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La capitale alsacienne expérimente pendant un an le remboursement de l’activité sportive pour certains malades.

Comme cela avait été annoncé il y a quelques mois, les habitants de Strasbourg souffrant de certaines maladies chroniques peuvent désormais se faire prescrire une activité physique auprès de leur médecin traitant, à la place ou en complément d’une liste de médicaments.

Baptisée «Sport-santé sur ordonnance», cette expérimentation, lancée pour un an, associe la ville de Strasbourg, la caisse du Régime local d’assurance maladie, l’Agence régionale de santé et plusieurs partenaires associatifs. Une cinquantaine de médecins généralistes ont accepté d’y participer.

L’expérimentation elle-même sera entièrement prise en charge par la municipalité et ses partenaires qui mettent à disposition leurs moyens humains et techniques. Son coût est évalué à près de 129.000 euros.

Elle s’adresse en priorité aux personnes atteintes de maladies chroniques liées à la sédentarité que sont l’obésité, le diabète de type 2 (non insulinodépendant) et les maladies cardiovasculaires stabilisées.

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Vendredi 07 Décembre 2012 de 19h15 à 21h15 au Lionel Club (1 rue Antoine Fabre à Béziers), les patientes et patients du réseau ROSA sont invités à participer à un atelier de massage qui vous est proposé par Mélanie.

Cet atelier découverte sera gratuit le 07 décembre 2012 afin de vous permettre de découvrir des techniques de communication et de relaxation par le toucher : combinaison de balancements, effleurages, mouvements longs, pressions glissées, pressions locales, étirements, vibrations, manoeuvres tonifiantes ….

Cet atelier repose sur une dynamique collective, accessible à tous, et basée sur l’écoute, la confiance, la participation et l’inspiration.

Prévoir tenue ample, serviette de plage, paréo et si possible huile de massage.

Pour toute information supplémentaire, contacter directement Mélanie au 06 23 88 53 96

 

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Le programme d’intervention en question, nommé HEROES, pour Healthy, Energetic, Ready, Outstanding, Enthusiastic Schools program confirme, avec cette étude de l’Université d’Indiana qui en a mesuré l’impact, l’efficacité d’initiatives simples qui reposent sur la réduction de facteurs évitables bien connus pour lutter dès l’école contre l’obésité. Les conclusions, présentées lors de la réunion annuelle de l’American Public Health Association, montrent, une nouvelle fois, que lorsque les écoles et les familles aussi mettent l’accent sur ces facteurs de risque modifiables, cela diminue efficacement l’obésité infantile.

Renforcer une certaine culture scolaire du bien-être : HEROES, développé sur la base des recommandations des Centers for Disease Control and Prévention pour les « scolaires », a été mis en œuvre par les établissements de l’Indiana, du Kentucky et de l’Illinois et coordonné par le Pr Dong-Chul Seo, de l’École de santé publique de Bloomington (UI). Le programme est destiné à renforcer une certaine culture scolaire du bien-être grâce à des modifications concernant l’éducation physique, la nutrition, l’activité physique avec les sports en équipe, et des initiatives de promotion de la santé à destination, aussi, des personnels des établissements comme des familles et des communautés.

Un programme scolaire simple mais efficace : Les chercheurs ont évalué ce programme sur ces 4 dernières années, sous l’angle des facteurs prédictifs de surpoids, de gain et de perte de poids et livrent ces résultats portant sur une période de 18 mois et une cohorte longitudinale de 5.309 élèves de 11 écoles différentes. Sont confirmés, par les chercheurs,

· le lien entre des niveaux élevés de consommation de boissons gazeuses et la persistance du statut pondéral, la surcharge pondérale et le gain de poids,

· le lien entre la prise de repas équilibrés et réguliers dans la journée, avec 3 repas par jour, la stabilité à un poids de santé,

· le lien entre la pratique de sports collectifs, partie intégrante du programme et le contrôle d’un poids de santé.

· le lien entre le statut économique et le poids, les élèves fréquentant les écoles de moindre statut socio-économique étant plus susceptibles d’être en surpoids ou de prendre du poids au cours de la période d’étude. D’où l’importance de pouvoir donner accès à tous à des aliments sains, comme les fruits et les légumes.

Bien évidemment, ces résultats ne sont pas nouveaux. Mais ils confirment que la mise en place de programmes de lutte contre l’obésité à l’intérieur des écoles et établissements scolaires, qui, aux Etats-Unis, font partie intégrante du Plan contre l’obésité, ont leur rôle à jouer pour prévenir l’obésité chez les plus jeunes.

A noter, dans ce programme, personnels scolaires et parents bénéficient également d’une formation.

Sources: American Public Health Association annual meeting et Indiana University Soda consumption, screen time, team sports at school influence students’ weight et Heroes

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Alors que le gouvernement a récemment annoncé la mise en œuvre prochaine d’une politique publique « Sport – Santé – Bien-être », l’Académie nationale de médecine appelle notamment à adopter « de nouvelles dispositions réglementaires » pour organiser la prise en charge du « sport santé » par l’assurance-maladie « dans le cadre de sa politique de prévention », « en association avec les mutuelles et les assurances privées ».

De nombreuses publications viennent aujourd’hui confirmer que pratiquer des activités physiques et sportives (APS) à tout âge « augmente l’espérance de vie en bonne santé », « retarde la dépendance », « constitue un complément thérapeutique efficace » pour de nombreuses affections, et améliore la prise en charge des handicaps, rappellent les auteurs*. En dépit des efforts déployés par certaines mairies, associations et de nombreux bénévoles, le bilan de la France dans le domaine de la pratique des activités physiques et sportives reste décevant, constatent-ils.

Sport sur ordonnance

Une « révolution culturelle » orchestrée par les pouvoirs publics est nécessaire pour enraciner le « sport santé » dans notre société. « Dès le jeune âge, puis tout au long de la vie, les activités physiques et sportives doivent s’imposer dans les habitudes de chacun ». Pour insuffler et soutenir cette dynamique, il convient de « sensibiliser les médecins et enseignants » aux bénéfices du « sport santé », le corps médical devant pour sa part « définir les bonnes pratiques de la prescription des APS dans des conférences de consensus », souligne l’Académie.

« Les APS peuvent être proposées au sujet sain dans le cadre de la prévention primaire ou être l’objet d’une prescription médicale venant ou non compléter un traitement médical ». La prescription d’un sport sur ordonnance devra être rédigée « selon les règles de toute prescription médicamenteuse et être expliquée au patient avec la même rigueur » (nature et contexte de la pratique, intensité, durée et fréquence des séances, mesures associées, suivi et contrôles médicaux à observer).

Règle des « 3R »

Le volume d’activité nécessaire et suffisant pour chacun peut se résumer au respect de la règle des « 3R », à savoir : une activité « régulière » (au moins hebdomadaire), « raisonnée » (correspondant à 50 % de l’activité physique maximale déterminée pour chaque sujet) et « raisonnable » (mettant à l’abri d’incident ou d’accident). « La surveillance médicale du sujet adoptant un programme d’activités physiques et sportives de base, peut se limiter à une consultation médicale annuelle programmée auprès du médecin traitant », avec des comptes rendus médicaux à faire figurer dans le dossier médical personnalisé (DMP), indiquent les auteurs.

* Jacques Bazex, Pierre Pène, Danièle Rivière et Michel Salvador co-signent un texte intitulé « Les activités physiques et sportives : la santé, la société »

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Une consommation élevée de primeurs serait liée à une plus grande sensation de bien-être et à un moindre risque de démence, selon une étude britannique.

Pour une sensation de bien-être et une bonne santé mentale, 7 à 8 portions quotidiennes de 80 grammes de fruits et légumes sont recommandées par une étude britannique, menée par des chercheurs de l’université de Warwick, portant sur près de 80 000 personnes choisies au hasard.

« L’effet statistique des fruits et légumes a été une surprise, raconte le Pr Sarah Steward Brown, l’une des auteurs de l’étude. Le régime alimentaire est très peu pris en compte par les recherches sur le bien-être. »

Pour Pascale Barberger-Gateau, de l’unité Inserm 897 Epidémiologie de la nutrition et des comportements alimentaires, « plusieurs études préalables avaient déjà montré que la consommation de doses importantes de fruits et légumes était associée à un risque moins élevé de développer des démences chez les personnes âgées. »

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Pouvoir soulager ses flatulences (c’est-à-dire « péter ») sans gêner son entourage.

Après plusieurs années de recherche la compagnie japonaise Seiren° est arrivée à commercialiser avec succès le slip sans odeur. Le secret réside dans l’inclusion de particules céramiques dans la fibre textile. Il s’agit d’une nouvelle application pratique d’un cosméto-textile. Seiren° a étendu le concept à la chaussette et au T-shirt.

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Le stress se traduit souvent par des tendances boulimiques.

Lorsque nous sommes confrontés à des difficultés émotionnelles nous avons tendance à nous tourner vers la nourriture pour ajuster nos émotions. Susan Albers, psychologue Américaine nous dévoile 6 méthodes pour apprendre à ne plus compenser par la nourriture, un problème qui touche majoritairement les femmes.

Si manger lorsqu’on est stressé permet de nous détendre rapidement cela n’est pas une solution utilisable à long terme car nos émotions sont toujours là, simplement enfouies. Se tourner vers la nourriture nous empêche donc de traiter nos émotions correctement ce qui nous dévore de l’intérieur, laissant alors un sentiment misérable après la consommation de nourriture.

Voici quelques pistes à suivre pour ne plus vous laisser aller à l’appel de la fourchette :

  • Identifiez vos émotions : observez comment vous vous sentez. Ensuite décrivez votre ressenti sur une feuille de papier. C’est un moyen d’exprimer des émotions sans les garder enfermées.

 

  • Ajustez vos émotions : imaginez que vous puissiez ajuster vos émotions comme un curseur. Situez l’intensité de votre ressenti sur une échelle de 1 à 20 et réfléchissez ensuite à ce dont vous avez besoin pour placer le curseur plus bas. Par exemple si vous vous sentez à 17, réfléchissez à ce qu’il vous faudrait pour atteindre le 10.

 

  • Apprenez la méditation de « pleine conscience » : cette forme de méditation consiste à suivre des pensées, des sentiments, ou des perceptions et de les observer sans essayer d’interagir avec eux ou de les modifier. Autrement dit, cela revient à maintenir une prise de conscience détachée, sans aucune forme de jugement, pour devenir plus conscient de son corps, de sa vie et de son environnement. Exemple : ressentez vos pieds sur le sol, laissez vos épaules et votre nuque tomber et observez la sensation de ne pas résister à la gravité.
  • Apprenez à ne plus combattre vos émotions : plus vous essayez de lutter et de combattre vos émotions plus elles grandiront en vous jusqu’à finir par devenir complètement incontrôlables. Donc, si vous vous sentez triste, sentez-vous triste. Dîtes-vous que vous pouvez accepter vos émotions et qu’il ne s’agit pas d’une faiblesse ou d’une erreur. Au lieu de les enfouir, cherchez plutôt un moyen de les gérer, par exemple en téléphonant à un ami proche et en discutant.
  • Arrêtez de vous sentir coupable : nous sommes sans doute notre plus grand critique mais à chaque fois que nous nous sentons coupable nous nous imposons une punition qui nous empêche de nous apaiser. Mais ce schéma ne fait que nous entraîner dans une spirale de comportement alimentaire déréglé. A l’inverse, en ayant de la compassion à votre encontre vous développez une force qui permet ensuite de limiter le déclenchement de comportements alimentaires impulsifs.

 

  • Adoptez une routine : certaines routines peuvent permettre d’évacuer correctement nos émotions en améliorant notre prise de conscience de nous-mêmes. Un rituel peut être aussi simple qu’allumer un bâton d’encens systématiquement tous les soirs en rentrant du travail ou de chanter une chanson relaxante. Cela peut également être la récitation d’une prière à voix haute. Une bonne méthode consiste à entretenir un journal intime car celui-ci permet simultanément d’apprendre à identifier les émotions et à les gérer correctement.

 

Susan Albers rappelle que les émotions sont fugaces et qu’il ne s’agit pas de faits gravés dans le marbre. Mais à chaque fois que nous ressentons une émotion forte nous devons gérer cette émotion plutôt que de chercher à la contenir car elle finira par s’exprimer d’une manière ou d’une autre et l’alimentation n’est pas le meilleur moyen pour cette expression.

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Le Dr Pierre Molina d’Arranda entreprend de convaincre ses patients de faire de l’exercice physique plutôt que de prendre des médicaments. Le généraliste de Chambery se trouve ainsi en phase avec la politique gouvernementale, où l’on promeut la pratique des activités physiques et sportives (APS) comme “outil essentiel de la stratégie nationale de santé publique”, en lien avec les agences régionales de santé.

Pourquoi cet intérêt pour l’exercice physique en lieu et place d’une prescription médicamenteuse ?

Dr. Pierre Molina d’Arranda : Gilles Boisvert et Philippe Vachette, les créateurs de l’agence Ecomobilité* sont venus me voir en décembre 2011, pour me parler de leur projet de changer les habitudes de déplacement des Français trop dépendants de leurs voitures.

Il s’agit d’inciter nos concitoyens à se bouger, 30 minutes par jours, ce qui est faisable. Pas question de compétition, mais d’écouter son propre rythme, de déstresser.

A Strasbourg, ville pionnière dans le domaine, 50 médecins sont volontaires et la communauté urbaine a donné son feu vert au remboursement des 30 minutes de vélo prescrites sur ordonnance. Si l’expérience montre son efficacité, Strasbourg a d’ailleurs l’intention de demander un remboursement à la sécurité sociale des frais engagés. Pourtant Frédéric Van Rockeghem, le directeur de la Caisse nationale d’assurance maladie, m’a clairement dit qu’il ne débourserait pas un centime pour mon projet. Il changerait peut être d’avis en réalisant que pour 1 euro dépensé, il risque de gagner entre 200 et 500 euros…

Pour inciter les patients à pratiquer une activité physique, il y a trois solutions : la coercition en est une, l’idée de la faire pratiquer sur le temps de travail en est une autre – c’est ce que l’on voit notamment à Taïwan où les ouvriers font de la gymnastique tous ensembles dans l’usine. Enfin, il y a la motivation forte, qui peut être financière ou autre. Cette motivation est pour nous très importante, notamment auprès des adolescents. Ils découvrent qu’il ne s’agit pas de rivalité, car on ne gagne rien, mais de solidarité lorsqu’on pratique une activité tous ensemble.

Mais en pratique, comment vous y prenez-vous dans votre cabinet ?

Je dis simplement au patient que s’ils font 30 minutes d’activité par jour, pour eux-mêmes, tranquilles, en respirant bien, ils vont diminuer notablement leur poids s’ils sont obèses, leurs troubles anxieux le cas échéant et leur consommation de médicament, très souvent.

Dans notre dossier de presse, nous chiffrons en nous appuyant sur une étude officielle du CREDES (Centre de recherche, d’études et de statistiques), de 10 à 43 milliards d’euros, le montant des économies potentielles induites par le développement de la marche ou du vélo, une demi-heure par jour. Nous estimons ainsi que chaque kilomètre parcouru fait économiser 1 euros à la collectivité, par une réduction des frais de santé, la baisse de l’absentéisme et les gains de productivité. Les deux-tiers de ces gains reviennent à la sécurité sociale. On savait depuis Hippocrate que le sport était bon pour la santé. C’est en fait une activité physique produite à son rythme, qui sera leur meilleur médicament, une nouvelle manière d’envisager la vie, sans se battre contre les autres.

*l’Agence Ecomobilité, association de promotion des alternatives à la voiture solo a remporté un appel d’offre lancé par l’antenne régionale de l’Institut national de prévention et d’éducation sanitaire (INPES). Intitulé “Bouge ta journée” le projet qui cible les jeunes se déroule sur le territoire de Chambery. Il allie les thèmes de l’activité physique, de déplacements, de la santé, de l’alimentation et du bien-être.

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Spas de bien être, centres de massage, centres d’esthétique, instituts de beauté, centres de thalassothérapie, salles de sports seront bientôt tous soumis à une norme.

Cette norme Afnor est en train d’être élaborée par des professionnels (équipementiers, écoles de formation, cosmétiques, exploitants…) et l’organisation Afnor. Elle contribuera à la professionnalisation de ces lieux de détente et de confort désormais incontournables dans « l’industrie du bien-être ».

Les principales exigences de la norme seront :

– l’implantation des équipements

– la surface minimum

– le contrôle, l’entretien et la gestion des installations et des équipements …

Il y aura également des exigences sur les soins et les produits proposés (soins secs et soins humides, stockage et conservation des produits…), sur les compétences du personnel (fonctions et formation).

Cette certification comportera des recommandations environnementales (ampoules basse consommation, usage des appareils électriques limité au temps d’utilisation, système de veille pour les saunas, système économe en eau pour les toilettes, produits de nettoyage écologiques…).

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Après le teasing paru il y a 2 jours, place à la version complète.

Cliquez sur le lien ci-dessous pour y accéder :

les alimenteurs français (version complète)

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