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Aux Etats-Unis, le nombre de personnes se rendant aux urgences après avoir bu une boisson énergisante a doublé en 4 ans. 20 000 malades ont été recensés en 2011, pour la plupart des jeunes adultes et des adolescents, selon une enquête du département des addictions et de la santé mentale au ministère américain de la Santé publiée la semaine dernière. Les malades présentaient des signes d’anxiété, de tachycardie voire d’infarctus.

“De nombreuses personnes ne réalisent pas la puissance de ces boissons, estime le porte-parole du collège américain des urgentistes, Howard Mell. Un malade qui est venu récemment aux urgences d’un hôpital de Cleveland a raconté en avoir bu trois canettes en l’espace d’une heure, soit l’équivalent de 15 tasses de café. Il en a été quitte pour une bonne grosse frayeur, heureusement pour lui. Mais s’il avait eu des problèmes cardiaques ou une maladie coronarienne, cela aurait pu lui causer de gros ennuis”. Selon le rapport américain, la consommation excessive de boissons énergisantes est un “problème grandissant de santé publique”.

En France, ces boissons à base de caféine, taurine ou guarana font l’objet d’une surveillance accrue depuis 2008 de la part de l’agence nationale de la sécurité alimentaire (Anses). En juin dernier, l’organisme signalait dans un rapport une trentaine de cas de consommateurs ayant fait l’expérience d’effets indésirables (crises cardiaques, d’épilepsie, insuffisance rénale aiguë…). Un lien vraisemblable a été établi avec deux décès.

Au cours des douze derniers mois, il s’est vendu en France près de 30 millions de litres de boissons énergisantes (commercialisées sous les marques Redbull, Monster Energy…), selon ACNielsen.

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A Londres, les personnes en surpoids ne faisant pas d’exercice physique malgré les recommandations de leur médecin pourraient voir diminuer les allocations sociales dont ils bénéficient. C’est ce que préconise un rapport publié par la municipalité de Westminster, au centre de Londres. L’idée serait actuellement à l’étude.

« Lorsqu’un ensemble d’exercices est prescrit à un habitant par son médecin, le paiement des aides au logement et à la taxe d’habitation pourrait varier pour récompenser ou inciter les résidents », indique le rapport.

La municipalité de Westminster promet de faire jouer « autant la carotte que le bâton ». Les obèses qui se rendent ainsi plus régulièrement en salle de sport pour perdre du poids pourraient ainsi bénéficier d’allocations plus généreuses.

Selon une enquête du ministère de la Santé réalisée en 2009, 61 % des Anglais âgés de 16 ans et plus sont en surpoids, dont 23 % sont obèses. Les coûts directs de l’obésité pour le système de santé sont actuellement évalués à 5 milliards d’euros et ils pourraient doubler d’ici à 2050.

« Aider les gens à rester sains est doublement bénéfique pour les gouvernements locaux, assure le docteur Jonathan Carr-West, membre du département d’information du gouvernement local. Nous pouvons économiser de l’argent et aider les gens à avoir de meilleures vies ».

D’autres se montrent plus réservés sur cette mesure : « Pour que les gens perdent du poids, il faut qu’ils aient envie de le faire, note le professeur John Wass, vice-président du Collège royal de médecine. J’ai d’autre part de fortes réserves sur l’idée de forcer les gens à faire de l’exercice ».

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Pour réduire le problème croissant de l’obésité dans les pays d’Amérique latine, un retour à une nourriture traditionnelle basée sur des produits locaux comme le quinoa ou le maïs devient un enjeu essentiel dans la lutte contre la malnutrition et le surpoids.

L’obésité est devenu un problème majeur au Mexique. Le pays est le deuxième plus « gros » pays du monde après les États-Unis.

L’obésité, un problème de poids

« Le problème le plus difficile à résoudre, c’est le poids », déclare Gabriela Aro, qui dirige un programme scolaire révolutionnaire de repas basés sur des ingrédients traditionnels locaux dans la capitale bolivienne, La Paz. Le programme cible les problèmes nutritionnels chez les 153 000 jeunes défavorisés dans les 411 écoles et jardins d’enfants publics, dans l’un des pays les plus pauvres de l’hémisphère sud.

Mais, à côté des problèmes de santé établis de longue date comme la malnutrition et l’anémie, une nouvelle menace émerge : l’obésité. Bien qu’il y ait un manque de données fiables, la plupart des experts s’accordent à dire que les Latino-Américains ont, en moyenne, pris rapidement du poids.

Avec un coût annuel de 148 millions de bolivianos (soit 21 millions de dollars), le « programme La Paz » a eu un impact majeur sur certains problèmes de santé touchant les plus jeunes depuis son lancement en 2000.

Fast-food vs. nourriture traditionnelle

La malnutrition est tombée de 10,2 % à 5,9 % à partir du moment où des repas gratuits étaient servis. Pendant ce temps, l’anémie a chuté de 37 % à seulement 2 %. Cependant, la proportion d’enfants en surpoids a bondi de 17 à 25 %. « Le programme a de bons résultats, mais l’obésité est l’obstacle premier », explique Gabriela Aro à GlobalPost. « Et elle ne cesse d’augmenter. La consommation de fast-food, alimentation pleine de calories, continue à croître, et les enfants adorent ça. C’est très difficile à combattre ».

Avec le programme, les plus jeunes obtiennent un repas gratuit par jour, incluant des barres de céréales, du muesli ou du pain fabriqués à partir de graines complètes en provenance des Andes, comme l’amarante, le quinoa ou le cañihua. Ceux-ci sont complétés avec du lait, du yaourt et un fruit. Chargés de protéines, de fibres et d’une longue liste de vitamines, ces céréales combattent un problème nutritionnel grave, et aident à rassasier les enfants, avant qu’ils n’aient la « chance » de se jeter sur les stands de junk food qui se pressent à la sortie des écoles.

Les familles boliviennes abandonnent les produits locaux pour des aliments plus « modernes »

Pourtant, bien que ces produits de base traditionnels provenant des Andes occupent les premiers rayons des magasins alimentaires dans le monde développé, en Bolivie, l’urbanisation et la croissance économique poussent de plus en plus de familles à laisser derrière elles ces produits, et à adopter des régimes alimentaires « modernes », pleins de graisses saturées, de sucre et de sel. Ainsi, un nombre croissant d’enfants deviennent simultanément en surpoids et mal nourris.

« Nous adoptons une approche holistique, prenant en compte les trois questions [la malnutrition, l’anémie et l’obésité] dans le cadre d’un même problème », ajoute Gabriela Aro. « Nous voulons nous assurer que les enfants ont assez à manger, mais aussi qu’ils apprennent à faire leurs propres choix alimentaires sains. »

Néanmoins, les Boliviens peuvent se réjouir du fait que l’épidémie d’obésité est en réalité beaucoup plus forte dans d’autres parties du continent. Et parmi les pays plus touchés : l’Argentine, le Chili, les pays d’Amérique centrale et le Mexique.

L’Amérique latine subit une « transition nutritionnelle », accentuée par les importations d’aliments gras

À côté des avantages du développement économique et du libre-échange, se sont développés quelques-uns des maux de l’Occident. Il s’agit notamment de modes de vie plus sédentaires, ainsi que ce que les experts appellent la « transition nutritionnelle » : de plus en plus de gens sont exposés à des produits alimentaires transformés, peu chers, pauvres en éléments nutritifs, et riches en calories.

Selon une étude récente, alors que les tarifs d’importations ont chuté entre 1990 et 2005 en Amérique centrale, les exportations américaines de fromage transformé dans la région ont augmenté de plus de 3 000 %, tandis que les frites ont fini par occuper près d’un quart de toutes les importations de fruits et légumes.

Et utilisant un classique euphémisme académique, les chercheurs concluent : « Bien qu’il existe des arguments pour et contre la libéralisation du commerce, il est essentiel de tenir compte de ses effets sur les pauvres ».

« Nous devons changer la culture de la nourriture, qui est vraiment influencée par les grosses multinationales, et revenir à la nourriture mexicaine traditionnelle ». (Guillermo Melendez)

Le Mexique, deuxième pays le plus « gros » après les États-Unis

La mondialisation peut aussi aider à expliquer pourquoi, près de deux décennies après que l’Accord de libre-échange nord-américain [ALENA] est entré en vigueur, le Mexique est passé du statut de pays où l’obésité était pratiquement inconnue au deuxième pays le plus « gros », après les États-Unis.

Il est stupéfiant de voir que 69 % des hommes et 73 % des femmes sont en surpoids au Mexique, selon Guillermo Melendez, un médecin expert de la nutrition à la Fondation pour la santé du Mexique, un groupe à but non lucratif dans la ville de Mexico. Et le problème touche de plus en plus de très jeunes Mexicains. En 1999, 27% des enfants Mexicains étaient en surpoids ou obèses. Ils sont maintenant 31%.

Comme leurs revenus ont augmenté, les Mexicains se sont de plus en plus éloignés d’une nourriture traditionnelle à base de maïs, de haricots, de tomates et de piments, accompagnés de quelques œufs et de fromage, pour manger des quantités malsaines de viande frite.

« Nous devons changer la culture de la nourriture, qui est vraiment influencée par les grosses multinationales, et revenir à la nourriture mexicaine traditionnelle », explique Guillermo Melendez à GlobalPost. Le gouvernement passe maintenant à l’action, après avoir dressé une stratégie de prévention de l’obésité en 2010, avec quelques-unes des plus grosses compagnies alimentaires. Le plan inclut la suppression des sodas ainsi que des encas gras et sucrés dans les écoles.

L’exercice physique est un deuxième point essentiel dans la lutte contre l’obésité

Pendant ce temps, selon Guillermo Melendez, 97% des enfants mexicains ne font aucun sport à l’école. « Les enfants ont arrêté de jouer au foot dans les rues », ajoute-t-il. « Maintenant, ils n’en ont que pour la télévision et les jeux vidéo. Cela aussi doit changer ».

Alors que d’autres pays d’Amérique latine suivent le Mexique dans sa courbe montante d’obésité, le gros point d’interrogation maintenant est de savoir si les gouvernements décideront aussi qu’une intervention dans le marché alimentaire est nécessaire pour freiner la crise de la santé publique qui ne cesse de grossir.

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Selon un sondage Ipsos rendu public le lundi 31 décembre 2012, la première résolution des Français pour 2013 est de « faire du sport ».

82% des personnes interrogées pour ce sondage reconnaissent ne pas s’occuper suffisamment de leur forme physique. Un sentiment qui s’avère encore plus fort chez les femmes.

Invités à évaluer leur forme physique et mentale, les Français considèrent ainsi que celle-ci est plutôt médiocre, ne lui accordant qu’une note de 5.8/10.

Reste que s’ils semblent déterminés à démarrer 2013 d’un pied sportif, les Français ne comptent pas pour autant changer certaines habitudes. Moins d’un Français sur quatre est ainsi prêt à se priver d’alcool, de cigarettes, à faire un régime ou à passer moins de temps devant un écran.

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Des figures de hip-hop à reproduire pour se dépenser efficacement.

Participant au programme national Epode, la Ville a mis en place des jeux adaptés dans la cour de deux écoles primaires.

L’an passé, ils avaient appris à préférer l’eau aux boissons sucrées. Cette année, des écoliers vont découvrir comment se dépenser efficacement, pendant la récréation, afin de lutter contre l’obésité.

Depuis la rentrée, deux cours d’école primaire – Montmorency et Émile-Zola – bénéficient d’aménagements spécifiques. Fresques en trois dimensions murales et au sol, jeu de twister, empreintes d’animaux pour développer la quadrupédie, jeu de lancer, jeu de paume, figures de hip-hop à reproduire, aire de jeu avec tunnel, saute-mouton et slalom, sont autant d’activités désormais proposées en libre-service.

Les établissements ont été retenus par la Ville sur la base du volontariat, mais aussi parce qu’ils étaient concernés par le Contrat urbain de cohésion sociale (Cucs) en place sur Narbonne et qu’une enquête épidémiologique menée auprès des parents, à l’échelle de la ville, avait révélé que les enfants de ces écoles étaient ceux qui se dépensaient le moins.

Pas dans le cadre scolaire, mais d’une manière générale. « En 50 ans, l’activité physique a été réduite de moitié », explique Hélène Sandragné, première adjointe au maire de Narbonne. On estime à une heure par jour le temps d’activité physique nécessaire à un enfant. Après “le petit-déjeuner, un plaisir à partager” et “bien bouger, bien s’hydrater” c’est donc sur le thème de “jouer, c’est déjà bouger” que les enfants vont apprendre à grandir sainement.

Le programme, arrêté par la Ville, a reçu un financement de l’Agence nationale pour la cohésion sociale et l’égalité des chances d’un montant de 8 000 €. D’autres écoles devraient bénéficier d’aménagements similaires dès l’an prochain.

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Selon une étude réalisée en Aquitaine, les enfants qui mangent à la cantine présenteraient un risque d’obésité moins élevé que les autres.

Petits pois et carottes flottant dans une sauce pâlotte, saucisses reluisantes et riz au lait trop gluant. Les souvenirs d’enfance des cantines scolaires ne donnent pas vraiment envie. Pourtant, y manger le midi permettrait aux enfants de voir leurs risques d’obésité diminuer. C’est ce que révèle une étude réalisée en Aquitaine sur 4 000 enfants de moins de 8 ans.

À la cantine, les enfants mangent équilibré et en quantité raisonnable

« On accuse facilement la restauration scolaire mais la qualité nutritionnelle des repas servis s’est beaucoup améliorée », assure Hélène Thibaut, coordinatrice du programme nutrition et prévention santé des enfants en Aquitaine. Ainsi, ceux qui vont à la cantine sont assurés de manger des portions adaptées à leur âge et à leurs besoins nutritionnels.

De plus, si ceux qui déjeunent à la maison sont contraints de manger plus ou moins la même chose que leurs parents – et en quantité plus ou moins similaires -, ceux qui restent à l’école ont davantage de choix. Ils peuvent ainsi découvrir de nouvelles saveurs et donc développer leurs goûts. « Un enfant commence à manger des betteraves et les autres suivent », remarque Hélène Thibaut.

Autre constat : les élèves qui restent à l’école le midi ont droit à une pause « récré » après le déjeuner. Ce moment leur permet de se dépenser davantage qu’en restant sur le canapé familial ou devant un écran. « L’étude révèle que, quel que soit le milieu social, le rôle protecteur de la cantine persiste », précise la coordination.

Comme le répètent les instances de santé, pour être en bonne santé il faut manger un peu de tout, en quantité raisonnable, et se dépenser. Les cantines scolaires font figurent de bons maîtres en la matière.

 

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Les jeunes danseuses ont un très bon mental et sont peu sujettes au stress, à la dépression, à la fatigue et aux maux de tête, conclut une étude originale, coordonnée par le Dr Anna Duberg de l’Université Örebro (Suède) publiée dans « Archives Of Pediatrics Adolescent Medicine ».

La « dance study » s’est intéressée à l’impact de la danse sur la santé mentale des adolescentes qui ont tendance à intérioriser leurs problèmes et à exprimer leur mal-être par différentes souffrances plus ou moins organiques.

Anna Duberg, physiothérapeute, a inclus 112 petites filles et adolescentes, âgées de 12 à 19 ans, randomisées en deux groupes afin de comparer l’effet de la danse pratiquée deux fois par semaine pendant 75 minutes. Ces jeunes ado avaient à de multiples occasions consulté l’infirmière de leur établissement scolaire pour différents motifs, maux de tête, douleurs dans les épaules, anxiété, etc.

L’objectif des séances de danse n’était pas la performance mais de prendre du plaisir dans cet exercice.

À l’inclusion, le score moyen de bonne santé était de 3,32 sur 5 dans le groupe « danse » et de 3,75 dans le groupe contrôle. Après 8 mois de suivi, les écarts se sont creusés entre les deux groupes, toujours en faveur du groupe « danse » .

Les petites danseuses avaient une meilleure estime d’elles-mêmes à la fin de l’étude ; 91 % se disaient satisfaites de l’expérience.

La danse est donc un facteur de bonne santé, et c’est aussi un style de vie, explique Anna Duberg, qui lui consacre un poème « Something about the dance » dans la même revue.

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Dans deux articles publiés dans la prestigieuse revue médicale British Medical Journal, des chercheurs expliquent que les sportifs ont beaucoup plus à craindre d’un excès d’hydratation que d’une déshydratation. Selon eux, l’importance excessive apportée à l’hydratation provient du constat que certains sportifs peuvent perdre connaissance à l’effort, à la suite d’une chute de tension. Ce phénomène est communément attribué à « un coup de chaud », autrement dit : une difficulté pour l’organisme à maintenir la température corporelle à cause d’un manque d’eau.

Mais les chercheurs de corriger : les études montrent bien que les sportifs qui ont de l’hypotension posturale ou qui perdent connaissance ne sont jamais déshydratés et leur température corporelle n’est pas plus élevée que celle des autres. C’est donc une idée reçue. Le traitement le plus efficace consiste simplement à s’allonger en plaçant les jambes plus hautes que la tête.

Données à l’appui, les chercheurs expliquent : les athlètes en bonne santé ont un risque « quasi-nul » de tomber en déshydratation pendant une compétition ou un effort d’endurance. Des risques importants pour la santé comme des troubles de la coordination ou de la paralysie ne peuvent se produire que lorsque la quantité totale d’eau du corps humain diminue d’au moins 15%. Pour bien comprendre l’importance de ce chiffre, il faut visualiser que cela correspond à la quantité d’eau qui serait perdue en restant en plein désert sans eau pendant 48 heures.

A l’inverse, une simple augmentation de 2% de notre volume total d’eau provoque un oedème généralisé, diminue la performance physique et mentale. Au delà de ce seuil se développe une encéphalopathie hyponatrémique, provoquant confusion, crise d’épilepsie, comas puis la mort.

Pour les chercheurs, la consigne de boire en abondance est une erreur vieille de plus de 40 ans qui doit être corrigée car rien n’est plus précis que la sensation de soif et un apport excessif même modéré peut être dangereux. Cette idée reçue serait entretenue par un lobbying de la part des sociétés qui vendent des boissons de l’effort, aussi bien dans leur communication auprès du public, leur communication auprès des chercheurs ou bien via des subventions financières.

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  • Mercredi 19 décembre 2012 de 13 heures à 14 heures : marche collective le long du canal du Midi avec Anne Marie. rendez-vous aux Ecluses de Fontserranes.
  • Samedi 22 décembre 2012 de 13 heures à 14 heures : marche collective le long du canal du Midi avec Nicolas. Rendez-vous de départ sur le parking de Cameron
  • Samedi 22 décembre 2012 de 14 heures 30 à 16 heures 30 : cours collectif de gym avec Nicolas Paba campi au club fitness 34, 1 avenue Jacques Brel à Béziers.
  • Dimanche 23 décembre 2012 de 10 heures à 11 heures : cours collectif de gym cardio avec Anne-Marie au Lionel club, rue Antoine Fabre à Béziers en face de la médiathèque
  • Lundi 24 décembre 2012 : veille de Noël : repos
  • Mercredi 26 décembre 2012 de 13 heures à 14 heures : marche collective le long du canal du Midi avec Anne Marie. rendez-vous aux Ecluses de Fontserranes. (pour digérer les repas du réveillon)
  • Samedi 29 décembre 2012 : repos pour préparer la nouvelle année
  • Dimanche 30 décembre 2012 : Anne Marie accueillera les courageux pour un cours collectif de gym cardio au Lionel club, rue Antoine Fabre à Béziers en face de la médiathèque
  • Lundi 31 décembre 2012 : repos pour le dernier jour de l’année 2012, et prise de bonnes résolutions pour 2013.

 

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2 nouvelles publications apportent de l’eau au moulin de l’Académie de Médecine, qui prône une prise en charge du sport par l’Assurance maladie, tant ses bienfaits apparaissent intéressants.

Dans le JAMA, une méta-analyse montre qu’un état optimal du fonctionnement cardiaque aux âges moyens de la vie apporte un gain de longévité égal à 14 ans.

Et dans « PLoS Medicine », une autre méta-analyse chez plus de 650 000 adultes, indique que les individus n’ont nulle nécessité de s’épuiser pour profiter des bienfaits de l’activité physique, mais que les simples sports de loisir, tels que la marche à bon pas, montrent une efficacité significative, si leur pratique est régulière.

Si les individus ont un profil optimal concernant leurs facteurs de risque, ils vivent en moyenne 14 ans de plus que ceux qui présentent deux facteurs de risque.

Les auteurs de « PLoS Medicine », pour leur part, observent que les personnes qui suivent les recommandations du NIH américain, à savoir de s’adonner à une activité physique régulière en aérobie pendant 2,5 heures par semaine pour un exercice d’intensité modérée ou pendant 1,25 heure pour un exercice de forte intensité, gagnent en moyenne 3,5 ans de durée de vie. Ceux qui doublent la durée de cette activité gagnent 4,2 ans de vie. Mais même pour une pratique plus légère, il existe un gain : il est de 1,8 an pour ceux qui ne suivent les recommandations qu’à moitié. Les bénéfices s’expriment quels que soient les IMC des individus. « L’exercice régulier augmente la longévité dans tous les groupes que nous avons examinés, chez les personnes de poids normal, celles en surpoids et chez les obèses. »

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