, en privilégiant l’usage de fruits et légumes bio, des patientes pourraient proposer par ce biais à la dégustation collective leurs recettes (potages, plats …etc). Eventuellement, à partir des éléments des paniers de Thierry Collignon …….

Cette piste va être réfléchie et éventuellement retenue et promue par notre diététicienne Marie Laure MABILAT.

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Une semaine après la publication des avis l’Agence nationale de sécurité sanitaire des aliments (ANSES) et du Haut conseil des biotechnologies (HCB) réfutant les conclusions de l’étude du Pr Gilles-Éric Séralini sur le maïs OGM NK603 et le pesticide Round up, quatre anciennes ministres de l’Environnement demandent la publication des études qui ont permis l’autorisation de mise sur le marché de ces produits.

Dans une tribune co-signée lundi dans le quotidien gratuit « 20 minutes », Ségolène Royal, Dominique Voynet et Corinne Lepage jugent « indispensable que soient rendues publiques toutes les études existantes sur l’impact des OGM sur la santé, ainsi que les données brutes pour qu’un véritable débat scientifique puisse s’ouvrir au sein de la communauté scientifique dans son ensemble ».

Le même jour, sur son blog, Nathalie Kosciusko-Morizet, autre ex-ministre de l’Écologie demande que cet appel qui fait suite à la « dérangeante » étude du Pr Séralini soit « entendu ».

La semaine dernière, tandis que le gouvernement appelait à une « remise à plat du dispositif européen d’évaluation, d’autorisation et de contrôle des OGM et des pesticides », une mission d’information du Sénat réclamait également davantage de transparence de la part des industriels.

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Le stress ressenti par les parents réduirait le temps passé à cuisiner et augmenterait le recours au fast-food, avec comme conséquence des enfants en surpoids, avance une étude américaine publiée dans la revue Pediatrics.

Pour éviter que votre enfant ne grossisse, détendez-vous !

Cette étude a été menée auprès de 2 119 parents et encadrants d’enfants âgés de 3 à 17 ans. Les scientifiques ont mesuré le stress des personnes selon les réponses des sondés.

« Le stress parental pourrait être un important facteur de risque pour l’obésité infantile et les comportements apparentés », a expliqué le Dr. Elizabeth Prout-Parks, spécialiste de la nutrition au Children’s Hospital of Philadelphia, qui a dirigé l’étude.

Parmi les causes de stress les plus lourdes pour les parents, les chercheurs ont noté la mauvaise santé physique et mentale, les problèmes d’argent et le fait d’être parent isolé.

Même si de précédentes études avaient déjà démontré un lien entre stress parental et obésité infantile, les chercheurs expliquent que leur étude s’est intéressée à une tranche plus large de la population que les recherches précédentes « du côté ethnique et socio-économique ».

Le Dr. Eleanor Mackey, pédopsychologue au Children’s National Medical Center de Washington, a confié au site WebMD que le fait d’acheter du fast-food était un tort répandu chez les parents sur les nerfs. « Vous sortez d’une journée difficile au travail, et vouloir proposer un repas équilibré peut s’avérer accablant et cher ». Et d’ajouter, « il peut être difficile d’élever sainement des enfants lorsqu’on ne dispose pas de ressources adéquates. »

Comme les produits frais peuvent être onéreux, les chercheurs recommandent l’alternative plus abordable de légumes en boîte et surtout que les parents prennent le temps de se détendre.

Source : Influence of Stress in Parents on Child Obesity and Related Behaviors – Elizabeth P.Parks et al. -Pediatrics – Published online October 22, 2012 (abstract accessible en ligne)

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