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activité physique

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L’ association pour la prévention de l’obésité chez les animaux domestiques a estimé que plus de la moitié des chiens et des chats américains souffrirait de surpoids.

Pire, 20% d’entre eux souffriraient d’obésité.

S’il est peu probable que ces pauvres bêtes mangent trop de fast-food, les vétérinaires pointent en revanche l’attitude de leur propriétaire du doigt.

« La sédentarité de l’homme moderne et celle de ses compagnons vont de pair. L’humain montre son affection envers son animal en le nourrissant et se déculpabilise de le laisser seul toute la journée de la même manière », explique notamment Yves Tarte, vétérinaire. En gros, ne cédez pas à la tentation en donnant à manger à votre animal si ce dernier fait sa mine triste. « Le chien a un instinct de préservation, alors il se dit: ‘Nourris-toi aujourd’hui, car demain tu n’auras peut-être pas de quoi manger' », informe le spécialiste.

Si le surpoids et l’obésité sont un problème du point de vue esthétique, ils peuvent également être déclencheurs de nombreuses pathologies telles l’arthrite, les maladies cardiaques, les cancers voire le diabète.

Vous ignorez si votre animal se trouve en surpoids ou non ? Il existe un moyen simple de le vérifier. En effet, si en passant la main sur les côtes de votre fidèle compagnon vous ne les sentez pas, c’est qu’il faut le mettre au régime ou reprendre les sorties quotidiennes et que celles ci durent plus longtemps ……

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A partir du lundi 19 novembre 2012, le réseau Obésité Méditerranée, branche bitérroise du réseau ROSA, ouvre 2 créneaux horaires supplémentaires de cours collectifs de gym :

  • le lundi soir de 19 h 30 à 21 h 30
  • le dimanche matin de 9 h à 11 h

Ces cours auront lieu au Lionel Club, Rue Antoine Fabre à Béziers.

Le Lionel Club est situé juste en face de la médiathèque.

Les personnes intéressées par ces nouveaux créneaux horaires sont priées de contacter le coach sportif Nicolas Paba Campi au 06 83 33 05 85.

Sportivement votre ….

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L’activité physique et sportive (APS) médicalement prescrite et donc remboursée pourrait devenir une alternative aux médicaments et, à terme, un remède au déficit de la sécurité sociale, ont affirmé différents experts lors d’un colloque mardi 18 Septembre 2012 à Paris.

Responsable d’un décès sur dix dans le monde, selon une étude de la revue médicale britannique Lancet, le manque d’activité est mécaniquement à l’origine de diverses pathologies ruineuses pour les caisses de santé : maladies cardiovasculaires, troubles liés à l’obésité, certains types de cancers, etc. Partant de ce constat, une entreprise dédiée au sport-santé, l’Imaps, a chiffré le bénéfice d’une politique structurée de prescription du sport. Financer à hauteur de 150 euros par an une APS adaptée pour soigner les pathologies de 10% des patients en affection de longue durée (ALD), permettrait à la sécurité sociale d’économiser 56,2 millions d’euros par an.

« C’est largement prouvé. Le sport fonctionne comme un effet dose. Quand il y a surentraînement, on est dans des pathologies de surutilisation mais quand il n’y a pas d’activité, il y a les risques de la sédentarité, responsable de 15% des décès », a-t-elle rappelé en ouverture du colloque.

Dans la cadre des journées annuelles sport-santé, chaque fédération du Comité national olympique et sportif (CNOSF), « établira les caractéristiques et bénéfices de chaque discipline pour établir un Vidal des disciplines sportives », a expliqué le président de la commission médicale du CNOSF et ancien ministre des Sports, Alain Calma (par ailleurs ancien chirurgien).

Quatre groupes de travail multi-partites ont été constitués: sport et cancer, obésité, maladies cardio-vasculaires, vieillissement.

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Ne pas fumer, boire avec modération, faire de l’exercice physique, entretenir une vie sociale riche ; les bénéfices d’une hygiène de vie saine sur la santé et la longévité ont été largement démontrés. Seule persistait une inconnue chez les sujets plus âgés. Est-il toujours légitime d’insister sur ces sacro-saintes recommandations chez des sujets vaillants qui, après tout, ont traversé des décennies sans grand ambage ?

 

La réponse est oui, elle nous vient de Suède, d’après une étude chez 1 810 adultes âgés de plus de 75 ans suivis pendant 18 ans. Les bénéfices sur la longévité sont conséquents. La cohorte du Kungsholmen project nous révèle ainsi qu’avec un profil dit à « risque faible » (mode de vie sain, pratique d’au moins une activité, réseau social riche), les femmes peuvent espérer vivre 5 ans de plus, et les hommes 6 ans par rapport à ceux ayant un profil dit à « risque élevé ».

 

Au cours des 18 années d’étude, la moitié des participants a franchi la barre des 90 ans. Sans surprise, les survivants étaient plus facilement des femmes, à haut niveau d’éducation, ayant de bonnes règles d’hygiène de vie, un réseau social riche et pratiquant plusieurs activités.

 

Les bénéfices les plus grands semblent provenir de la pratique d’une activité, et en particulier d’une activité physique, puisque les seniors sportifs gagnaient en moyenne deux années de vie par rapport aux sédentaires.

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Jusqu’à présent, Runkeeper° était un peu la référence des applications de suivi d’activités sportives. Runkeeper° permet d’enregistrer son parcours, de calculer les statistiques associées (vitesse, calories, distance, etc.) et surtout de synchroniser les données de l’activité avec une application Web particulièrement soignée. Runtastic° arrive avec les mêmes armes et met l’accent sur la compétition; elle se décline en 2 versions: runtastic PRO [AppStore, 4.99€], runtastic Lite [AppStore]

L’application iPhone

Celle-ci est assez intuitive et permet d’enregistrer le tracé GPS d’une activité sportive (marche, course à pied, vélo, randonnée, ski, etc.). Lors de l’enregistrement d’une session, de nombreuses informations sont collectées comme le temps, la distance, la vitesse, l’altitude, etc. ce qui permet d’avoir accès à tout un tas de statistiques une fois l’activité terminée et d’ajouter une entrée à son journal d’entraînement.

L’application dispose de trois principaux modes:

  • Le chronomètre. (qui vous permet de savoir combien de temps vous avez marché)
  • L’objectif : vous vous définissez un objectif en terme de distance, temps ou calories.
  • La compétition : une fonctionnalité plutôt inédite qui permet de défier d’autres membres.(amicalement bien sûr)

 

Ce dernier mode est très intéressant; il permet à plusieurs personnes de mesurer leur performance sur la même activité. Durant la course, l’application indique quel coureur est en tête.

 

Le journal d’entraînement retrace toutes vos activités; pour celles où l’utilisation d’un GPS n’est pas possible (tapis de course), il est possible de les entrer manuellement en saisissant la distance, la durée, le temps et les calories dépensées.

Un onglet est dédié aux données statistiques de vos sorties par semaine et par mois.

La version PRO apporte plus de confort et de fonctionnalités que la version gratuite de Runtastic°:

  • mode compétition
  • fonction iPod
  • données vocales
  • pas de pub

Si vous avez essayé Runtastic° ou Runkeeper°, Nike+ ou micoach°, donnez nous votre avis ….

 

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Rester assis moins longtemps dans la journée pourrait nous faire vivre plus longtemps.

En attendant la pilule anti-âge, des chercheurs Américains ont utilisé les données d’une vaste étude de population Américaine (NHANES) pour observer l’impact de la sédentarité sur la mortalité.

Les données recueillies sur plus de 167 000 adultes ont été passées au crible et indiquent qu’en diminuant le temps passé assis dans une journée à moins de 3 heures par jour on augmente son espérance de vie de 2 ans.

De la même manière, passer moins de 2 heures par jour devant la télévision augmente l’espérance de vie de 1,38 ans.

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Une séance de sport intensive par 35 degrés à l’ombre peut vous faire perdre jusqu’à 3 litres d’eau par heure, soit 3 kilos.

Un seul mot d’ordre : se réhydrater. Oui, mais pas n’importe comment.

Une équipe de chercheurs américains a voulu savoir quelle boisson était la plus adaptée pour se réhydrater après l’effort. Verdict : ne négligez pas les liquides riches en sodium.

La première chose dont vous aurez probablement envie en franchissant la ligne d’arrivée est de vous jeter sur la première bouteille d’eau venue pour récupérer les 3 litres qui sont partis en sueur. Problème : le footing d’une heure qui vous a fait tant suer vous a aussi fait excréter jusqu’à 3,5 grammes de sodium. En buvant de l’eau faiblement minéralisée vous allez diluer encore ce qui vous reste de ce minéral. Et vous risquez l’hyponatrémie. Cette carence en sodium, qui concernerait également 30% des personnes âgées admises à l’hôpital dans les périodes de canicule, peut provoquer confusion, somnolence, désorientation et dans les cas les plus graves des convulsions, le comas et la mort. La solution : des boissons riches en sodium. Vous faites d’une pierre deux coups en apportant à votre corps l’eau et le sel dont il a besoin.

Les spécialistes conseillent pendant l’exercice des boissons avec une concentration en sodium comprise entre 20 et 50 mmol/l (environ 460 à 1150 mg/l). Après un exercice important, on peut choisir des boissons dont la concentration en sodium est comprise entre 50 et 100 mmol /l (1150 à 2300 mg/l). Il faut boire à peu près autant d’eau que vous en avez perdu en transpirant (moins il y a de sodium dans votre boisson, plus il faut en boire).

 

Teneur en sodium de quelques eaux minérales

 

Marque Sodium (mg/l)
Vichy St Yorre * 1708
Vichy Célestins * 1172
La Française 653
Châteauneuf 650
Arvie 650
Quezac 255
Badoit 150
Gerfroy 127
Elvina 126
Carola 114
St Grégoire 108

(*) Un litre de cette eau fournit 3 à 4 fois les apports conseillés en fluor. Risque de fluorose en cas de consommation exclusive sur de longues périodes.

Sinon, il reste toujours la possibilité d’associer l’eau que vous buvez à un aliment riche en sodium ….

Demandez conseil à Marie Laure MABILAT, notre diététicienne ….

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Le manque d’activité physique serait plus dangereux pour la santé que fumer.

le Dr I-Min Lee (Ecole Médicale de Harvard, Boston) et son équipe ont décidé de mieux évaluer l’impact de la sédentarité sur la santé. En effet, le risque de développer les maladies les plus fréquentes non transmissibles (maladies cardiovasculaires, cancers, diabète de type 2) est influencé par le degré d’activité physique et la majeure partie des habitants de la planète est peu active.

En définissant l’inactivité physique comme la pratique de moins de 150 minutes d’activité par semaine (le minimum recommandé par l’organisation mondiale de la santé) l’analyse d’un grand nombre d’études a ainsi révélé que l’inactivité physique était associée à l’incidence des maladies cardiovasculaires à hauteur de 6%, 7% pour le diabète de type 2, 10% pour le cancer du sein et 10% pour le cancer du côlon. Pour les seules maladies cardio-vasculaires, 400.000 décès (dont 121.000 en Europe) auraient pu être évités avec la pratique d’une activité physique régulière sur les 7,25 millions de décès provoqués par ces maladies dans le monde en 2008.

Autre point surprenant : en 2008, sur un total de 57 millions de morts à travers le monde, 5,3 millions sont attribuables à l’inactivité physique alors que 5 millions sont attribuées au tabac, ce qui classe l’inactivité physique comme un tueur plus dangereux que la cigarette.

Si vous avez besoin de reprendre une activité physique, suivez les conseils de Nicolas PABA CAMPI -coach sportif du réseau ROSA branche bitérroise.

Référence

Lee IM, et al. Effect of physical inactivity on major non-communicable diseases worldwide: an analysis of burden of disease and life expectancy. Lancet 2012; DOI: 10.1016/20140-6736(12)61031-9.

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Une activité physique d’intensité modérée et régulière est bonne pour la santé.

Au niveau du réseau, nous recommandons 30 à 45 minutes de marche tous les jours, non fractionnée, mais à une intensité contrôlée.

Il faut savoir s’écouter (mais pas trop !!!) surtout après 35 ans.

Pour le Pr François Carré, médecin du sport à l’Hôpital Pontchaillou de Rennes : » dès que l’on ne peut plus siffloter, chantonner ou répondre aux questions de ses copains quand on court (ou quand on marche) en groupe, c’est que l’on est au dessus de ses possibilités. Il faut s’arrêter, marcher et reprendre. »

Voici encore une bonne raison de marcher (ou courir) en groupe avec le coach sportif Nicolas PABA – CAMPI

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Selon une enquête lancée auprès de 7 753 internautes et intitulée « Découvrez le meilleur des médicaments », un Français sur deux ignore que l’exercice physique prévient de nombreuses maladies et intervient également dans le traitement de maladies comme le diabète, l’ostéoporose, la bronchite chronique, la récidive du cancer du sein et du côlon. Seules 28 % des personnes interrogées disent pratiquer une activité sportive régulière.

 

« Dans le traitement du diabète, l’activité physique a une efficacité semblable à celle des médicaments », rappelle le Dr Boris Hansel, endocrinologue et diabétologue à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière (Paris)

Dans la prévention et le traitement des cancers, les internautes citent l’arrêt du tabac (72 %) et une bonne alimentation (67 %). La pratique d’une activité physique ne vient qu’en troisième position (58 %). « Lorsqu’on compare le nombre de personnes qui répondent « arrêter de fumer » et « activité physique », il n’y a que 15 % de différence. Je pensais que l’écart aurait été plus grand ! », se félicite le Dr Laure Copel, oncologue au département de soins de support à l’Institut Curie (Paris). La spécialiste souligne par ailleurs que le « seul moyen de prévention et de traitement prouvé contre la fatigue induite par les traitements est l’activité physique ».

Autre exemple avec l’ostéoporose. Le Dr Erick Legrand, rhumatologue au CHU d’Angers, regrette que le grand public ne fasse pas suffisamment le lien entre « la bonne santé du squelette et l’activité physique ». « Certains pensent même qu’elle est déconseillée car elle pourrait, selon eux, être source de fractures ou de douleurs. Ce qui est faux : si elle est pratiquée correctement, c’est-à-dire adaptée à l’âge et à la santé du patient », corrige le médecin.

Et la liste des bénéfices de l’activité physique est encore longue : elle agit également sur l’obésité et le syndrome métabolique, le mal de dos, les états dépressifs, la maladie d’Alzheimer, l’espérance de vie, la vie sexuelle, etc.

Un remboursement pour les patients en ALD.

Jean-Pierre Davant, président honoraire de la Mutualité française et PDG de l’IMAPS (société créée par le mouvement mutualiste pour faire valoir le sport au service de la santé), propose notamment que l’activité physique soit prise en charge pour les patients en ALD, « au moyen d’une participation de 150 euros par an des régimes obligatoires et complémentaires, aux frais liés à la pratique d’une activité encadrée pour raisons médicales ». « Cela permettrait non seulement de sauver des vies, d’améliorer la santé de ces patients mais aussi de réaliser des économies substantielles. Ne serait-ce que pour trois affections, le cancer, le diabète et l’insuffisance respiratoire chronique grave, nous avons calculé que cette mesure permettrait une économie de 56,2 millions d’euros par an pour notre système de soins », précise-t-il en espérant que les nouveaux ministres de la Santé et du Sport traduiront cette proposition dans les faits.

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