traduction du site en :

Evénements

Décembre  2024
Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
   
  1
2 3 4 5 6 7 8
9 10 11 12 13 14 15
16 17 18 19 20 21 22
23 24 25 26 27 28 29
30 31  

Selon des experts des ressources en eau, l’humanité devra apprendre à se passer de viande d’ici 2050.

Car manger un steak revient indirectement à consommer beaucoup trop d’eau. Des milliers de litres servent chaque jour à produire la nourriture pour le bétail.

Selon les scientifiques du Stockholm international water institute (SIWI), adopter un régime végétarien est une des possibilités pour réduire la consommation d’eau : ils ont calculé qu’un régime carné utilise dix fois plus d’eau, les déperditions étant fortes entre le champ de céréales et l’estomac de la vache. « 70% de l’eau mondiale est utilisée par l’agriculture, et cela devrait s’accroître avec les deux milliards d’humains en plus d’ici à 2050, augmentant la pression sur les ressources en eau et sur les terres arables », indiquent-ils.

Les scientifiques rappellent que « Selon les Nations unies, il faudra augmenter la production alimentaire de 70% d’ici au milieu du siècle. Cela mettra encore plus de pression sur les ressources en eau alors que nous en aurons aussi besoin pour répondre à la demande en énergie, qui devrait augmenter de 60% dans les trente prochaines années, et produire de l’électricité pour les 1,3 milliard d’hommes qui en sont actuellement privés. »

Il va donc falloir faire un choix: manger de la viande ou produire de l’électricité grâce à la force hydraulique, et des compromis en partageant équitablement les ressources avec les pays en forte croissance démographique. « Nous allons avoir besoin d’une nouvelle recette pour nourrir le monde », conclut l’étude.

Articles en rapport

Li Jinsui ne manque pas d’ambition. Il fait fièrement visiter l’usine d’insectes pour laquelle il a déposé sept brevets et investi l’équivalent de 250 000 euros de sa poche. Sur les hauteurs de Kunyang, cité satellite de Kunming, la capitale de la province du Yunnan (sud-ouest), la production a réellement débuté en 2009.

Aucun de ses invités n’échappe à un plat de vers de bambou, affichés à son catalogue. La liste ne s’arrête pas là. Son entreprise, Yunnan Insect Biotechnologies, propose larves séchées, poudre de protéine extraite d’exosquelettes d’insectes et insectes en entier, le tout destiné à la consommation humaine et animale.

Li Jinsui, un précurseur ? Fort probable. De plus en plus d’experts de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) voient dans le développement de l’entomophagie un substitut à la viande ou au poisson. Et une alimentation meilleur marché pour les élevages animaliers, notamment les fermes aquacoles.

Les qualités nutritionnelles – protéines, minéraux, etc. – des insectes sont importantes. Qui plus est, ils présentent un bien meilleur rendement que le bétail traditionnel. Ils ont également besoin de beaucoup moins d’eau. Actuellement, 70 % environ des terres arables et 9 % de l’eau douce sont consacrés à l’élevage, responsable en outre de 18 % des émissions de gaz à effet de serre.

M. Li a travaillé douze ans pour lancer son usine. Il est à l’avant-garde d’une industrie chinoise balbutiante et a reçu l’aval des autorités locales. « Le marché est prêt », dit-il. « Il y a pénurie de protéines dans le pays. Il faut en passer par l’importation de poissons du Chili ou du Pérou, explique cet homme de 45 ans. Et pour les humains, le savoir manque sur le potentiel des insectes comme source de nutrition. »

« Les conditions économiques sont dures pour les habitants de la région, tous ne peuvent pas acheter du boeuf. Même élever un porc nécessite de le nourrir et de patienter pendant deux ans, c’est long et, à leur échelle, onéreux », explique Guo Yunjiao, professeur de biologie à l’institut de recherche sur les insectes de l’université locale.

Articles en rapport

Après le teasing paru il y a 2 jours, place à la version complète.

Cliquez sur le lien ci-dessous pour y accéder :

les alimenteurs français (version complète)

Articles en rapport

Pourquoi et comment les rats deviennent-ils accros aux chocolats M&M ?

Selon une équipe de recherche américaine, la réponse se loge dans le néostriatum, une région du cerveau que l’on pensait plutôt utilisée pour le mouvement.

Dans l’expérience qu’elle a tentée, l’équipe du Pr Alexandra Difeliceantonio (université du Michigan, Ann Arbor) a administré une drogue directement dans le néostriatum des rats qui, du même coup, se sont empiffrés de M&M et en ont consommé trois fois plus qu’habituellement. Dès que les rats commencent à déguster les friandises, il se produit une sécrétion d’enképhaline dans le néostriatum.

Cette sécrétion ne serait pas directement responsable de la surconsommation mais du désir augmenté et d’une envie absolument irrésistible pour la substance, en l’occurrence les petits chocolats ronds de toutes les couleurs.

Les auteurs espèrent ainsi pouvoir expliquer les formes compulsives que l’on observe chez l’humain, qui concernent toutes sortes de substances, le chocolat, l’alcool (binge drinking), …etc, consommés de façon frénétique

Articles en rapport

Voici une version France de la problématique des alimenteurs (ces industries alimentaires qui nous mentent volontairement ou par omission).

le court documentaire présenté ci-dessous (2 minutes) est destiné à vous mettre en appétit et vous donner envie de découvrir le documentaire complet qui lui fait une heure et que je mettrai prochainement en ligne.

Cliquez sur le lien ci-dessous pour le découvrir :

les alimenteurs français (Teasing)

Réagissez et commentez tout de suite si vous le souhaitez, ou attendez la version longue pour le faire …..

Articles en rapport

Voici le descriptif du panier familial à 20 euros, constitués de fruits et légumes bio, mûrs, de saison que nous propose Thierry Collignon :

Cliquez une fois sur la première image, puis déplacez vous avec les flèches situées sur le côté. Quand vous avez terminé, appuyez sur Esc (Echap)

Articles en rapport

Voici le détail du panier vitamine à 12 euros du 10 octobre 2012 :

Articles en rapport

Des vaches qui mangent de l’herbe, du lin, de la luzerne au lieu du maïs et du soja, c’est bon pour l’environnement, l’éleveur et le consommateur.

Les vaches figurent parmi les grands pollueurs de la planète. Leurs éructations et flatulences, seraient responsables de près de 20% des émissions mondiales de méthane, un gaz à effet de serre qui contribue fortement au réchauffement de l’atmosphère.

Mais une solution pourrait venir d’un meilleur régime alimentaire. A l’initiative de l’association Bleu-Blanc-Cœur, 450 agriculteurs ont donné à leurs vaches laitières un mélange d’herbe, de graines de lin et de luzerne au lieu des traditionnels aliments à base de soja ou de maïs. Alors que le régime à base de soja ou de maïs est riche en acides gras oméga-6, leur nouvelle alimentation apporte des oméga-3 en quantité. Résultats : les éructations diminuent et les bêtes produiraient 12% de méthane en moins par litre de lait.

Depuis le début de l’expérience, il y a dix ans, l’association estime avoir économisé plus de 588 tonnes de méthane, soit l’équivalent de 12356 tonnes de gaz carbonique. Chaque quantité de méthane non émise permet à l’exploitant de bénéficier d’un bonus carbone comptabilisé sur un compte épargne. Les éleveurs ont également constaté que les animaux étaient plus fertiles.

L’association vise l’objectif de convertir 5000 éleveurs laitiers d’ici 2014 à ce nouveau mode d’alimentation.

Pour le consommateur, il y a aussi des avantages puisque les laitages issus de cette production ont de meilleures qualités nutritionnelles, avec moins d’oméga-6 (pro-inflammatoires) et plus d’oméga-3. Ces laitages se rapprochent donc, dans leur profil nutritionnel, des laitages bio et permettent de se rapprocher du ratio oméga-6/oméga-3 favorable à la santé.

En 2012, cette démarche a obtenu la reconnaissance du ministère de l’Ecologie et du Développement Durable. L’ONU l’a également reconnue comme alternative agricole durable, permettant de réduire les émissions de gaz à effet de serre dans le cadre des accords internationaux de Kyoto.

Articles en rapport

  • Pas d'article en relation

A partir du lundi 19 novembre 2012, le réseau Obésité Méditerranée, branche bitérroise du réseau ROSA, ouvre 2 créneaux horaires supplémentaires de cours collectifs de gym :

  • le lundi soir de 19 h 30 à 21 h 30
  • le dimanche matin de 9 h à 11 h

Ces cours auront lieu au Lionel Club, Rue Antoine Fabre à Béziers.

Le Lionel Club est situé juste en face de la médiathèque.

Les personnes intéressées par ces nouveaux créneaux horaires sont priées de contacter le coach sportif Nicolas Paba Campi au 06 83 33 05 85.

Sportivement votre ….

Articles en rapport

Huit Français sur dix s’inquiètent de la présence d’OGM dans leur alimentation, selon un sondage Ifop pour Dimanche Ouest France, réalisé après la publication de l’étude controversée contre les organismes génétiquement modifiés.

Les Français sont 79% à se dire « très inquiets » ou « plutôt inquiets », soit 11% de plus que lors du dernier sondage réalisé en décembre 2011 et 6% de plus que lors de la première mesure effectuée en 2000 par l’institut (73%).

Les jeunes de moins de 35 ans, bien que majoritairement inquiets (71%), le sont un peu moins que leurs aînés (83%).

L’Ifop souligne par ailleurs qu’on ne constate pas de différence entre les réponses des femmes et des hommes, alors que, selon l’organisme, « ces derniers sont en général moins sensibilisés et angoissés que les femmes sur les enjeux de santé ».

Articles en rapport