Témoignage intéressant sur la gestion de l’effort par une grande joueuse de tennis, Amélie MAURESMO
http://www.youtube.com/watch?v=eBX7kf_kVfo
Interview réalisé par le club des cardiologues du sport
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Témoignage intéressant de Thomas HUGHES sur le thème « du sport, oui, mais pas n’importe comment
http://www.youtube.com/watch?v=pc7366msaYE
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L’Université d’Aix-Marseille vient de se lancer. Sur l’exemple de la faculté Pierre et Marie Curie, pionnière dans ce domaine, elle est en train de créer son “université des patients”. Il s’agit d’une formation en éducation thérapeutique mêlant malades chroniques et soignants, les uns pouvant apporter aux autres et vice-versa.
Expérience
L’Université des patients est un concept crée en France par Catherine Tourette-Turgis, docteur et chercheur en sciences de l’éducation à la faculté Pierre et Marie Curie. “J’avais déjà accompagné et formé des patients notamment atteints du sida. Ce sont les malades qui m’ont en quelque sorte dicté ce projet. Ils avaient un désir fort de savoir et de transmettre leur expérience”, analyse la chercheuse. D’autant que le concept existait déjà dans certains pays anglo-saxons. La loi Hôpital, patients, santé et territoires (HPST), dite loi Bachelot de 2009, a permis d’accélérer les choses. En effet, l’article 22 de la loi HPST a fait entrer l’éducation thérapeutique dans le code de la santé publique. “Cela a été une opportunité pour faire émerger des projets innovants”, souligne Catherine Tourette-Turgis.
Depuis 2010, l’université des patients propose donc plusieurs formations, du DU au doctorat en passant par le master. “Nous avons 70% de soignants et 30% de malades”, relate Catherine Tourette-Turgis. Les patients sont rigoureusement sélectionnés sur plusieurs critères, notamment universitaires. “Ce projet est à destination des malades chroniques. Ils doivent avoir un vrai projet pédagogique. Avant chaque sélection, je m’assure que le patient ne sera pas mis en situation d’échec. Quand je sens qu’ils ne correspondent pas aux critères, je leur explique que je ne suis pas en mesure de répondre à leur demande”, indique-t-elle.
Atout
Cela n’a pas été le cas d’Elizabeth Nello, patiente atteinte d’un lupus, actuellement en thèse à la suite d’un master en éducation thérapeutique. “Je suis malade chronique depuis plus d’un quart de siècle. Malgré ma maladie, j’ai suivi des études universitaires et j’ai obtenu un DEA en toxicologie. Alors que j’allais m’inscrire en thèse, j’ai du être placée sous dialyse, puis j’ai été transplantée avec un rein de mon père. Ensuite, il a fallu tout reconstruire”, dévoile la jeune femme âgée de 38 ans. 10 ans après son entrée en dialyse, elle a retrouvé le chemin universitaire grâce au master d’éducation thérapeutique. “Etant donné que j’étais un pur fruit de l’université, j’ai eu besoin de réapprendre pour me reconstruire”, explique-t-elle avant de poursuivre : “lorsque j’ai envoyé mon CV, j ai intégré mon parcours de malade chronique à mon parcours universitaire. Je me suis servie de cette facette de ma vie jusqu’alors inutilisable”.
Et la mayonnaise a pris. “Mon vécu de malade m’avait apporté de la matière brute. Le master m’a fait prendre conscience de ce savoir et de mon expérience. On m’a appris à me comporter comme une étudiante en éducation thérapeutique qui possédait la connaissance de la maladie, de l’intérieur comme une valeur ajoutée”, explique Elisabeth Nello avant d’ajouter que “pour la première fois, ma maladie a été transformée en atout, pour moi et pour les autres. C’est toute la force de cette université des patients”.
Un avis partagé par la Dr Lafitte. “La présence de patients a été déterminante. On voulait tous savoir comment mieux faire. Le fait de les avoir avec nous et non face à nous a été très constructif. Nous avons tous appris les uns des autres”, estime la cardiologue. De retour dans son service, la praticienne a “l’impression de soigner mieux, d’être plus proche des attentes des patients”. “Certaines choses qu’on ne voyait pas avant sont désormais devenues visibles”, constate-t-elle.
Médecine des gens
Une expérience très positive tant pour les soignants que pour les patients. “Dans tous les autres moment de ma vie, ma maladie est un handicap. Cette formation m’a permis d’exister socialement, ce qui n’est pas le cas des malades qui ne travaillent pas. Avant j’étais juste un numéro de sécu pour la société. En gros, je ne faisais que coûter”, note Elisabeth Nello. Aujourd’hui inscrite en thèse, elle projette de transmettre son savoir au sein de la communauté scientifique et pourquoi pas enseigner aux médecins… “Les médecins sont des experts de la médecine tandis que les malades sont des experts de la maladie. Il faut travailler avec les soignants, pour que l’éducation thérapeutique apporte une amélioration de la qualité de vie des malades”, estime-t-elle.
C’est également ce que pense le Dr Lafitte qui aimerait que “l’éducation thérapeutique soit obligatoire pour les soignants”. “Cela permettrait de passer de la médecine du corps à la médecine des gens”, considère-t-elle. La cardiologue espère le développement d’autres universités des patients dans plusieurs villes de France. Son vœu va bientôt se réaliser puisque l’Université d’Aix Marseille (la plus grande de France) est en train d’en ouvrir une cette année.
Dr BUENOS : Cette université des patients trouverait un bon champ d’application dans la prise en charge (éclairée) de l’obésité.
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Une étude publiée sur Translational Behavioral Medicine est parvenue à établir une corrélation entre le nombre de tweets émis et le nombre de kilos perdus.
Pour parvenir à cette conclusion, des chercheurs de l’université de Caroline du Sud ont étudié l’impact de l’utilisation de la plate-forme de micro-blogging en suivant pendant six mois, la perte de poids de 96 personnes en surpoids ou obèses, soumises à un régime un peu particulier.
D’un côté, la moitié des participants recevait régulièrement des podcasts sur la nutrition et la marche à suivre concernant les exercices à pratiquer. De l’autre, les participants du second groupe devaient télécharger une application pour pouvoir suivre le régime et installer Twitter pour partager leur expérience (poster chaque vendredi la quantité de poids dont ils se sont délestés) et leurs interrogations éventuelles.
Les chercheurs sont partis du principe que l’on a généralement plus de chances d’atteindre un objectif lorsqu’on s’y atèle en groupe. « Nous savons que dans ce genre d’expérience, les réunions de groupes apportent un soutien moral important. Nous avons donc voulu trouver un moyen de transposer ce soutien social sur un appareil mobile. Twitter semblait alors être le meilleur compromis car nous avions déjà eu échos de précédentes tentatives de pertes de poids grâce à son utilisation et qu’il permet aux participants de s’entraider en temps réel. Lors d’un dîner au restaurant, ils peuvent par exemple demander à leur communauté : je suis dans tel restaurant, qu’est-ce que je dois commander? », ont-ils expliqué.
Si les deux groupes ont perdu du poids au terme de l’expérience, il est ressorti que les utilisateurs de Twitter, qui bénéficiaient des messages d’un conseiller nutritionnel et pouvaient échanger avec les autres participants, ont perdu davantage de poids que les autres. Les chercheurs ont même identifié un lien entre le poids perdu et le nombre de tweets émis à hauteur de 0.5% de masse perdue tous les 10 tweets.
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Cliquez sur le lien ci dessous pour voir son témoignage :
sleeve gastrectomy pour obésité
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ROSA fait son cinéma.
La branche bitérroise du réseau ROSA poursuit une série de projections-débats autour de films qui méritent attention.
Jeudi 29 novembre 2012 à 17h30 heures autour du film de Joel Santoni et Jean Charles DENIAU « ces fromages qu’on assassine ».
Visionnage en compagnie du Dr BUENOS du film de Joel Santoni et Jean Charles DENIAU « ces fromages qu’on assassine ».
Suivi d’une discussion – débat autour du film.
Participation gratuite pour les membres de la branche bitérroise du réseau ROSA, mais inscription préalable obligatoire auprès du Dr BUENOS au 06 78 51 89 41.
Nombre de participants limités.
pitch du film :
De l’Europe aux Etats-Unis, Joel Santoni et Jean-Charles Deniau ont mené l’enquête au coeur du conflit qui oppose les petits producteurs de fromages aux géants de l’agroalimentaire. Ils mettent ainsi en lumière ces deux mondes qui s’affrontent : d’un côté, lesdéfenseurs du goût et de la diversité, de l’autre, les firmes multinationales, les lobbies et la mondialisation.
Ces rencontres ont lieu au Ciné Rosa : 5 rue Paul Paget 34500 Béziers
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ROSA fait son cinéma.
La branche bitérroise du réseau ROSA inaugure une série de projections-débats autour de films qui méritent attention.
La programmation débute le Dimanche 22 Octobre 2012 à 14 heures par le film de Coline SERREAU « Solutions locales pour un désordre global ».
Visionnage en compagnie du Dr BUENOS du film de Coline SERREAU : « Solutions locales pour un désordre global ».
Suivi d’une discussion – débat autour du film.
Participation gratuite pour les membres de la branche bitérroise du réseau ROSA, mais inscription préalable obligatoire auprès du Dr BUENOS au 06 78 51 89 41.
Nombre de participants limités.
pitch du film :
« Caméra au poing, Coline Serreau a parcouru le monde pendant près de 3 ans, à la rencontre des femmes et des hommes de terrain qui expérimentent un peu partout, avec succès, de nouveaux systèmes de production agricole, réparent les dégats environnementaux, et proposent une vie et une santé améliorées en garantissant une sécurité alimentaire pour tous. »
La prochaine projection-débat aura lieu le Dimanche 18 novembre 2012 autour du célèbre film « Supersize me » …..
Ces rencontres ont lieu au Ciné Rosa : 5 rue Paul Paget 34500 Béziers
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Un homme de 48 ans pesant plus de 300 kg a dû être évacué de son logement par la fenêtre, à Cazères, pour être hospitalisé. La façade de l’immeuble a dû être cassée.
«Je ne suis pas sorti de cette pièce depuis plus de deux ans». Une vingtaine de sapeurs-pompiers ont dû intervenir, pour évacuer, par la fenêtre, Jérôme*, 48 ans, un homme pesant 320 kg, de son petit appartement du centre ville de Cazères-sur-Garonne. Cet ancien chef d’entreprise souffre d’«obésité morbide». «J’ai besoin d’une hospitalisation ce soir», a-t-il expliqué depuis le lit médicalisé qu’il ne quitte plus. Il n’avait jamais envisagé de quitter le logement qu’il occupe avec Gauthier, son fils de 18 ans. «Mais mon état de santé s’est dégradé avec les grosses chaleurs de l’été.»
Dans le petit T2, un maçon a démoli littéralement la façade du 2e étage de l’immeuble sous les yeux des riverains, car ne passant pas par les escaliers, la fenêtre a dû être élargie pour permettre son évacuation.
Plus qu’un handicap, son surpoids est une souffrance quotidienne.
Après l’intervention des pompiers et du SAMU, Jérôme a été conduit à l’hôpital Larrey de Toulouse afin de soigner son problème d’obésité et son insuffisance respiratoire.
*Prénom d’emprunt
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Il arrive fréquemment que l’on souhaite avoir l’avis ou les conseils d’autres membres du réseau, ou que l’on souhaite s’exprimer sur un sujet particulier, sans trouver l’endroit sur le site pour le faire.
Cet article permettra aux patientes et patients du réseau de le faire.
Exprimez vous.
Echangez vos impressions, idées ou suggestions …..
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Titre: Groupe de parole
Lieu: Espace Renaissance – 2° étage de la Clinique Champeau – Bureau du Dr BUENOS
Description: Groupe de parole réunissant les membres de la branche bitérroise du réseau ROSA (chirurgien, dietéticienne, coach sportif,psy, sophro, couturière …etc) et les patients pour discuter ensemble des nouveautés, répondre à vos questions et présenter l’activité des différents intervenants.
Heure début: 19 h
sujets qui seront abordés : drainage lymphatique, la prise de photos
NB: vous pouvez retrouver l’ensemble des rdv et réunions proposés par le réseau ROSA en survolant le calendrier et en restant sur les dates écrites en rouge
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