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Informations générales

Les rats-taupes nus, des rongeurs de la taille d’une souris, vivent dix fois plus longtemps que leurs cousines, notamment parce qu’ils ne développent jamais de cancers.

Pas plus gros qu’une souris, les rats-taupes nus ont une longévité incroyable pour de si petits animaux. À tel point qu’ils passionnent la communauté scientifique. Les travaux menés sur cette espèce hors du commun par Rochelle Buffenstein du Barshop Institute for Longevity and Aging Studies à San Antonio (Texas), ont été récompensés par le prix ADPS Longevity Research.

« Ses observations ont notamment permis de découvrir que le rat-taupe nu ne développait jamais de cancer, même à un âge avancé », soulignent les membres du jury.

Les rats-taupes nus vivent plus de 30 ans, soit dix fois plus longtemps qu’une souris commune. Pour Rochelle Buffenstein, « si ces chiffres étaient extrapolés à l’Homme, cet animal serait donc capable de vivre plusieurs siècles en parfaite santé »...

Originaires de la Corne de l’Afrique, les rats-taupes nus sont totalement dépourvus de pilosité. Autre particularité, outre leur aspect peu avenant, ils sont quasiment aveugles. Plusieurs études ont été initiées sur le séquençage de son génome. Et les recherches se poursuivent, pour éclairer davantage les mécanismes grâce auxquels les rats-taupes nus bénéficient de cette extrême résistance au vieillissement.

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En décembre 1912, Elsie Scheel, 24 ans, était présentée comme la « femme parfaite ». Cheveux clairs, yeux bleus… mais près de 78 kilos pour 1 m 74 environ. Tel était l’idéal de beauté il y a 100 ans.

En décembre 1912, Elsie Scheel, 24 ans, avait ainsi été sélectionnée parmi 400 étudiantes de l’université Cornell, à Ithaca, dans l’État de New York, pour représenter la « femme idéale » physiquement.

À l’époque, elle était même « l’exemple le plus proche de la perfection physique en termes de féminité »,selon The New York Times. À savoir, calquée sur les mensurations de la Vénus de Milo, bien »qu’un peu plus grande et un peu plus lourde (sic) »,notait le journal The Star.

78 kilos pour 1,74 m environ, voilà qui est bien éloigné du rapport poids/taille idéal des mannequins du 21e siècle. En janvier 2010 la blogueuse Kate Harding avait calculé l’Indice de masse corporelle (IMC) d’Elsie Scheel : « Son IMC serait de 26,8, la plaçant dans la catégorie tant redoutée des personnes en surpoids. » Et d’ajouter qu’aujourd’hui, miss Beauté 1912 s’habillerait sans doute en taille 42-44.

A l’époque, Elsie Scheelconfiait au Star: « J’ai toujours mangé seulement ce que je voulais, et quand je le voulais ». Ainsi, jamais de café et de thé pour elle. Quant aux petits-déjeuners, elle préférait les troquer… contre un bon steak de bœuf ! À cela s’ajoutait des activités saines (sport en plein air, horticulture) et un fort caractère : Elsie Scheel était une farouche suffragette qui militait pour le droit de vote des femmes (accordé en 1919 aux États-Unis) .

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Un médecin en surpoids ou obèse peut-il prétendre à la même qualité de prise en charge de ses patients obèses que son confrère de poids normal ? C’est ce qu’a voulu déterminer une équipe américaine. L’enquête réalisée aux Etats-Unis entre le 9 février et le 1er mars 2011 a concerné 500 médecins généralistes.

Selon les résultats, le médecin de poids normal a davantage tendance à inviter le patient à perdre du poids (30 % contre 18 %) et à engager le dialogue dans ce sens. Comparés aux médecins en surpoids, les médecins de poids normal affichent une plus grande confiance dans leur capacité à prodiguer des conseils diététiques ou relatifs à l’activité physique. Selon eux, ces conseils ont moins d’impact lorsqu’ils sont donnés par des confrères obèses. Les médecins de poids normal considèrent que leur hygiène de vie personnelle contribue à renforcer leur discours médical.

Selon cette logique, on pourrait s’interroger sur la capacité des médecins à intervenir dans la prise en charge de certains troubles sous prétexte qu’ils ne sont pas des modèles en la matière. Par exemple, un médecin fumeur peut-il accompagner le patient dans l’arrêt du tabac ?

source : SN.Bleich et coll. : Impact of Physician BMI on Obesity Care and Beliefs. Obesity 2012

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C’est ce que révèle une analyse publiée dans le Journal of the American Medical Association (JAMA), qui regroupe 97 études, couvrant 3 millions d’individus autour du monde.

Il apparait que les personnes présentant un indice de masse corporelle (IMC) entre 25 et 30, considérées aujourd’hui comme en surpoids, ont un risque de décéder de 6% moindre que les personnes avec un poids normal, dont l’IMC se situe entre 18,5 et 25.

En revanche, lorsque l’IMC dépasse 35, le risque de mortalité augmente de 29%.

Les personnes légèrement en surpoids auraient une plus grande réserve d’énergie, utile pour faire face à certaines maladies.

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Les briques de lait « Silhouette active® » de la marque Candia ne pourront plus porter la mention « santé ». Le tribunal d’instance de Paris a condamné la société Candia pour publicité trompeuse.

La justice a estimé, dans un jugement rendu le 13 novembre 2012, que la pratique commerciale de Candia consistant à « affirmer l’existence d’un effet certain de la consommation d’un produit sur le sentiment de satiété et la réduction de la prise d’aliments » est de « nature à induire en erreur le consommateur (…) et sont constitutives de pratiques commerciales trompeuses qu’il convient d’interdire ». Le tribunal a également condamné Candia à retirer toutes les allégations santé figurant sur les emballages de ses produits ainsi que sur ses publicités.

La CLCV, Association de défense des consommateurs et des usagers, était à l’origine de la plainte contre ce produit, mis sur le marché en 2008. Selon l’association, cette « briquette de lait enrichi en acides gras végétaux n’a jamais fait la preuve de son efficacité », alors même qu’elle était présentée par Candia comme un coupe-faim « et vendue deux fois plus cher que les produits de sa catégorie ».

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Le prochain groupe de parole aura lieu le vendredi 15 Février 2013 à 18 heures à l’Espace Renaissance (2° étage de la clinique Champeau).

Ce sera l’occasion de faire le point sur de nombreux sujets (seconde peau, activités physiques, massages, alimentation bio ..etc° ) et de vous parler du conseil en image qui se met en place au sein du réseau ROSA Béziers.

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http://www.france3.fr/

20h45
LE COMBAT CONTRE L’OBÉSITÉ
Société
Durée : 1h50min
Selon les derniers chiffres publiés, près de la moitié des Français sont en surpoids. Plus grave, 15% sont obèses, soit 7 millions de personnes, qui peuvent développer des maladies graves. Aujourd’hui, le système de santé français a mis en place des équipes pluridisciplinaires pour combattre ce fléau. Au CHU d’Angers, un service spécialisé…

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Le chirurgien Patrick Noël souhaite développer la technique « spider sleeve » à la clinique de La Casamance à Aubagne.

Il s’agit de faire une sleeve gastrectomy par une seule incision ombilicale au lieu des 5 trous de trocarts habituels (2 de 5 mm et 3 de 1.2 cm).

Une première en France, réalisée le 20 novembre dernier à la clinique de La Casamance, par le Dr Patrick Noël, sous l’égide du Pr Michel Gagner.

Déjà reconnue comme un centre expérimenté en matière de prise en charge de l’obésité, c’est à la clinique de La Casamance qu’a eu lieu, le 20 novembre 2012, la première intervention de type « spider sleeve », en France.

Le chirurgien Patrick Noël, internationalement connu pour ses compétences en la matière, officiait sous l’égide du professeur Michel Gagner, venu du Canada pour l’occasion, et aux côtés du professeur Jean-Marc Chevallier, président de la société française et francophone de chirurgie de l’obésité et des maladies métaboliques (Soffcomm), ainsi que du professeur David Nocca, directeur scientifique de la Soffcomm.

Cette nouvelle technique, encore peu pratiquée en Europe, présente une évolution par rapport à la « sleeve gastrectomy », qui déjà a quasiment supplanté la pose de l’anneau gastrique.

« Les douleurs post-opératoires seraient moins importantes », explique Patrick Noël, qui ne voit qu’un seul inconvénient à cette nouvelle avancée dans la chirurgie de l’obésité : son coût. Le dispositif à usage unique fabriqué par la société américiane TransEnterix, – dont la forme ferait penser à une araignée, d’où son nom de spider -, représenterait un surcoût de 1 000 € selon le praticien, par rapport à une sleeve « classique », de l’ordre de 6 000 €, et entièrement prise en charge par la Sécurité sociale. « Il est hors de question, pour nous, de faire prendre en charge ce surcoût au patient », indique Patrick Noël, qui réfléchit à une solution pour développer cette innovation à Aubagne.

La technique, qui se fait comme les autres par coelioscopie, pourrait en tout cas avoir de beaux jours devant elle, puisqu’aujourd’hui, sur 400 patients opérés chaque année, le Dr Noël indique ne poser que 5 ou 6 anneaux gastriques. Et le Pr Gagner, « inventeur » de la « spider sleeve », après une centaine de personnes opérées, connaîtrait de bons résultats.

Dr BUENOS : le principe de la Sleeve gastrectomy par un seul trocart était déjà connu mais n’avait pas été suivi à cause des risques majorés d’éventration par l’incision ombilicale qui était plus grande que les orifices de trocart habituels, mais également du fait d’une exposition opératoire de moins bonne qualité.

Peut être que l’instrumentation du Pr GAGNER permettra d’améliorer ces 2 points.

A suivre ……

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La connaissance épidémiologique de l’insomnie et des autres troubles du sommeil s’est développée depuis quelques années en France. L’objet de l’enquête baromètre santé de l’INPES 2010 a été de quantifier le temps de sommeil et la prévalence de l’insomnie chronique dans la population des 15-85 ans, et d’explorer les facteurs associés à cette pathologie.

Dans le cadre du Baromètre santé 2010, enquête en population générale, 27 653 individus de 15-85 ans ont été interrogés sur leurs comportements de santé, en particulier sur leur rapport au sommeil.

Le temps de sommeil moyen des 15-85 ans est de 7h13, plus élevé pour les femmes que pour les hommes (7h18 versus 7h07 ; p<0,001), tandis que 15,8% des 15-85 ans présentent une insomnie chronique : 19,3% des femmes et 11,9% des hommes (p<0,001). La part d’insomnie chronique est stable avec l’âge parmi les femmes, autour de 19%, tandis qu’elle augmente chez les hommes, de 3% à 15-19 ans à 18% à 45-54 ans, avant de diminuer à 8% au-delà de 65 ans. Elle est par ailleurs liée à des situations de précarité, à certains évènements de vie difficiles tels que les violences subies.

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Tous nos voeux de santé, de bonheur, de plaisir pour cette année 2013 qui commence.

De notre côté, tous les intervenants du réseau ROSA se préparent à vous soutenir et à vous accompagner .

Nous mettons en place de nombreux nouveaux projets pour 2013, mais nous aurons le temps de vous en reparler …….

Bonne année 2013

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