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Extrait du livre de Denis Doucet, « le principe du petit pingouin » :

Toutes les tactiques ou tous les événements de l’heure peuvent servir à saper votre confiance en vous-même et au monde qui vous entoure. De plus, une insécurité diffuse, apparemment sans objet clair, peut vous faire accepter n’importe quoi.

Si vous croyez qu’un terroriste peut se trouver à n’importe quel coin de rue, que la Bourse peut se dérégler, que le prix de l’essence peut exploser à tout moment, qu’un ouragan peut emporter votre maison du jour au lendemain, que votre voisin pourrait être un tueur en série ou qu’il n’est pas prudent de sortir seul dans les rues le soir, vous êtes drôlement vulnérable.

Pour calmer cette insécurité, vous êtes prêt à consentir à bien des choses : lois de contrôle accrues, caméras de surveillance partout, pièces d’identité à tout propos, restriction des libertés, et même plus. Votre degré d’obéissance augmente, vous devenez malléable et facile à diriger. Cependant, votre liberté décisionnelle et votre sens critique pour faire la part des choses tombent en chute libre du même souffle. On vous dira : « C’est un sacrifice nécessaire de nos jours ! »

Et voilà ! Vous n’avez pas un mot à dire : Big Mouth a parlé en « votre » nom.

La suite ………..demain

Denis Doucet nous expose une série de définitions et de concepts très intéressants, pour certains bien connus. En particulier l’insécurité obéissante.

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Extrait du livre de Denis Doucet, « le principe du petit pingouin » :

LA COHÉRENCE ÉCLATÉE ET LA PERTE DE SENS

Être exposé répétitivement à des situations, à des personnes ou à des récits (journaux, télévision, etc.) en apparence dénués de sens, cela demande un effort surhumain d’adaptation à la longue. Et Dieu sait que les nouvelles télévisées sont truffées d’informations incohérentes qui n’aident en rien à avoir une vue d’ensemble structurée et claire de notre société.

La recherche de cohérence n’a plus bonne presse en ce XXIe siècle. Cela demande du temps, et nos journées accélérées ne nous en laissent plus. Votre patron peut alors se permettre de dire le jeudi exactement le contraire de ce qu’il disait le mardi précédent, sans même avoir à s’expliquer ; votre belle-sœur si gentille que vous adoriez trompe votre frère avec une légèreté désarmante ; votre professeur change les règles du jeu de l’examen le plus important du trimestre à la dernière minute ; des policiers du coin ferment les yeux sur un excès de vitesse inacceptable d’un notable de la place ; vous subissez une baisse salariale alors que vous avez travaillé comme un déchaîné ces derniers mois ; même si vous habitez un quartier huppé où vous vous pensiez à l’abri, un pédophile notoire y arpente les parcs et les cours d’école ; les politiciens promettent des choses qu’ils oublient le mois suivant ; le maire de votre ville fait un discours sur le rôle primordial de la famille, puis annonce des compressions budgétaires dans les terrains de jeu ; le PDG de la chaîne de restauration rapide McDonald’s se permet candidement d’accuser les marchands de jeux vidéo de rendre les enfants obèses.

Ces incohérences auxquelles vous êtes exposé déteignent à la longue sur vous, jusqu’à ce que votre propre manque de cohérence – comportement, sentiments, discours, valeurs, pensées – en vienne à vous affecter au point de créer de la dissonance cognitive et des tiraillements intérieurs.

Ce jour-là, vous devenez très vulnérable à ceux qui banaliseront vos valeurs et qui vous écarteront de celui que vous êtes vraiment. Si bien que vous pourriez vous éloigner encore plus de vos propres valeurs, de votre propre conception des choses, de vos propres convictions… et peut-être même de ceux qui vous aiment.

La suite (de ces définitions successives qui nous poussent à réfléchir, à nous interroger, et parfois tout simplement à prendre conscience)………….demain.

 

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Souvenez-vous d’Obie, ce pauvre Teckel de 35 kilos lâchement abandonné par les responsables de son obésité. Adopté par une femme au grand coeur, bien décidée à le sauver en lui faisant suivre un régime draconien, le chien est aujourd’hui méconnaissable !

Obie a perdu 18 kilos

En mai, il avait déjà perdu 18 kilos, et avait subi une opération pour se débarrasser de son surplus de peau. Le voilà désormais gambadant.

Mission accomplie pour Nora Vanetta, la vétérinaire qui a permis à Obie de devenir le chien heureux qu’il est aujourd’hui. La jeune femme peut être fière d’elle, et de son adorable compagnon à 4 pattes évidemment.

En plus de leur page Facebook, Nora et Obie ont participé à des émissions de télévision, se sont rendus dans des écoles vétérinaires, sont intervenus dans des conférences, afin de parler de l’obésité des animaux, et des moyens de l’éviter.

Rappelons que comme chez les humains, le surpoids peut avoir de très graves conséquences sur les chiens, comme sur les chats.

La recette magique d’Obie et Nora

Les quelque 117 000 personnes qui ont suivi les efforts du chien sur la page Facebook créée par Nora pour inspirer et sensibiliser les propriétaires d’animaux en surpoids, sont eux aussi épatés par le courage d’Obie, et l’exploit qu’il a réalisé en perdant près de 20 kilos.

Obie ne pèse plus aujourd’hui que 12 kilos. Qui aurait cru il y a un an qu’il se métamorphoserait ainsi ?

La recette magique de Nora et Obie ? Une alimentation équilibrée, de longues promenades, de l’exercice au quotidien, et surtout beaucoup d’amour.

Obie il y a un an…

Obie prend la pose sur la plage

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Extrait du livre de Denis Doucet, « le principe du petit pingouin :

 » Pendant que j’écrivais ce chapitre, j’ai fait un rêve révélateur, une nuit. Ce dont je me souviens, c’est qu’il y avait un parti politique qui portait le nom de Vieux Moulin et dont le but était de promouvoir le retour à la solidarité sociale, comme dans le temps où, lorsqu’un fermier vivait le malheur d’un incendie, tout le voisinage faisait une ou deux journées de corvée collective pour l’aider à se rebâtir. Vous en conviendrez avec moi, on ne voit plus cela de nos jours, pas dans nos pays riches soi-disant plus évolués en tout cas.

Honnêtement, c’est ce rêve qui m’a donné l’impulsion d’écrire sur l’individualisme, comme exemple de ce que Big Mouth nous a enseigné. En effet, si bien des choses perdent leur sens sous l’angle des besoins humains, il y a une certaine cohérence dans le système social auquel nous sommes tous soumis: la logique économique…

À bien y penser, plus vous agissez avec une mentalité individualiste, plus c’est payant pour les fabricants de produits. C’est simple. Si trois voisins partageaient la même tondeuse, les ventes du marchand seraient amputées des deux tiers après quelques années. Vous me suivez? Alors, on doit vous enseigner à ignorer toute forme de solidarité avec votre voisin immédiat, alors qu’il n’y a pas de problème à clavarder sur votre ordinateur avec un correspondant chinois ou africain parce que vous ne pouvez rien acheter de commun avec eux. Vous conservez un sentiment virtuel d’appartenir au monde entier, tout en vous isolant comme consommateur… et comme être humain, dans votre voisinage immédiat.

Au travail, Big Mouth va vous enseigner à vous centrer seulement sur votre petite affaire, de sorte que vous restiez de glace devant une injustice que subira un collègue, trop préoccupé par vos aspirations personnelles (sont-ce vraiment les vôtres ?). Astucieux, il n’y a pas de doute !

La suite ……………demain.

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Extrait du livre de Denis Doucet, « le principe du petit pingouin »:

Le narcissisme :

Il s’agit du triomphe de l’ego, cette partie de soi qui ne souffre pas la contrariété et qui a peur de son ombre.

Tout a été dit. C’est dans la culture des temps modernes que chacun se gonfle l’ego à un point tel qu’il perd de vue toute sa personne, sa globalité, pour ne s’intéresser qu’à la partie de soi la plus étroite, son orgueil.

Ainsi, au lieu de vous intéresser à vos besoins, vous tombez dans le piège de vouloir ne satisfaire que vos envies. Satisfactions éphémères et souvent factices, dont le vide sous-jacent ne peut être leurré toute une vie. D’où les malaises existentiels qui ne tarderont pas à apparaître chez la plupart d’entre nous, et une vie superficielle et irréelle pour les autres.

La suite ………….demain.

 

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Extrait du livre de Denis DOUCET, « le principe du petit pingouin » :

 » Comme votre vie ne ressemble pas suffisamment à ce que vous auriez besoin qu’elle soit, on vous sert de nombreuses occasions de vivre celle de quelqu’un d’autre, l’espace d’un instant, comme si c’était la vôtre, tout en vous faisant envier cette personne.

Toutes les émissions télévisées présentant des jeux de loterie misent sur ce principe. Vous regardez le type gagner le gros lot en direct et vous vivez et enviez ce qui lui arrive. Ce serait tellement merveilleux si c’était vous qui étiez là, à sa place !

Bon nombre de téléromans et de téléséries procèdent de la même manière. Vous vivez par procuration les amours, les aventures et les gloires des personnages principaux.

Pendant ce temps de « répit », vous oubliez votre situation de couple plus ou moins satisfaisante, votre voisin déplaisant, le caractère ennuyeux de votre propre vie… et cela vous fait du bien pendant quelques heures. Cela vous permet ainsi de vous faire tolérer un peu plus, toujours un peu plus, les aspects de votre vie qui ne vous conviennent pas depuis longtemps. Et le tout se soldera par un « C’est pas si mal ! », suivi d’un long soupir. Jusqu’à la prochaine fois…

La suite ………..Demain.

Dr BUENOS : cet extrait rappelle inévitablement la chanson de Jean Jacques GOLDMAN : « elle vit sa vie par procuration devant son poste de télévision, ….etc.

Le risque aujourd’hui est effectivement très grand, de vivre sa vie par procuration.

 

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Maladie multifactorielle, l’obésité des plus jeunes nécessite une prévention plus ciblée et une prise en charge multidisciplinaire.

Une récente étude française a évalué le devenir d’enfants en surpoids ou obèses accueillis en consultation spécialisée à l’hôpital du Pays de Gier (Loire).

En 2001, 85 enfants âgés de 2 à 17 ans y ont été pris en charge, en moyenne durant trente-deux mois. L’évolution de leur poids a été réévaluée dix ans après, en 2012. Résultat: en 2001, la prise en charge avait été efficace pour 77 % des enfants, avec un bénéfice directement lié à sa durée. Mais le poids de la moitié des enfants a recommencé à augmenter dès son arrêt. Dix ans plus tard, l’évolution favorable du poids durant la prise en charge s’était poursuivie chez 30 % des enfants mais, malgré le succès initial, chez 43 % le poids avait ensuite évolué défavorablement. Pour 11 % des enfants, malgré l’insuccès de la première prise en charge, le poids dix ans plus tard s’était amélioré.

Il reste donc difficile de prévoir l’évolution pondérale à long terme d’un enfant en surpoids ou obèse, même avec une prise en charge efficace pendant un temps. Les modifications alimentaires ne sont efficaces que tant qu’elles sont poursuivies.

La proportion d’enfants en surpoids tend depuis peu à se stabiliser en France autour de 18 %, dont 4 % d’obésité. À la fois multifactorielle et individuelle, cette maladie chronique implique de nombreux facteurs: génétiques, périnataux, environnementaux et psychologiques. Une obésité parentale, un surpoids ou un diabète de la mère pendant la grossesse, un poids de naissance petit, trop élevé ou un gain de poids trop rapide ensuite, un milieu socio-économique défavorisé, un style éducatif trop rigide ou trop souple pour l’alimentation, le manque d’activité physique, le manque de sommeil, une dépression… sont aussi associés chez l’enfant au risque de surpoids ou d’obésité.

Le critère le plus prédictif du risque d’obésité chez l’enfant est la survenue précoce du rebond d’adiposité. La première année, la croissance rapide de l’enfant s’accompagne d’une augmentation de masse grasse qui atteint un maximum vers 1 an. Puis l’enfant s’affine, son IMC* diminue et passe vers 6 ans par un minimum, le rebond d’adiposité, avant de croître à nouveau. Parfois, ce rebond d’adiposité survient plus tôt: plus il est précoce, plus le risque d’obésité ultérieure est élevé.

Le surpoids et l’obésité présentent beaucoup moins de complications médicales graves chez l’enfant que chez l’adulte, sauf chez les grands obèses. La plupart du temps, la principale complication est psychosociale: c’est la souffrance liée au regard péjoratif des autres. En revanche, l’obésité infantile est très prédictive de l’obésité à l’âge adulte, qui, elle, est plus dangereuse: en l’absence de prise en charge, 75 % des enfants en surpoids deviennent des adultes en surpoids. «Dépister un enfant obèse n’a de sens que si on met en place une prise en charge.

La prise en charge de l’enfant obèse, souvent multidisciplinaire, repose d’abord sur des changements diététiques. Le but est de diminuer l’apport en calories. «On essaie donc de réduire les quantités avec les mêmes aliments, de garder le même volume en réduisant leur densité énergétique, de combattre le grignotage lié au fait que les enfants ont encore faim en sortant de table et d’augmenter un peu la ration protéique pour son effet rassasiant. Le sport peut aider, mais n’a pas d’effet seul.»

* L’indice de masse corporelle (IMC), reflète la corpulence, l’adiposité d’un sujet. Sa valeur est donnée par la formule IMC = le poids (kg) divisé par la taille (cm) au carré.

 

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Extrait du livre de Denis DOUCET,  » le principe du petit pingouin » :

Bon nombre de dépendances existent de nos jours : dépendance affective, jeu compulsif, cyberdépendance, achats impulsifs, dépendance sexuelle, à l’alcool, à la drogue, financière, psychologique, et bien d’autres.

Devenir dépendant de la sorte réduit votre libre arbitre et vous fait habituellement perdre de vue vos autres besoins, trop obsédé que vous êtes par ce qui vient entièrement définir et envahir votre vie. Encore un piège où Big Mouth peut vous diriger comme une marionnette. Soyez-en conscient.

La suite ………Demain

 

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Drôle de petite étude qui suggère sur 24 bénévoles seulement, quelques effets délétères sur la santé, d’une ceinture trop serrée, en particulier en cas d’obésité. Modifications cellulaires dans la jonction gastro-œsophagienne, reflux gastro-œsophagien (RGO). Bref des résultats qui, bien que publiés dans la revue Gut, méritent tout de même d’être validés par des études plus larges et de plus long terme.

Cette petite étude expérimentale de quelques jours a été menée par des chercheurs de l’Université de Glasgow, de de Strathclyde et du Southern General Hospital, Glasgow auprès de 24 participants, dont 12 à tour de taille normal (<94cm chez les hommes et 80 cm chez les femmes) et 12 à tour de taille élevé (plus de 102cm chez les hommes et plus de 88cm chez les femmes). Les participants ont subi une endoscopie à plusieurs reprises sur une période de 3-4 jours. L’examen a été réalisé avec et sans port d’une ceinture.

Avec le port de la ceinture, les chercheurs constatent plusieurs modifications à la jonction gastro-œsophagienne, un déplacement de la jonction entre l’estomac et l’œsophage, une pression sur la partie inférieure de l’œsophage, une modification cellulaire et une acidité associée à la survenue de reflux. Ces modifications sont plus marquées en cas de tour de taille élevé.

Source: Gut September 24 2013 doi:10.1136/gutjnl-2013-305803 Waist belt and central obesity cause partial hiatus hernia and short-segment acid reflux in asymptomatic volunteers

 

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Extrait du livre de Denis DOUCET, « le principe du petit pingouin »:

 » Un instrument extrêmement efficace dont dispose Big Mouth pour vous amener là où il veut, c’est la culpabilisation. Les gens font cela entre eux, plusieurs en tout cas. Les sociétés de toutes les époques ont toujours colporté des diktats prêts à penser afin de gérer la vie des gens : religions, institutions, gouvernements, mœurs du temps, etc. Et leur corollaire, c’est la culpabilité. Cette introjection des jugements externes que vous trimbalez dans votre tête, prêts à s’emparer de vos pensées dès que vous dérogez de la bonne conduite, c’est-à-dire du rayon d’action autorisé par le cadre social auquel vous appartenez qu’il soit à l’échelle familiale, locale, nationale, etc.

Apprenez en tout premier lieu à différencier le remords de la culpabilité. Le remords, c’est quand vous avez véritablement trahi vos propres valeurs et que vous le regrettez sincèrement. La culpabilité, quant à elle, survient quand vous vous accusez sévèrement vous-même ou laissez quelqu’un vous accuser, alors qu’en fait vous n’avez rien fait d’intentionnellement mal.

Par exemple, vous roulez avec votre voiture la nuit, normalement, en respectant la limite de vitesse. Un type ivre s’élance devant votre véhicule et vous le heurtez de plein fouet, n’ayant rien vu venir. Vous vous affolez, vous sentant déjà très mal à cause de cet accident, vous accusant de ne pas avoir eu la présence d’esprit de passer par là dix secondes plus tôt ou de ne pas avoir choisi une autre route, car ainsi l’accident aurait pu être évité. Ce raisonnement complètement irrationnel se produit très souvent dans ce genre de circonstances. La culpabilité, cette instance accusatrice internalisée de longue date, vous ronge par en dedans.

En voici un autre. Vous sautez un seul dimanche et n’appelez pas votre mère acariâtre qui vous lance constamment des remarques déplaisantes à la moindre occasion. Vous aviez besoin d’une pause. Ce même soir, vous n’arrivez pas à dormir, car vous vous sentez coupable de votre geste, inquiet d’être devenu un enfant ingrat.

Afin de contrer cela, rappelez-vous que vos erreurs ne sont pas des fautes et, surtout, que la plupart des supposées fautes dont les autres vous accusent n’en sont pas. Le plus souvent, ce sont des moments de désobéissance à leurs demandes excessives, injustes ou contraires à vos besoins.

Autre remède, cultivez la compassion envers vous-même. Vous avez le droit de vous tromper parfois, sans qu’on en fasse tout un drame. Vous êtes humain, après tout !

La suite …………………Demain.

 

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