En cas de refus d’un aliment, les parents sont invités à persévérer et à proposer le légume (en l’occurrence) au moins huit fois. Il sera alors accepté, et durablement. Or la plupart des mères jette l’éponge après trois tentatives. Et ce rejet peut « tatouer » les générations futures.
L’association entre une flaveur nouvelle et une ancienne, appréciée (comme le sucre), peut « faire passer en douceur la pilule », tout comme un contexte affectif chaleureux, ou un modèle (parent ou fratrie) qui mange avec plaisir. Enfin, la valeur plaisir de l’aliment « test » chute si une récompense est offerte en cas d’ingestion…
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On sait que le pourcentage d’enfants « difficiles » augmente à partir de l’âge de la diversification alimentaire, mais surtout autour de 2 ans, et diminue à partir de 6 ans.
La période de 2 à 6 ans paraît donc peu favorable à l’introduction de nouveaux aliments. Et mieux vaut tenter une grande diversité d’expériences avant 2 ans. Le répertoire culinaire de l’adolescence, puis de l’âge adulte en dépend …..
Les réactions à la présentation de nouveaux aliments, légumes en particulier, entre 8 et 15 mois, seront d’autant plus positives que le nourrisson aura eu l’occasion de goûter un grand nombre d’aliments nouveaux entre 5 et 8 mois.
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Comme les fruits et légumes, les produits de la pêche sont saisonniers. Mis à part des poissons comme le hareng et la sardine, disponibles toute l’année, la plupart des espèces se raréfient lors des périodes de reproduction, de ponte et de fraie. Respecter cette saisonnalité aide à préserver les stocks de poissons. De plus, elle nous garantit d’avoir des produits plus goûteux et vendus à des prix raisonnables.
Ainsi pas de mulet ou de sole entre février et juin, ni de maquereau et de turbot en juillet.
En septembre, on peut se lâcher sur le Saint Pierre, le bar, l’araignée de mer, la dorade grise, le maigre ou encore la sole.
Vous n’avez pas de calendrier des poissons de saison à portée de panier ? Il suffit de faire attention à la taille. Éviter les poissons trop petits, ce sont souvent des juvéniles, indispensables au renouvellement de l’espèce. À la vente, ils doivent avoir des tailles minimales imposées par la réglementation européenne. Encore que ces tailles ne garantissent pas systématiquement que l’animal se soit reproduit au moins une fois. Exemple : le bar doit avoir atteint 36 cm pour pouvoir être vendu, et 41 cm pour être mature. Le mieux est d’acheter uniquement des poissons adultes.
En cas de doute, demander au poissonnier.
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Plusieurs indices aident à repérer un poisson frais : un œil brillant et clair, des branchies rougeâtres, la peau humide, le ventre bombé, les écailles brillantes et solidement attachées.
Au toucher, la chair doit être ferme et, au nez, le poisson frais ne dégage pas d’effluves douteuses. Si le poisson a été recouvert de glace avec la tête qui dépasse c’est qu’il n’est peut-être pas le plus frais de l’étal.
Pour les filets, notamment de sole, vérifier que la chair n’est pas jaunie ;
Pour les crustacés, assurez-vous que les coques sont bien fermées.
À la maison, le poisson ne devrait pas être conservé plus d’un jour ou deux, entre -1° et + 2°, emballé dans un film plastique ou placé dans un contenant hermétique. S’il est très frais, on peut aussi le surgeler après l’avoir vidé et lavé, et enfermé dans un sac plastique étanche.
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Pour notre santé, c’est bien connu : il faut manger du poisson au moins deux fois par semaine. Principal motif : ses excellentes protéines, et, dans le poisson gras des mers froides (maquereau , sardines), les fameux acides gras oméga trois qui ont un effet protecteur vis-à-vis des maladies cardio-vasculaires, voire de certains cancers. Le poisson fournit également des minéraux, tels que le phosphore et des oligo-éléments comme l’iode, le zinc, le fluor.
À raison de 35 kg par personne et par an, les Français sont au troisième rang européen des consommateurs de produits de la mer.
Sur les étals, près d’un poisson et d’un crustacé sur deux (voir autour de 90 % pour le saumon) provient de l’aquaculture. L’élevage compense la baisse des stocks de poissons sauvages et selon certains, il est gage de contrôle sanitaire des poissons.
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C’est la passionnante question soulevée par une revue d’études internationales (cf lien ci dessous).
On en est pas encore au vaccin, loin de là, mais c’est une piste intéressante aussi pour l’approche psy dans la notion d’acceptation de soi: Mon problème a peut être tout simplement une origine biologique, je n’ai pas à m’en culpabiliser mais à chercher les solutions avec l’aide de la communauté de ceux qui en souffrent et des soignants.
http://chronimed.over-blog.com/article-l-obesite-est-elle-une-maladie-infectieuse-108787919.html
Dhurandhar NV et coll. : Is obesity caused by an adenovirus? Expert Rev Anti Infect Ther., 2012 ; 10 : 521-524.
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En quelques mois, le territoire français s’est couvert de plus de 1500 entrepôts auprès desquels les clients viennent retirer leurs achats commandés quelques heures plus tôt sur le site Internet du distributeur. Le drive présente le double avantage de faire gagner du temps et d’éviter les tentations. Stricte observation de la liste des courses et répression de la dépense d’impulsion en magasin, voilà qui convient bien à la nécessaire maîtrise du budget familial pour les produits courants.
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Il arrive fréquemment que l’on souhaite avoir l’avis ou les conseils d’autres membres du réseau, ou que l’on souhaite s’exprimer sur un sujet particulier, sans trouver l’endroit sur le site pour le faire.
Cet article permettra aux patientes et patients du réseau de le faire.
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D’après le magazine 60 millions de consommateurs de Septembre 2012, le budget alloué à l’alimentation a augmenté de plus de 3% sur l’année écoulée.
Du fait de la crise économique, l’alimentation est un poste susceptible d’être soumis à un arbitrage serré de la part des familles.
Fruits : + 9.4 % ; légumes : + 6.7 % ; boissons : + 4 à 5 % ; et café/thé : + 5.4 % , ont rudement gonflé le ticket de caisse depuis un an.
Au niveau du réseau ROSA, pour les fruits et légumes frais, de saison, issus de l’agriculture biologique, nous avons adopté le panier hebdomadaire de Thierry COLLIGNON pour lesquels les prix ne devraient pas évoluer, à savoir:
12 euros pour le « petit panier » (2 types de fruits et 5 légumes compatibles(soit environ 9 à 10 kg de fruits et légumes de saison)) ; 12 euros pour le panier « vitamines » (fruits pour consommation directe, jus et compotes) et 20 euros pour le panier « familial » (double du petit panier).
Informez vous auprès de Marie Laure MABILAT (diététicienne du réseau) pour plus d’informations .
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