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Informations générales

Extrait du livre de Denis DOUCET, « le principe du petit pingouin » :

 » Ce sous-titre peut paraître à première vue contradictoire avec ce que j’avance dans ce livre, mais il n’en est rien.

Je souligne ici un message classique de Big Mouth que plusieurs ont mal intégré ou naïvement avalé tout rond : « La fin justifie les moyens. »

Ainsi, beaucoup tiennent tellement à un objectif, le veulent si fort, qu’ils sont prêts à y perdre leur santé, à tout sacrifier et à risquer d’y perdre lourdement au change. Je dis oui à la prise de risques, à l’aventure, mais mesurez bien les impacts possibles et assurez-vous de pouvoir en assumer les conséquences. Une bonne formule consiste à tenter d’équilibrer votre objectif selon vos ressources, vos limites, le contexte du moment, le calendrier et… la totalité de vos besoins réels en jeu.

La suite (après cette précision)………….Demain.

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Extrait du livre de Denis DOUCET, « le principe du petit pingouin » :

 » Cessez de confondre les mots «essentiel», «important» et «urgent». Pour qui est-ce essentiel, au juste? Dans quel sens est-ce important? Qui a dit que c’était absolument urgent, et cette personne a-t-elle raison ?

Vous connaissez sans doute cette petite expérience d’un professeur de l’université de Harvard qui se présenta un jour devant une classe avec un bocal transparent en main. Je vous en donne ici une version personnalisée et remaniée, que j’ai pris la liberté d’adapter à mon propos.

Ce professeur, donc, versa d’abord dans ce bocal des pierres jusqu’au bord. Alors qu’il demandait à ses étudiants si le bocal était plein, tous répondirent oui, puisque aucune autre pierre ne pouvait être ajoutée. Puis, il versa beaucoup de sable dans le même bocal, à nouveau jusqu’au bord.

Il reposa la même question au groupe d’étudiants, plus réservés cette fois dans leurs réponses ; certains croyaient que oui et d’autres non juste pour ne pas se faire piéger une seconde fois. Finalement, cet ingénieux professeur versa une bonne quantité d’eau dans le bocal, le sable permettant d’en absorber.

Devant les yeux écarquillés de ses étudiants, il leur rappela que les pierres représentent ce qui est essentiel dans la vie. Voilà pourquoi on doit les placer en premier, sinon il ne resterait plus de place. Le sable correspond aux choses importantes, donc on ne peut attendre à la fin puisqu’elles réclament notre attention. L’eau rappelle, quant à elle, qu’on peut toujours s’occuper d’une urgence ; il restera toujours un peu de place pour ce genre de chose de dernière minute.

Gardez en mémoire cet exemple, il vous rendra service quand l’ordre des choses à faire deviendra confus dans votre esprit. De nos jours, la plupart des gens traitent tout comme des urgences ; voilà pourquoi ils passent à côté des choses essentielles de la vie et tardent à s’occuper de ce qui est véritablement important.

Plus vos essentiels demeureront vivants, moins vous serez à risque.

La suite (de ce live en « pierre ») ………..Demain.

 

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Extrait du livre de Denis DOUCET, « le principe du petit pingouin » :

La vraie liberté, ce n’est pas de pouvoir vous acheter tout ce qui vous passe par la tête, comme aimerait vous le faire croire Big Mouth. C’est plutôt quand vous prenez une décision, que vous la transformez en action et en assumez le résultat. Là, vous êtes libre !

La suite ………..Demain.

 

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Extrait du livre de Denis DOUCET, « le principe du petit pingouin » :

 » La principale raison pour vous méfier des préjugés, c’est que vous allez en être l’objet vous aussi. Ce que vous colportez de faussetés commodes pour vous défouler sur le dos des autres, ces derniers le font sur votre compte en votre absence.

Il suffit de prendre l’exemple des préjugés à l’endroit de ceux qui sont en congé de maladie pour raison émotionnelle. Une partie de leurs collègues les traitent de paresseux, de travailleurs qui veulent abuser de la situation, de lâches. Big Mouth en est ravi, car c’est exactement le genre de situation qui divise, donc qui rend les gens plus malléables, plus isolés les uns des autres.

Ce préjugé ne se nourrit pas seulement de l’ignorance, mais aussi et surtout de l’évacuation des frustrations. En effet, ceux qui expriment ce genre de préjugés s’imposent de rentrer au travail chaque matin, alors qu’ils n’en peuvent plus au fond d’eux-mêmes et qu’ils sont aigris. Cela les met en colère de savoir qu’un collègue restera deux mois chez lui, payé, alors qu’eux devront se présenter aux « portes de l’enfer» comme avant, à ce travail qu’ils n’aiment plus, qui leur répugnent. C’est leur envie qui les ronge, au fond, et qu’ils vomissent dans une kyrielle de faussetés irréfléchies sur le compte du collègue malade. Voilà une belle occasion ratée de se solidariser contre le caractère inhumain de nos environnements de travail.

Au contraire, les gens baissent les bras, se convainquent eux-mêmes qu’on n’y peut rien. C’est la démission, la résignation !

Vous vous rappelez ces rats de laboratoire en cage ? Si vous surpeuplez la cage et placez les rats dans des conditions contraires à leurs besoins territoriaux, ils vont finir par s’entretuer. Il faut bien qu’ils évacuent leur inconfort ! Bien des milieux de vie commencent à ressembler à ces cages, selon ce que j’observe autour de moi.

La suite ………….Demain.

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Extrait du livre de Denis DOUCET, « le principe du petit pingouin » :

 » Vous l’avez vu depuis le début de ce livre, Big Mouth est un expert en tromperie, en diversion, et un illusionniste incomparable.

C’est pourquoi les sophismes, cette pseudo-logique qui n’en a que les apparences, sont sa spécialité. Il fait passer des clichés pour des évidences indiscutables, il prétend vouloir votre bien alors qu’il ne veut que votre acquiescement à ses demandes, il affiche une fausse complicité avec vos besoins, mais en fait, il veut autre chose.

Développez vos réflexes mentaux pour contrer toute tentative de vous assujettir à un discours unique, une version unilatérale des choses, une plaidoirie simpliste qui camoufle trop souvent un piège. Pratiquez l’autodéfense intellectuelle, terme emprunté à Normand Baillargeon dans son livre Petit cours d’autodéfense intellectuelle.

Demandez-vous : « Où veut-il en venir, au juste ? » Cela vous servira à bien des égards et à de multiples occasions.

La suite …………….Demain.

 

 

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Extrait du livre de Denis DOUCET, « le principe du petit pingouin » :

 » En réponse à cette dangereuse et vaine quête de la perfection à tout prix, cultiver et chérir même l’idée de l’imperfection du monde apporte une détente intérieure inestimable et aux effets antistress indéniables.

Profitez-en du même coup pour apprendre à intégrer vos limites, donnez-vous un rythme humain dans vos actions et faites-le respecter par les autres. Ni trop rapide pour ne pas vous essouffler, ni trop lent pour ne pas vivre en dessous de votre potentiel. Vous présentez des limites personnelles, mais cela ne doit pas être synonyme de vie trop rétrécie ; cela doit tout simplement vous inciter à tenir compte de vos imperfections personnelles, bien normales après tout.

Être imparfait ouvre la porte au pardon, à la déculpabilisation et, enfin, à la possibilité de pouvoir relâcher l’excès de vos efforts adaptatifs malsains et contre-nature à tout humain.

Ne fraternisons-nous pas mieux avec la race humaine quand elle est composée d’êtres normaux dont les qualités ne sont pas surdimensionnées et dont les défauts sont apparents, sans être si embarrassants que cela, après tout?

En un mot, soyez authentique – d’abord envers vous-même. Cela rapporte toujours à long terme face à ceux qui nous abordent avec considération (relation I-Thou). Vous serez alors traité comme une personne et vous leur rendrez la pareille, sans avoir à fournir d’efforts comme ont à le faire tous ceux qui arborent constamment une fausse image parfaite, lourde à porter tous les matins de leur pénible existence.

La suite (passionnante) …………..demain.

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Extrait du livre de Denis DOUCET, « le principe du petit pingouin » :

« Ce qui nous conduit tout naturellement à l’importance de vous sentir un, unifié, entier dans votre existence. Cela suggère de la cohérence interne, garante d’une solidité que Big Mouth aura grand-peine à déstabiliser.

C’est aussi un bon signe que votre état général reflète un bon équilibrage de la somme de vos besoins. Comme une équation mathématique où chaque variable a enfin trouvé sa juste place, en harmonie avec le reste.

Essence de l’être, unité et cohérence se supportent l’un l’autre dans une édification de Soi solidaire et inébranlable.

La suite …………….demain.

 

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Extrait du livre de Denis DOUCET, « le principe du petit pingouin » :

 » Au risque de me répéter, apprendre à distinguer l’essentiel d’une décision à prendre, de ce qui vous tient vraiment à cœur, de ce qui n’a pas de prix à vos yeux, devient vital si vous voulez éviter de vous faire détourner de votre voie par tout un chacun qui tente de vous amener sur des routes secondaires souvent insignifiantes ou pas du tout en lien avec vos véritables besoins.

C’est aussi un exercice profitable que de rester sur l’essentiel dans une conversation ou une analyse, afin que l’idée maîtresse qui vous anime ne se dissolve pas dans les mille et un commentaires des autres.

Vous en tenir à l’essentiel, c’est ne pas échapper ce qui compte, c’est vous rappeler ce qui valait la peine, c’est demeurer connecté à vous.

C’est d’ailleurs avec cette précaution en tête que j’ai délibérément opté pour écrire ce livre avec le moins de pages possible, afin de m’en tenir à l’essentiel. En effet, je rencontre trop de clients qui ont lu de savants bouquins de plusieurs centaines de pages dont ils n’ont malheureusement rien retenu de tangible dans leur existence et qui n’ont pas été capables d’extraire l’essentiel du message que ceux-ci renfermaient.

La suite ……………demain.

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Extrait du livre de Denis DOUCET, « le principe du petit pingouin » :

« Une autre manière de dire tout cela et à laquelle j’aime bien recourir consiste à faire la distinction entre ces quatre verbes non pas sous l’angle de la grammaire, mais sous celui de leur rôle respectif dans nos vies.

De nos jours, «avoir» évoque l’idée de propriété dans l’esprit de tout le monde. Avoir devient acquérir, acheter, posséder.

« Faire » s’est transformé en titre d’emploi. Que faites-vous dans la vie? La réponse devrait probablement coïncider avec votre identité : plombier, médecin, agent d’assurances, ménagère, etc.

«Paraître» parle de la gestion de votre image, un sujet que j’ai déjà abordé. C’est la partie qui fait référence à ce à quoi vous souhaitez ressembler, ce à quoi vous désirez être associé dans l’esprit des autres : calme, bon vivant, professionnel affairé, marginal, libéré, discret, leader, riche, belle, intellectuel, artiste, etc.

« Être », vous l’aurez deviné, est la dimension le plus en péril – presque en voie d’extinction, oserais-je écrire -, celle que vous négligez le plus souvent. Cela se rapporte à la manière dont vous éprouvez les choses, dont vous vous sentez.

Un exercice intéressant consiste à noter sur papier tout ce que vous aimeriez avoir, ce que vous aimeriez pouvoir faire et comment vous aimeriez paraître aux yeux des autres dans un monde idéal. Une fois cette liste établie, tentez de traduire chaque élément vers sa forme « être », en vous posant la question : « Qu’est-ce que ça changerait dans mes sentiments, dans la manière dont je me sentirais si je pouvais avoir ou faire ou paraître tel ou tel élément de ma liste ? » L’exercice en vaut la peine, car vous allez probablement découvrir des indices possibles de ce qui manque dans votre vie actuellement, non pas en réalisant à la lettre tout ce que vous avez écrit sur la liste, mais en créant des solutions de rechange simplifiées pour atteindre les mêmes buts sur le plan de l’être.

Par exemple, souhaiter posséder une maison plus grande pourrait traduire que vous aimeriez qu’on vous remarque, signe distinctif d’un certain statut social. Toutefois, est-ce ce dont vous avez vraiment besoin? Posez-vous la question honnêtement. Peut-être que d’afficher davantage votre originalité à travers vos idées, votre créativité, votre inventivité, l’expression de vos sentiments, ou en improvisant d’autres méthodes serait, en bout de ligne, plus proche de votre véritable besoin profond ici.

C’est dans le verbe être que vous allez le plus souvent découvrir vos besoins les plus importants, que vous êtes le plus proche de votre essence, de votre Soi. À chaque envie, à chaque désir, demandez-vous : « Qu’est-ce que ça va me permettre d’être ?» et attendez que le corps vous réponde ! L’exercice en vaut la peine. Bien des futilités vont s’évaporer, et le cœur de la personne que vous êtes va de plus en plus émerger, loin de l’emprise de Big Mouth.

La suite ………..Demain.

Dr BUENOS : Ce test fera bientôt partie de la prise en charge au sein du réseau ROSA. On voit bien par contre, que l’interprétation des résultats sera difficile ………..

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Extrait du livre de Denis DOUCET, « le principe du petit pingouin » :

 » Votre persona, un terme de Cari Gustav Jung, ne doit pas réglementer toute votre vie. Votre moi, ou ego, encore moins. Apprenez à remplacer l’individualisme par l’indivi- dualité-connexion. Cela signifie pour moi assumer et faire valoir qui vous êtes véritablement tout en demeurant profondément lié au caractère humain de votre vis-à-vis.

« L’équilibre est à mi-chemin entre les deux extrêmes », nous dit Bernard Werber. Simple mais juste. D’autres, amateurs de philosophie orientale, diront la Voie du milieu, entre tranquillité de l’être et action agissante. Ce qui implique prendre soin de vous-même sur le plan de l’être tout en agissant sur votre destinée.

Il existe une instance que nous, les psychologues humanistes, appelons le Soi. Cela désigne l’ensemble de votre personne : intellect, émotions, corps, spiritualité, interactivité sociale, inconscient, etc. Cela varie selon les auteurs, mais l’idée demeure la même. Vous devez respecter la totalité de votre être, soit tous les aspects de ce que vous êtes, pour garder l’équilibre.

Cultivez non seulement l’estime de soi, mais surtout l’estime du Soi. Pensez globalement plutôt que de façon parcellaire. Cela vous donnera une vue d’ensemble plus large qui aiguisera votre sens des décisions justes et bien dosées. Par exemple, avant d’accepter une promotion, examinez-en tous les revers afin de ne pas être hypnotisé seulement par le gain salarial. Y aura-t-il des impacts d’horaires, de responsabilités, ou autres qui pourraient influencer votre qualité de vie générale ? C’est un pensez-y bien, afin que vous ne vous emballiez pas sans avoir soupesé les vrais enjeux impliqués et bien évalué les conséquences. Faites-le seul, loin de toute influence.

Ne vous laissez pas non plus séduire que par l’apparence physique d’un partenaire amoureux potentiel. Prenez en considération son caractère, ses valeurs, son mode de vie, etc. Demandez-vous si cela vous conviendra de partager votre vie avec lui pendant les dix prochaines années. Ça, c’est une bonne question !

N’oubliez pas ce qu’Eleonor Roosevelt a dit : « Personne ne peut vous obliger à vous sentir inférieur sans votre consentement. » Cette phrase vous rappelle que si vous vous infériorisez dans votre rapport aux autres, vous en serez complice. Alors, ne laissez personne vous mettre en doute et prétendre qu’il sait mieux que vous ce que vous voulez ou qui vous êtes.

La suite ……………demain.

 

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