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activité physique

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La capitale alsacienne expérimente pendant un an le remboursement de l’activité sportive pour certains malades.

Comme cela avait été annoncé il y a quelques mois, les habitants de Strasbourg souffrant de certaines maladies chroniques peuvent désormais se faire prescrire une activité physique auprès de leur médecin traitant, à la place ou en complément d’une liste de médicaments.

Baptisée «Sport-santé sur ordonnance», cette expérimentation, lancée pour un an, associe la ville de Strasbourg, la caisse du Régime local d’assurance maladie, l’Agence régionale de santé et plusieurs partenaires associatifs. Une cinquantaine de médecins généralistes ont accepté d’y participer.

L’expérimentation elle-même sera entièrement prise en charge par la municipalité et ses partenaires qui mettent à disposition leurs moyens humains et techniques. Son coût est évalué à près de 129.000 euros.

Elle s’adresse en priorité aux personnes atteintes de maladies chroniques liées à la sédentarité que sont l’obésité, le diabète de type 2 (non insulinodépendant) et les maladies cardiovasculaires stabilisées.

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Le programme d’intervention en question, nommé HEROES, pour Healthy, Energetic, Ready, Outstanding, Enthusiastic Schools program confirme, avec cette étude de l’Université d’Indiana qui en a mesuré l’impact, l’efficacité d’initiatives simples qui reposent sur la réduction de facteurs évitables bien connus pour lutter dès l’école contre l’obésité. Les conclusions, présentées lors de la réunion annuelle de l’American Public Health Association, montrent, une nouvelle fois, que lorsque les écoles et les familles aussi mettent l’accent sur ces facteurs de risque modifiables, cela diminue efficacement l’obésité infantile.

Renforcer une certaine culture scolaire du bien-être : HEROES, développé sur la base des recommandations des Centers for Disease Control and Prévention pour les « scolaires », a été mis en œuvre par les établissements de l’Indiana, du Kentucky et de l’Illinois et coordonné par le Pr Dong-Chul Seo, de l’École de santé publique de Bloomington (UI). Le programme est destiné à renforcer une certaine culture scolaire du bien-être grâce à des modifications concernant l’éducation physique, la nutrition, l’activité physique avec les sports en équipe, et des initiatives de promotion de la santé à destination, aussi, des personnels des établissements comme des familles et des communautés.

Un programme scolaire simple mais efficace : Les chercheurs ont évalué ce programme sur ces 4 dernières années, sous l’angle des facteurs prédictifs de surpoids, de gain et de perte de poids et livrent ces résultats portant sur une période de 18 mois et une cohorte longitudinale de 5.309 élèves de 11 écoles différentes. Sont confirmés, par les chercheurs,

· le lien entre des niveaux élevés de consommation de boissons gazeuses et la persistance du statut pondéral, la surcharge pondérale et le gain de poids,

· le lien entre la prise de repas équilibrés et réguliers dans la journée, avec 3 repas par jour, la stabilité à un poids de santé,

· le lien entre la pratique de sports collectifs, partie intégrante du programme et le contrôle d’un poids de santé.

· le lien entre le statut économique et le poids, les élèves fréquentant les écoles de moindre statut socio-économique étant plus susceptibles d’être en surpoids ou de prendre du poids au cours de la période d’étude. D’où l’importance de pouvoir donner accès à tous à des aliments sains, comme les fruits et les légumes.

Bien évidemment, ces résultats ne sont pas nouveaux. Mais ils confirment que la mise en place de programmes de lutte contre l’obésité à l’intérieur des écoles et établissements scolaires, qui, aux Etats-Unis, font partie intégrante du Plan contre l’obésité, ont leur rôle à jouer pour prévenir l’obésité chez les plus jeunes.

A noter, dans ce programme, personnels scolaires et parents bénéficient également d’une formation.

Sources: American Public Health Association annual meeting et Indiana University Soda consumption, screen time, team sports at school influence students’ weight et Heroes

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Alors que le gouvernement a récemment annoncé la mise en œuvre prochaine d’une politique publique « Sport – Santé – Bien-être », l’Académie nationale de médecine appelle notamment à adopter « de nouvelles dispositions réglementaires » pour organiser la prise en charge du « sport santé » par l’assurance-maladie « dans le cadre de sa politique de prévention », « en association avec les mutuelles et les assurances privées ».

De nombreuses publications viennent aujourd’hui confirmer que pratiquer des activités physiques et sportives (APS) à tout âge « augmente l’espérance de vie en bonne santé », « retarde la dépendance », « constitue un complément thérapeutique efficace » pour de nombreuses affections, et améliore la prise en charge des handicaps, rappellent les auteurs*. En dépit des efforts déployés par certaines mairies, associations et de nombreux bénévoles, le bilan de la France dans le domaine de la pratique des activités physiques et sportives reste décevant, constatent-ils.

Sport sur ordonnance

Une « révolution culturelle » orchestrée par les pouvoirs publics est nécessaire pour enraciner le « sport santé » dans notre société. « Dès le jeune âge, puis tout au long de la vie, les activités physiques et sportives doivent s’imposer dans les habitudes de chacun ». Pour insuffler et soutenir cette dynamique, il convient de « sensibiliser les médecins et enseignants » aux bénéfices du « sport santé », le corps médical devant pour sa part « définir les bonnes pratiques de la prescription des APS dans des conférences de consensus », souligne l’Académie.

« Les APS peuvent être proposées au sujet sain dans le cadre de la prévention primaire ou être l’objet d’une prescription médicale venant ou non compléter un traitement médical ». La prescription d’un sport sur ordonnance devra être rédigée « selon les règles de toute prescription médicamenteuse et être expliquée au patient avec la même rigueur » (nature et contexte de la pratique, intensité, durée et fréquence des séances, mesures associées, suivi et contrôles médicaux à observer).

Règle des « 3R »

Le volume d’activité nécessaire et suffisant pour chacun peut se résumer au respect de la règle des « 3R », à savoir : une activité « régulière » (au moins hebdomadaire), « raisonnée » (correspondant à 50 % de l’activité physique maximale déterminée pour chaque sujet) et « raisonnable » (mettant à l’abri d’incident ou d’accident). « La surveillance médicale du sujet adoptant un programme d’activités physiques et sportives de base, peut se limiter à une consultation médicale annuelle programmée auprès du médecin traitant », avec des comptes rendus médicaux à faire figurer dans le dossier médical personnalisé (DMP), indiquent les auteurs.

* Jacques Bazex, Pierre Pène, Danièle Rivière et Michel Salvador co-signent un texte intitulé « Les activités physiques et sportives : la santé, la société »

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A partir du 19 novembre 2012, la branche biterroise du réseau ROSA a le plaisir de proposer à ses patients de nouveaux créneaux horaires pour les activités physiques en groupe.

Cours collectifs supplémentaires le dimanche matin de 9 h à 11 h au Lionel Club (en face de la médiathèque) avec Anne Marie BERNAL et le Lundi de 19 h 30 à 21 h 30.

C’est toujours Nicolas le responsable des inscriptions….

Un projet de créneau supplémentaire de marche collective est à l’étude pour les mercredi …

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Le Dr Pierre Molina d’Arranda entreprend de convaincre ses patients de faire de l’exercice physique plutôt que de prendre des médicaments. Le généraliste de Chambery se trouve ainsi en phase avec la politique gouvernementale, où l’on promeut la pratique des activités physiques et sportives (APS) comme “outil essentiel de la stratégie nationale de santé publique”, en lien avec les agences régionales de santé.

Pourquoi cet intérêt pour l’exercice physique en lieu et place d’une prescription médicamenteuse ?

Dr. Pierre Molina d’Arranda : Gilles Boisvert et Philippe Vachette, les créateurs de l’agence Ecomobilité* sont venus me voir en décembre 2011, pour me parler de leur projet de changer les habitudes de déplacement des Français trop dépendants de leurs voitures.

Il s’agit d’inciter nos concitoyens à se bouger, 30 minutes par jours, ce qui est faisable. Pas question de compétition, mais d’écouter son propre rythme, de déstresser.

A Strasbourg, ville pionnière dans le domaine, 50 médecins sont volontaires et la communauté urbaine a donné son feu vert au remboursement des 30 minutes de vélo prescrites sur ordonnance. Si l’expérience montre son efficacité, Strasbourg a d’ailleurs l’intention de demander un remboursement à la sécurité sociale des frais engagés. Pourtant Frédéric Van Rockeghem, le directeur de la Caisse nationale d’assurance maladie, m’a clairement dit qu’il ne débourserait pas un centime pour mon projet. Il changerait peut être d’avis en réalisant que pour 1 euro dépensé, il risque de gagner entre 200 et 500 euros…

Pour inciter les patients à pratiquer une activité physique, il y a trois solutions : la coercition en est une, l’idée de la faire pratiquer sur le temps de travail en est une autre – c’est ce que l’on voit notamment à Taïwan où les ouvriers font de la gymnastique tous ensembles dans l’usine. Enfin, il y a la motivation forte, qui peut être financière ou autre. Cette motivation est pour nous très importante, notamment auprès des adolescents. Ils découvrent qu’il ne s’agit pas de rivalité, car on ne gagne rien, mais de solidarité lorsqu’on pratique une activité tous ensemble.

Mais en pratique, comment vous y prenez-vous dans votre cabinet ?

Je dis simplement au patient que s’ils font 30 minutes d’activité par jour, pour eux-mêmes, tranquilles, en respirant bien, ils vont diminuer notablement leur poids s’ils sont obèses, leurs troubles anxieux le cas échéant et leur consommation de médicament, très souvent.

Dans notre dossier de presse, nous chiffrons en nous appuyant sur une étude officielle du CREDES (Centre de recherche, d’études et de statistiques), de 10 à 43 milliards d’euros, le montant des économies potentielles induites par le développement de la marche ou du vélo, une demi-heure par jour. Nous estimons ainsi que chaque kilomètre parcouru fait économiser 1 euros à la collectivité, par une réduction des frais de santé, la baisse de l’absentéisme et les gains de productivité. Les deux-tiers de ces gains reviennent à la sécurité sociale. On savait depuis Hippocrate que le sport était bon pour la santé. C’est en fait une activité physique produite à son rythme, qui sera leur meilleur médicament, une nouvelle manière d’envisager la vie, sans se battre contre les autres.

*l’Agence Ecomobilité, association de promotion des alternatives à la voiture solo a remporté un appel d’offre lancé par l’antenne régionale de l’Institut national de prévention et d’éducation sanitaire (INPES). Intitulé “Bouge ta journée” le projet qui cible les jeunes se déroule sur le territoire de Chambery. Il allie les thèmes de l’activité physique, de déplacements, de la santé, de l’alimentation et du bien-être.

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S’il est facile d’être préoccupé par sa silhouette et son poids, il est tout aussi facile développer un excès de poids. Sur le plan individuel, plusieurs facteurs autres que l’alimentation et l’activité physique expliquent le gain de poids ou la difficulté à contrôler son poids. Par exemple :

  • Certaines maladies;
  • La prise de médicaments;
  • L’arrêt du tabac;
  • Des difficultés de nature psycho-sociale comme un manque d’affirmation de soi;
  • Ou encore des bénéfices secondaires à l’excès de poids comme la protection face à la séduction.

 

Certains de ces facteurs ne relèvent pas du contrôle de l’individu et ne peuvent être modifiés. Il importe donc de bien identifier les causes du gain de poids sur lesquelles il est possible d’agir. La même « recette » ne peut donc s’appliquer à tous!

De plus, l’environnement dans lequel nous vivons aujourd’hui peut contribuer au gain de poids de l’ensemble de la population. Les exigences et les normes de la société actuelle nous amènent à :

  • Adopter un mode de vie de plus en plus sédentaire;
  • Utiliser la restauration rapide;
  • Consommer des aliments préparés souvent riches en gras et en sucre.

 

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L’obésité abdominale n’est pas une fatalité. La pratique de certains sports d’endurance permet d’obtenir de bons résultats.

Bidon, brioche, durillon de comptoir, bouée ou bedaine… Autant d’appellations pour une même réalité qui en complexe plus d’un. Outre son aspect inesthétique, l’obésité abdominale augmente les risques cardiovasculaires et même celui… de développer un asthme. Autant de bonnes raisons pour vous en affranchir. Surtout qu’elle n’a rien d’une fatalité.

Voici quelques conseils pour vous en débarrasser.

« La bedaine est la combinaison de deux réalités » nous explique le Dr Marc Bouvard, directeur du Centre de biologie et médecine du sport de Pau. « D’un côté, le relâchement des muscles abdominaux et de l’autre, une accumulation localisée de graisses. Ces dernières sont en fait le résultat d’un seul et même comportement : la sédentarité. »

Heureusement précise le spécialiste, « cela n’a rien d’une fatalité. La pratique d’exercices physiques permet de dégonfler la bouée ! » Misez alors sur le cardio ! En courant, en pédalant ou en nageant, surtout de façon prolongée, vous puiserez dans vos réserves de graisses. Selon le Dr Bouvard, « pas moins de trois séances hebdomadaires sont essentielles pour obtenir des résultats ».

Alors, quelle activité privilégier pour perdre du ventre ? Tout dépendra en fait de vos goûts. Marche rapide, course à pied, natation ou vélo, c’est à vous de choisir.

Bon à savoir, pour un résultat équivalent, le temps d’activité ne sera pas le même selon l’activité. La marche rapide ou le jogging par exemple se révélera efficace au bout de 45 minutes.

A vélo, vous devrez pédaler 1 heure 30 pour obtenir le même résultat. Et si vous choisissez la piscine, des séances d’une vingtaine de minutes suffiront.

C’est une des raisons pour lesquelles, nous demandons aux patients du réseau de marcher 30 à 45 minutes tous les jours en une seule fois (chacun à son rythme).

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Les mauvaises habitudes alimentaires se répandent parmi les 15-25 ans, souligne une enquête Ipsos commandée par la société conseil dans le domaine social Doing Good Doing Well. Et le danger est réel : près d’un jeune sur cinq (19%) est en surpoids ou obèse, soit près de 2 millions de jeunes Français. En 1995, seuls 8% étaient concernés.

Pire, parmi ces 19%, trois sur dix n’en n’ont pas conscience puisqu’ils s’estiment minces ou de corpulence normale.

Voici une liste non exhaustive des mauvaises habitudes alimentaires incriminées dans l’obésité des jeunes :

Ils grignotent. Plus d’un jeune sur trois reconnaît qu’en cas de stress, il lui arrive de grignoter toute la journée. Et lorsqu’un jeune grignote, il est rare qu’il mange une pomme, préférant par exemple les barres chocolatées.

Ils ne respectent pas la règle des cinq fruits et légumes. Le slogan est connu mais peu pratiqué. 38% seulement déclarent consommer quotidiennement à la fois des fruits et des légumes.

Ils négligent la qualité. L’alimentation n’est pas un poste de dépenses prioritaire chez les jeunes : plus d’un sur quatre est prêt à sacrifier la qualité et la quantité de son alimentation au profit de son habillement (31%) ou de la téléphonie mobile (25%).

Ils désacralisent les repas. 54% des jeunes disent ne pas manger à heure fixe au moins un repas sur deux. Ils consacrent par ailleurs peu de temps à leurs repas : 9 minutes pour le petit-déjeuner, 24 minutes pour le déjeuner, 27 minutes pour le dîner. Or manger trop vite, c’est l’assurance d’une digestion compliquée et d’un retour de la faim plus précoce.

• …ou ne mangent tout simplement pas. 48% « zappent » carrément le petit-déjeuner au moins un matin sur deux. A chaque écart, l’organisme se dérègle et modifie les sensations de satiété. Par ailleurs, la vie professionnelle contraint fréquemment 59% des jeunes à déjeuner sur le pouce et, pour 32% d’entre eux, à sauter la pause déjeuner.

Ils évitent de trop bouger. La sédentarité aggrave les risques de surpoids et d’obésité: plus d’un jeune sur trois déclare ne pas faire de sport (38%). Cette tendance se renforce parmi les classes les plus défavorisées : 47% des jeunes issus de foyers modestes ne font pas du tout de sport, contre seulement 27% parmi les enfants de familles plus aisées.

Ils peuvent bouder l’eau. 23% boivent « souvent » des sodas pendant les repas contre seulement un sur six qui dit boire « très souvent » de l’eau. Problème : une canette de Coca-Cola contient par exemple l’équivalent de six à sept morceaux de sucre.

Ils mangent devant un écran. 61% des jeunes âgés de 15 à 25 ans mangent leur repas devant un écran, au moins une fois sur deux. Pas idéal pour faire attention à la qualité et à la quantité de ce qu’on ingère.

Cette étude confirme par ailleurs une donnée déjà identifiée en France et à l’étranger : plus on est pauvre, plus on risque d’être obèse ou de le devenir. Dans les familles aisées (revenu net mensuel supérieur à 3.000 euros), seul un enfant sur dix est en surpoids ou obèse. En revanche, ils sont un sur quatre dans les familles les plus modestes (revenu net mensuel inférieur à 1.250 euros).

Enquête Ipsos commandée par la société conseil dans le domaine social Doing Good Doing Well et réalisée 15 au 25 septembre 2012 auprès d’un échantillon représentatif de 1.000 jeunes âgés de 15 à 25 ans, interrogés via l’Access Panel Online d’Ipsos. Méthode des quotas.

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Une étude britannique publiée dans la revue Archives of Disease in Childhood, montre que les jeunes passent plus de temps à regarder la télévision que sur les bancs de l’école. Conséquence : plus d’obésité, de diabète mais aussi de troubles de l’attention.

Pour Aric Sigmann, l’auteur de l’étude, il est urgent de s’intéresser de très près au temps passé par les enfants devant des écrans, compte tenu des impacts sur la santé recensés dans de très nombreux travaux. D’après ce médecin anglais, psychologue et spécialiste de la santé des enfants, avant l’âge de 10 ans, un petit Anglais accède à au moins cinq types d’écran différents: la télévision, bien sûr, mais également un ordinateur, une console de jeu, une tablette ou encore un téléphone portable. “Un enfant né aujourd’hui aura passé, à l’âge de 7 ans, l’équivalent d’une année pleine, jour et nuit, à scruter un écran”, précise ainsi le scientifique. Il faut compter trois années pleines pour un jeune soufflant ses dix-huit bougies.

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Aux Etats-Unis, 35 % des adultes sont obèses. A ce rythme, en 2030, près de 57 % des Texans seront obèses avec toutes conséquences nuisibles pour la santé, car cela pourrait se traduire par des millions de diabétiques, des centaines de milliers de cas de cancer ou de problèmes cardiaques.

Au plan santé, en 2008, cette situation a coûté plus de 147 milliards de dollars à l’Etat américain. Le problème n’épargne pas les enfants américains puisqu’un tiers accuse du surpoids.

« Let’s Move »

Pour combattre cette épidémie, la première dame des Etats-Unis, Michèle Obama, a lancé un mouvement intitulé « Let’s Move » – c’est-à-dire « Allez, on bouge » – qui se donne entre autres buts d’offrir de meilleurs repas dans les cantines scolaires.

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