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humilite

Avant dernier extrait du livre de Denis DOUCET, « le principe du petit pingouin » :

Ramenez les considérations de votre vie à l’échelle humaine ; cela s’appelle de l’humilité. En même temps, voyez grand ; cela s’appelle avoir du courage.

Solidarisez-vous et recherchez ceux qui travaillent comme vous à trouver leur propre banquise ; ils vous inspireront.

« Croire, c’est toujours s’exposer à être trompé », nous rappelle Françoise Dumoulin-Tessier. C’est juste. Mais avons- nous les moyens de ne croire en rien ? Je ne le pense pas. Alors, croyez en quelque chose, en quelqu’un, en ce que vous voulez, mais choisissez-le vous-même, ne vous fiez pas aux modes qui ne savent rien de vous.

Évitez les standardisations ; elles ne vous seront d’aucun secours. Vous devez mener une vie toute personnelle, la vôtre, pas une vie normalisée.

Faites quelque chose pour que ça change. Adaptez-vous moins à ce qui vous est nuisible et faites plus de place à ceux qui vous font du bien. Cela peut paraître simple, mais plusieurs hésitent, font du surplace bien longtemps avant de se décider.

On dit : « Qui veut faire quelque chose trouve le moyen ; qui ne veut rien faire trouve une excuse. » Et une autre phrase que j’aime bien : « Par la rue Plus tard, on arrive à la place Jamais. » À vous de décider, mais décidez-vous !

Je vous résume un rêve que j’ai déjà fait et qui m’apparaît ici pertinent. Il portait sur la naissance d’un troisième enfant – j’en ai déjà deux dans la vraie vie – et de l’implication de s’en occuper longtemps. Dans mon rêve, j’étais hésitant devant l’éventualité de recommencer la période des biberons, des nuits de sommeil écourtées, des pipis au lit, etc.

Quand on amorce un renouveau dans sa vie – comme l’invitation de ce livre à revoir un certain nombre de choses dans vos choix, attitudes, priorités, comportements, modes de pensée, etc. -, on doit, comme un parent le ferait, s’occuper activement pendant longtemps de ce «nouveau moi», si vous me permettez l’expression. Cette version de soi métamorphosée, ce nouveau départ, ce nouveau-né.

Cela demande du travail, il est vrai. Et, comme dans mon rêve, on hésite à s’embarquer quand on en a déjà plein les bras et qu’on se sent en mode survie. Étant donné que notre énergie est à son plus faible, comment pourrait-on donner un coup de barre dans de telles conditions ?

C’est là que vous devez faire confiance à votre instinct et consentir à puiser dans votre second souffle, cette réserve secrète d’énergie qui est encore là quelque part en vous, mais qui, jusqu’à présent, refusait de se pointer le nez parce que vous en auriez fait mauvais usage en vous adaptant encore plus.

Au fond de vous-même, il persiste encore de la vie, un potentiel de joie de vivre qui n’attend qu’une occasion sérieuse de renaître mais qui vous imposera ses conditions : votre énergie devra servir vos besoins et non Big Mouth. Si vous respectez cette règle, tout deviendra possible et vos forces renaîtront des cendres. C’est très probable, en tout cas. Il émergera alors le « meilleur de soi », pour paraphraser le titre d’un ouvrage de Guy Corneau, psychanalyste.

Qu’avez-vous à perdre d’essayer ? Ne rien faire ne va que vous enfoncer encore plus. Alors…

« Le commencement est beaucoup plus que la moitié de l’objectif », disait Aristote. Je comprends cette phrase dans le sens que le plus dur est de s’y mettre. Après, l’élan initial vous facilitera les choses. Chaque gain vous encouragera vers la prochaine étape.

Dépassez les souhaits passifs et attentistes («J’aimerais», «J’espère») pour entrer dans la décision ferme d’agir («Je veux », «Je vais »). Ne remettez plus à demain le fait de vivre en fonction de qui vous êtes. Voyez-y, il en est grand temps. Une fois que vous serez mort, il sera trop tard.

Profitez-en également pour apprendre par cœur cette citation d’Alan Keightley : « Un jour ou l’autre, les gens réalisent brusquement qu’ils ne sont pas obligés de vivre comme on leur avait dit. »

La fin ………..demain.

Dr BUENOS : Denis DOUCET nous régale d’un florilège de citations que nous pouvons méditer , mais surtout …….appliquer .

 

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