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Informations générales

Nous avons mesuré l’évolution du tour de hanche à 1 mois chez 141 patients consécutifs opérés de Sleeve gastrectomy sous coelioscopie.

Le tour de hanche a diminué de 7 cm en moyenne au cours du premier mois post-opératoire après Sleeve gastrectomy.

La plus importante diminution du tour de hanche au cours du premier mois post-op a été de 19 cm.

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Nous avons mesuré l’évolution du tour de cou à 1 mois chez 122 patients consécutifs opérés de Sleeve gastrectomy sous coelioscopie.

Le tour de cou a diminué de 2.1 cm en moyenne au cours du premier mois post-opératoire après Sleeve gastrectomy.

La plus importante diminution du tour de cou au cours du premier mois post-op a été de 6 cm.

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Nous avons mesuré l’évolution de la circonférence de la racine de la cuisse à 1 mois chez 141 patients consécutifs opérés de Sleeve gastrectomy sous coelioscopie.

La circonférence de la racine de la cuisse a diminué de 5.6 cm en moyenne au cours du premier mois post-opératoire après Sleeve gastrectomy.

La plus importante diminution de circonférence de la racine de la cuisse au cours du premier mois post-op a été de 13 cm.

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Nous avons mesuré l’évolution du périmètre ombilical à 1 mois chez 129 patients consécutifs opérés de Sleeve gastrectomy sous coelioscopie.

Le périmètre ombilical a diminué de 8.4 cm en moyenne au cours du premier mois post-opératoire après Sleeve gastrectomy.

La plus importante diminution du périmètre ombilical au cours du premier mois post-op a été de 33 cm.

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C’est le printemps ….

Avec le printemps, le Dr BUENOS, chirurgien et coordinateur du réseau ROSA  vous propose de découvrir en ligne dans les jours et les semaines à venir, les statistiques d’évolution de l’ensemble des patients opérés depuis janvier 2013 de Sleeve Gastrectomy sous coelio.

Ces statistiques concerneront l’évolution morphologique et pondérale des patients pris en charge, opérés de Sleeve gastrectomy et suivis au sein du réseau ROSA par l’ensemble des intervenants du réseau.

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La liste des organismes français arrosés par Coca-Cola, que publie ce mois-ci l’ONG Foodwatch, laisse pantois.

Après plusieurs mois, l’ONG allemande Foodwatch a obtenu de Coca-Cola que la société donne le détail des sommes qu’elle a versées à des organismes, associations et sociétés entre 2010 et 2015.

On y trouve en bonne place l’Association française des diététiciens nutritionnistes (AFDN). Cet organisme qui se présente comme une « association référente de la profession », a empoché entre 2010 et 2015 pas moins de 117 764 euros de Coca-Cola au titre de « partenariat ». On se demande quel type de partenariat une association qui a pour vocation de dire aux patients, au public, aux médecins ce que c’est que bien manger, peut conclure avec Coca-Cola. Quelle crédibilité lui accorder ? Quels autres « sponsors » la gratifient de leurs largesses ?

Et la plongée dans l’absurde ne s’arrête pas là. Après l’AFDN, on se frotte les yeux en découvrant que la Fédération française des diabétiques a reçu 232 582 euros de Coca-Cola, c’est-à-dire l’un des moteurs de l’épidémie mondiale d’obésité et… de diabète !

L’Institut Pasteur de Lille, qui, par l’intermédiaire du directeur de son département nutrition, ne manque pas une occasion de donner dans la presse des leçons d’orthodoxie nutritionnelle, a reçu 33 500 euros de Coca-Cola. Auxquels il faut bien sûr ajouter les sommes versées par les autres « partenaires ».

L’université de Poitiers a encaissé un chèque de 228 104 euros pour – ne riez pas – « le développement d’un programme de promotion d’un mode de vie sain et actif auprès d’étudiants ».

On est moins surpris d’apprendre que Dietecom, une manifestation annuelle tout entière livrée à l’agrobusiness (mais qui se présente pourtant comme « le 1er salon dédié à la nutrition destiné aux professionnels de santé ») a aussi bénéficié des largesses de Coca : 124 450 euros.

Coca-Cola, c’est bien connu, rime avec équilibre nutritionnel chez les sportifs. Voilà pourquoi, probablement, le Centre National pour le Développement du Sport, un organisme public qui dépend du Ministre chargé des sports, s’est vu gratifier la coquette somme de 1 118 926 euros pour lutter contre… l’obésité des jeunes. Le Comité National Olympique et Sportif Français s’est montré un peu moins convaincant : 300 000 euros quand même ! Suivent la Société Française de Médecine de l’Exercice et du Sport ou encore l’Institut National du Sport, de l’Expertise et de la Performance.

Et encore n’a-t-on là que les « Coca-Cola Papers ». Quid des Danone Papers, des Pepsi Papers, des Nestlé Papers, des Kellogg’s Papers, des Unilever Papers, des Kraft Papers, des Monsanto Papers ? C’est alors qu’on réalisera, comme nous l’avons hélas souvent dit, que l’influence de l’agrobusiness sur l’information nutritionnelle, largement ignorée du public et des médias, est pourtant sans commune mesure avec celle qu’exerce l’industrie pharmaceutique sur les leaders d’opinion.

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La quasi-totalité des steaks hachés contiennent de la matière fécale et toute une série de bactéries résistantes aux antibiotiques. C’est la conclusion d’une étude publiée dans la revue Consumer Reports et menée par des chercheurs américains qui ont passé en revue 300 types de viande hachée.

Les chercheurs ont acheté trois cent boîtes de steaks hachés industriels (200 kg) commercialisés dans une centaine de magasins (épiceries, grandes surfaces, boutiques bio) situés dans 26 villes des États-Unis. Mais comme toutes les viandes hachées de bœuf ne se valent pas, les chercheurs ont analysé aussi 181 échantillons de viande hachée issue de « l’élevage conventionnel », c’est-à-dire nourri à l’herbe et sans antibiotiques (cela représente 97% de la viande des hamburgers aux États-Unis) et 116 échantillons de viande bio, que les chercheurs ont classé dans la catégorie « production durable ».

A partir de leurs analyses, les chercheurs ont constaté que la quasi-totalité de la viande hachée contient des entérocoques, bactéries impliquant une contamination fécale qui peut causer des infections sanguines ou urinaires.

L’explication est simple : au moment de l’abattage et de la transformation, les excréments qui se trouvent sur la peau des bêtes ou qui sont restés piégés dans les intestins se retrouvent immanquablement au bout de la chaîne de production. Mais la plupart du temps, ces bactéries sont présentes uniquement à la surface de la viande. De sorte que lorsque vous la faites cuire, la chaleur permet de tuer la majorité de ces bactéries. Mais avec du bœuf haché, les bactéries se mélangent dans la viande et la contamine.

En outre, lorsque les scientifiques ont testé la résistance aux antibiotiques des souches bactériennes qu’ils avaient identifiées, ils se sont aperçus que près d’un cinquième du bœuf haché produit de manière « conventionnelle » (industrielle) contenait des bactéries résistantes à au moins trois classes d’antibiotiques. Soit deux fois plus que dans la viande hachée produite de façon plus durable et trois plus que dans la viande élevée en plein air.

Le magazine américain recommande donc aux consommateurs d’acheter « autant que possible » leur viande hachée sur des chaînes d’approvisionnement alternatives. Il conseille aussi de manipuler la viande avec soin (en évitant tout contact) et de la faire cuire à 160 degrés.

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Les enfants atteints de sclérose en plaques (SEP) qui font régulièrement de l’exercice pourraient avoir une maladie moins active. C’est du moins ce qu’indique une étude canadienne présentée dans la revue « Neurology ».

Pour mener cette étude, les chercheurs de l’Université de Toronto ont interrogé 108 enfants sur leur degré de fatigue, leur dépression et la fréquence de leurs activités physiques. 31 de ces enfants étaient atteints de SEP et 79 avaient subi un événement neurologique inflammatoire isolé. Un examen IRM du cerveau a été réalisé chez 60 enfants pour déterminer le volume du cerveau ainsi que la quantité et le type de lésions de SEP.

Seuls 45 % des enfants atteints de SEP pratiquaient des activités physiques intenses, contre 82 % des autres enfants. Toutefois, il convient de noter que les enfants atteints de SEP qui prenaient part à des activités physiques avaient un nombre moindre de lésions dans le cerveau qui indiquent une activité de la maladie, appelées lésions T2. Les enfants qui pratiquaient des activités intenses présentaient des lésions T2 d’un volume médian de 0,46 cm3, contre un volume médian de 3,4 cm3 chez ceux qui étaient inactifs. En outre, les enfants qui s’adonnaient à des activités intenses connaissaient en moyenne 0,5 rechute par an, contre 1 rechute par an chez ceux qui étaient physiquement inactifs. Ces résultats sont restés inchangés, même après correction pour prendre en compte la gravité de la maladie. Dans l’ensemble, les enfants atteints de SEP ont indiqué avoir des niveaux plus élevés de fatigue et de dépression. Aucune différence dans le volume du cerveau n’a été constatée dans les deux groupes.

« Ces résultats confortent la possibilité que l’activité physique pourrait avoir un effet bénéfique sur la santé du cerveau », déclare l’auteure de l’étude, Ann Yeh. Mais elle souligne que l’étude ne permet pas d’établir une relation de cause à effet entre l’exercice physique et l’activité de la SEP, mais indique seulement une association entre les deux.

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sport sur ordonnance : les français sont partants.

96% des Français plébiscitent le sport sur ordonnance, selon un sondage TNS Sofres pour la Maïf.

Ils estiment que cette pratique permettrait d’améliorer le moral et la santé des patients souffrant d’une affection de longue durée (ALD) ou des séquelles d’un accident.

Quelque 95% des personnes interrogées pensent que le sport pourrait réduire le taux de mortalité de certaines maladies chroniques, 80% le nombre de médicaments pris, et 77% le risque de récidive de certains cancers, rapporte Le Généraliste.

38% sont intéressés par la prescription d’une activité sportive pour eux-mêmes.

Le financement doit relever de la Sécurité sociale selon 39% des sondés et des mutuelles pour 35%.

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Ce qu’il vous faut : Traiter le derme, vous avez donc besoin de formules qui pénètrent vraiment, avec des actifs qui regonflent votre épiderme comme l’acide hyaluronique ou le collagène.

Sous quelle forme ? Le top : celles qui sont occlucives comme les masques en biocellulose. Ils sont imprégnés, et ont un effet seconde peau. Certains d’entre eux sont même dédiés au cou, une zone trop souvent oubliée lorsque l’on utilise un masque classique. Avec eux, l’astuce c’est de les laisser poser longtemps (1h sans problème). Bien aussi les formules spécifiques nuit, très riches en principes actifs, que vous posez en couche épaisse juste avant d’aller vous coucher. Votre peau s’en délecte toute la nuit et vous affichez un teint plus frais dès le lendemain matin. La petite astuce en plus : si vous avez des patchs contour des yeux, vous pouvez vous en servir pour repulper vos sillons nasogéniens en quelques minutes, effet garanti !

Le bon rythme : Tous les jours sans problème si vous avez le temps.

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