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J’ai été convié à parler de façon détaillée de la prise en charge que nous faisions à Béziers au Tedx d’Avignon en octobre 2016.

A travers une communication intitulée, « pourquoi je soigne les apparences »

J’ai tenté d’expliquer à cette occasion plusieurs secrets et fondamentaux de notre prise en charge à Béziers et pourquoi il nous semble important de s’occuper de la silhouette chez les obèses qui perdent beaucoup de poids..

Si vous avez la patience de regarder la vidéo qui dure environ 20 minutes, vous comprendrez pourquoi la peau s’affaisse après amaigrissement massif post-chirurgie de l’obésité et ce que nous mettons en place pour éviter ce phénomène.

le lien de mon talk : http://tedxavignon.com/talks/patrick-buenos-chirurgien/

Cette présentation représente notre vision d’une partie de la prise en charge de l’obésité au sein du réseau ROSA.

D’autres équipes voient les choses différemment.

Dr BUENOS

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Source : New England Journal of Medicine, 25 aout 2016. International Agency for research on cancer (Iarc), 25 aout 2016. Avec AFP

http://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMsr1606602

http://www.iarc.fr/en/media-centre/pr/2016/pdfs/pr247_E.pdf

Un rapport de l’International Agency for research on cancer (Iarc) conclut que le surpoids augmenterait le risque de cancer de l’estomac, du foie, de la vésicule biliaire, du pancréas, des ovaires et de la thyroïde, ainsi que celui de méningiome et de myélome multiple.

En plus de son implication déjà connue dans des cancers comme celui du colon, du rein ou du sein, le surpoids pourrait aussi constituer un facteur de risque pour d’autres cancers digestifs mais aussi pour des cancers cérébraux ou endocriniens. C’est ce que conclu un rapport de International Agency for research on cancer (Iarc), qui vient d’être publié dans le New England Journal of médicine.

Réalisée par un groupe de travail de 21 experts indépendants, cette analyse est fondée sur une revue systématique de la littérature regroupant plus de 1000 études.

Les résultats confirment tout d’abord des données publiées dès 2002, montrant que l’absence de surpoids réduit le risque de cancer du colon, du rectum, de l’œsophage, du rein, du sein chez la femme ménopausée, et de l’endomètre. Mais les résultats qui viennent d’être rendus public par l’Iarc mettent en évidence, en plus, qu’une surcharge pondérale à l’âge adulte, mais aussi dans l’enfance, augmenterait le risque de 8 nouveaux cancers : de l’estomac, du foie, de la vésicule biliaire, du pancréas, des ovaires et de la thyroïde, ainsi que le méningiome et le myélome multiple.

« Le fardeau du cancer dû au surpoids ou à l’obésité est beaucoup plus important que ce que l’on pensait auparavant, a indiqué Graham Colditz, président du groupe de travail du CIRC, et membre de l’école de médecine de l’université Washington de St-Louis. De nombreux cancers récemment identifiés comme étant liés à un excès de poids ne figuraient même pas sur les radars comme ayant une composante poids », a-t-il relevé.

Environ 9% des cancers chez les femmes en Amérique du Nord, en Europe et au Proche-Orient seraient liés à l’obésité, selon l’étude.

Une des explications réside dans le fait que la surcharge pondérale entraine une inflammation et une surproduction d’oestrogènes, de testostérone et d’insuline.

Environ 640 millions d’adultes et 110 millions d’enfants dans le monde sont obèses. « Des éléments d’hygiène de vie comme un régime alimentaire équilibré, une stabilité pondérale et de l’exercice physique, en plus de ne pas fumer, peuvent avoir un effet important pour réduire le risque de cancer », a indiqué M. Colditz.

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La liste des organismes français arrosés par Coca-Cola, que publie ce mois-ci l’ONG Foodwatch, laisse pantois.

Après plusieurs mois, l’ONG allemande Foodwatch a obtenu de Coca-Cola que la société donne le détail des sommes qu’elle a versées à des organismes, associations et sociétés entre 2010 et 2015.

On y trouve en bonne place l’Association française des diététiciens nutritionnistes (AFDN). Cet organisme qui se présente comme une « association référente de la profession », a empoché entre 2010 et 2015 pas moins de 117 764 euros de Coca-Cola au titre de « partenariat ». On se demande quel type de partenariat une association qui a pour vocation de dire aux patients, au public, aux médecins ce que c’est que bien manger, peut conclure avec Coca-Cola. Quelle crédibilité lui accorder ? Quels autres « sponsors » la gratifient de leurs largesses ?

Et la plongée dans l’absurde ne s’arrête pas là. Après l’AFDN, on se frotte les yeux en découvrant que la Fédération française des diabétiques a reçu 232 582 euros de Coca-Cola, c’est-à-dire l’un des moteurs de l’épidémie mondiale d’obésité et… de diabète !

L’Institut Pasteur de Lille, qui, par l’intermédiaire du directeur de son département nutrition, ne manque pas une occasion de donner dans la presse des leçons d’orthodoxie nutritionnelle, a reçu 33 500 euros de Coca-Cola. Auxquels il faut bien sûr ajouter les sommes versées par les autres « partenaires ».

L’université de Poitiers a encaissé un chèque de 228 104 euros pour – ne riez pas – « le développement d’un programme de promotion d’un mode de vie sain et actif auprès d’étudiants ».

On est moins surpris d’apprendre que Dietecom, une manifestation annuelle tout entière livrée à l’agrobusiness (mais qui se présente pourtant comme « le 1er salon dédié à la nutrition destiné aux professionnels de santé ») a aussi bénéficié des largesses de Coca : 124 450 euros.

Coca-Cola, c’est bien connu, rime avec équilibre nutritionnel chez les sportifs. Voilà pourquoi, probablement, le Centre National pour le Développement du Sport, un organisme public qui dépend du Ministre chargé des sports, s’est vu gratifier la coquette somme de 1 118 926 euros pour lutter contre… l’obésité des jeunes. Le Comité National Olympique et Sportif Français s’est montré un peu moins convaincant : 300 000 euros quand même ! Suivent la Société Française de Médecine de l’Exercice et du Sport ou encore l’Institut National du Sport, de l’Expertise et de la Performance.

Et encore n’a-t-on là que les « Coca-Cola Papers ». Quid des Danone Papers, des Pepsi Papers, des Nestlé Papers, des Kellogg’s Papers, des Unilever Papers, des Kraft Papers, des Monsanto Papers ? C’est alors qu’on réalisera, comme nous l’avons hélas souvent dit, que l’influence de l’agrobusiness sur l’information nutritionnelle, largement ignorée du public et des médias, est pourtant sans commune mesure avec celle qu’exerce l’industrie pharmaceutique sur les leaders d’opinion.

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La survie s’améliore après la pose d’une dérivation roux-en-Y, selon une étude parue  dans le « JAMA Surgery ».

Jusqu’à présent, peu d’études avaient mesuré l’éventuel bénéfice, en termes de mortalité, à attendre chez des patients bénéficiant d’une chirurgie bariatrique, et la plupart n’étaient pas contrôlées.

« Le consensus global veut que ces opérations soient globalement positives », expliquent le Dr Lance Davidson, de l’université Brighman Young (Utah), et ses collègues. Ils ont tenté de répondre à cette question à l’aide d’une étude de cohorte cas-témoins rétrospective. Les auteurs ont découpé une cohorte de 7 925 patients (constituée entre 1984 et 2002) en catégories d’âge : les moins de 35 ans, les 35 à 44 ans, les 45 à 54 ans et les 55 à 74 ans. Cette cohorte a été comparée à un groupe 7  925 personnes souffrant d’une obésité importante mais n’ayant pas bénéficié d’une opération de chirurgie bariatrique. L’indice de masse corporelle moyen dans les deux groupes était de 45,3.

Entre 35 et 44 ans, le risque de mortalité toutes causes au cours de la durée moyenne de suivi de 7,2 ans était diminué 46 %. Entre 45 et 54 ans, le risque était diminué de 57 %. Il n’était en revanche pas significativement modifié chez les moins de 35 ans. « La conclusion importante est que la pose d’un by-pass roux-en-Y prévient en partie l’augmentation de la mortalité observée chez les patients très obèses », précisent les auteurs.

 

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Le logo 5 couleurs est une bonne idée pour aider le consommateur à choisir des produits alimetaires, mais comment ça marche exactement ?

Explications :

Si vous n’arrivez pas à la voir :

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Tobias Niedermaier et coll. Body mass index, physical activity, and risk of adult meningioma and glioma. Neurology, Published online before print September 16, 2015

Le méningiome est une tumeur relativement rare, de l’ordre de 5 à 8 cas annuels pour 100.000 personnes, avec un taux de survie à 5 ans de 63%. L’obésité et l’inactivité physique en seraient deux facteurs de risque selon les résultats d’une étude publiée dans la revueNeurology.

Les auteurs ont compilé douze études observationnelles portant sur l’indice de masse corporelle et sur l’activité physique, et ont pu étudier 2982 cas de méningiome et 3057 cas de gliome. En analysant l’indice de masse corporelle et le degré d’activité physique de ces cas, comparés aux témoins, les auteurs notent un sur-risque de méningiome de 21% parmi les sujets en surpoids (RR = 1.21, IC 95% = 1.01 – 1.43) et de 54% (1.54 ; 1.32 – 1.79) chez les obèses. En revanche, ni le surpoids ni l’obésité ne sont liés au risque de gliome.

En ce qui concerne l’activité physique, en comparant les sujets ayant le niveau le plus élevé à ceux ayant le niveau le plus faible, les auteurs observent un effet protecteur qualifié de modeste vis-à-vis du risque de méningiome chez les premiers, c’est-à-dire les adeptes d’une activité physique soutenue. Les auteurs précisent que ces liens persistent lorsque les données sont limitées à celles provenant d’études prospectives.

Une hypothèse est émise par les auteurs : le lien entre masse grasse et hormones, notamment les estrogènes et l’insuline. Ces hormones peuvent faciliter la croissance de certaines tumeurs riches en récepteurs hormonaux correspondants, or les méningiomes comportent davantage de récepteurs de ce type que les gliomes.

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En 2014, 828.047 malades ont mis chaque nuit un masque respiratoire les reliant à une machine de ventilation en pression positive, soit 15 % de plus que l’année précédente d’après un rapport de l’Assurance-maladie. Ils étaient 550.000 en 2012 et deux fois moins en 2006, rapporte lefigaro.fr.

Le nombre de malades appareillés devrait atteindre 1 million en 2016 et les coûts dépasser le milliard d’euros.

Pour limiter les dépenses, l’Assurance maladie envisage de transférer 20% des traitements par masque de ventilation vers un traitement avec orthèse. Mais en pratique, selon les médecins, c’est le masque qui est le plus efficace pour soigner l’apnée, d’autant plus qu’il limite le risque d’accident cardio-vasculaire.

« L’apnée du sommeil, autrement dit les pauses respiratoires prolongées (de plus de 10 secondes) pendant que l’on dort, concerne 5 % de la population, mais tous ne sont pas diagnostiqués », précise au Figaro, le Dr Frédéric Le Guillou, pneumologue à La Rochelle et président de l’Association BPCO (broncho-pneumopathie chronique obstructive).

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La quasi-totalité des steaks hachés contiennent de la matière fécale et toute une série de bactéries résistantes aux antibiotiques. C’est la conclusion d’une étude publiée dans la revue Consumer Reports et menée par des chercheurs américains qui ont passé en revue 300 types de viande hachée.

Les chercheurs ont acheté trois cent boîtes de steaks hachés industriels (200 kg) commercialisés dans une centaine de magasins (épiceries, grandes surfaces, boutiques bio) situés dans 26 villes des États-Unis. Mais comme toutes les viandes hachées de bœuf ne se valent pas, les chercheurs ont analysé aussi 181 échantillons de viande hachée issue de « l’élevage conventionnel », c’est-à-dire nourri à l’herbe et sans antibiotiques (cela représente 97% de la viande des hamburgers aux États-Unis) et 116 échantillons de viande bio, que les chercheurs ont classé dans la catégorie « production durable ».

A partir de leurs analyses, les chercheurs ont constaté que la quasi-totalité de la viande hachée contient des entérocoques, bactéries impliquant une contamination fécale qui peut causer des infections sanguines ou urinaires.

L’explication est simple : au moment de l’abattage et de la transformation, les excréments qui se trouvent sur la peau des bêtes ou qui sont restés piégés dans les intestins se retrouvent immanquablement au bout de la chaîne de production. Mais la plupart du temps, ces bactéries sont présentes uniquement à la surface de la viande. De sorte que lorsque vous la faites cuire, la chaleur permet de tuer la majorité de ces bactéries. Mais avec du bœuf haché, les bactéries se mélangent dans la viande et la contamine.

En outre, lorsque les scientifiques ont testé la résistance aux antibiotiques des souches bactériennes qu’ils avaient identifiées, ils se sont aperçus que près d’un cinquième du bœuf haché produit de manière « conventionnelle » (industrielle) contenait des bactéries résistantes à au moins trois classes d’antibiotiques. Soit deux fois plus que dans la viande hachée produite de façon plus durable et trois plus que dans la viande élevée en plein air.

Le magazine américain recommande donc aux consommateurs d’acheter « autant que possible » leur viande hachée sur des chaînes d’approvisionnement alternatives. Il conseille aussi de manipuler la viande avec soin (en évitant tout contact) et de la faire cuire à 160 degrés.

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Les enfants atteints de sclérose en plaques (SEP) qui font régulièrement de l’exercice pourraient avoir une maladie moins active. C’est du moins ce qu’indique une étude canadienne présentée dans la revue « Neurology ».

Pour mener cette étude, les chercheurs de l’Université de Toronto ont interrogé 108 enfants sur leur degré de fatigue, leur dépression et la fréquence de leurs activités physiques. 31 de ces enfants étaient atteints de SEP et 79 avaient subi un événement neurologique inflammatoire isolé. Un examen IRM du cerveau a été réalisé chez 60 enfants pour déterminer le volume du cerveau ainsi que la quantité et le type de lésions de SEP.

Seuls 45 % des enfants atteints de SEP pratiquaient des activités physiques intenses, contre 82 % des autres enfants. Toutefois, il convient de noter que les enfants atteints de SEP qui prenaient part à des activités physiques avaient un nombre moindre de lésions dans le cerveau qui indiquent une activité de la maladie, appelées lésions T2. Les enfants qui pratiquaient des activités intenses présentaient des lésions T2 d’un volume médian de 0,46 cm3, contre un volume médian de 3,4 cm3 chez ceux qui étaient inactifs. En outre, les enfants qui s’adonnaient à des activités intenses connaissaient en moyenne 0,5 rechute par an, contre 1 rechute par an chez ceux qui étaient physiquement inactifs. Ces résultats sont restés inchangés, même après correction pour prendre en compte la gravité de la maladie. Dans l’ensemble, les enfants atteints de SEP ont indiqué avoir des niveaux plus élevés de fatigue et de dépression. Aucune différence dans le volume du cerveau n’a été constatée dans les deux groupes.

« Ces résultats confortent la possibilité que l’activité physique pourrait avoir un effet bénéfique sur la santé du cerveau », déclare l’auteure de l’étude, Ann Yeh. Mais elle souligne que l’étude ne permet pas d’établir une relation de cause à effet entre l’exercice physique et l’activité de la SEP, mais indique seulement une association entre les deux.

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sport sur ordonnance : les français sont partants.

96% des Français plébiscitent le sport sur ordonnance, selon un sondage TNS Sofres pour la Maïf.

Ils estiment que cette pratique permettrait d’améliorer le moral et la santé des patients souffrant d’une affection de longue durée (ALD) ou des séquelles d’un accident.

Quelque 95% des personnes interrogées pensent que le sport pourrait réduire le taux de mortalité de certaines maladies chroniques, 80% le nombre de médicaments pris, et 77% le risque de récidive de certains cancers, rapporte Le Généraliste.

38% sont intéressés par la prescription d’une activité sportive pour eux-mêmes.

Le financement doit relever de la Sécurité sociale selon 39% des sondés et des mutuelles pour 35%.

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