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Selon une enquête lancée auprès de 7 753 internautes et intitulée « Découvrez le meilleur des médicaments », un Français sur deux ignore que l’exercice physique prévient de nombreuses maladies et intervient également dans le traitement de maladies comme le diabète, l’ostéoporose, la bronchite chronique, la récidive du cancer du sein et du côlon. Seules 28 % des personnes interrogées disent pratiquer une activité sportive régulière.

 

« Dans le traitement du diabète, l’activité physique a une efficacité semblable à celle des médicaments », rappelle le Dr Boris Hansel, endocrinologue et diabétologue à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière (Paris)

Dans la prévention et le traitement des cancers, les internautes citent l’arrêt du tabac (72 %) et une bonne alimentation (67 %). La pratique d’une activité physique ne vient qu’en troisième position (58 %). « Lorsqu’on compare le nombre de personnes qui répondent « arrêter de fumer » et « activité physique », il n’y a que 15 % de différence. Je pensais que l’écart aurait été plus grand ! », se félicite le Dr Laure Copel, oncologue au département de soins de support à l’Institut Curie (Paris). La spécialiste souligne par ailleurs que le « seul moyen de prévention et de traitement prouvé contre la fatigue induite par les traitements est l’activité physique ».

Autre exemple avec l’ostéoporose. Le Dr Erick Legrand, rhumatologue au CHU d’Angers, regrette que le grand public ne fasse pas suffisamment le lien entre « la bonne santé du squelette et l’activité physique ». « Certains pensent même qu’elle est déconseillée car elle pourrait, selon eux, être source de fractures ou de douleurs. Ce qui est faux : si elle est pratiquée correctement, c’est-à-dire adaptée à l’âge et à la santé du patient », corrige le médecin.

Et la liste des bénéfices de l’activité physique est encore longue : elle agit également sur l’obésité et le syndrome métabolique, le mal de dos, les états dépressifs, la maladie d’Alzheimer, l’espérance de vie, la vie sexuelle, etc.

Un remboursement pour les patients en ALD.

Jean-Pierre Davant, président honoraire de la Mutualité française et PDG de l’IMAPS (société créée par le mouvement mutualiste pour faire valoir le sport au service de la santé), propose notamment que l’activité physique soit prise en charge pour les patients en ALD, « au moyen d’une participation de 150 euros par an des régimes obligatoires et complémentaires, aux frais liés à la pratique d’une activité encadrée pour raisons médicales ». « Cela permettrait non seulement de sauver des vies, d’améliorer la santé de ces patients mais aussi de réaliser des économies substantielles. Ne serait-ce que pour trois affections, le cancer, le diabète et l’insuffisance respiratoire chronique grave, nous avons calculé que cette mesure permettrait une économie de 56,2 millions d’euros par an pour notre système de soins », précise-t-il en espérant que les nouveaux ministres de la Santé et du Sport traduiront cette proposition dans les faits.

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Consommer des légumes sans matières grasses empêche l’absorption de composés bénéfiques.

Les fruits et légumes contiennent des pigments appelés caroténoïdes. Une fois digérés, la plupart d’entre eux jouent un rôle vitaminique dans notre organisme en permettant la synthèse de vitamine A. Ils jouent aussi un rôle antioxydant et pourraient diminuer le risque de certaines maladies.

On connait le plus souvent la lutéine, le bêta-carotène, le lycopène et la zéaxanthine.

Il a déjà été mis en évidence que l’absorption des caroténoïdes chez l’homme est améliorée en présence d’une matière grasse.

 

Des chercheurs Américains ont mené une expérience sur 29 personnes qui ont reçu à différentes occasions une salade identique mais assaisonnée différemment : soit avec du beurre (riches en acides gras saturés), soit avec de l’huile de colza (riche en acides gras monoinsaturés), soit avec de l’huile de soja (riche en acides gras polyinsaturés). La quantité de matière grasse pour chaque source de graisses a été de 3, 8 et 20 gr dans le but de comparer l’impact du type de graisse sur l’absorption des caroténoïdes d’une part et l’impact de la quantité de graisse d’autre part.

 

Résultat : l’absorption des caroténoïdes a été excellente avec l’huile de colza dès 3 gr et sans différence notable avec la dose de 20 gr. A contrario il faut un apport plus élevé de beurre ou d’huile de soja pour obtenir une bonne absorption des caroténoïdes. Les chercheurs conseillent donc plutôt les huiles riches en acides gras monoinsaturés pour l’assaisonnement. Il s’agit typiquement des huiles d’olive et de colza. Ils rappellent également que la consommation de végétaux sans matière grasse engendre une très faible absorption des caroténoïdes bénéfiques pour la santé.

 

Référence : Shellen R. Goltz, Wayne W. Campbell, Chureeporn Chitchumroonchokchai, Mark L. Failla, Mario G. Ferruzzi. Meal triacylglycerol profile modulates postprandial absorption of carotenoids in humans. Molecular Nutrition & Food Research, 2012; 56 (6).

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Pour le professeur Arnaud Basdevant , chef du service de nutrition de l’hôpital de la Pitié Salpêtrière, « l’alternative aux régimes est simple : trouver un équilibre alimentaire sans bannir tous les aliments qui pourraient faire grossir, et surtout bouger au quotidien, même dans les gestes les plus courants. » Ce médecin observe depuis plusieurs années la chaine de soin, ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas dans la prise en charge de l’obésité. Soulignant l’importance des associations de patients, il estime que le travail avec ces dernières a permis d’avancer sur 3 points :

  • les inégalités sociales et la difficulté pour certains d’accéder aux traitements.
  • la question de la stigmatisation, de la discrimination voire du harcèlement des personnes en surpoids, et ce dès la petite école.
  • la vente de médicaments amaigrissants avec fausses promesses ou les risques induits par des régimes spécifiques à plus ou moins long terme.

Il ajoute que « l’IMC ne veut pas dire grand chose individuellement, et qu’il serait plus judicieux de calculer la masse grasse et la masse maigre…… »

Ce qui a évolué positivement, c’est le rapprochement entre les disciplines et l’interconnexion entre les différents professionnels médicaux, qui ont bien conscience que la question de la condition physique est cruciale pour la santé. »

Pour le Dr Avronsart, médecin du sport, « quand on propose une activité physique, il faut qu’elle soit attrayante, et que les patients aient envie de la pratiquer régulièrement et dans la durée. »

C’est ce que propose Nicolas PABA CAMPI, le coach sportif du réseau …..

A la notion d’exercice physique, doit désormais se substituer celle d’activités physiques et sportives (APS), qui englobent l’ensemble des activités humaines non sédentaires et offrent à tout un chacun une large palette de choix pour se maintenir en forme au quotidien.

Pour le Dr CHAPELOT, professeur en activité physique et nutrition,  » il est désormais important de donner aux citoyens les moyens de cette ambition, que ce soit par une éducation précoce à l’activité physique, par l’accessibilité à des structures où pratiquer, par l’incitation tout au long de la vie ou encore par la présence de professionnels pouvant programmer, encadrer et évaluer ces activités physiques. »

C’est presque la définition de Nicolas PABA CAMPI, le coach sportif du réseau ROSA branche biterroise, qui en plus de vous accueillir dans la bonne humeur, vous propose 2 entrainements hebdomadaires en salle spécialement réservés aux personnes obèses et /ou en surpoids. Une marche collective hebdomadaire le long du canal du midi et des cours individuels d’Aquagym sont également organisés. Pour ceux qui le désirent, Nicolas Paba Campi est également coach personnel.

Si vous souhaitez plus d’informations, n’hésitez pas à le contacter au 06 83 33 05 85

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Une vingtaine d’agriculteurs, sur une zone plus ou moins comprise dans un rayon de 80 km autour de Béziers, se sont regroupés en association pour une vente directe au public.

Ces agriculteurs respectent les saisons, la tradition et l’environnement sur des exploitations à taille humaine.

Ensemble, ils ont mis sur pied un point de vente collectif pour leurs produits.

A la sortie Est de Béziers (sur la commune de Villeneuve), la boutique propose à la vente : des fruits et des légumes, du miel, des oeufs, des olives et de l’huile, des produits laitiers et des fromages de brebis, de chèvre et de vache, de la viande d’agneau, de boeuf, de canard, de porc, de veau et des volailles.

Les produits sont garantis sans OGM ni pesticides.

Chacun apporte ses produits et doit assurer une permanence pour l’accueil et le travail dans le magasin.

On va tester et on vous en reparle ….

Si vous avez testé, n’hésitez pas à nous faire partager votre expérience …

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ADEVIe Santé ; AGF santé ; ALPTIS assurances ; APRIL ; AREVA ; ASIA Santé ; AUDIENCE ; AXA ; Caisse de prévoyance mulhousienne ; CEGEMA ; COASIA Santé ; Complémentaire santé crédit agricole ; Crédit mutuel ; EOVI ; EXISTENCE ; Family Santé ; GMF ; Generali ; GROUPAMA ; Harmonie Santé Plus ; MAAF ; MACSF ; MCA ; MEDERIC ; Ménages prévoyants ; MGPAT ; MMA ; MNH des hôpitaux ; MNT ; MSA ; Mutuelle de la gendarmerie ; Mutuelle de la RATP ; Mutuelle de la Poste ; Mutuelle des Etudiants ; Mutuelle des Douanes ; Mutuelle des Pays de Vilaine ; Mutuelle du rempart ; Mutuelle française du Doubs ; Mutuelle générale ; Mutuelle nationale militaire; Mutuelle Santé Vie ; Mutuelle Santé Plus ; Mutuelle Saint Christophe ; Mutuelle VAUBAN ; MYRIAD MAJOR; NOVIA Assurances ; PACIFICA ; PREVANOR ; RADIANCE ; RELEYA ; SMEREP ; SWISS LIFE ; UNIO ; UNION ; ZENITH …… etc.

Bien sûr, pour chacune de ces complémentaires et mutuelles, tous les contrats ne prennent pas en charge les consultations diététiques. Il faut donc vérifier pour savoir si le vôtre les prend en charge.

Si votre complémentaire ou mutuelle prend en charge les consultations de diététique et que je ne l’ai pas cité, n’hésitez pas à nous en faire part.

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Le Poids et le Moi, de Bernard Waysfeld

L’intérêt principal du livre de Bernard Waysfeld est que son auteur est médecin, et complète l’approche psychologique avec une approche organique. Cependant, si l’anorexie et la boulimie sont évoqués, c’est sur l’obésité que l’auteur s’attardera le plus, en particulier à travers une longue et constante charge contre les régimes restrictifs.

Si, comme pour l’anorexie ou la boulimie, il n’y a pas de remède magique contre l’obésité, les régimes restrictifs sont en effet présentés comme, en plus d’être une torture passée l’euphorie des premiers kilos perdus, inefficaces et même néfastes. Non seulement manger moins pour manger moins réduit aussi les apports nutritionnels indispensables (vitamines, minéraux, …), mais de plus l’organisme ne fait pas la différence entre régime volontairement auto-infligé et famine, et s’empressera par conséquent, une fois l’alimentation revenue à la normale, de récupérer les kilos perdus… avec un bonus, pour pouvoir faire face à la prochaine « pénurie ».

L’auteur est de plus en plus explicite sur le sujet au fur et à mesure du texte : le succès de ces régimes n’est pas seulement dû à l’absence, pour l’instant, de thérapie idéale et à leur trompeuse efficacité à court terme, mais aussi au culte de la maigreur de notre société, et du racisme anti-gros qui l’accompagne (quand on y pense, le racisme anti-gros est d’ailleurs l’un des plus confortables qui soient : en un simple coup d’oeil, il permet de « déduire » qu’une personne est gourmande, oisive, insouciante etc…, nous renvoyant par effet de miroir une image flatteuse de nous-même en fourmi travailleuse, courageuse et altruiste). Le thérapeute punit le patient d’être gros, et le patient, sous l’influence des regards subis au quotidien, accepte de s’autoflageller -« une majorité de sujets obèses (ou souffrant de troubles du comportement alimentaire) ressent une immense culpabilité qui justifie, à leurs yeux, qu’on les punisse en les affamant, car ils trouvent ainsi une forme de soulagement, d’absolution »-. Un autre avantage douteux de cette approche morale est que, si le traitement échoue, c’est forcément la faute du patient (« Dans les camps de concentration, il n’y avait pas d’obèses, n’est-ce pas? Vous reviendrez me voir quand vous aurez perdu 10 kilos! » auraient parfois asséné certains médecins… c’est bien connu, l’état de santé des détenus des camps de concentration était on ne peut plus enviable).

Accepter d’écouter le patient sur le long terme, pour détecter une éventuelle origine qui n’aurait rien d’organique : la psychanalyse travaille de concert avec la diététique. Les influences principales de l’auteur semblent être Lacan et Ginette Raimbault, mais de nombreux cas cliniques illustrent ses propos. En ce qui concerne l’anorexie sont évoqués le refus de la féminité (« victoire » obtenue avec la diminution des formes -jamais suffisante- et l’arrêt des règles), l’ascétisme extrême (il est rappelé que les anorexiques ONT faim, la domination de la faim fait partie du sentiment de contrôle absolu du corps), le désir de satisfaire de façon distordue une attente supposée des parents, … On est toutefois plus dans l’esquisse que dans la clef interprétative ou thérapeutique magique, et des lectures complémentaires sont probablement indispensables pour approfondir l’approche analytique.

Le livre s’achève sur la présentation de tests, et de propositions thérapeutiques plus directes : le régime à l’envers (ne pas dire au patient ce qu’il ne doit pas manger mais ce qu’il DOIT manger, le fait de faire 3 repas par jour étant primordial à la fois d’un point de vue diététique -pas de faim=pas de grignotage- et social), couplé à l’écoute sur la durée pour discerner ce qui cause le problème et le faire saisir et accepter au patient…

L’approche est claire, riche, parsemée de suggestions bibliographiques. Certes on ne trouve pas la clef analytique du Mystère de l’anorexie/de la boulimie, mais cette lecture permet une approche plus informée des troubles de l’alimentation et rien n’empêche d’approfondir.

 

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72 patients ont eu une sleeve gastrectomy à la Clinique Jeanne d’Arc de Chinon par le Dr BUENOS entre Juin 2010 et Mai 2012.

Résultats de la Sleeve gastrectomy vers 1 an et demi des 9 patients revus et qui ont été opérés et pris en charge dans le réseau ROSA :

perte de poids moyenne à 18 mois de l’intervention par rapport au poids de début de prise en charge au sein du réseau ROSA Chinon : 35 kg (avec des extrèmes allant de 16,7 kg à 60,1 kg)

Au début de leur prise en charge au sein du réseau ROSA Chinon, le poids des patients allait de 95 kg à 175 kg

Au 18° mois post-opératoire, le poids des patients allait de 65 kg à 118,3 kg.

La patiente qui pesait 65 kg avait un poids initial de 96 kg ; celle qui pesait 118,3 kg avait un poids initial de 175 kg.

La plus importante perte de poids mesurée au dix huitième mois post-opératoire était de 60,1 kg pour une patiente pesant initialement 175 kg.

La perte de poids la moins importante mesurée au sixième mois post-opératoire était de 16,7 kg pour une patiente pesant initialement 135 kg.

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72 patients ont eu une sleeve gastrectomy à la Clinique Jeanne d’Arc de Chinon par le Dr BUENOS entre Juin 2010 et Mai 2012.

Résultats de la Sleeve gastrectomy vers 1 an des 11 patients revus et qui ont été opérés et pris en charge dans le réseau ROSA :

perte de poids moyenne à 12 mois de l’intervention par rapport au poids de début de prise en charge au sein du réseau ROSA Chinon : 36,2 kg (avec des extrèmes allant de 18,6 kg à 63,1 kg)

Au début de leur prise en charge au sein du réseau ROSA Chinon, le poids des patients allait de 95 kg à 175 kg

Au 12° mois post-opératoire, le poids des patients allait de 57,6 kg à 119,6 kg.

La patiente qui pesait 57,6 kg avait un poids initial de 98 kg ; celle qui pesait 119,6 kg avait un poids initial de 175 kg.

La plus importante perte de poids mesurée au douzième mois post-opératoire était de 63,1 kg pour une patiente pesant initialement 165 kg.

La perte de poids la moins importante mesurée au douzième mois post-opératoire était de 18,6 kg pour une patiente pesant initialement 96,1 kg.

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72 patients ont eu une sleeve gastrectomy à la Clinique Jeanne d’Arc de Chinon par le Dr BUENOS entre Juin 2010 et Mai 2012.

Résultats de la Sleeve gastrectomy vers 9 mois des 17 patients revus et qui ont été opérés et pris en charge dans le réseau ROSA :

perte de poids moyenne à 9 mois de l’intervention par rapport au poids de début de prise en charge au sein du réseau ROSA Chinon : 31,4 kg (avec des extrèmes allant de 17,3 kg à 59 kg)

Au début de leur prise en charge au sein du réseau ROSA Chinon, le poids des patients allait de 87,3 kg à 175 kg

Au 9° mois post-opératoire, le poids des patients allait de 62,5 kg à 126 kg.

La patiente qui pesait 62,5 kg avait un poids initial de 87,3 kg ; celle qui pesait 126 kg avait un poids initial de 175 kg.

La plus importante perte de poids mesurée au 9° mois post-opératoire était de 59 kg pour une patiente pesant initialement 165 kg.

La perte de poids la moins importante mesurée au 9° mois post-opératoire était de 17,3 kg pour une patiente pesant initialement 135 kg.

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72 patients ont eu une sleeve gastrectomy à la Clinique Jeanne d’Arc de Chinon par le Dr BUENOS entre Juin 2010 et Mai 2012.

Résultats de la Sleeve gastrectomy vers 6 mois des 26 patients revus et qui ont été opérés et pris en charge dans le réseau ROSA :

perte de poids moyenne à 6 mois de l’intervention par rapport au poids de début de prise en charge au sein du réseau ROSA Chinon : 32,3 kg (avec des extrèmes allant de 13,6 kg à 63,2 kg)

Au début de leur prise en charge au sein du réseau ROSA Chinon, le poids des patients allait de 84.6 kg à 185 kg

Au 6° mois post-opératoire, le poids des patients allait de 60,7 kg à 135,3 kg.

La patiente qui pesait 60,7 kg avait un poids initial de 98 kg ; celle qui pesait 135,3 kg avait un poids initial de 175 kg.

La plus importante perte de poids mesurée au sixième mois post-opératoire était de 63,2 kg pour une patiente pesant initialement 180 kg.

La perte de poids la moins importante mesurée au sixième mois post-opératoire était de 13,6 kg pour une patiente pesant initialement 135 kg.

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