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Dr Patrick BUENOS

Pour notre santé, c’est bien connu : il faut manger du poisson au moins deux fois par semaine. Principal motif : ses excellentes protéines, et, dans le poisson gras des mers froides (maquereau , sardines), les fameux acides gras oméga trois qui ont un effet protecteur vis-à-vis des maladies cardio-vasculaires, voire de certains cancers. Le poisson fournit également des minéraux, tels que le phosphore et des oligo-éléments comme l’iode, le zinc, le fluor.

À raison de 35 kg par personne et par an, les Français sont au troisième rang européen des consommateurs de produits de la mer.

Sur les étals, près d’un poisson et d’un crustacé sur deux (voir autour de 90 % pour le saumon) provient de l’aquaculture. L’élevage compense la baisse des stocks de poissons sauvages et selon certains, il est gage de contrôle sanitaire des poissons.

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En quelques mois, le territoire français s’est couvert de plus de 1500 entrepôts auprès desquels les clients viennent retirer leurs achats commandés quelques heures plus tôt sur le site Internet du distributeur. Le drive présente le double avantage de faire gagner du temps et d’éviter les tentations. Stricte observation de la liste des courses et répression de la dépense d’impulsion en magasin, voilà qui convient bien à la nécessaire maîtrise du budget familial pour les produits courants.

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Il arrive fréquemment que l’on souhaite avoir l’avis ou les conseils d’autres membres du réseau, ou que l’on souhaite s’exprimer sur un sujet particulier, sans trouver l’endroit sur le site pour le faire.

Cet article permettra aux patientes et patients du réseau de le faire.

Exprimez vous.

Echangez vos impressions, idées ou suggestions …..

 

 

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D’après le magazine 60 millions de consommateurs de Septembre 2012, le budget alloué à l’alimentation a augmenté de plus de 3% sur l’année écoulée.

Du fait de la crise économique, l’alimentation est un poste susceptible d’être soumis à un arbitrage serré de la part des familles.

Fruits : + 9.4 % ; légumes : + 6.7 % ; boissons : + 4 à 5 % ; et café/thé : + 5.4 % , ont rudement gonflé le ticket de caisse depuis un an.

Au niveau du réseau ROSA, pour les fruits et légumes frais, de saison, issus de l’agriculture biologique, nous avons adopté le panier hebdomadaire de Thierry COLLIGNON pour lesquels les prix ne devraient pas évoluer, à savoir:

12 euros pour le « petit panier » (2 types de fruits et 5 légumes compatibles(soit environ 9 à 10 kg de fruits et légumes de saison)) ; 12 euros pour le panier « vitamines » (fruits pour consommation directe, jus et compotes) et 20 euros pour le panier « familial » (double du petit panier).

Informez vous auprès de Marie Laure MABILAT (diététicienne du réseau) pour plus d’informations .

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Jusqu’à présent, Runkeeper° était un peu la référence des applications de suivi d’activités sportives. Runkeeper° permet d’enregistrer son parcours, de calculer les statistiques associées (vitesse, calories, distance, etc.) et surtout de synchroniser les données de l’activité avec une application Web particulièrement soignée. Runtastic° arrive avec les mêmes armes et met l’accent sur la compétition; elle se décline en 2 versions: runtastic PRO [AppStore, 4.99€], runtastic Lite [AppStore]

L’application iPhone

Celle-ci est assez intuitive et permet d’enregistrer le tracé GPS d’une activité sportive (marche, course à pied, vélo, randonnée, ski, etc.). Lors de l’enregistrement d’une session, de nombreuses informations sont collectées comme le temps, la distance, la vitesse, l’altitude, etc. ce qui permet d’avoir accès à tout un tas de statistiques une fois l’activité terminée et d’ajouter une entrée à son journal d’entraînement.

L’application dispose de trois principaux modes:

  • Le chronomètre. (qui vous permet de savoir combien de temps vous avez marché)
  • L’objectif : vous vous définissez un objectif en terme de distance, temps ou calories.
  • La compétition : une fonctionnalité plutôt inédite qui permet de défier d’autres membres.(amicalement bien sûr)

 

Ce dernier mode est très intéressant; il permet à plusieurs personnes de mesurer leur performance sur la même activité. Durant la course, l’application indique quel coureur est en tête.

 

Le journal d’entraînement retrace toutes vos activités; pour celles où l’utilisation d’un GPS n’est pas possible (tapis de course), il est possible de les entrer manuellement en saisissant la distance, la durée, le temps et les calories dépensées.

Un onglet est dédié aux données statistiques de vos sorties par semaine et par mois.

La version PRO apporte plus de confort et de fonctionnalités que la version gratuite de Runtastic°:

  • mode compétition
  • fonction iPod
  • données vocales
  • pas de pub

Si vous avez essayé Runtastic° ou Runkeeper°, Nike+ ou micoach°, donnez nous votre avis ….

 

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Henri Lestradet , diabétologue réputé, a comparé le développement staturo-pondéral de deux groupes de nourrissons nourris l’un avec un lait riche en calories, l’autre avec un lait pauvre en calories.

Après quelques mois, il avait observé que les nourrissons nourris avec le lait pauvre en calories avaient spontanément augmenté leur consommation de lait et maintenu des apports suffisants à leur croissance. En somme, ils n’avaient pas été dupe de la supercherie et avaient compensé la faible densité par une plus forte quantité. Chose remarquable, dans les deux groupes, les nourrissons avaient grandi et grossi de manière tout à fait comparable. Ainsi, même avec des nourritures différentes, tous les enfants avaient développé la quantité de masse grasse prévisible pour leur âge. Les enfants nourris avec le lait pauvre en calories avaient donc modifié leur comportement alimentaire pour satisfaire leurs besoins. Ceci est une preuve évidente qu’un comportement alimentaire peut être contrôlé par un besoin.

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Le taux d’échec des traitements diététiques (= régimes) du surpoids et de l’obésité se situe bien souvent au delà de 90 % dans un délai de 3 à 5 ans selon l’article publié en 2001 dans l’American Journal of Clinical Nutrition par Anderson et ses collaborateurs et intitulé « Long term weight-loss maintenance : A meta analysis of US studies ».

Dans une évaluation de 29 programmes amaigrissants, JW Anderson a montré que la perte de poids au bout de 5 ans n’était que de 3 kg en moyenne pour des personnes dont le poids moyen de départ était de 100 kg.

 

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En cas d’obésité, le risque de développer un second cancer du sein est majoré de 37 à 40 %.

Une étude franco-britannique publiée dans la revue Breast Cancer Research and Treatment, vient de démontrer que le surpoids et l’obésité, présent lors du diagnostic d’un premier cancer du sein, augmente le risque d’en développer un second (qui n’est pas une récidive du premier), localisé dans l’autre sein ou le même, mais aussi dans l’endomètre (muqueuse de l’utérus) ou le colon-rectum.

L’obésité, lors du diagnostic d’un cancer du sein, est associée à une augmentation très significative du risque de développer un second cancer :

le risque de développer un second cancer du sein est augmenté de 37 à 40 %.

Le risque de développer un cancer de l’utérus est augmenté de 96 %.

Le risque de développer un cancer colo-rectal est augmenté de 89 %.

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Rester assis moins longtemps dans la journée pourrait nous faire vivre plus longtemps.

En attendant la pilule anti-âge, des chercheurs Américains ont utilisé les données d’une vaste étude de population Américaine (NHANES) pour observer l’impact de la sédentarité sur la mortalité.

Les données recueillies sur plus de 167 000 adultes ont été passées au crible et indiquent qu’en diminuant le temps passé assis dans une journée à moins de 3 heures par jour on augmente son espérance de vie de 2 ans.

De la même manière, passer moins de 2 heures par jour devant la télévision augmente l’espérance de vie de 1,38 ans.

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Les industriels ont trouvé une nouvelle force de vente : le quatrième repas.

L’obésité est un problème colossal de santé publique aux Etats-Unis. En 2011, plus de 35% des adultes Américains sont obèses (défini par un indice de masse corporelle – IMC – supérieur à 30).

Comment expliquer un tel chiffre ?

Il y a probablement plusieurs raisons à l’épidémie d’obésité mais on peut simplement constater quelques faits marquants :

  • Entre 1950 et 2012, la taille moyenne des plats dans la restauration aux Etats-Unis a été multipliée par 4.
  • Alors que les autorités de santé cherchent des stratégies pour lutter contre le surpoids, dont le coût financier pour le pays devient de plus en plus important à cause des complications (maladies cardiovasculaires, hypertension, diabète, etc.), les industriels de leur côté cherchent à maintenir leurs bénéfices financiers. Après avoir poussé pendant des années à l’augmentation des portions, comment vendre toujours plus de nourriture aux Américains ? Car la taille de l’assiette n’est pas sans limite… C’est la société Taco Bell qui a trouvé la solution, en inventant le concept du quatrième repas. Basée sur l’idée que « tout le monde aime le quatrième repas – mais certains ne le savent pas encore », la campagne publicitaire insiste auprès des téléspectateurs avec des slogans tels que « parfois le meilleur dîner est après le dîner » (en particulier s’il s’agit de manger du Taco Bell bien sûr!). Si de telles campagnes de publicité n’ont qu’un impact modéré sur les adultes, elles ont en revanche un impact important sur les enfants dont les repères intellectuels sont encore en construction. Heureusement, en France nous n’en sommes pas encore là mais que dire déjà des jouets présents dans certains menus pour enfants dans des chaînes de fast-food? Ils représentent déjà une tentative de conditionnement évaluatif, un phénomène psychologique très étudié par les industriels pour mieux manipuler vos goûts, vos choix et surtout vos achats. En effet, les jouets ont pour objectif de manipuler l’enfant en lui faisant associer le fast food à un moment de bonheur. En grandissant cette association perdure et cela le pousse alors à devenir un consommateur régulier. C’est une stratégie de psychologie alimentaire très connue.

 

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